creer-son-bien-etre

creer-son-bien-etre

Vaincre la graisse de la zone abdominale

 

perdre-de-la-graisse-abdominale.jpg

 

La graisse viscérale est localisée à l'intérieur de votre abdomen entre vos viscères, c'est pourquoi la zone de l'estomac semble gonflée.

Cette graisse viscérale est plus présente chez l’homme que chez la femme, qui, elle, possède plus de graisse sous-cutanée que l'homme. Lorsque la répartition de la graisse est de type gynoïde (hanches, cuisses essentiellement), le risque cardio-vasculaire est faible. 

Par contre on peut très bien avoir peu de graisses sous-cutanée et avoir beaucoup de graisses viscérales et celle-ci est propice aux maladies cardiaques et à l'apparition du diabète de type 2.

 L’étude INTERHEART dévoile qu'un niveau de graisse viscérale élevée  multiplierait par deux le risque d’avoir une maladie cardiaque dans les dix ans et que le risque d’infarctus du myocarde augmentait de 19% pour chaque élévation du tour de taille.

 

Comment le mesurer ? Selon l’IDF (International Diabetes Federation), la mesure symptomatique est supérieur à 94 cm  de tour de taille pour l’homme et supérieur à 80 cm  pour la femme. 

 

schema-graisse-viscerale.jpg

 

Pourquoi stocker la graisse dans cette région du corps? 

 

Le stress est en cause ! En effet, il engendre une production accrue d'adrénaline et de cortisol. Et lorsque l'organisme est contraint de produire adrénaline et cortisol jour après jour, le corps doit renouveler constamment ses réserves d'énergie. Bon gestionnaire, il anticipe et emmagasine donc cette énergie, sous forme de tissus adipeux, autour de la taille, énergie plus facilement accessible par les glandes surrénales situées au dessus des reins.  Cet excès de cortisol provoque aussi un affaiblissement du maintien de la régénération musculaire, diminution de la libido, perte de l'acuité intellectuelle, inflammation chronique et vulnérabilité aux maladies.

 

Le cortisol possède une action hyperglycémiante, c'est à dire qu'il élève le taux de sucre dans le sang en favorisant sa synthèse dans le foie à partir des acides aminés libérés par le catabolisme des protides qu'il provoque. Le cortisol contribue ainsi à reconstituer les réserves hépatiques de sucre qui ont été utilisées initialement dans la première réaction au stress sous l'effet de l'adrénaline.

 

 

Le cortisol est une hormone stéroïde qui est libérée dans l'organisme en réponse à un stress physique ou psychologique

 

En terme scientifique, le système de réponse au stress est nommé l’axe hypothalamo-pituito-surrénalien (ou l’acronyme HPS). Lorsqu’un agent stressant est identifié, l’hypothalamus (petite glande du cerveau), envoie des messagers chimiques à la glande pituitaire. De là, un second messager chimique est envoyé par la circulation sanguine aux glandes surrénales. Comme leur nom l’indique, ces glandes sont situées juste au-dessus des reins. Le second messager dit aux glandes surrénales de sécréter du cortisol.

 

La sécrétion de cortisol déclenche divers processus générateurs d'énergie qui ont pour but de fournir au cerveau un apport en énergie suffisant pour préparer la personne à faire face aux sources de stress.

La sécrétion du cortisol est prédominante et, contrairement à celle de l'adrénaline qui est immédiate, elle est différée et ne se produit qu'au bout de quelques heures. le rôle du cortisol est essentiel car son action joue un rôle déterminant dans la presque totalité des systèmes physiologiques, intervenant notamment dans la régulation de la tension artérielle, de la fonction cardiovasculaire, du métabolisme des glucides et de la fonction immunitaire.

 

Comme toujours, tout est question de dosage, car  la sécrétion prolongée du cortisol et des corticoïdes en général, dans le stress chronique, provoque un épuisement progressif des glandes corticosurrénales. Cette sécrétion abusive est responsable de différents troubles métaboliques et organiques dont l'hypertension artérielle, l'ostéoporose, la diminution des défenses immunitaires (en détruisant les tissus lymphoïdes indispensables dans la lutte contre les agents pathogène), la sensibilité aux maladies allergiques, le diabète de type II, des troubles cutanés, la dépression, l'obésité et particulièrement l'embonpoint abdominal.

Un taux de cortisol chroniquement élevé peut entraîner une foule de problèmes de santé, de l'insulinorésistance à la destruction de cellules nerveuses, en passant par la dépression du système immunitaire, prise de poids, particulièrement dans la région abdominale ; 

 

Satiété SB.jpg

Voir  les-principaux-neuromediateurs-et-leurs-effets

ET : les-psychobiotiques-les-nouveaux-antidepresseurs

 

Cortisol.jpg

 

 

Le  cortisol est connu dans son implication dans les mécanismes du stress mais il faut savoir qu' il y deux niveaux d’hormones du stress :

  • Le niveau de cortisol au repos (basal)  qui correspondent aux niveaux de tous les jours. Ils sont essentiels au fonctionnement normal de notre organisme.
  • Le niveau de cortisol réactifs qui sont atteints lorsque le système de réponse au stress est activé pour faire face à un agent stressant. 

Nous avons plus d’énergie le matin, souvent en fin d’après-midi, nous ressentons un coup de barre, car l’horloge interne du cycle circadien rythme, entre autres, la sécrétion du cortisol. Le rythme circadien du cortisol est au maximum tôt le matin ensuite le niveau diminue lentement tout au long de la journée jusqu’à un minimum pour ensuite remonter lentement au début de la nuit pour atteindre son pic le lendemain matin.

Donc le cortisol n’est pas seulement sécrété lors de situations stressantes, il l’est aussi pour maintenir le fonctionnement normal de l’organisme. Pour subvenir à ses fonctions, l’organisme a besoin d’un flot constant de cortisol véhiculé par le sang.

Une réponse au stress saine est caractérisée par une augmentation du niveau d’hormones du stress pour faire face à la situation et un retour à la normale une fois la situation dépassée. Si le système de réponse au stress est sollicité sur une longue période de temps, le système s’épuise. Il n’est pas fait pour être utilisé en continue.

Si nous sommes exposés constamment aux mêmes agents stressants, notre système ne répond plus avec la même intensité. C’est l’habituation, exemple un bruit que l’on n’entend plus.   Autre exemple,  une personne timide qui doit faire des discours en publique verra son stress chuter à force de pratiquer, par adaptation).

Mais le stress chronique peut nous rendre incapables de nous habituer aux agents stressants. Il peut aussi rendre notre système de réponse au stress plus sensible au stress, c’est-à-dire qu’il répondra avec de plus en plus d’intensité. C’est ce qu’on appelle la sensibilisation au stress.

Si on reprend l’exemple de l’intervention en publique, si certaines personnes s’habituent progressivement à parler en public et leur réponse au stress diminue avec le temps, d’autres personnes, en revanche, vont anticiper de plus en plus le moment du discours et au lieu de s’habituer, elles se sensibilisent et leur réponse au stress s’accentue car elles se mettront à anticiper de plus en plus tôt le stress qui arrivera lors du discours en public. Cette personne est à risque de développer un stress chronique.

 

Lorsqu’un collègue se fâche à la moindre anicroche, Il se peut qu’il soit confronté à un stress chronique qui est relié à un autre stresseur externe au lieu de travail et non pas à son travail.

Parfois le système de réponse au stress ne revient pas à la normale du fait d’un stress chronique. Les hormones du stress sont continuellement sécrétées en grande quantité et les autres systèmes restent en état d’alerte (pression artérielle et taux de sucre sanguin élevés entre autres). 

 

Un taux de cortisol chroniquement élevé peut entraîner une foule de problèmes de santé, de l'insulinorésistance à la destruction de cellules nerveuses, en passant par la dépression du système immunitaire, la dépression psychologique, courcicuitage de la mémoire et donc des capacités d'apprentissage, prise de poids, particulièrement dans la région abdominale ; 

 En effet, en cas de stress chronique, pour que les glandes surrénales puissent récupérer du carburant plus rapidement, l’organisme stock de la graisse à proximité, dans la zone abdominale !

 

 

Le cortisol agit de différentes manières sur la prise de poids. Par ailleurs, il envoie de puissants signaux au cerveau et stimule notre appétit, les fringales pour des aliments qui nous font plaisir ou des aliments « consolation », comme le sucre, les graisses ou l'alcool. Le cortisol interfère avec la sérotonine, un des neuromédiateurs responsables de l'humeur et du sentiment de bien-être, son déficit nous rend déprimé et c'est le cercle vicieux, encore plus d'envies d'aliments de consolation. Des études récentes démontrent l'impact du cortisol sur les neuromédiateurs impliqués dans la prise alimentaire.

 

Le cortisol agit de différentes manières sur la prise de poids. D'abord, il envoie de puissants signaux au cerveau et stimule notre appétit, les fringales pour des aliments qui nous font plaisir ou des aliments « consolation », comme le sucre, les graisses ou l'alcool. 
Dans ce processus c'est le neuropeptide Y, puissant stimulant de frigale qui est synthétisé au niveau de l'hypothalamus. Il agit également sur la production d'insuline et le stockage des graisses de réserve.

 

Chez le rat, les glucocorticoïdes favorisent la prise pondérale induite par le neuropeptide Y.

À l'inverse, la leptine produite par le tissu graisseux agit comme facteur de satiété au niveau

de l'hypothalamus et a des effets opposés à ceux du neuropeptide Y.

Mais, toujours chez l'animal, les glucocorticoïdes s'opposent aux effets protecteurs de la leptine

et favorisent finalement la prise pondérale. 
Ensuite, le cortisol agit comme un signal pour nos cellules graisseuses : il leur demande de

conserver plus de graisses et d'en libérer aussi peu que possible. Il bloque aussi l'action de

nombreuses hormones comme l'insuline, de telle sorte que le contrôle du sucre sanguin

est perturbé et que les fringales d'aliments de confort ou de consolation sont décuplées. 
L'hormone du stress peut également interférer avec la sérotonine, un des neuromédiateurs

responsables de l'humeur et du sentiment de bien être, son déficit nous rend déprimé et

c'est le cercle vicieux, encore plus d'envies d'aliments de consolation.

Des études récentes démontrent l'impact du cortisol sur les neuromédiateurs impliqués dans

la prise alimentaire.
De surcroît, l'hormone du stress interfère avec l'hormone de croissance ( lorsque nous sommes adultes nous l'utilisons pour réparer les tissus pendant la phase de repos)  avec pour résultats

une perte musculaire et un gain de masse grasse. Enfin, une élévation continuelle de l'hormone

du stress peut affaiblir le fonctionnement de la thyroïde et faire en sorte que notre métabolisme

ralentisse. Tous ces effets combinés font que notre organisme consomme plus de calories

et en brûle de moins en moins.

Nous prenons donc du poids et plus spécifiquement autour de la taille et du ventre,

ce qui augmente notre risque d'hypertension, de diabète et de maladies cardio-vasculaires. 
Des études ciblées sur le lien entre le stress, l'alimentation et le cortisol ont démontré que les

femmes en surpoids localisé dans la zone abdominale produisaient davantage de cortisol

lorsqu'elles étaient stressées que celles dont la graisse était distribué dans d'autres zones.

Par ailleurs, les femmes ayant des niveaux élevés de cortisol provoqués par le stress avaient

tendance à manger davantage dans des situations stressantes (September/October 2000

issue of Psychosomatic Medicine). Les chercheurs ont également noté que des maladies

provoquées par des niveaux élevés de cortisol, comme le syndrome de Cushing, sont

caractérisées par des quantités excessives de graisses dans la région abdominale, une

localisation problématique qui augmente le risque d'hypertension, de maladies

cardio-vasculaires ou de diabète. 

 

Le rôle du HSD

Un des facteurs qui vient à compliquer le rôle du cortisol dans sa relation avec les gras,

est une petite enzyme qui se retrouve profondément dans les cellules graisseuses, le HSD.

La 11β-hydroxystéroïde deshydrogénase de type 1 (ou 11β-HSD1) est une enzyme NADH 

dépendante qui se trouve notamment dans le foie, le tissu adipeux et dans le système

nerveux central.  La 11β-HSD1 effectue la métabolisation de la cortisone en cortisol,

qui est la forme active. Elle permet donc d'activer la cortisone. Son enzyme antagoniste

la 11β-HSD2 se trouve dans le rein et fait la réaction inverse en inactivant le cortisol

en cortisone, pour qu'il ne puisse pas stimuler les récepteurs des minéralocorticoïdes.

 

La fonction du HSD est de reconvertir le cortisol inactif en cortisol actif, qui fonctionnera à nouveau comme un puissant agent favorisant le stockage des gras, particulièrement dans la région abdominale. Des recherches ont démontré que l'activité du HSD est plus concentrée au niveau des cellules de gras abdominales que dans les autres cellules grasses de l'organisme.

En fait le HSD est présent dans toutes les cellules de l'organisme, mais une proportion beaucoup plus importante se retrouve dans les tissus adipeux, les tissus du foie et du cerveau.

Le HSD est capable d'élever le taux de cortisol sanguin, même lorsque celui-ci est à un niveau parfaitement normal.

Cela fait maintenant plusieurs années que nous savons que l'obésité peut-être associée à un taux sanguin élevé de cortisol. Mais on a constaté que des personnes soumises à un stress intense et souffrant d'obésité ou d'une forte accumulation de graisses abdominale, pouvaient présenter un taux sanguin normal de cortisol. Cela a amené les chercheurs à découvrir que certaines enzymes, particulièrement le HSD est très actif pour augmenter le taux de cortisol de l'organisme directement dans la cellule. Vous pouvez donc avoir un taux sanguin de cortisol normal et cependant souffrir d'un taux élevé de cortisol directement dans la cellule, ceci est particulièrement vrai chez les personnes souffrant d'embonpoint ou d'excès de poids.

 

Bref, il est donc important de maintenir un taux de cortisol correct dans votre corps, ni trop, ni trop peu. Le cortisol est essentiel pour la survie, mais si vous en produisez en excès, elle est nocive également, elle favorise l'anxiété, engendre selon les natures, la perte ou l'excès de poids, de la fatigue et d'autres symptômes plus graves.

Réduire le taux de cortisol produit dans votre corps peut avoir un effet positif sur votre santé globale et vous vous sentirez plus détendus et équilibrés. 

 

Voir aussi :  Dis-moi-ou-tu-stockes-symbolique-du-corps-et-ses-rondeurs

 

 

 

glande.jpg

 

source image :  lecerveau.mcgill.ca

 

Voir : Comment gérer le stress

Et :  technique-de-liberation-emotionnelle

 

 

 

 

 Article complémentaire :  le-microbiote-determine-la-prise-et-la-perte-de-poids (cliquez)

 

microbiote.jpg

 

En passant, des études tendent à demontrer que le desequilibre de la flore a une incidence sur le déclenchement de la maladie d'alzheimer. 

 

poids.jpg

 

  Quand les kilos en trop s'accumulent, l'espérance de vie diminue

Dans quelles circonstances le cortisol augmente-t-il ?

 

Le taux de cortisol peut augmenter pour plusieurs raisons : 

Quand le stress est prolongé et mal géré.

Quand vous sautez un repas. (faire un jeun durant un cycle complet de 24 h, voir plusieurs cycles, n'a pas le même effet sur l'organisme)

En cas de fatigue extrême.

Lors d' entraînements de musculation intensifs ou des séances marathons trop longues par exemple, peuvent provoquer cette élévation. 

Lorsque vous êtes dévalorisé, humilié. 

Lorsque vous vous tenez recroquevillé, avachi, voûté, en position de repli. 

 

 

 

 

source image :  stress-et-posture

Voir l'article complémentaire :  l-impacte-de-la-cortisol-et-de-la-testosterone-sur-le-bien-etre

 

Lien directe vers une video :

Le langage du corps affecte la façon dont les autres nous voient, mais cela peut aussi changer la façon dont nous nous voyons nous-mêmes. La psychologue sociale Amy Cuddy montre comment "les poses de pouvoir" — se tenir dans des posture confiantes, même quand nous ne nous sentons pas confiants — peuvent changer les niveaux de testostérone et le cortisol dans le cerveau, et pourraient même avoir un impact sur nos chances de succès.

 

Avant d'envisager un traitement il faut déjà songer à rééquilibrer notre hygiène de vie sur différents points importants : 

- Apprendre à gérer son stress

- Équilibrer ses repas

- Équilibrer son sommeil, avoir un cycle de sommeil régulier. 

 

sauter repas.jpg

 Chaque fois que vous sautez un repas, le niveau de cortisol dans votre corps augmente et provoque de l’anxiété. Le taux d’insuline augmente et diminue instantanément, ce qui  entraîne un taux de sucre dans le sang également instable. (faire un jeun durant un cycle complet de 24 h, voir plusieurs cycles, n'a pas le même effet sur l'organisme)
                1. Problèmes de digestion
  Votre corps est habitué à travailler pendant toute la journée, quand vous sautez un repas,  le système digestif est incapable de bien fonctionner. Un métabolisme sain et une bonne  digestion nécessitent 3 repas. Les quantités de prise alimentaire varient en fonction de l'activité  physique et mentale. Un sédentaire est sensé manger moins qu'un sportif. Et d'autant moins   qu'une personne totalement inactive physiquement et intellectuellement. 
                 2. Les graisses sont stockées
  En sautant des repas, vous perturbez votre corps. Il croit que vous êtes affamé, donc à chaque fois que vous sautez un repas, au lieu de brûler les graisses, votre corps les stocke pour fournir  du «carburant», anticiper pour la période de « famine » qu’il croit venir.
                  3. Un organisme fatigué
 Sauter des repas ralentit votre métabolisme et vous rend fatigué.
 Des repas réguliers vous aideront à stimuler votre métabolisme et à brûler plus de calories.
                  4. Une perception altérée
 Cela peut vous sembler étonnant, mais sauter un repas peut changer la perception que vous avez de  la nourriture.
 Votre cerveau ne la perçoit plus comme une priorité, ce qui est très mauvais pour votre santé.
                  5. La boulimie

L’hyperphagie est la conséquence la plus dangereuse. Au dîner, votre corps sera tellement épuisé et affamé qu’il va vous inciter à manger de manière excessive. D’habitude, cela se traduit par des  maux d'estomac et  un gain de poids.   Source : sante-rose.blogspot.fr

 
On gagne énormément à avoir 3 prises alimentaires sur la journée. Une stratégie nutritionnelle avec des repas moins copieux et plus fréquents permet non seulement de rester mince, mais maintient le cortisol à un niveau plus bas que des prises alimentaires moins fréquentes.
Un exemple peu poétique mais explicite, dans l'élevage, pour faire un cochon maigre, on l'alimente en  plusieurs repas, pour faire un cochon gras, on le nourri copieusement en une seule prise...
 Avec des repas multiples, on contrôle mieux le cortisol que lorsque l'on fait des repas peu   nombreux, mais copieux. De plus, nous savons qu'en contrôlant le cortisol, on prend moins de graisse et plus de muscle. Essayez de faire six repas plus petit plutôt que trois repas plus copieux.
 

VOIR AUSSI EN COMPLÉMENT :  evaluez-testez vous-même-vos-taux-d-hormones

 

taux testo.jpg

 

 

7 stratégies.jpg

 

VOIR AUSSI 7 Stratégies pour Augmenter son métabolisme et brûler du gras. 

 Article très complet sur le sujet !

 

 

Le pamplemousse, la réglisse

Le pamplemousse contient une substance de la famille des flavonoïdes, la naringénine, combinée avec un sucre pour donner la naringine, deux substances pratiquement absentes dans les autres agrumes. 

Une importante consommation de fruits et légumes riches en certains flavonoïdes peut-être une stratégie efficace pour réduire l'action du HSD et réduire l'activité globale du cortisol dans l'organisme.

Les flavonoïdes sont des composés polyphénoliques possédant une action d'inhibition sur l'activité du HSD (voir plus haut). La quercétine présente dans la pomme et l'oignon, la naringénine du pamplemousse, la génistéine et la daidzéine des fèves de soja. Ce sont tous des bioflavonoïdes qui exercent neutralisent et contrôlent l'action de l'enzyme HSD.

La naringine un flavonoïde que l'on retrouve surtout dans le pamplemousse, la tangérétine présent dans les agrumes(orange amère, tangérine, etc.), et la sinensétine que l'on retrouve dans l'orthosiphon ou thé de Java.

 

Parmi les plantes, la Réglisse et plus précisément un de ses composés, l'acide glycyrrhétinique, exerce une action notable de réduction de l'activité du HSD. Mais l'usage de cette plante ne peut-être envisagé sur une longue période. En effet si elle réduit l'activité du HSD, l'acide glycyrrhétinique de la réglisse augmente la durée de vie de certaines hormones, telles que l'aldostérone, une hormone favorisant la rétention d'eau. Son usage prolongé provoque donc de l'hypertension chez certaines personnes.

Stratégies naturelles facilement applicables et très efficaces pour contrôler le cortisol de l'organisme. 

 

Attention ! La naringénine, naringine et d'autres flavonoïdes comme la paradisine et, surtout, la bergamottine, présents dans le jus de pamplemousse, modifient la réaction de l'organisme à l'égard de certains médicaments et provoquent une interaction significative à partir de deux verres de jus de pamplemousse pendant deux jours !

Seuls certains médicaments sont concernés tel celui qui vise à traiter l'angine de poitrine qui devient alors toxique et provoque l' hyper­- tension, troubles du rythme cardiaque, maux de tête… chez des buveurs réguliers de jus de pamplemousse.

Le pamplemousse augmente aussi l'activité des médicaments de la famille de la nifédipine (dilatateurs des coronaires et destinés au traitement de l'hypertension artérielle).

C'est aussi le cas pour l'amiodarone, qui traite certains troubles du rythme cardiaque. Certains médicaments anticholestérol (statines), lovastatine, atorvastatine, mais surtout simvastatine, sont concernés, mais pas la pravastatine. La ciclosporine, un médicament antirejet utilisé dans les greffes d'organes ou certaines maladies immunitaires, voit son effet également augmenté.

Même chose pour la cortisone. Enfin, indinavir et saquinavir, deux antiviraux utilisés contre le VIH, qui sont moins bien éliminés, sont donc plus toxiques s'ils sont absorbés avec du jus de pamplemousse.

Son action repose sur le blocage de certains membres d'une famille d'enzymes, les cytochromes P450, qui métabolisent des médicaments. Si ces cytochromes, localisés dans le foie ou l'intestin grêle, sont bloqués, l'élimination du médicament est réduite ou arrêtée et son activité est accrue, ce qui peut faire apparaître des réactions toxiques.

 

La réglisse contient de l'acide glycyrhizique qui inhibe l'enzyme dans le corps qui métabolise le cortisol. En rendant cette enzyme inactive, vous augmenterez graduellement votre taux de cortisol. La réglisse est une substance très efficace pour réguler le cortisol.

(A éviter si vous avez de la tension, par ailleurs,  la réglisse baisse aussi la testostérone donc n'en prenez pas trop. Il faut trouver le bon équilibre). voir :  réglisse un médicament naturel puissant mais peut être aussi dangereux

 

       La vitamine C

 Cette vitamine hydrosoluble atténue les effets nocifs des radicaux libres, (composés libérés par des entraînements très intensifs par exemple) ou le surmenage. Les radicaux libres sont très actives et attaquent des tissus comme les muscles: elles affaiblissent et amplifient leurs inflammations et leurs dégradations. Dans cette situation, le taux de cortisol augmente fortement. Cette hormone du stress peut être abaissée en apportant des antioxydants  (comme la vitamine C) à l'organisme.

 

       Les antioxydants 

  Les fruits rouges réputés antioxydants grâce à la présence de leur béta-carotène ont un pouvoir global moindre par rapport à l’artichaut cuit par exemple.

Parmi les plus riches en antioxydants figurent en tête de liste : les baies d’açaï, les noix de pécan, les noisettes, les pruneaux secs, le raisin rouge, la mûre, les myrtilles, la fraise, les pommes Granny Smith etRed delicious, la prune violette, la grenade, l’orange, le kiwi…

Côté légumes, citons les haricots rouges, l’artichaut cuit, l’épinard, le brocoli, le poivron rouge…

Notons que les épices comme le clou de girofle et la cannelle ainsi que certaines herbes comme l’origan et le persil ne sont pas en reste mais étant donné les quantités consommées, leur effet est dérisoire ! 

Un bémol toutefois : l’indice ORAC dépend de l’état dans lequel se trouve l’aliment   (exemple : frais ou sec), il diminue également lors de la cuisson sauf pour la tomate et la pomme de terre.

Consommez 2 à 3 fruits bien colorés par jour

Pour faire le plein d’antioxydants dès le réveil, commencez par exemple par boire un grand verre d’orange pressée (évitez absolument les jus industriels) le matin ou optez pour un duo orange-citron. Complétez par une coupelle de fruits rouges au déjeuner et quelques pruneaux au dîner.

Pensez également à consommer une petite poignée de noix, noix de cajou, noisettes ou amandes 2 à 3 fois par semaine.

Des légumes colorés à chaque repas (en entrée ou en plat) comme les choux, les épinards, de l’artichaut, de la betterave, des carottes

Mettez l’accent sur les poissons gras 2 à 3 fois par semaine comme les sardines, le maquereau, le saumon

Agrémentez vos plats d’un filet d’huile d'olive, de colza ou de noix, à raison de une à deux cuillères à soupe par jour

Agrémentez vos plats d’épices.

Du vin rouge pour accompagner votre repas mais… à consommer avec modération. (1à 2 verres par jour) ; du thé vert ou noir en dehors des repas

Et pour la pause plaisir, choisissez un carré de chocolat noir riche en cacao !

source : www.passeportsante.net


 

Les acides aminés sont composés de différents éléments: azote, carbone, hydrogène, oxygène et parfois soufre et phosphore. Ce sont les composants moléculaires des protéines; donc une protéine n'est rien d'autre qu'une association d'acides aminés. Ils ont une grande importance dans le corps, mais celui-ci n'en fabrique pas toujours autant qu'il le faudrait.

 

Il existe plus de 100 acides aminés, mais seulement 20 sont à l'origine des protéines, et qui sont impliqués de ce fait à la constitution de la masse musculaire, osseuse et tissulaire. 20% du corps humain, dont une grande partie de nos cellules, de nos muscles et de nos tissus, est composé de protéines, et par conséquent d'acides aminés.

Les acides aminés sont, entre autre, un carburant favorisant ma croissance musculaire et la récupération après l'effort. Ils ont donc un rôle dans la formation et le développement des muscles. Certains acides aminés peuvent être fabriqués par l'organisme et d'autres pas. Le corps est capable de transformer certains acides aminés en d’autres acides aminés, de recréer des protéines en associant différentes acides aminés pour recréer la chaîne complète, ou encore d’en former à partir de rien. Certains acides aminés ne sont fournis que par l’alimentation, ce sont ces derniers que l'on appelle acide aminés essentiels car ils doivent impérativement être apportés par l'alimentation. Les acides aminés sont des molécules qui, combinées entre-elles, forment les protéines et on les trouve surtout dans les protéines animale, mais la synergie alimentaire permet de reconstituer certaines chaînes d'acide aminés. Certains groupes d'aliments se complètent : les céréales sont carencées en lysine et riches en acides aminés soufrés (méthionine et cystéine), alors que les légumes secs sont riches en lysine et carencés en acides aminés soufrés. Ainsi, céréales et légumineuses sont complémentaires et gagnent à être consommées ensemble pour apporter des protéines.

 
C'est la raison pour laquelle l’association de céréales et de légumes secs est traditionnelle dans de nombreuses régions du monde : haricots rouge et riz en Amérique du sud, soja et riz en Asie, pois chiches et semoule dans le nord de l’Afrique. La proportion recommandée est 2/3 de céréales pour 1/3 de légumes sec.

 

La glutamine

De nombreuses études récentes ont dénigré son impact positif sur la concentration de cortisol, mais d'autres recherches confirment l'utilité de la glutamine pour prendre du muscle. Cet acide aminé épargne les BCAA. Or, en maintenant un taux élevé de BCAA, on évite une montée du taux de cortisol. En outre, la glutamine fait entrer de l'eau dans les cellules musculaires: des muscles hydratés restent en état d'anabolisme. 

Cet acide aminé permet le stockage de glycogène (réserve de sucre). C'est un important neurotransmetteur impliqué dans le bon fonctionnement du système nerveux.

Il améliore la réparation des tissus musculaires et favorise la cicatrisation d'un ulcère.

Participe à la croissance ou la restauration des cellules. (Les hormones dites de croissances sont secrétées en moins grande quantité la croissance passée, mais notre corps les utilise toujours pour le renouvellement cellulaire). 

La glutamine assure aussi le bon fonctionnement de l’immunité.

Préserve l’équilibre acido-basique des glucides et des lipides.

C'est aussi un bon antioxydant : permet de lutter contre le vieillissement de la peau.

NOS BESOINS : 500 à 5000 mg par jour.

Contre-indiqué en cas de cirrhose ou problème rénal.

Source :

Dans la viande (poulet) et le poisson (thon),

Dans les haricots, le persil cru, les épinards crus, les fèves,

Dans les produits laitiers (fromage blanc).

Carence :

Pas d'effet spécifique.

Déséquilibre des chaînes d’acides aminés.


L-arginine

 

Acide aminé semi-essentiel

Son rôle est de participer à la croissance musculaire et et à la réparation du tissu conjonctif (qui représente 2/3 de notre poids) et de la peau. Il est essentiel à la fabrication des os.

Il augmente le nombre de spermatozoïdes ainsi que leur mobilité dans le liquide séminale et favorise l’érection. Contribue à abaisser le taux de cholestérol sanguin. Vasodilatateur, il agit sur la circulation sanguine et contribue à abaisser la pression artérielle.

Aide à développer le thymus et stimule les fonctions immunitaires permettant de se protéger contre les virus et les parasites.

Lutte contre le vieillissement et permet à l'organisme de se débarrasser de certains poisons (ammoniaque).

Aide à enrayer les désordres hépatiques et à brûler les graisses.

Participe au transport, à l'entreposage et à l'excrétion de l'azote.

Besoins :  500 à 6000 mg par jour.

Contre-indiqué en cas d’herpès.

Source :

Dans les fruits à coques (arachides, noix, amandes, noisettes),

Dans les céréales (soja, blé, avoine, maïs, riz) et lle chocolat,

Dans la viande (veau, poulet), le poisson (barbue) et les oeufs,

Dans les produits laitiers.

Signes de carence : 

Stérilité masculine.

Difficulté à fabriquer l'insuline.

Chute des cheveux, vieillissement prématuré.

Auto-intoxication.

Accumulation de graisse.

Comme écrit dans cet article sur l'arginine, cet acide aminé augmente la production de monoxyde d'azote. Par ailleurs, il favorise aussi efficacement la libération de GH. On sait que quand la concentration d'hormone de croissance augmente (phénomène qui se produit pendant le sommeil), le taux de cortisol chute. Avec l'âge, l'élévation du GH pendant le sommeil est de moins en moins importante. Résultat, le taux de cortisol augmente: il est alors plus difficile de développer votre masse musculaire et de perdre de la graisse. Prenez donc votre arginine avant votre entraînement et avant de vous coucher comme nous vous l'avons conseillé dans notre dossier sur l'arginine.

 

Voir en complément :  ameliorer-et-preserver-sa-sante-grace-aux-acides-amines-essentiels

 

Réduisez ou éliminez toutes les boissons contenant de la caféine. 

Cela comprend toutes les boissons gazeuses, boissons énergétiques et le café. Boire caféine provoque un pic de cortisol. Vous pouvez ainsi réduire le cortisol dans votre corps, mais pas l'éliminer, si vous êtes un buveur régulier de caféine. 

 

Réduisez la quantité des aliments industriels dans votre alimentation. 

       Les aliments industriels, en particulier les hydrocarbures et les sucres, provoquent un pic de cortisol. 

       Trop d'aliments industriels augmentent votre glycémie et entraine un pic de cortisol.

  • Les glucides raffinés suivants doivent être proscrit de votre régime alimentaire :
    • Le pain blanc
    • Pâtes « normal » (pas de blé complet)
    • Le riz blanc
    • Bonbons, gâteaux, chocolats, etc.

 

            Assurez-vous de boire suffisamment d'eau. 

         Une étude a révélé que seulement un demi-litre d'eau en déshydratation peut augmenter les niveaux de

         cortisol. La déshydratation est nocive, car elle entraîne un cercle vicieux : le stress peut causer la

         déshydratation et la déshydratation peut causer du stress. Assurez-vous de boire beaucoup d'eau tout

         au long de la journée pour réduire les risques d'un taux de cortisol élevé.

         Si votre urine est plus foncée lorsque vous allez faire pipi, c'est probablement un signe que vous ne

         buvez pas assez d'eau. Un individu adéquatement hydraté a une urine d'apparence claire,

         presque comme de l'eau.

 

       Essayez le Rhodiola lorsque votre cortisol est élevé. 

        Rhodiola est une plante adaptogène utile pour abaisser le cortisol.

        Il augmente votre énergie, vous aide à brûler les graisses et réduit votre taux de cortisol.

        Lien vers un site www.herboristerie.com 

 

 

       Consommez plus d'huile de poisson dans votre alimentation. 

       Selon les médecins, seulement 2g d'huile de poisson par jour, baissent votre taux de cortisol. 

       Si vous ne voulez pas utiliser des compléments pharmaceutiques, vous pouvez manger les poissons

       suivants :

  •     Saumon
  •     Sardines
  •     Maquereau
  •     Loup de mer

 


             Buvez du thé noir chaud. 

              Les scientifiques ont découvert que boire du thé noir réduit le niveau de cortisol

              dans un groupe de personnes  effectuant des tâches stressantes. 

              La prochaine fois que vous vous sentez stressé, anxieux, prêt à exploser,

              prenez une tasse de thé anglais.

 

 

 

 

              Essayez la méditation. 

La méditation stimule le nerf vague, qui diminue la sécrétion du cortisol dans le sang. Les techniques de méditation sont diverses et variées, vous pouvez par exemple prendre des respirations profondes et laisser votre esprit vagabonder dans un endroit paisible. Pour de meilleurs résultats, essayez de méditer pendant 30 minutes par jour, trois à quatre fois par semaine. Après la première session, vous devriez sentir votre corps plus paisible .

  • Asseyez-vous dans un endroit calme, sombre. Laissez votre esprit s'échapper. Si vous avez besoin d'aide pour vous détendre, essayez de visualiser un endroit calme, paisible. Imaginez comment votre corps est quand il est détendu. Essayez de recréer cette sensation. Ceci aide à soulager les tensions musculaires dans le corps.
  • Gardez vos yeux fermés. Prenez de grandes inspirations et jusqu'à ce que vous remarquez que votre rythme cardiaque ralentit. Soyez attentifs aux battements et sons de votre cœur lorsque vous êtes détendu. Imaginez que toute la tension s'échappe hors de votre corps par vos doigts et vos orteils. Sentez le relâchement de la tension dans tout votre corps.

voir :  pourquoi-et-comment-apprendre-a-mediter

 

LES POINT ANTI STRESS et ANXIETE

Le Shiatsu, discipline énergétique japonaise, est une thérapie préventive qui revitalise l’organisme entier, élimine le stress et les tensions et peut contribuer à soulager de nombreux troubles. 
C’est aussi une relaxation profonde qui harmonise le corps et l’esprit et apporte une détente physique et psychique.

 

Shiatsu 1.jpgshiatsu 2.jpg

 

 

Appliquer une pression ferme sur la peau charnue entre l'index et le pouce (où se situe le point d'acupression / acuponcture appelé «hoku") est un moyen efficace pour se déstresser.

Une équipe de chercheurs de l'Université Polytechnique de Hong Kong viennent de le démontrer. Leur étude montre que 30 secondes d'acupression réduisent la tension du haut du corps de 39%.

 

4ème point du méridien du Gros Intestin (le 4GI)  Vous pouvez le masser ou le chauffer au MOXA.

 

3.jpg2HeGupt-300x225.jpgarticu.jpg

 

 

7 C.jpg

Appliquer une pression avec le pouce à l'endroit où votre poignet forme un pli avec votre main sur l'extérieur prolongement de l’auriculaire. Pressez le point pendant environ 2 minutes, appliquer également 3 pressions appuyées. Ce point est bon pour soulager la tension.

 

 

 

6 MC.jpg

Appliquer une pression suffisante pour interrompre le flux sanguin, mais sans excès, ne provoquez pas de douleur. Maintenez la pression et massez délicatement avec votre pouce dans un mouvement circulaire pendant environ 2 minutes. Sur les deux poignets et vous vous sentirez votre anxiété descendre immédiatement. Ce point est également bon contre la nausée et les douleurs articulaires. 

 

1-R.jpg

La fontaine jaillissante le 1 R

Ce est un excellent point à stimuler assidûment, entre autre, il aide à lutter contre l'anxiété et favorise la détente et une bonne nuit de sommeil. Appuyez fermement sur le centre de votre pied (voir photo). Maintenez ce point de pression et pétrir pendant au moins deux minutes et répétez de l'autre pied. Vous pouvez le stimuler efficacement en appuyant de tout votre poids sur une balle de tennis et en la faisant rouler sur la zone. 

 

oreille.jpg

Massez doucement vos oreilles entre votre pouce et votre index, c'est un excellent massage de détente et d'apaisement qui calme rapidement. Suivre tout le contour de l'oreille en pétrissant entre vos doigts le lobe également, avec un peu d'huile de massage, ce sera très agréable, puis tirez doucement sur les lobes.  2-3 minutes minimum. 

 

coins des yeux.jpg

Coins internes des yeux

Exercez une légère pression entre vos deux sourcils, dans le coin de l'oeil. En stimulant ce point on favorise le sommeil et la relaxation.

 

Autres points de détentes

On peut également réaliser des petites pressions ainsi que des rotations au point situé entre le gros orteil et le deuxième orteil.

 

Voir aussi :  coherence-cardiaque-et-apaisement-anti-stress-simple

                      technique-d-apaisement

 

 

 

 

RIEZ !

Regardez une comédie ou écoutez une histoire drôle. 

Rire joyeusement peut réellement freiner la production de cortisol dans votre corps. Donc sortez avec un ami drôle ou remémorez-vous d'un souvenir drôle afin que le cortisol baisse.

 

Durant le rire, cinq neurotransmetteurs sont impliqués.
 
La dopamine

La dopamine qui a un rôle dans le contrôle du mouvement et de la posture. Cela touche aussi l'humeur et a un rôle central dans la dépendance et contrôle le comportement émotionnel. En effet, une carence en dopamine peut se traduire par exemple par la maladie de Parkison, donc des tremblements, raideurs. Cela peut aller jusqu'aux signes de démence. 
 
 schéma montrant l'action de la dopamine sur les synapses.


La sérotonine 

La sérotonine est aussi impliquée dans le rire. Un manque de cette substance chimique peut aboutir à une dépression. Avant, cela provoque de l'anxiété. La sérotonine a aussi un rôle dans le sommeil et la détente. La sérotonine étant à l'origine d'un changement rapide d'humeur ( le rire provoquant la bonne humeur ), on la trouve dans les anti-dépresseurs. La sérotonine étant aussi sécrétée durant l'exercice physique, la pratique régulière d'un sport augmente la synthèse d'enzymes précurseurs de la sérotonine. Voir l'article comment augmenter votre taux de sérotonine 
 

Le gaba 

Ensuite, la gaba est aussi un neurotransmetteur impliqué lors du rire. C'est un inhibiteur (substance chimique qui ralentit ou stoppe une réaction chimique ou physiologique) répandu dans les neurones du cortex. Il contribue au contrôle moteur (ce qui permet de faire des mouvements déterminés ). Cette substance est utilisée pour calmer les crises d'épilepsie et pour calmer les tremblements des personnes atteintes de la maladie d'Hutington (la maladie de Huntington est une maladie génétique neurodégénérative héréditaire pour laquelle il n’existe à ce jour aucun traitement curatif.).
 
 
L'acétylcholine


Puis, il y a l'acétylcholine. C'est un neurotransmetteur excitateur très répandu qui déclenche la contraction musculaire et stimule l'excrétion de certaines hormones. Dans le système nerveux central, il est entre autre impliqué dans l'éveil, l'attention , la colère, l'agression, la sexualité et la soif. Ce neurotransmetteur déclenche la contraction musculaire.
 
 
 La noradrénaline
  
Elle rend plus alerte (cette activation du cerveau depuis le tronc cérébral s'appelle la "réaction d'alerte"), accroît l’activité du cœur en stimulant le battement cardiaque, la circulation sanguine et la respiration de telle façon que les muscles reçoivent plus d'oxygène, et vide la vessie et l'intestin.

 
 
 
Tous ces neurotransmetteurs déclenchés ont donc des effets sur le physique.
 
Pour retrouver la banane voir :  reservoir-a-joie

 

Choisissez des exercices physiques efficaces sur le stress. 

Faire de l'exercice est connu pour diminuer le stress. Mais est ce que tous les exercices sont bénéfiques pour diminuer le cortisol ? Pas exactement. Le problème est que la course et d'autres exercices de cardio, par exemple, augmentent votre rythme cardiaque et donc augmentent, en fin de compte, le cortisol.

Le yoga, les étirements ou le pilates,  sont des exercices qui brûlent des calories, travaillent les muscles et réduisent le stress, donc le taux de cortisol. Essayez d'autres exercices d'adaptation à l'aide de la console Wifi, par exemple, se contenter d'exercices d'entrainement intensif ou de cardio n'est pas sain, en augmentant le rythme cardiaque en continu, on favorise l'élévation du taux de cortisol.

 

Écoutez quelques airs de musique.

 Il a été démontré que la musicothérapie permet de réduire le taux de cortisol chez les patients subissant une coloscopie de dépistage. [9]Alors la prochaine fois que vous vous sentez stressés ou anxieux, mettez de la musique douce et laissez la agir sur votre.

Source :  réduire-votre-taux-de-cortisol

 

Prenez le mal à la racine. 

Pour éviter de se laissez pas humilié ou dévalorisé, il faut élever l'estime de soi, prendre de l'assurance.

En premier lieu, redressez vous ! Le langage du corps affecte la façon dont les autres nous voient, mais cela peut aussi changer la façon dont nous nous voyons nous-mêmes. La psychologue sociale Amy Cuddy montre comment "les poses de pouvoir" — se tenir dans des posture confiantes, même quand nous ne nous sentons pas confiants — peuvent changer les niveaux de testostérone et le cortisol dans le cerveau, et pourraient même avoir un impact sur nos chances de succès.

Fréquentez des personnes qui vous apprécient, vous encouragent et vous valorisent. 

Si votre estime de vous même n'est pas assez forte, vous prendrez facilement la moindre critique comme une atteinte à vos compétences,  le moindre échec sera vécu comme un anéantissement.  

Il existe des thérapies béhavioristes , comportementale, rapides et efficaces pour y remédier. C'est un excellent investissement. 

 

Nous ressentons particulièrement bien les émotions dans le ventre, selon nos états d'âme le ventre gonfle, devient douloureux, donne des sensation de papillons dans le ventre, ou se vide... Etc. Et oui, le ventre est le centre énergétique du corps le  Dan Tian. Voir  le-centre-energie-vitale-et-ancestrale-essentielle 

 

Autre source : poids_cortisol_exces_de_poids

 

 

VOIR AUSSI  evaluez-vos-taux-d-hormones-neurotransmetteurs-tests

Le Bain Dérivatif

 

Une méthode qui consiste à rafraîchir  les deux plis inguinaux et le périnée dans le but de faire vibrer, rendre motiles les intestins et l’ensemble du fascia.

On peut le faire avec un gant de toilette et de l’eau, ou bien, par gain de temps et commodité, il peut être remplacé par l’utilisation de poches spéciales Yokool. En effet, ce qui nous manque le plus est la fraîcheur au périnée. Cela fonctionne même sur les personnes qui ne peuvent absolument pas marcher.

Cette fraîcheur entraine la motilité du fascia et de l’intestin  provocant l’expulsion des selles, mais aussi le déplacement, le cheminement dans tout le corps des graisses issues de la digestion.

Les effets du Bain Dérivatif sont très nombreux. Il fait partir en premier lieu les mauvaises graisses, épaisses, qui se trouvent directement sous la peau. Mais il aide aussi les personnes trop maigres à nourrir correctement les muscles, à densifier les os. Il contribue sans conteste à la régénérescence de l’organisme.

Pour en savoir plus :  la-methode/bains-derivatifs

 

power.jpg

 

 POUR LES SPORTIFS

 Pour un pratiquant de musculation, il est important d'apprendre à connaître les mécanismes qui influent sur la concentration de cortisol pour optimiser la prise de muscle. Si vous présentez  des signes mentionnés plus haut, suivez nos conseils pour maîtriser le taux de cette hormone catabolisante.

             Comment optimiser votre nutrition après l'entraînement ?

  Comme nous l'avons mentionné, le cortisol augmente sous l'effet de la durée de l'entraînement:

c'est une réaction naturelle. Un des meilleurs moyens d'éviter une élévation excessive du taux de cortisol est d'observer une diététique post-entraînement très stricte. En apportant au corps  exactement ce dont  il a besoin, on donne un coup de fouet à la récupération et on atténue les montées brutales du cortisol.

 Après votre séance, prenez des protéines avec des glucides (galettes de riz, pain...) Vous pouvez aussi ajouter des BCAA quand vous vous sentez vraiment faible.

 Ce dernier complément alimentaire étant beaucoup plus efficace lorsqu'il est pris avant l'entraînement:

 ils contribuent à maintenir le taux de testostérone et peuvent être utilisés pour donner de l'énergie aux muscles.  La leucine, un de ces BCAA, fait également augmenter le taux d'insuline selon un mécanisme différent de celui des glucides et nous savons que l'insuline aide à supprimer le cortisol. Le lactosérum  (whey protéine) apporte des nutriments qui préviennent le catabolisme (dégradation musculaire).

Cette prévention de la fonte musculaire est directement liée à un abaissement du taux de cortisol.

 Enfin, les sucres présents dans ces nutriments élèvent  le taux d'insuline, ce qui atténue davantage la dégradation des protéines.  espace-musculation.com

 

 Voir aussi :  l'activite-physique-un-antidepresseur-naturel

                   points-d-acupression-utiles-aux-sportifs

 

 

 

VOUS POUVEZ IMPRIMER 

Bouton d'impression en bas à votre droite, AU DESSUS DE LA ZONE COMMENTAIRE

 

Comme vous l'avez constatez, le site  est très prolixe en articles,

ces articles demandent beaucoup de recherches , de recoupements et de synthèses.

Pour maintenir la qualité et la quantité, il faut bien choisir ses priorités, si le site

rapporte un peu d'argent, ce sera viable, sans quoi je vais devoir y consacrer

moins de temps.  Ce ne sont pas les pub qui rapportent vu que les gens ne

cliquent pas beaucoup non plus ! 

Vous pouvez soutenir le blog en faisant un don de 2,50€.

L'argent est versé sur un compte paypal qui me servira à commander des livres,

avec ces livres, je nourri ma soif de connaissance et je vous en fais profiter

en faisant des synthèses pour le site !

  

lit livre.jpg

 

 

ATTENTION ! Je m'en sert comme ARME D'INSTRUCTION MASSIVE

POUR LUTTER CONTRE L'IGNORANCE ... 

SOUTENEZ MON ACTION !

arme d'instruction massive.jpg

La médecine officielle a dénaturé la notion de santé et de maladie en s'appropriant le pouvoir de guérir. Elle désinforme, infantilise, déresponsabilise Les gens courent chez le médecin pour un oui pour un non... et font une confiance aveugle aux médecins et à l'administration sanitaire qui, pourtant, sont complètement influencer respectivement, par les lobbies et les industriels. Exemple pour le lait, ils ont réussit à faire entrer dans la caboche de tout le monde, que le lait est indispensable à la santé, hors, à la base, c'était pour des raisons purement économique, il fallait écouler la surproduction laitière ! Le lobbying existe depuis longtemps.  Si nos grands mères avaient leurs remèdes, la génération qui suit devient complètement ignorante de tout ce que la Nature a mis à notre disposition pour nous soigner le plus sainement possible, sans contre effets dus aux molécules chimiques de synthèse.  

Il existe des scientifiques et des médecins qui ne se laissent pas manipuler et  possédant suffisamment de conscience pour nous informer correctement au lieu de nous désinformer. Nous sommes les artisans de notre santé, cette santé dont on nous a dépossédé. 

 

 

DON de soutien
Prix : 2.75 €

 

 


Pour recevoir une version de l'article par mail

(Vous pouvez aussi imprimer gratuitement l'article, voir tout en bas). 

 

 

Pourquoi vous stockez
Prix : 6.50 €



24/01/2016
41 Poster un commentaire

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 2054 autres membres