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► Résumé et extraits du livre du Dr Buce LIPTON "La biologie des croyances"

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La grande révolution de la biologie de ces 5 dernières années c’est l’épignétique. La génétique concerne l'ADN, le programme du vivant. On a cru pendant longtemps au déterminisme génétique, en considérant que les mutations prenaient très longtemps sur l'échelle du développement  humain et par l'effet de l'adaptation. (ref à la Sélection naturelle darwinienne).

Hors le programme de la vie ne code que pour 15 % des machines-outils qui font fonctionner le vivant (les enzymes et les protéines) les 85 % restant on ne savait pas (on l’a même appelé l’ADN poubelle). Maintenant on sait que ces 85 % servent à fabriquer  des petites molécules d'ARN monobrin, beaucoup plus courtes que le grand ADN, elles circulent en permanence dans le corps pour réguler le fonctionnement des gènes. Donc l'épignétique, c'est la régulation de l'expression ou l’inhibition des gènes, en fonction du comportement quotidien !

- ce que nous mangeons

- si l'on fait de l'exercice

- si on sait gérer notre stress

- si on a un réseau social épanouissant

- si on e du plaisir dans ce que l'on sait.

Mais aussi cela dépend de nos croyances ! Donc nous sommes pleinement responsable de ce que nous sommes, voilà ce que démontre l'épigénétique. Exemple chez les abeilles, c'est ce que l'on donne à manger à l'abeille qui va faire d'elle une reine ou non... 

 

Voir la petite vidéo sur ce lien qui résume bien, en quelques minutes :  Joël de Rosnay généticien

 

 

 

La vidéo en entier en fin d'article 

 

Nouveaux brins d’ADN constaté chez des adultes – Mutation de notre ADN en rapport avec des changements dans la conscience…
Praticien de médecine holistique au Centre Avalon de Bien-Etre, au Mount Shasta en Californie, le Dr Berrenda Fox possède des tests sanguins fournissant la preuve que certaines personnes ont réellement développé de nouveaux brins d’ADN.
Lors d’un interview, il a déclaré : « Des changements ont lieu, des mutations qui, selon les généticiens, ne s’étaient jamais encore produites ».
Il y a plusieurs années déjà, à Mexico City, une convention de généticiens venant du monde entier avait pour thème « le changement d’ADN ».
Nous sommes en train de faire un saut d’évolution, et pourtant la grande majorité de l’humanité n’est pas informée des changements qui ont lieu !

 

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Petite vidéo, très beau témoignage  :  Changez d'alimentation pour changer sa vie

                                              et aussi :  Notre ADN nous écoute

                                                               L’ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des fréquences…

                                                               la-transmutation-cellulaire-notre-vie-peut-elle-changer

 

EXTRAIT DU LIVRE DU Dr BRUCE LIPTON LA BIOLOGIE DES CROYANCES. 
" comment affranchir la puissance de la conscience, de la matière et des miracles. 

 

 

Nous avançons à grands pas grâce à la physique quantique. Ce livre révèle les découvertes majeures en la matière, et qui vont changer considérablement notre vision du monde.

 

Dr Russelle Blaylock
Les effets de la nutrition sur le comportement, comment les molécules affectes les fonctions cérébrales et nos gènes. La nutrition peut contrôler ce que nos gênes produisent ou non !
Très tôt dans les stades du développement humain, on sait aujourd'hui qu'en modifiant l'alimentation de l'enfant in utéro à travers sa mère donc, cela peut affecter toute la vie de l'enfant, positivement ou négativement. Réduisant ou favorisant les risque de cancer à venir ou d'hypertension etc. En retirant le gluten dans l'alimentation des schizophrènes, ils vont mieux.

 

L’évolution selon Darwin ou les loups se mangent entre eux est le dogme central de la biologie, ou les gènes contrôlent  le vivant. Ce principe arbore une faille de taille : les gènes sont incapables de s’allumer et de s’éteindre tous seuls. Ils ne s’activent pas spontanément. Un élément du milieu ambiant doit déclencher leur activité.

La notion qui veut que l’on prenne des médicaments pour tout guérir est fondamentalement erronée. Chaque fois que l’on introduit un médicament dans l’organisme pour corriger la fonction A, il perturbe inévitablement les fonctions B, C et D. Ce ne sont pas les hormones activant les gènes ni les neurotransmetteurs qui contrôlent nos corps et nos esprit. Ce sont plutôt nos croyances, lesquelles contrôlent par conséquent nos vies.

Le professeur Bruce H Lipton trace une ligne imaginaire. D’un côté  se trouve le monde défini par le néodarwinisme, qui voit la vie comme une guerre sans fin que se livrent des soldats biochimiques. De l’autre, il y a la nouvelle biologie », qui perçoit la vie comme une aventure collective d’individus forts, capables de se programmer à vivre pleinement le bonheur.

Lorsque nous aurons vraiment compris la nouvelle biologie, nous ne tiendrons plus de débats fragmentaires sur les rôles de la culture et de la nature, car nous aurons réalisé que l’esprit pleinement conscient transcende à la fois nature et culture. Lipton postule que l’humanité connaîtra alors un changement de paradigme aussi profond que lorsque la notion de rondeur de la Terre est venue bouleverser la vision du monde plat.

Il évoque dans son ouvrage les cellules intelligentes et ce qu’elles ont tant à nous apprendre sur notre mental et notre corps. Il fournit les preuves scientifiques établissant que les gènes ne gouvernent pas le monde biologique.  L’épignétique démystifie la façon dont l’environnement influence le comportement des cellules sans en changer le code génétique. C’est un domaine qui jette une lumière inédite sur la nature complexe de la maladie, notamment le cancer et la schizophrénie. Nous avons souvent entendu parler du noyau de la cellule, l’ADN, mais pas de sa membrane, le peau de la cellule et Lipton en est arrivé à la conclusion que le cerveau du fonctionnement cellulaire n’est pas son noyau, mais sa membrane.  Il évoque aussi des découvertes renversantes de la physique quantique, qui ont des conséquences profondes sur la compréhension et le traitement des maladies. Pourtant, l’ordre des médecins établi, n’a pas encore incorporé la physique quantique à ses recherches ni même à ses programmes d’étude.

Et enfin, il démontre que les pensées agissent en profondeur sur les comportements et les gènes, mais seulement si elles sont harmonie avec la programmation inconsciente. 

Ce biologiste et enseignant à la fac de médecine, pense que notre état d'esprit à été grandement influencé par le darwinisme. Lamarck a été le premier à étudier l'évolution des espèces. Il a compris le rôle de la coopération, au sein d’une même espèce et entre les espèces. Mais il était précurseur, pionnier, et il a bousculé les croyances, il s'est fait lynché.

C'est Darwin plus tard qui a repris le flambeau, mais en insistant sur l'aspect "lutte pour la survie", "rivalité" "loi du plus fort" et ça a complètement influencé les esprits, la culture !!!

Maintenant, même au cœur de la cellule, (l’infiniment petit est à l'image de l’infiniment grand) on se rend compte que c'est la coopération qui donne les meilleurs évolutions;

 

 

Le dogme central de la biologie s’est appuyé sur le déterminisme génétique,  la croyance que le vivant est régi par les gènes mais à sens unique. Comme si le gène peut régir le corps, mais sans envisager que l’environnement, l’intention, l’état d’esprit,  les sentiments, les croyances, ce que nous mangeons, en fait TOUT ce qui nous nourrit,  peut modifier le code génétique.

Hors, les recherches actuelles nous démontrent par exemple que les émotions positives détendent le gène au cœur de chaque cellule du corps humain, provoquant des effets positifs sur l’immunité,  entretenant la joie de vivre, la résistance, la jeunesse.  D’autres approches vont dans le même sens en stipulant que l’état d’esprit positif attire des événements positifs. Inversement, les émotions négative crispent le gène et produisent maladie, déprime et tout un cortège de désagrément physique et mental.  Et l’attraction des événements négatifs. 

Comme disait Einstein  " rien ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l'a engendré, on le vérifie aujourd'hui en biologie épigénétique, des mutations par le développement de nouveau brins, ou hélices d’ADN chez l'humain irait de pair avec des modifications de la conscience ( le Dr. Berrenda Fox).

 

En modifiant les gènes des aliments, l'agroalimentaire, joue les apprentis sorcier. 

Les niveaux vibratoires  et conscience des êtres humains varient au cours de leur développement de la naissance à la mort  en moyenne tous les sept ans.
Chaque cellule à un champs électro magnétique et le corps à un champs électro magnétique global et les êtres vivants produisent un champs magnétique ensemble etc...
Restaurer l’unité corps / coeur / âme / esprit est indispensable pour élever son niveau de conscience, son niveau vibratoire et son unité en soi et au tout. 

Les recherches alliant physique quantique, ingénierie électrique, chimie et biologie, sont particulièrement pertinentes, car elles pourraient donner naissance à des thérapies entraînant beaucoup moins d’effets secondaires que les médicaments. Or, ces recherches confirmeront ce que « savent » déjà, sans l’avoir réalisé, le scientifique et le non-scientifique : tout organisme, y compris l’humain, communique avec son environnement et le décode en évaluant les champs d’énergie. Comme l’humain dépend étroitement des langages parlé et écrit, il a négligé ses senseurs d’énergie en tant que système de communication. Comme pour toute fonction, le non-usage mène à l’atrophie. Les aborigènes utilisent encore quotidiennement cette fonction hypersensible, et il n’y a pas chez eux d’atrophie sensorielle. Ainsi, ils sont capables de sentir l’eau enfouie profondément dans le sable. Quand aux chamans de l’Amazonie, ils communiquent avec l’énergie des plantes médicinales.

Vous avez déjà eu, à l’occasion, un aperçu de cet ancien mécanisme sensoriel. Par exemple, vous est-il déjà arrivé de marcher dans une rue sombre la nuit et de vous sentir soudainement vidé de toute énergie ? Que pensez-vous avoir ressenti ? Tout simplement une interférence « destructive », comme les cailloux déphasés dans l’eau. Dans le jargon populaire, il s’agit de mauvaises vibrations, d’ondes négatives. Vous est-il déjà arrivé aussi de rencontrer inopinément une personne et d’être, au contraire, énergisé au point d’avoir l’impression de « planer » ? Dans ce cas, vous avez ressenti une interférence constructive, c'est-à-dire de bonnes vibrations ou des ondes positives.

"Quand j’ai abandonné l’idée que nous sommes faits de matière inerte, j’ai non seulement compris que la science où je faisais carrière était dépassée, mais aussi que je devais favoriser davantage d’interférences constructives dans ma propre vie. J’avais besoin d’une mise au point quantique dans ma propre vie.

Au lieu de m’employer à créer des énergies harmoniques dans ma vie, je vivais en dispersant mon énergie sans réfléchir. C’était un peu comme chauffer une maison en plein hiver tout en gardant portes et fenêtres grandes ouvertes. J’ai donc commencé à fermer ces portes et ces fenêtres en observant soigneusement où je gaspillais mon énergie. Certaines portes furent faciles à fermer. Ce fut le cas quand je décidai de mettre un terme aux activités épuisantes, dont les mortelles soirées de faculté. Il me fut par contre plus difficile d’abandonner mon défaitisme habituel, tout aussi épuisant. Comme nous le verrons au prochain chapitre, les pensées consomment autant d’énergie qu’un marathon." 

 

Le principe Darwiniste, et non Darwin lui-même, a mis de côté la coopération nécessaire à l'évolution à cause de certaines de ses avancées telle que "les êtres vivants sont perpétuellement engagés dans une "lutte pour la survie". L'auteur parle de lutte inévitable pour l'existence". 

Le véritable fondateur de la théorie de l'évolution est Lamarck 50 ans plus tôt. Décrié et rejeté comme un hérétique, car trop précurseur en son temps, ses travaux ont été repris par Darwin. L'approche de Lamarck était l'évolution est nées d'une interaction "instructive" et "coopérative" entre les organismes et leur environnement, interaction qui permet à des formes de vie de survivre et d'évoluer dans un monde dynamique. Selon lui les organismes acquières et transmettent les adaptations nécessaires à leur survie dans un environnement en perpétuel changement. Il est intéressant de noter que l'hypothèse de Lamarck sur les mécanismes d'évolution est, elle, conforme à la vision moderne des biologistes cellulaires, c'est à dire à la façon dont les systèmes immunitaires s'adaptent à leur environnement. 

 

Aujourd'hui, notre compréhension actuelle de la coopération dans la nature va beaucoup plus loin. Les biologistes ont pris graduellement conscience du fait que les animaux ont coévolué et continuent de coexister, selon diverses combinaisons de micro-organismes nécessaires à la santé et au développement. L'étude de ces relations est maintenant un domaine scientifique en plein essor appelé "biologie systémique". 

 

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Le dogme central de la biologie s’est appuyé sur le déterminisme génétique,  la croyance que le vivant est régi par les gènes mais à sens unique. Comme si le gène peut régir le corps, mais sans envisager que l’environnement, l’intention, l’état d’esprit,  les sentiments, les croyances, ce que nous mangeons, en fait TOUT ce qui nous nourrit,  peut modifier le code génétique.

Hors, les recherches actuelles nous démontrent par exemple que les émotions positives détendent le gène au cœur de chaque cellule du corps humain, provoquant des effets positifs sur l’immunité,  entretenant la joie de vivre, la résistance, la jeunesse.  D’autres approches vont dans le même sens en stipulant que l’état d’esprit positif attire des événements positifs. Inversement, les émotions négative crispent le gène et produisent maladie, déprime et tout un cortège de désagrément physique et mental.  Et l’attraction des événements négatifs. 

Comme disait Einstein  " rien ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l'a engendré, on le vérifie aujourd'hui en biologie épigénétique, des mutations par le développement de nouveau brins, ou hélices d’ADN chez l'humain irait de pair avec des modifications de la conscience ( le Dr. Berrenda Fox).



BIOLOGIE ET CROYANCES.

…. Comment est-il possible que l’esprit surpasse le programme génétique, comme dans ce cas là (cas du Dr Mason et du patient souffrant d’une maladie génétique mortelle… le médecin ne le savait pas, a pensé que c’était des verrues, a soigné le jeune homme avec l’hypnose en pensant que c’était des verrues, et le jeune garçon a été guéri de sa maladie. Il n’a plus jamais pu recommencer, car ensuite il « savait » qu’il ne pouvait pas guérir.

En quoi la croyance de Mason en son traitement a-t-elle pu influencer sur le résultat ? La nouvelle biologie fournit quelques réponses à ces questions. Nous avons vu … que la matière et l’énergie sont enchevêtrées. Il en découle logiquement que l’esprit (énergie) et le corps (matière) sont liés de faon similaire, bien que la médecine occidentale ait vaillamment tenté de les séparer depuis des centaines d’années. Au 17ème siècle, Descartes rejeta l’idée que l’esprit puisse avoir une quelconque influence sur le corps. Selon lui, le corps physique était fait de la matière concrète et l’esprit, matière non identifiable mais clairement immatérielle.

A défaut d’identifier la nature de l’esprit, Descartes abandonna l’énigme philosophique suivante impossible à résoudre : Si seule la matière peut agir sur la matière, comment un esprit immatériel peut-il être « relié » à un corps matériel ? L’esprit non physique que voyait Descartes fut communément appelé le « fantôme dans la machine » par Gilbert Ryle, dans son livre « The concept of Mind », publié en 1949. " 

La biomédecine classique, fondée sur l’univers exclusivement matériel de Newton, adhère à la notion cartésienne d’une séparation entre l’esprit et le corps. D’un point de vue médical, il serait plus facile de réparer un corps mécanique que d’avoir à se préoccuper de son « double fantomatique » désordonné.

L’univers quantique réunit ce que Descartes avait séparé. Eh oui, l’esprit (énergie) émane du corps physique, comme le pensait Descartes. Toutefois, notre nouvelle compréhension des mécanismes de l’univers nous révèle de quelle manière l’esprit immatériel peut avoir une incidence sur le corps physique. La pensée, cette énergie de l’esprit, affecte directement la façon dont le cerveau contrôle la physiologie. L’ « énergie » de la pensée peut activer ou inhiber la production cellulaire de protéines par la mécanique des interférences constructives et négatives, dont j’ai parlé au chapitre précédent.

Malgré les découvertes de la physique quantique, la dissociation entre le corps et l’esprit se perpétue dans la médecine occidentale. On apprend aux scientifiques à qualifier d’anomalies étranges, et à rejeter en ce sens, les cas analogues à celui du garçon guéri d’une maladie génétique par le pouvoir de son esprit. Je crois au contraire que les scientifiques devraient se lancer dans l’étude de ces anomalies. Derrière ces cas exceptionnels se cache une compréhension plus puissante de la nature de la vie, plus « puissante » parce que ces exceptions contredisent les « vérités » étables. En fait, exploiter le pouvoir de votre esprit peut s’avérer plus efficace que les médicaments qu’on vous a programmé à croire nécessaires. La recherche dont il a été question au chapitre précédent révélait que l’énergie agit plus efficacement sur la matière que les agents chimiques.

Malheureusement, les scientifiques préfèrent souvent nier les exceptions au lieu de les comprendre. Mon exemple préféré du déni scientifique devant la réalité de l’interaction entre le corps et l’esprit est tiré de l’article paru dans Science. Il portait sur un physicien allemand du 19è siècle, Robert Koch, qui avec Pasteur, bâtit la « théorie des germes ». Selon cette théorie, les bactéries et les germes sont la cause des maladies. La théorie des germes est aujourd’hui largement admise, mais, à l’époque, elle était plus controversée. L’un des critiques de Koch était si convaincu de la fausseté de cette théorie qu’il avala imprudemment un verre rempli de « vibrion cholérique », la bactérie responsable du choléra selon Koch. A la surprise générale, l’homme ne fut aucunement atteint par ce virulent pathogène. L’article publié dans le magazine Science en 2000, relatait l’incident : « pour une raison inexplicable, cet homme n’eut aucun symptôme, mais avait tout de même tort. »

L’homme avait survécu et, reflétant l’opinion unanime sur la théorie des germes, Science avait tout de même eu l’audace d’affirmer que la critique de cet homme était incorrecte. Pourtant s’il est admis que cette bactérie cause le choléra, et si l’homme a prouvé qu’il n’était pas affecté par ces germes… alors, comment pouvait-il « avoir tort » ? Au lieu d’essayer de comprendre comment l’homme avait échappé à cette maladie redoutable, les scientifiques rejetèrent allègrement cette exception embarrassante, ainsi que d’autres qui gâchaient leurs théories. Vous rappelez-vous du dogme selon lequel les gênes contrôlent le vivant ? Voilà un autre exemple où les scientifiques, enclins à établir la validité de leur vérité, ignorent les exceptions troublantes. Le problème ici, c’est qu’il ne peut y avoir d’exceptions à une théorie, car l’exception démontre que la théorie n’est pas totalement exacte.

L’ancienne pratique religieuse de la marche sur le feu est un exemple courant où la réalité défie la croyance scientifique établie. Des croyants se rassemblent quotidiennement pour dépasser les frontières de la conscience habituelle en marchant sur des charbons ardents. Bien que la température du charbon et le temps d’exposition soit suffisants pour causer des brûlures médicalement significatives aux pieds, des milliers de participants en ressortent totalement indemnes. Avant de sauter sur la conclusion que les charbons ne sont pas réellement très chauds, il faudrait compter le nombre de participants qui manquent de foi et se brûlent les pieds en marchant sur ces mêmes charbons.

Même si la science admet formellement que le VIH est la cause du Sida, elle ne peut expliquer pourquoi un si grand nombre d’individus infectés par ce virus depuis des décennies ne présente aucun signe de la maladie. L’exemple des cancéreux en phase terminale qui recouvent la santé après une guérison spontanée totale est encore plus déconcertant. Etant donné que de telles rémissions dépassent les frontières de la théorie classique, la science rejette complètement le fait qu’elles se soient produites. Les rémissions spontanées, qualifiées d’exceptions inexplicables selon nos valeurs courantes, ou simplement de mauvais diagnostics, sont tout bonnement écartées.



Quand la pensée positive se gâte.



Avant de poursuivre sur le pouvoir incroyable de l’esprit et sur la façon dont ma recherche sur les cellules m’a amené à comprendre le fonctionnement des voies de communication entre le corps et l’esprit, je viens de clarifier ceci : je ne crois pas qu’une simple pensée positive mène invariablement à la guérison physique. Il est important pour notre santé et notre bien-être de canaliser l’énergie de l’esprit vers des pensées positives, et vivifiantes, et d’éliminer les constantes pensées négatives, qui sont débilitantes. Mais, et j’insiste fortement « MAIS », le seul fait de penser positivement n’a pas nécessairement d’effet sur nos vies ! En réalité, ceux chez qui la pensée positive ne réussit pas deviennent encore plus démunis face à la situation qu’ils croient sans issue, car ils pensent avoir épuisé tous les remèdes de l’esprit et du corps.

Ce que ces décrocheurs de la pensée positive n’ont pas compris, c’est que même si les subdivisions de l’esprit, le conscient et l’inconscient semblent séparés, elles sont interdépendantes. Le conscient est le créatif, celui qui peut créer les pensées positives. En revanche, l’inconscient est l’archivage d’actions-réactions mémorisées, archivage hérité de l’instinct et de l’expérience acquise. L’inconscient fonctionne uniquement par habitude. Il rejoue sans cesse les mêmes réactions comportementales aux signaux de la vie, et c’est déplorable ; combien de fois êtes-vous parti en guerre pour un détail aussi bête qu’un tube de dentifrice ouvert ? Comme, dès l’enfance, on vous a montré à soigneusement remettre le bouchon sur le tube, votre « esprit programmé » s’active et vous vous mettez automatiquement en colère en voyant le tube débouché. Ainsi, vous répétez tout bonnement le mécanisme d’action-réaction d’un programme comportemental stocké dans votre inconscient.

Sur le plan des capacités neurologiques, l’inconscient est des millions de fois plus puissant que le conscient. Si la volonté du conscient entre en conflit avec la programmation inconsciente, laquelle des deux l’emportera à votre avis ? Vous aurez beau vous répéter sans cesse l’affirmation positive que vous êtes digne d’être aimé, ou que votre tumeur cancéreuse se résorbera, si, dans l’enfance, on vous a constamment répété que vous étiez nul et maladif, ce message programmé dans votre inconscient minera vos efforts en vue de changer. Pensez seulement à la vitesse à laquelle votre résolution du Nouvel An, visant à moins manger, à fondu à l’odeur du gigot au four… mais il y a de l’espoir pour les personnes chez qui la pensée positive n’a pas réussi…. Nous verrons cela plus tard….



L’esprit prime sur le corps

… à mesure que les animaux plus complexes ont évolués, les cellules spécialisées ont pris la responsabilité de surveiller et d’organiser le flux des signaux moléculaires régulant leur comportement. Ces cellules se sont constituées en des réseaux de nerfs et un processeur central d’information, le cerveau. La fonction de ce dernier est de coordonner le dialogue des signaux moléculaire dans la communauté. En conséquence, chaque cellule d’une communauté doit obéir aux décisions éclairées de son autorité consciente, le cerveau, lequel contrôle le comportement des cellules du corps. C’est là un point dont il faut tenir compte lorsque nous accusons les cellules de notre corps des problèmes de santé qui nous affectent.



Emotions : comprendre le langage des cellules



Chez les formes de vie supérieures plus conscientes, le cerveau s’est spécialisé pour permettre à toute la communauté de se syntoniser sur ses signaux régulateurs. Le système limbique s’est doté d’un mécanisme unique qui convertit es signaux communicationnels chimiques en sensations que toutes les cellules de la communauté sont aptes à ressentir. Notre conscient ressent ces signaux en tant qu’émotions. Le conscient ne se limite pas à « lire » le flux des signaux de coordination cellulaire qui constituent « la conscience » corporelle. En réalité, il peut également générer des émotions sous la forme d’une émission de signaux régulateurs contrôlée par le système nerveux.

… Candace Pert, étudiait le cerveau humain et comprenait de mieux en mieux les mécanismes du cerveau cellulaire. Dans « Molécules of Emotion », Pert révèle comment, en étudiant les récepteurs d’information situés sur les membranes des cellules nerveuses, elle a découvert que ces récepteurs étaient présents dans la plupart, si non la totalité, des cellules de notre corps. Par ses expériences, elle a établi que « l’esprit » n’est pas uniquement localisé dans la tête, mais réparti dans tout le corps, sous forme de signaux moléculaires. Son travail soulignait en outre que les émotions n’émanent pas seulement d’une réaction à l’information provenant de l’environnement physique. Le mental peut consciemment utiliser le cerveau pour « générer » des « molécules d’émotion » et outrepasser le système. Si la conscience, employée judicieusement, peut améliorer la santé du corps, le contrôle inconscient des émotions peut aisément nuire à un corps en santé…

Les croyances contrôlent la biologie

… nous avons la capacité d’évaluer consciemment nos réactions aux stimuli et de changer nos vieilles réactions n’importe quand … après nous être occupé du puissant inconscient… dès lors nous ne sommes donc pas esclaves de nos gènes ni de nos comportements autodestructeurs…



Placebo : l’effet croyance

En médecine, on enseigne aux étudiants, du moins en survol, que le mental peut affecter le corps. On leur apprend que certaines personnes vont mieux quand elles croient (à tort), qu’on leur administre des médicaments. Lorsque le patient se sent mieux après avoir avalé un comprimé de sucre, la médecine appelle ce phénomène effet placébo. Mon ami Rob Williams, fondateur de PSYCH-K, un système de traitement psychologique basé sur l’énergie, affirme qu’il serait plus juste de qualifier ce phénomèned’effet perception. Pour ma part, je l’appelle effet croyance pour souligner que nos perceptions, exactes ou inexactes agissent de la même manière sur le comportement et le corps…

En tant que scientifique, je crois pour ma part que plus nous en saurons sur la « science » du placébo, plus nous pourrons nous en servir en milieu clinique.

A mon avis, si l’esprit a été rejeté aussi sommairement en médecine, c’est non seulement en raison d’une pensée dogmatique, mais également pour des considérations financières. En effet, si votre esprit avait le pouvoir de guérir votre corps malade, pourquoi iriez-vous consulter un médecin, et, pire encore, pourquoi achèteriez-vous des médicaments ?...

Une étude de la Baylor School of Medecine, publiée en 2002 dans le New England Journal of Medecine, a évalué la chirurgie dans le cas de douleurs débilitantes sévères au genou. Le principal auteur de l’étude, le Dr Bruce Moseley, « savait » que la chirurgie aidait ses patients. « Tout bon chirurgien sait qu’il n’y a pas d’effet placebo en chirurgie ». Or, Moseley tentait de comprendre qu’elle partie de la chirurgie soulageait ses patients. Dans son étude, les patients se divisaient en trois groupes. Dans le premier groupe, Moseley avait cureté les cartilages du genou endommagé de ses patients ; dans le deuxième groupe, il avait lavé l’articulation et retiré la matière qu’il croyait être la cause de l’inflammation. Ces deux procédures constituent en effet le traitement courant dans le cas d’arthrite du genou. Quant aux patients du troisième groupe, ils avaient subi une « fausse » chirurgie. Après leur avoi



08/12/2014
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