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En finir avec les psychotropes

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En 1982, le gouvernement britannique apprenait que les benzodiazépines (dérivés du valium : Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan…) pouvaient provoquer des troubles neurologiques graves. 30 ans plus tard… les médecins continuent de distribuer les pilules comme des Smarties ! Et pour cause, ce sont les psychiatres, (avec les urologues) les plus corrompus par les laboratoires pharmaceutique puisque c'est la manne la plus juteuse du marché, quand vous commencez à prendre ces substances, vous prenez le risque d'être accro pour la vie et vivre en enfer. Voir cet article édifiant :  les-laboratoires-pharmaceutiques-qui-arrosent-le-plus-les-medecins

 

Pourtant il existe d'autres voies efficaces mais pas  addictives, donc qui ne rapporte pas grand chose aux labo ni aux psychiatre par voie indirecte :  les-psychobiotiques-les-nouveaux-antidepresseurs

Voir

XANAX, LEXOMIL ET MYOLASTAN RÉTRÉCISSENT LE CERVEAU

 

 


 

Si vous regardez cette vidéo, vous serez calmé !

 


 

The Independent on Sunday a lâché une bombe. Le canard britannique s’est procuré des documents confidentiels plutôt gênants. En 1981, suite aux trouvailles du professeur (aujourd’hui émérite) Malcolm Lader, chercheur de renom dans le domaine de la psychiatrie, le Medical Research Council (MRC, institut gouvernemental) avait organisé un brainstorming scientifique pour évoquer le rétrécissement du cerveau survenu chez certains patients gobant des benzodiazépines. L’année suivante, le MRC décidait d’approfondir le sujet pour évaluer l’impact à long terme de ces molécules. Puis, plus rien. Le ministère de la Santé n’a pas donné suite.

La bourse ou l’avis

Aucun test « officiel » de toxicité neurologique à long terme n’a jamais été réalisé sur ces médicaments (Xanax, Lexomil, Lysanxia, Myolastan…) vendus à des dizaines de millions d’exemplaires, censés lutter contre l’anxiété, le stress, l’insomnie et les spasmes musculaires. Le Pr Lader a déclaré : « Je recevais de l’argent pour d’autres recherches et ne voulais pas être étiqueté comme la personne qui a tué les benzodiazépines… J’aurais dû être plus proactif… J’ai supposé que la prescription allait se tarir, mais les médecins ont continué de les balancer comme des Smarties« .

La camelotte qui ramolit le cerveau

En 1995, Heather Ashton, professeur émérite de psychopharmacologie clinique, a elle aussi fait une proposition à la MRC pour étudier le lien entre la consommation de « benzos » et les dommages permanents induits sur le cerveau. Sa proposition a été rejetée. La MRC se défend en prétendant qu’une fois « acceptées les conclusions du rapport de Malcolm Lader« , elle était prête à financer « toute demande de recherche répondant aux normes scientifiques requises« … ce qui n’est, prétend-elle, toujours pas arrivé à ce jour. La faute à pas-de-chance…

« Enorme scandale« 

Députés et avocats se liguent aujourd’hui pour dénoncer un « énorme scandale »  (dixit Jim Dobbin, président d’un groupe parlementaire multipartite sur les addictions médicamenteuses) qui pourrait ouvrir la voie à des recours collectifs pouvant impliquer jusqu’à 1,5 million de patients devenus accros à leurs dépends. Un grand nombre d’entre eux présenterait des symptômes neurologiques compatibles avec les constations de Malcolm Lader. Dans les années 1960, annoncés comme totalement inoffensifs, les benzos étaient présentés comme la première merveille du monde pharmaceutique. En une décennie, ils sont devenus les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Sauf que ces médocs révolutionnaires induisent une addiction particulièrement puissante, et cela en quelques jours.

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Descente aux enfers

Valerie Bell a fait une attaque de panique, en 1984. Son médecin lui a immédiatement prescrit du lorazépam. Aujourd’hui, elle a 67 ans. Elle est sevrée depuis 2007 mais souffre toujours de douleurs neurologiques à la tête, au cou et aux pieds.

« Nous avions deux magasins de fleurs dans l’Essex, avec mon mari. Nous avons eu une belle vie [...] j’ai eu une attaque de panique lors d’une soirée. Mon médecin m’a dit qu’il y avait un nouveau médicament merveilleux en provenance des Etats-Unis, alors je l’ai pris sans poser de questions. Immédiatement après, je me suis senti mal. Le médecin a dit que c’était ma maladie et a augmenté les doses, tout en ajoutant un antidépresseur. Cela a duré pendant des années, une nouvelle pilule suivait de nouvelles pilules. Certains jours, je ne pouvais même pas sortir du lit.

J’ai vu 32 médecins, mais personne n’a dit que mes symptômes pouvaient provenir des pilules. Pendant des années, j’ai cru ces hommes en blouse blanche et costumes Armani. Quand j’ai décidé que ça suffisait, il m’a fallu 15 ans pour m’en sortir [...] j’étais totalement incohérente, j’entendais des voix, j’étais incapable de faire du thé. Aucun être humain ne devrait souffrir comme ça. Nous avons perdu notre maison et nos entreprises. Les médicaments ont détruit nos vies« .

Source :  www.sante-nutrition.org

 

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Le marché du mal être.  

Qu’arrive-t-il à une société lorsque « pensée à l’extérieur du cadre établi » ou être (avec raison) enragé contre votre gouvernement – allant visiblement dans la mauvaise direction – devient une raison pour être médicamenté et « rééduqué »?

 

L’Union Soviétique utilisait de nouvelles maladies mentales pour les répressions politiques.

 

Les gens qui n’acceptaient pas les croyances du Parti communiste développaient donc une nouvelle forme de schizophrénie.

 

Ils souffraient d’une forme de désillusionnement croyant que le communisme n’était pas une bonne chose. Ils ont été isolés, médicamentés de force et ont subi une thérapie répressive pour les ramener à la raison.

 

Maintenant, nous devons remercier les polices de la pensée étatsuniennes, l’American Psychiatric Association, pour les derniers ajouts au DSM-IV (Manuel de diagnostic et statistiques des troubles mentaux) qui mettent en place des diagnostics arbitraires pour n’importe quel « dissident ».

 

Listé comme une nouvelle maladie mentale : une créativité et un cynisme au-dessus de la moyenne. Le manuel identifie cette maladie mentale comme « ODD », « désordre oppositionnel défiant » [Ndt : « oppositional defiant disorder »].

 

Défini comme « un comportement soutenu d’hostilité et de désobéissance », les symptômes incluent la remise en question de l’autorité, la négativité, la défiance, l’argumentaire et le fait d’être aisément irrité.

 

Un article du Washington Post observe que si Mozart était né aujourd’hui il serait diagnostiqué comme ayant un syndrome de déficit de l’attention et serait médicamenté jusqu’à ce qu’il redevienne « normal ». Ce que nous appelions des traits de personnalité sont dorénavant des maladies mentales. Et bien sûr, un traitement existe.

 

Lorsque la dernière édition du DSM-IV a été publiée, elle identifiait des symptômes de diverses maladies mentales chez les enfants et le résultat fut une augmentation significative de la médication de ces derniers. Certains états américains ont même des lois qui permettent aux agences de santé d’obliger une médicamentation sous peine d’amende ou d’emprisonnement.

 

Faites attention aux gens qui ont une forte individualité! Bien que les auteurs dudit manuel disent ne pas avoir d’agenda caché, étiqueter la liberté de pensée et la non-conformité en tant que maladie mentale est une bombe à retardement d’abus en tout genre. En tant qu’arme dans l’arsenal d’une société répressive, la réalité sociale semble se métamorphoser en un conte de fées pour autocrates tiré tout droit d’un roman de Phillip K. Dick.

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Trés beau témoignage de Osho sur : pourquoi le câlin est-il un outil thérapeutique incroyablement efficace ?                                                                                                        L’homme a besoin d’être un centre d'attention. C’est l’un des besoins les plus fondamentaux des êtres humains. Si on ne prend pas soin de lui, l’être humain meurt. S’il ne sent pas qu’il est important pour quelqu’un, au moins pour quelqu’un, toute sa vie devient insignifiante.            Aussi, l’amour est la plus grande thérapie qui soit. Le monde a besoin de thérapie parce que le monde manque d’amour. Dans un monde vraiment vivant d’amour, aucune thérapie ne serait nécessaire, l’amour serait suffisant, plus que suffisant.                                                                    Le câlin est simplement un geste d’amour, de chaleur, d’affection. La sensation de chaleur qui se déverse de l’autre personne fait dissoudre de nombreuses maladies en vous, fait fondre l’ego froid comme de la glace. Cela vous fait retrouver l’enfance.
De nos jours, les psychologues sont bien conscients du fait que si un enfant n’est pas étreint, embrassé, il va manquer d’une certaine nourriture. Tout comme le corps a besoin d’aliments, l’âme a besoin d’amour. Vous pouvez satisfaire à tous les besoins matériels de l’enfant, lui donner tous le confort matériel, si les câlins manquent, l’enfant ne deviendra pas un être en pleine santé. Au fond de lui, il restera triste, ignoré, négligé, abandonné. Il aura reçu de bons soins, mais il n’aura pas été materné.
Il a été observé que si un enfant ne reçoit pas de câlins, il commence à se replier sur lui-même — il peut même en mourir — bien que tout le reste soit à sa disposition. Sur le plan corporel, il reçoit tous les soins, mais aucun amour n’entoure l’enfant. Il devient esseulé, il devient déconnecté de l’existence.
L’amour est notre connexion, l’amour est notre racine. Tout comme vous respirez — pour le corps, c’est absolument essentiel : arrêter de respirer et vous n’existez plus — de la même manière, l’amour est le souffle intérieur. L’âme vit par l’amour.
L’analyse n’y parviendra pas. L’esprit et la clarification, la connaissance et l’érudition n’y parviendront pas. Vous pouvez savoir tout ce qu’il faut savoir sur la thérapie, vous pouvez devenir un expert, si vous ne connaissez pas l’art d’aimer, vous restez uniquement à la surface du miracle de la thérapie.
(…) Le câlin est un simple geste d’unité — même le geste apporte une aide. Si ce geste est vrai — pas seulement un geste, mais votre cœur y est aussi présent — il peut être un outil magique, il peut faire des miracles. Il peut transformer une situation dans son ensemble, instantanément… Le câlin est tout simplement l’une des choses les plus importantes.
(…) Quand vous aimez une personne, la seule verbalisation n’est pas suffisante, les mots ne suffisent pas, quelque chose de plus substantiel est nécessaire, les mots ne sont qu’abstraits. Vous devez faire quelque chose. Tenez la main, étreignez la personne, embrassez-la, prenez-la dans vos bras. Cela vous aidera tous les deux — si vous pouvez vous fondre tous les deux dans l’embrassade, vous allez redevenir plus jeunes, plus frais, plus vivants. C’est tout le processus de la guérison.
L’analyse est la voie du mental, le câlin est la voie du cœur. Le mental est la cause de toutes les maladies et le cœur est la source de toute guérison.
L'Ame du monde                                                                                                                            Source :  Mamounette Bellisima

 

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Privilégiez le contact physique, avec vos proches, les animaux, faites vous masser, ou encore faites des "Stages Câlins", il existe bien les stages du rire ! Rien d'ambigu dans ces stages. 

- Des exercices typiques de cohésion de groupe, des jeux ludiques afin de créer du lien, du rire et de l'intimité.


- Des initiations au massage.


- Des pratiques de bercement. (Le bercement apaise, nous avons gardé en mémoire dans nos cellule le vécu intra utérin ou nos étions bercé dans le liquide amniotique. On constate facilement à quel point le bébé est apaisé par le bercement et intuitivement nous berçons les enfants lorsqu'ils ont mal ou qu'ils sont triste).


- Exercices de contact visuel. La première prise de contact avant le touché, est le contact visuel. 
- L'approche du touché théorique et pratique.


- Enlacement - On s'enlacera en conscience, avec l'intention, les uns et les autres, parfois par hasard, parfois par choix du partenaire.


- Relaxation.

 

Pour en savoir plus :  stage-calins

 

 

 

Article sur :  Intérêts limités des benzodiazépines et hypnotiques

 

Rémunération d’experts, mise sous silence des effets secondaires de certains médicaments… Dans son livre « Omerta dans les labos pharmaceutiques », le médecin Bernard Dalbergue raconte les manipulations dont il a été témoin pour faire passer en force des médicaments. Il dénonce un système aux dérives abjectes, et parfois mortelles.

Articles à voir : - je-remunerais-des-medecins-pour-vendre-des-medicaments

                          -  dr-kelly-brogan accuse les autorités sanitaires

                          -  Empoisonnement universel

Voir lien-entre-la-prise-de-prozac-isrs-et-osteoporose

 

Il existe d'autres moyens naturels 

Voir le lien :  Régulateurs d'humeur et anti-dépresseurs NATURELS

 



16/10/2014
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