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La peur modifie l’ADN

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Les effets physiologiques de la peur, qui est un stress, sont aussi néfastes au bien-être que la joie est saine pour pour la santé, à l'opposé. 

Une équipe de chercheurs australiens (travaux présentés dans la revue Nature Neuroscience, par le professeur Tim Bredy, de l’université du Queensland, et ses collègues) a découvert que la peur modifiait profondément la forme de la double hélice d’ADN du cortex préfrontal. Mais il se trouve que ce processus peut être inversé grâce à une enzyme.

La peur est un mécanisme de survie fondamentale, et  nous somme dotés également de la capacité à inhiber celle-ci lorsqu’elle n’est plus nécessaire. Dans le but de la contrebalancer, le cerveau s’engage dans un processus d’extinction, au cours duquel des souvenirs positifs s’étant formés au cours d’expériences impliquant des éléments environnementaux similaires entrent en concurrence avec ceux à l’origine du sentiment de peur éprouvé par le sujet.

 

Les travaux de l'étude en question ont montré que cette capacité d’extinction de la peur reposait sur la flexibilité de notre ADN

 

« L’ADN peut adopter une variété de structures différentes », a déclaré Paul Marshall, auteur principal de l’étude. « La forme la plus courante et la plus reconnue est la double hélice de l’ADN-B, tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. Mais, avec un léger réarrangement de la façon dont les paires de bases de l’ADN se connectent entre elles, l’ADN peut former d’autres structures hélicoïdales, comme l’ADN-Z, qui est typiquement une version déformée de l’ADN-B, avec un sens de torsion inversé. »

Si des travaux antérieurs avaient montré que l’ADN-Z se manifestait uniquement dans certaines régions bien définies et n’affectaient que certaines séquences d’ADN, les chercheurs ignoraient jusqu’à présent sa fonction. « Nous savons désormais qu’il apparaît partout où les gènes sont activés », souligne Marshall. « Il s’agit typiquement d’un marqueur de leur activité. »

 

Différentes recherches avaient établi un lien entre l’ADN-Z et certaines maladies, tel le cancer, et des niveaux élevés de l'ADN-Z avaient été découverts dans le cerveau de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Un lien potentiel avec la mémoire n’ayant pas manqué d’intriguer Bredy et Marshall, étant donné que la formation des « souvenirs d’extinction de la peur » impliquait également des changements rapides dans l’activité des gènes.

 

L'équipe s'est intéressée à une enzyme appelée ADAR1. Capable d’identifier et de se fixer à l’ADN-Z, celle-ci est connue pour jouer un rôle dans l’édition de l’ARN, contribuant à modifier les fonctions des protéines dans la cellule, tandis que de précédentes expériences avaient suggéré qu’elle pouvait également reconvertir l’ADN-Z en ADN-B.

« ADAR1 fait beaucoup de choses à la fois, mais c’est précisément ce qui la rend intéressante », avance Marshall.

 

En désactivant le gène ADAR1 chez la souris dans le cortex préfrontal (partie du cerveau connue pour jouer un rôle majeur dans l’extinction de la peur)  ils ont maintenu la peur chez les rongeurs, par le maintien de la capacité à former des souvenirs de peur, mais l’impossibilité de générer des souvenirs venant les contrebalancer.

Ces résultats démontrent que l’ADN-Z formé lorsque le sujet éprouve de la peur, puis au moment de la phase « d’extinction », l'ADAR1 se lie à l’ADN-Z et effectue deux tâches importantes : augmenter rapidement l’édition de l’ARN puis ramener l’ADN-Z à son état initial d’ADN-B.

« Il semble que plus nous sommes en mesure de passer facilement d’une structure d’ADN à l’autre, plus notre mémoire est plastique.

Qui dit flexibilité de la structure de l’ADN, dit flexibilité de la mémoire », explique Marshall. « Ce qui permet une réponse agile et adaptée à notre environnement. Les souvenirs de peur peuvent être très utiles pour la survie, mais ont également tendance à entraver un fonctionnement normal. »

 

Selon Bredy, l’équilibre entre la peur et l’extinction de celle-ci s’avère essentiel à la flexibilité cognitive. « L’altération de la capacité à l’éteindre constituant une caractéristique essentielle du syndrome de stress post-traumatique et des phobies, plus nous comprenons ce mécanisme, plus nous avons de chances de trouver de meilleurs traitements le ciblant pour soigner ces affections », conclut le chercheur.

 

Source  dailygeekshow.com/adn-peur-cerveau/

 

La peur du changement et de l'inconnu, est propre à tous les humains, dans des degrés variés, c'est une cause principale de résistance au bonheur d'autant que l'on provoque ce que l'on redoute... D'autre part, nous sommes manipulés à cause de nos peurs. Celui qui n'a pas peur peut difficilement se laisser manipuler. C'est en ciblant nos peurs que le marketing nous fait acheter... Que le système nous rend dociles....

Le système, que ce soit l'état ou les laboratoires se servent de vos peurs et les nourrissent pour transformez les gens en bonnes santé en personne malades. 

La peur de vieillir, la peur des problèmes sexuels, la peur de MANQUER, la peur du terrorisme, l'insécurité (pousse à la consommation), la peur des fractures et de l'ostéoporose, la peur du cholestérol, de la tension artérielle, de l’infarctus, la peur de l'échec... (voir :  Pensez-y-quand-vous-consultez) Finalement, la peur, de demain, de l'avenir nous conduit à rendre justement, cet avenir impossible, ne dit-on pas que l'on provoque ce que l'on redoute ! Alors il faut regarder nos peurs en face, pour s'en affranchir. 

Pour s'affranchir de la peur, il faut l'apprivoiser et pour apprivoiser nos peurs, il faut les connaître. Une fois que l'on connaît nos peurs, on sait dans quelle circonstance elle se manifeste et on est en mesure d'utiliser des outils pour l'apaiser  :  Outils contre la peur

Pensez à tous ces mécanismes respiratoire automatique, comme par hasard, lorsque l'on a peur, grande inspiration et blocage, ce H aspiré de surprise suivit d'un arrêt ! Mimez la peur pour le réaliser pleinement. 

Inspiration brutale et blocage, donc accélération cardiaque ! 

A l'opposé, vous êtes soulagé, vous soufflez longuement... Le OUF !! Libérateur. Fin de l'alerte. Expiration prolongée = ralentissement du rythme cardiaque pour se détendre ! 

 

 

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Les émotions sont directement ressenties dans le corps, comme quand nos muscles se contractent lorsque nous sommes anxieux ou que nos mains tremblent avant un entretien capital. A partir de ce constat, des chercheurs finlandais de l'université d'Aalto ont recensé les réactions en fonction de différentes émotions. Les scientifiques finlandais ont cartographié les zones de notre corps qui sont le siège d'une augmentation ou une diminution de l'activité sensorielle lorsque nous éprouvons telle ou telle émotion.  

Pour en savoir plus : les-emotions-cartographiees-dans-le-corps 

 

La peur de l'insécurité, du manque, de l'indigence

Le fond même de leurs esprits étaient purement commerciale, ils rapportaient tout à l’argent. L’argent était leur rocher, leur forteresse, leur espoir dans l’avenir, leur appuie dans le présent. Il les transportait au-dessus des autres humains, il les gardait du mal. Les seules qualités intellectuelles qui méritaient leur estime étaient celles qui permettaient de faire de l’argent en quantité substantielle. C’était leur seul critère de réussite, c’était la puissance et la gloire. Dire d’un homme qu’il était pauvre équivalait à déclarer qu’il était un vaurien, un incapable, un fainéant, un débile et un être immoral. S’il s’agissait d’un homme qui, malgré ses tares leur était sympathique, ils admettaient qu’il n’avait pas eu de chance. Ils avaient pris soin de s’assurer contre ce péril mortel de mille façons. Afin qu’il ne les menace jamais au moyen de cataclysme incontrôlable, tel que la guerre ou la révolution, ils avaient des placements énormes dans une douzaine de pays différents. Ils possédaient des ranchs et des estancias et des fermes sud-africaines, un hôtel en Suisses, une plantation en Malaisie et aussi beaucoup de diamants qui n’étincelaient pas, certes, autour du cou d’une femme, mais gisaient dans des banques, en pierre détachées, et aisément transportable.
 Description du Bourgeois par Nancy Mitford dans "A la poursuite de l’amour"

 

« Un financier, ça n’a jamais de remords. Même pas de regrets. Tout simplement la pétoche. » Michel Audiard.

 

La cupidité de l'être humain provient de la peur de la pauvreté ou de l’indigence, laquelle se transforme en avidité. Où il y a le manque , la peur surgit, laquelle peur est le point d'ancrage de toutes les émotions négatives.

La "peur" est le moteur de notre société, de ceux qui sont assoiffé de contrôle et affamés de pouvoir... et également de ceux qui leurs confient des responsabilités. Nous sommes manipulés à cause de nos peurs. C'est en ciblant nos peurs que le marketing nous fait acheter... Que le système nous rend dociles.... Celui qui n'a pas peur peut difficilement se laisser manipuler.

 

Peur d'être soi-même

 

La première peur que l'on inocule à l’enfant.. c'est la peur d'être soi, lorsque l’on ne les accepte pas comme ils sont, lorsqu’on ne les valorise pas ! Et d’autant plus si on ne nous a pas laissés être soi et aimé comme tel ! ... Nous ne sommes pas forcément des bons modèles alors autant les encourager à en prendre d’autres.

Cela continue à l'école, où l'enfant joue au début à répondre selon ce qu'il croit être attendu de lui ! ...

Peu à peu, il oublie .. qu'il joue, et finalement se met à tenir le discours du maître... Il en retire un faux sentiment de reconnaissance et .. de sécurité !

S'autoriser à être devient difficile .. et surtout à percevoir, à structurer le monde selon ses modèles personnels .. et les mettre au risque du réel ! 

Karl Popper, mathématicien et philosophe : Quand est ce que le réel se signifie à nous ? Quand ça ne marche pas ! Nous sommes donc condamnés à avoir une connaissance du réel en négatif.. et par la même, toute connaissance, même scientifique, doit être vécue comme un possible que rien n'a réfuté jusqu'à présent .. cela n'en fait pas une vérité absolue ! 

Dès lors, le champ des possibles s'agrandit considérablement !  Et l'enfant ne doit pas apprendre (bêtement) mais doit apprendre à apprendre .. savoir ce qu'il sait déjà intuitivement, c'est que seule l'expérience (la sienne) peut lui permettre de se rapprocher du réel ! 

La peur n'est pas une création de l'homme, elle est partout dans la nature ! C'est un réflexe de survie!  Sachons donc nous abandonner à la peur .. simplement en l'apprivoisant  ! 

L'angoisse (la peur), soeur du doute et mère de la créativité .. nous disait Laborit .

Alors soyons ce que nous nous aspirons à être, c'est à dire ce que nous ne sommes pas encore ! « Devenir ou ne pas devenir... De peur d'êtrte? »  Deborah Ruffato  

 

"La nature a peur du vide, le bien a peur du mal, le moi a peur de l'autre." Benoît Lacroix

 

"La peur a détruit plus de choses en ce monde que la joie n'en a créées." Paul Morand 

 

Ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. Sénèque

 

« Les rêves qu'on entretient deviennent des prières... et les prières auxquelles on ajoute foi deviennent réalité ! » Robert Blondin

 

« Aimer c'est se libérer de la peur. »  Gérald Jampolsky

 

« L'érotisme fait peur parce qu'il excelle dans l'excès, s'épanouit dans la surabondance et l'illimité. Il élève l'instinct au rang d'un art d'aimer, et donc de vivre. » Sophie Chauveau

 

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Lorsque nous sommes sous le coup de la peur, une peur face à un événement palpable, réel, notre corps peut répondre de trois façons : 
- La paralysie
- Le fuite
- L'action. 

 

Personne n'a jamais peur, celui qui pense ou dit "même pas peur" dénie la peur ou bien est inconscient.  

 

Il n'y aurait pas de courage sans la peur. 

 

Pour les peurs plus subtiles, des peurs de situation, des peurs psychologiques, c'est bien plus compliqué.

 

L'humain peut être victime de tant de peurs !  Peur peur de se tromper,  peur de l'insécurité, peur de vieillir, peur de l'échec, peur de la mort, peur de souffrir, peur du rejet, peur de l'abandon, peur de l'échec, peur de l'engagement, peur de l'intimité, peur du vide, peur du manque, peur de la solitude la peur de "l'autre" et même peur d'aimer... 

Les peurs font parties des émotions sournoises dans ce sens que, le plus souvent, nous les avons enfouies tellement loin en nous, que nous ne les ressentons plus. Voilà le danger de la peur. 

Lorsque nous ne la ressentons pas, comme les autres émotions d’ailleurs, ce sont elles qui mènent notre vie et ce, bien à notre insu.  Naturellement, lorsque nous vivons une peur pour notre condition physique, rencontrer un ours ou encore lorsqu’un véhicule nous frôle, pour la plupart d’entre nous, l’intensité de la peur va être tellement grande que nous allons nous mettre à trembler et/ou le coeur va nous débattre.  Toutefois, lorsqu’on parle d’autres types de peur tels que la peur d’être abandonné, la peur de ne pas être aimé, la peur de perdre, la peur de l’échec, la peur de ne pas être à la hauteur, la peur d’être jugé, la peur d’être ridiculisé, la peur du conflit, la peur de la violence, la peur de manquer d’argent, la peur de la maladie, la peur de la mort, etc., le plus souvent, nous nous en défendons par le refoulement, la rationalisation, la banalisation, l’évitement, la fuite ou autres.  Ce qui nous empêche de les dépasser et de combler nos besoins fondamentaux.  Une des peurs qui se situent à la base des autres est souvent la peur de l’émotion elle-même et la peur de souffrir.  Comme nous n’avons pas été habitué à vivre et à exprimer nos peurs, celles-ci sont devenues des inconnues et elles nous insécurisent.  

 

La peur du changement et de l'inconnu, est propre à tous les humains, dans des degrés variés, c'est une cause principale de résistance au bonheur.


Qui, spontanément réfléchit au bien fondé et au pourquoi de ses actes quand tout va bien ? Spontanément ? Pas grand monde. Quand la vie est un long fleuve tranquille où tout coule de source (ou presque !), les interrogations existentielles ne semblent pas être le propre de l'homme. Et même quand ça va moins bien, il est démontré qu'on possède des capacités énormes à vivre avec nos conflits, nos incohérences et même une bonne dose de mal-être, à s’adapter aux circonstances même fâcheuses. Parmi les moyens les plus répandus qui contribuent à nous faire accepter ces contraintes, deux semblent exceller : 
-le premier constitue en une rationalisation après coup de nos actions même les plus involontaires, automatiques, néfastes ou incohérentes auxquelles on va trouver une excellente raison logique tendant à prouver que c'était la seule solution possible. Une telle attitude venant d'une autre personne nous semblerait le comble de la mauvaise foi, de nous, cela paraît logique ! Notre ego en est garant ;


-le second est de projeter sur l'extérieur la cause de nos problèmes : l'autre quel qu'il soit, conjoint, enfant, parent, supérieur, etc. nous avons souvent des cibles privilégiées ou encore de manière plus large sur le compte de la malchance, la fatalité, le destin.
Autre croyance profondément enracinée : celle du caractère. On  se détermine malchanceux, timide, nerveux,  etc. de la même manière qu'on a le nez aquilin ou les yeux marrons, une fois pour toutes .C'est comme une caractéristique figée, rigide de notre être qui nous détermine à vie dans une certaine catégorie d'individus.

 

Et ce n'est le plus souvent que quand la souffrance ou le handicap deviennent trop difficiles à supporter et qu'on a l'impression que le temps nous vole une vie dont on a été incapable de profiter, qu'on commence à ressentir le besoin de faire cesser cet état de choses. Encore que dans un premier temps c'est vers l'extérieur qu'on se tourne, attendant la recette ou l'intervention magique, une rencontre miraculeuse, la solution toute faite (et si possible rapide) à nos problèmes.

Et si on a la chance d’être confronté à une personne qui nous met face à la réalité, à la vérité et que l’on est capable de se remettre en question, alors on en viendra à considérer que c'est sur soi-même qu'on devra réfléchir et agir pour essayer de changer les choses. Après il faut se mettre au travail ; 
C'est ce que je vous propose.

 

 

 


VOIR AUSSI Comment la peur s’inscrit-elle dans notre mémoire ?

                   

                     Une étude éclaire les traces laissées dans notre mémoire par la peur

 Responsabilité personnelle ou destin.

Pour entrer dans une telle démarche, il faut éprouver une souffrance ou un handicap suffisamment fort, avoir pris conscience que l’on traverse une crise et que c’est une occasion unique de changer en profondeur et de se réunifier, ainsi il est possible de dépasser notre inertie habituelle en ayant l'intuition que nous ne sommes pas pour rien dans cette souffrance, que çà vient en grande partie de nous et non entièrement de l'extérieur. En grande partie ne veut pas forcément dire entièrement : votre père s’est sans doute mal comporté, et il n'est pas question de le blanchir, néanmoins il avait ses raisons et surtout son histoire, et surtout quand en analyse on découvre les raisons de notre réaction à son égard, on n'ose plus vraiment impliquer la malchance ! Ce n'est pas forcément lui qui est la cause de votre malheur, mais l’intérêt que vous avez trouvé à le disqualifier sans savoir à quel point cela pouvait vous nuire long terme. Un aveuglement total de notre part, de l’ego, nous masquait certains aspects de l’histoire de la situation afin de nous permettre de mieux tomber dans le piège dont justement on se plaint aujourd'hui.  Votre cher ego n’en fait qu’à sa guise et vous laisse le soin de régler les factures ! Ce début de sentiment de responsabilité dans la situation que l'on vit est la condition sine qua non sans laquelle rien n'est possible.

Par exemple, suite à une série d'échecs sentimentaux, 2 solutions se présentent : la première est de dire qu'on n'a décidément pas de chance et que le destin semble s'acharner à nous faire rencontrer exclusivement des personnes qui ne nous correspondent pas. On a alors toutes chances de finir dans une solitude aigrie ou se résigner à se contenter d'une vie insatisfaisante en renonçant à un bonheur qui ne semble pas être pour nous. La deuxième est de réfléchir au fait que c'est bien nous et personne d'autre qui avons été attiré par ces partenaires (et avons rejeté d’autres possibles).On verra également que toutes ces personnes sous des apparences parfois très différentes ont beaucoup de points communs et que les choix de conquête servent le dessein  d’une répétition comme si les leçons des échecs précédents n'avaient pas servi. Peut-être même détectera-t-on certains comportements répétitifs de notre part qui entraînent inéluctablement les mêmes conséquences.
Alors de victime, on deviendra acteur et responsable de la situation dans laquelle on se trouve, de passif, on pourra redevenir actif, chercher à comprendre le pourquoi de ces comportements et envisager d'abandonner ces attitudes nocives pour en choisir de plus appropriées. Ce ne sera alors plus exclusivement la faute de l'autre ou du manque de chance mais de comportements erronés de notre part, entraînant des conséquences forcément insatisfaisantes mais toutefois logiques et prévisibles. 

Se sentir RESPONSABLE de sa situation, c'est reprendre la maîtrise de sa vie, c'est surtout reprendre espoir dans l'avenir puisqu'on sait maintenant qu'il ne dépend que de nous (ou du moins en très grande partie) et qu'il suffit le plus souvent de changer d'attitude pour changer de destin. En effet si on l'a créé, il devient possible de le modifier.

 


Peur de la maladie

 


Jusque là on n'a parlé que de situations d'échec ou de malaise existentiel.
Qu'en est-il lorsque le malaise n'est pas ressenti à l'état pur mais se masque derrière un symptôme ou une série de symptômes ?

Fatigue, douleurs dorsales ou autres, problèmes dermatologiques, troubles fonctionnels tels que colites, troubles sexuels, migraines, etc.ne sont le plus souvent que l’expression d'un état de stress, d’anxiété, entretenu par notre manière de réagir, par exemple en les subissant passivement au lieu de les changer ou en se mettant « comme par hasard » dans des situations conflictuelles ou des relations toxiques. Alors le conflit engendré qui a des sources anciennes et dont on n'est pas forcément conscient ou dont on n'ose parler se manifeste au travers du symptôme, celui ci étant une manière d'évacuer  sans faire le lien avec leur cause, donc sans éprouver la nécessité de changer quoi que ce soit encore une fois.

Il est plus dur de nier l'origine personnelle du ou des troubles quand leur origine psychique est plus manifeste comme par exemple dans des crises d'angoisses, une anxiété généralisée, un TOC, une dépression avérée, etc.. encore qu'avant d'en identifier la source réelle il faudra parcourir un long chemin.

La forme la plus insidieuse reste la vraie somatisation, celle qui dépasse le trouble fonctionnel pour passer dans le domaine de la lésion organique. Le type de personnes ayant recours à ce mode d'évacuation extrême de leurs problématiques psychiques semble en effet souffrir d'une « défaillance » dans l'élaboration psychique de leurs conflits et de leurs émotions qui rend extrêmement difficile toute remise en question (mais pas impossible). Le corps par la maladie se charge alors de parler de ce qui ne peut ou ne sait se dire autrement.

Prendre en compte le facteur psychique de la maladie (MAL a DIT), en rechercher la cause dans une insatisfaction chronique, une angoisse, un blocage une rigidité,  un stress subi juste avant son apparition et en suivre l'évolution par rapport aux évènements de vie peut apporter bien des réponses et ouvrir une autre voie de traitement possible même si elle n'est que complémentaire.

 De la difficulté de changer.

Tenons pour acquis que la responsabilité personnelle de nos problèmes a été admise et que des deux solutions qui se présentent : supporter l'inconfort ou décider d'y mettre un terme, c'est la seconde qui a été choisie.
Je vous ferai suivre « les défenses du Moi » , « les facéties de l'inconscient » pour comprendre à quel point il est difficile d'être objectif avec soi-même et cesser de voir la réalité au travers d'un prisme déformant. La première action serait donc de choisir ou de se faire conseiller quelqu'un pour nous aider dans cette démarche de compréhension des causes réelles de nos difficultés. Et admettre qu'il faudra un certain temps car on ne peut défaire en un jour ce qui depuis des années constitue en quelque sorte pour nous une fausse nature. (ou un faux Moi, faux self en terme psy).
Admettons encore une fois que ceci est compris et admis, la personne volontaire et motivée, suffisamment adaptable, mentalement ouverte à d'autres possibles et décidée à agir pour faire bouger les choses (le sujet idéal en quelque sorte). 

Et bien même une telle personne ne fera pas l'économie de la difficulté à changer les choses, même s'il est largement démontré que c'est de loin notre intérêt de le faire. On peut même dire que le succès et la durée d'une thérapie sont directement liés à notre capacité à négocier avec ce refus du changement. La difficulté narcissique à se montrer tel que l’on est devant un thérapeute et parler parfaitement sincèrement est un obstacle. 

Le refus du changement c'est tout d'abord la peur de l'inconnu. Un « tiens » vaut mieux que deux « tu l'auras » nous dit La Fontaine. Ce précepte de sagesse populaire semble être fortement ancré dans les esprits. Mais peut -on vraiment parler encore de sagesse quand tenir à une souffrance semble valoir mieux que d'espérer un double bonheur ? Car ce besoin de sécurité extrême en arrive à nous faire effectivement tenir à nos souffrances parce qu'elles sont connues donc quelque part sécurisantes. Choquant n'est-ce pas ? Et pourtant. Tous les psychothérapeutes quelque soit leur orientation qui assistent au quotidien au spectacle de patients qui semblent s'accrocher à leurs symptômes comme à une bouée de sauvetage plutôt que d'opérer une petite remise en question (et surtout les actions qui en découlent) en sont témoin.

Parce qu'entreprendre une démarche de changement c'est affronter l'inconnu à nouveau, prendre le risque de perdre ses repères et sa sécurité artificielle, de contrarier son entourage, de modifier ses conditions de vie et bien sur prendre un risque d'échouer dans cette démarche. Autant de chose qui font reculer avant même de faire un point objectif sur les avantages et les inconvénients de cette tentative qui nous dirait qu'au pire l'échec nous renverra dans notre situation initiale, au mieux, on risque d'être plus heureux.
Ces peurs à elles seules suffisent pour que le patient se mette en situation d'échec par rapport à sa thérapie qui va alors s'éterniser, à moins qu'il ne décide sous un prétexte quelconque d'y mettre brutalement un terme.

Une peur d'un autre âge.

L'être humain peut se condamner à vie à cause d’une peur injustifiée de changer, une insécurité fondamentale qui lui interdirait de sortir des sentiers battus comme un programme génétique inhérent à la race et qui la marquerait d'une tache indélébile qui constituerait à faire elle -même son propre malheur ? Ou  faut-il aller chercher les raisons d'une telle aberration ?
Quelle est cette force d'inertie qui va à l'encontre de notre propre bonheur contre toute logique ?
Et bien c'est une certaine forme de fidélité à une autorité intérieure qui nous ordonne de ne pas désobéir à certaines opinions, comportements ordres et interdits qui même totalement dépassés et inadaptés règnent en maîtres absolus sur nos décisions, opinions et actions. Ces « programmes » sont ceux que nous avons intériorisés à partir des messages directs ou indirects que nous ont transmis nos parents et auxquels notre inconscient continue de se soumettre automatiquement et contre toute logique alors même que notre conscient hurle leur inutilité et leurs côtés néfastes. Notre ego n’y est pas étranger bien au contraire.

Parce que pour un tout petit enfant dépendant pour sa survie de ses parents, ceux ci prennent valeur de Toute Puissance qui peut autant préserver la vie que la détruire.
Et que perdre l'approbation dont l'appui de personnages aussi puissants n'est ni plus ni moins que prendre le risque de mourir. Donc cet appui doit être préservé à tout prix, même si pour çà on doit faire le sacrifice de notre individualité juste pour leur plaire et ainsi conserver leur amour et par conséquent leur protection.
Et alors même que l'on est devenu adulte, qu'on les a quittés, que peut-être même on s'est fâché, voire même qu'ils sont morts, on continue à se conformer à leurs désirs pour ne pas perdre leur appui ( imaginaire bien sûr), appui qui un jour nous a été vital. Et on continue à se sentir terrorisé à la simple idée de le perdre comme si on était encore un tout petit enfant démuni qui n'a d'autre ressource qu'eux pour survivre. Tout ceci reste vous l'aurez compris totalement inconscient autant qu'irréel puisqu'il y a en réalité bien longtemps qu'on se passe d'eux.
Mais vu à travers ce miroir déformant, désobéir, risquer de déplaire, de transgresser leurs ordres prend valeur de risque mortel et on renonce à vivre pour obéir à des ordres qui depuis longtemps ne nous concernent plus.


Il semble être grand temps de séparer présent et passé, adulte et enfant, parents imaginaires tout puissants et parents réels et surtout parents et figures parentales réactualisées et projetées sur notre entourage, pour revenir à quelque chose de beaucoup plus simple qui serait le vrai contact avec la réalité et ses problèmes qui bien souvent n'ont besoin pour se résoudre qu'un minimum de bon sens.

 

Mini méditation pour chasser la peur 

 

Articles intéressants : Pensee-positive-et-emotions 

 

les-larmes-peuvent-nous-aider-a-guerir

 

 

http://elodietasia.com/peurs-majeures-vie-reves-1/ 

 

 

Voir aussi  Peur ou illusion (article de "Science de la conscience")

                 

 

Le sentiment d'insécurité façonne vos formes, oui, les lieux ou vous stockez vos réserves ont un sens....  dis-moi-ou-tu-stockes-symbolique-du-corps-et-ses-rondeurs

Peur de l'autre, peur d'aimer, peur de l'engagement 

 

Voici quelques éléments qui s’opposent à l’engagement affectif.

-              La croyance qu’on peut vivre dans un monde sans limites, où tout semble possible, sans avoir à affronter les réalités de l’existence dans un engagement.

-              Le déni du sens du temps,

-              le déni de la différence sexuelle

-              Le repli sur le virtuel qui risque de nous mettre en marge du réel au bénéfice de l’imaginaire, de vivre son existence à travers des écrans qui enferment dans le narcissisme, dans la suffisance de soi et de son ressenti.

La peur de l’engagement est non seulement évocatrice de la crainte de quitter un monde pour un univers inconnu dont on ne maîtrise pas les contours, mais c’est aussi l’anxiété de ne pas  avoir le contrôle de sa nouvelle vie. Dans le domaine de la vie affective de ce couple formé d’un homme et d’une femme, il est important de passer de la volonté de tout maîtriser à la capacité de coopérer avec l’autre.

Derrière la peur de l’engagement se révèle la peur de soi, celle de ne pas savoir comment je serai avec l’autre, et paradoxalement, la peur du désir et de son approche sexuelle. L’angoisse de l’adolescent, c’est justement de ne pas savoir et de ne pas vouloir savoir. Il y a chez lui une sorte de résistance à ses émotions et à ses affects, se réfugiant dans un imaginaire qui le situe en marge de lui-même et des autres, et qui est source de souffrance. La masturbation le maintient dans la sexualité infantile des pulsions partielles celle qui entretient l’immaturité et l’irresponsabilité des sentiments et des pulsions partielles. Le propre de la sexualité infantile est d’être imaginaire, narcissique et inféconde.

La  peur de l’engagement se traduit par l’impression d’être limité et d’être contraint malgré soi. L’engagement devient l’équivalent d’un enfermement, une limitation dans une marge de manœuvre et de liberté limitée. Il peut être vécu comme une négation de soi génératrice d’angoisse. C’est simplement une marque d’immaturité, la difficulté de sortir de l’adolescence, pour s’inscrire dans la durée, c’est une carence du self, c'est-à-dire de la capacité d’assurer sa continuité et sa cohérence intérieure, elle reflète simplement une crise existentielle et une régression qu’il faut traiter pour pouvoir quitter l’adolescence, s’engager c’est assumer un choix de vie.

Après tout, tant que nous ne sommes pas engagés, nous avons l’impression que tous les champs du possible sont ouverts et qu’il suffit d’attendre pour que se manifestent tous les choix. Cette vision naïve laisse entendre que nous  sommes dans un monde idéal où les situations les plus bénéfiques apparaissent d’elles-mêmes, alors qu’un choix procède toujours d’une décision que nous prenons dans la réalité, au regard de besoins, de nécessités et d’intérêts.

Dans la crainte d’être aimé, se manifeste également la peur d’aimer et de se donner plutôt que de l’élaborer dans sa vie affective et de la finaliser dans une réelle relation amoureuse. Tout ce processus accélère les peurs et notamment celle d’être abandonné, quand l’adolescent hésite à se séparer et à se différencier inconsciemment de ses premiers objets d’amour que sont ses parents et sa fratrie. Pour être certain de ne pas être abandonné, en ne se séparant pas inconsciemment de ses premiers objets d’amour, il préfère renoncer à tout contrat affectif public, scellé dans une alliance officielle, et se maintenir dans des indéterminations affectives et sexuelles. L’idée même d’un engagement irrévocable angoisse tellement qu’on préfère les faux engagements qui prolongent l’immaturité affective dans l’absence d’un quelconque projet de vie.  On se prend puis on se jette au gré de ses caprices.

Ce qui est paradoxal c’est que souvent, celui  qui a besoin  besoin de sécurité entretient  l’insécurité en fuyant l’engagement.

C’est bien l’insécurité des prémisses d’une relation qui peut stimuler l’insécure. L’engagement suscite l’angoisse de l’ambivalent. Ecartelé quant  au choix de vie, la crainte de se tromper. Choisir, c’est, en effet, se limiter à un seul. Et tout choix entraîne un renoncement à d’autres possibilités.  La vie nous oblige à des renoncements.  Il y a  des détachements à opérer, des unités intérieures à réaliser, afin de favoriser notre maturité affective. Mais si nous n’avons pas le sens des limites, si nous restons immatures il devient difficile d’entrer dans le nécessaire renoncement aux désirs irréalistes. Quand il s’impose, il est alors vécu comme une privation inacceptable, parce qu’il évoque curieusement un sentiment de mort à soi-même. Mais ce n’est pas l’enjeu ! Il n’y a pas de vie possible sans renoncer aux attitudes et aux gratifications qui empêchent d’accéder à des réalités affectives supérieures en bénéfices. Si l’on ne renonce à rien, l’angoisse de mort l’emporte sur le désir de vie.

Tous aspirent à une vraie relation amoureuse, mais elle reste difficile à réaliser, seule la relation amoureuse permet de s’unifier. Lorsqu’on parvient à être sur le registre de l’amour, entre un homme et une femme, la personne s’unifie, se libère et s’ouvre à un autre qu’elle-même. L’amour découvert et intégré subjectivement est une affaire d’alliance consentie, fondée sur le désir d’exister avec l’autre.

Il n’est pas évident d’avoir accès dès le départ au sens de l’amour, car l’amour s’apprend. L’amour, c’est le désir de durer avec l’autre, quelles que soient les joies et les épreuves de l’existence.

Découvrir le sens de l’amour, c’est devenir capable de s’engager, puisque l’amour n’a de sens que dans la durée. L’amour est une relation exclusive qui donne vie à l’autre et appelle à la vie. Grâce à l’amour, notre vie émotionnelle, affective  et sexuelle, s’unifie et prend sa signification. Cela veut dire que nous pouvons toujours éprouver des attirances, et même nous dire que nous aurions pu engager notre vie avec telle ou telle autre personne. Notre affectivité reste vive et, face à divers mouvements intérieurs qui s’éveillent au fil des relations sociales, nous resituons toutes nos attirances dans la cohérence de notre engagement amoureux et de notre choix de vie, pour les enrichir.

Faute de savoir parler des questions essentielles, on peut se réfugier dans l’humour, le cynisme et la désinvolture. Les comportements affectifs régressifs ramènent à ceux des ados de quinze et dix-huit ans, s’ils perdurent après 45 ans deviennent dangereux car ils risquent de devenir chroniques. Se retrouver entre célibataires lorsque l’on ne parvient pas à être en couples empêche de consolider une colonne vertébrale, construire une vie adulte. Les relations mouvantes, le manque d’intériorité rend facilement « addictifs ». La défaillance des ressources intérieures est souvent compensées par le besoin d’appartenance à un groupe et les activités planifiées, les soirées festives compensent le vide existentiel. Le besoin de se caler sur les autres dans un conformisme affectif incertain et hésitant ne crée pas le climat favorable à l’expression de la vraie liberté. Cette liberté que vous  craignez tant de perdre vous laisse sans objectif, en friche, vous fuyant vous-même, elle s’inhibe dans des paroles et des activités vides de sens, un refuge dans le virtuel et le superficiel. Voilà une expérience qui, le plus souvent, passe à côté du plaisir escompté et qui finit dans la souffrance de la solitude. Beaucoup adoptent une stratégie du retardement des  échéances et des choix, croyant qu’un jour les choses se feront d’elles-mêmes. Il y a une large part d’illusion à se dire : « Je m’engagerai quand je me sentirai prêt ou quand ce sera la bonne ». Personne ne peut choisir à la place d’un autre. Mais le risque est grand d’attendre longtemps quand on « attend» un moment sans le décider ou le provoquer.

En réalité, je deviens libre quand je pose un choix. C’est parce que je choisis un état de vie que je manifeste ma liberté. Tant que je n’ai pas choisi, je n’ai pas fait l’expérience de ma liberté et de la sérénité qui l’accompagne. Quand je me prépare à choisir, je suis dans une attente. Mais quand je ratifie mon choix, se déploie en moi un sentiment de liberté intérieure qui, de plus, développe ma confiance en moi.

Engager sa vie affective dans une déclaration publique « on est ensemble »,  c’est faire un pas pour entrer dans une vie adulte. Il n’y a que les enfants qui ne s’engagent pas. En revanche, ils apprécient d’être entourés de gens engagés clairement et institutionnellement. La relation, quand elle ne se développe pas dans un lien de coopération affective avec l’autre, la liberté pour soi se retourne contre soi.

Il est indispensable d’assimiler tout un savoir-faire pour que la relation puisse progresser, de connaître la psychologie différenciée de l’homme et de la femme, les attentes sexuelles de l’un et de l’autre, d’engager une relation de complicité. Il ne suffit pas d’aimer. Encore faut-il savoir ce qu’est l’amour, et se trouver dans les conditions objectives qui permettent l’amour.

Plus un enfant voit ses parents s’aimer, plus il acquiert une solide confiance en lui-même. La relation d’amour commence toujours en sollicitant les ressources affectives et le type de relation qui a été initié dans la relation primordiale aux parents dès la naissance. La vie amoureuse implique une autonomie psychique qui s’appuie sur les besoins primaires, mais pour s’en différencier et s’émanciper. Tout semble facilité lorsque le model affectif est bon, mais pourtant, ce n’est pas gagné pour autant.  

L’attrait sentimental manifeste le besoin de se trouver dans une relation de miroir, et en résonance émotionnelle. Il est la plupart du temps enfermé dans l’idéalisation de son vécu et dans  des représentations projetées sur l’autre. Il est une forme obstinée de l’idéalisation de l’amour qui n’est pas encore l’amour. Certes, les processus d’idéalisation et de projection sont relativement inhérents à la naissance d’une relation de couple. Mais arrive toujours le moment où apparaît la réalité du partenaire. Elle peut être décevante ou, au contraire, une source de vie relationnelle plus forte lorsque l’ambivalence est dépassée. Sans quoi l’autre peut ne pas être accepté pour lui-même, mais pour l’idéal qu’il représente. Les conditions d’un remaniement se produisent lorsque le fait d’admirer et de reconnaître l’autre dépasse les représentations que le sujet projette sur son partenaire. Dans ce cas, il est perçu pour lui-même. De nombreux couples se constituent sur cette base très narcissique et fusionnelle de la vie sentimentale. On peut aimer son double. C’est de l’amour narcissique, et l’ambivalence fait que l’on finit par le détester et se trouver dans une impasse. Ils croyaient aimer l’autre alors qu’ils  n’avaient pour seul désir que de se mirer et de s’aimer soi-même à travers l’autre. Comme dans le théâtre de Shakespeare, c’est le sentiment lui-même qui est recherché et même aimé, indépendamment de la qualité de l’autre. Des couples, uniquement établis sur cette structure affective, résistent difficilement aux conflits, aux épreuves et à la durée, toute variation des sentiments étant aussitôt vécue comme la fin de l’amour. Ce n’est pas l’amour mais la passion qui rend aveugle. L’amour, d’une toute autre nature, rend lucide et vrai, et stimule chacun pour qu’il se réajuste en permanence à l’autre. Bien entendu, il est tout à fait possible de passer du stade de l’attrait sentimental ou de l’attachement à celui de l’amour.

La différentiation est indispensable pour pouvoir intérioriser la réalité de l’autre dans sa différence sexuelle, car l’autre, c’est toujours l’autre sexe, sans lequel il n’y aurait pas d’altérité possible. L’accès au sens de l’amour commence toujours par l’acceptation intime de l’autre sexe, pour être capable de s’associer avec lui dans une relation d’altérité.

L’attrait physique et le désir ne suffisent évidemment pas. Prendre l’autre comme dans un esprit de liberté de plaisir, une activité récréative, en dehors de toute dimension relationnelle est tout aussi limitatif. Le plaisir sexuel est dissocié de la relation d’amour. Une telle relation ne réunit pas  les conditions pour être durable, comme en témoignent la plupart de ceux qui l’ont vécue. Vivre sur le registre de la sexualité infantile, narcissique et ludique qui n’engage pas et n’est pas fécond. La recherche de l’expression sexuelle pour elle-même confine à l’érotomanie.

À notre époque, on a du mal à faire vivre et à faire progresser la relation de couple. On préfère se maintenir dans les états premiers de la vie affective. On veut être toujours dans les commencements et changer en permanence de relation. Cela empêche d’accéder à une réelle croissance affective et au développement de la sexualité. La liberté sexuelle ne permet pas d’accéder à une réelle maturité sexuelle. C’est autre chose que d’entrer dans la symbolisation de la sexualité comme lieu de rencontre de l’autre et de communion, symbolisation qui peut passer par l’expression génitale et par d’autres formes de don de soi. La sexualité est le lieu du don de vie fait à l’autre à travers son corps, fait pour l’offrande de soi, c’est-à-dire l’amour. En ce sens, le corps est le temple de l’amour.

En réalité, la vie pour vous reste à être affrontée. Elle se partage et se donne. C’est pourquoi elle a besoin de s’inscrire dans un ordre symbolique qui est celui de l’amour, source de l’humanisation de la vie affective et sexuelle. S’engager est une façon de se donner pour vivre et faire vivre l’autre. Lorsqu’il est authentique, l’amour est toujours un engagement.

Ainsi donc l’amour donne vie et domine la pulsion de mort.

Aimer c’est faire être et se donner. S’engager dans un don définitif. Cela tient à la nature même de la relation qui vise à progresser et trouver des issues aux problèmes essentiels de la vie à deux en disposant de ressources, de confiance, afin de traiter les conflits et  dénouer les crises.

La personnalité s’unifie et se consolide lorsqu’on donne une finalité à son existence. Toutes les aptitudes, intellectuelles, affectives et sexuelles s’articulent. Un sentiment de confiance et de sécurité fortifie nos êtres profonds. Il s’agit donc, au moment de s’engager, d’apprendre à « faire couple » et de se libérer d’une psychologie de célibataire. Sinon, il devient difficile de faire une place à l’autre dans la vie quotidienne, pour s’organiser, ranger ses affaires, partager les repas et les échanges. Et même dans les rapports intimes et sexuels, un ajustement est nécessaire puisque les psychologies sexuelles de l’homme et de la femme sont différentes. Les femmes peuvent être inhibées à l’idée de s’abandonner dans la jouissance, quand les hommes sont trop rapides dans leurs gestes, et parfois insatisfaits, surtout après s’être habitués à se satisfaire sexuellement eux-mêmes, et qu’ils ont eu du mal à se libérer de la masturbation.

Il devient nécessaire d’apprendre à aimer l’autre dans sa réalité, plutôt qu’à travers le prisme d’un idéalisme enfantin. Il s’agit de passer de l’idéalisation à l’admiration de l’autre, en devenant capable, par exemple, de lui faire des compliments, de lui faire des cadeaux surprise et de prendre toutes sortes d’initiatives. Devenir une femme, devenir un homme, cela s’apprend. Mais c’est plus difficile dans un monde où règne une immaturité qui brouille les images de la différence sexuelle, dans une société  infantile qui cultive la confusion et  l’indétermination sexuelle, dans une société matriarcale et peu favorable à la coopération entre les deux sexes, à l’engagement affectif, à la naissance des enfants qui sont perçus comme des dangers et qui sont avortés. Les hommes sont les plus handicapés dans ce système car, après que l’image du père a été dévalorisée dès les années 1950, c’est l’image de l’homme qui a été atteinte au point de le faire  douter de lui-même et de son identité sexuelle. La virilité est ainsi battue en brèche. Les hommes utilisent des attributs symboliques pour paraître plus virile, comme la barbe de trois jours. On ne sait plus ce qui est réellement virile en dehors de certains signes fictifs;

La vie conjugale implique l’association du masculin et du féminin. C’est le sens du mot « conjugal ». Elle relève à la fois de la virilité de l’homme et de la féminité de la femme. C’est dans la mesure où nous sommes dans nos cohérences respectives que la vie de couple est possible, dans une association capable de compenser ce que l’autre n’a pas. L’altérité n’est possible que dans la reconnaissance intime de l’autre sexe. C’est l’une des conditions essentielles de l’amour. En dehors d’elle, l’amour conjugal n’existe pas.

Le dialogue est décisif dans une relation de couple. Celle-ci souffre souvent de non-dits, de paralangages, de projections, d’interprétations liées aux ressentis de chacun. Il est donc important de se parler. Tout n’a pas à se dire néanmoins, dans un couple, il faut respecter la partie intime de la vie psychique de chacun. Mais il s’agit d’être en vérité dans ce qu’il y a de commun et d’en parler ensemble.

Apprendre à faire couple et développer une psychologie conjugale, ce sont les prémisses d’une vie conjugale que l’on veut développer affectivement. Cela permet de sortir d’une psychologie de célibataire dans laquelle chacun se suffit à lui-même, ne pense qu’à soi et s’imagine que la source du plaisir est en soi, alors qu’elle est d’abord chez l’autre et dans la relation à l’autre. C’est bien grâce à l’autre que  chacun est révélé à lui-même et en prend conscience dans sa vie. Ce qui veut dire que le phantasme de se tromper est relativement inhérent aux craintes propres à la psychologie humaine. Tout peut devenir source d’insécurité.

Dire à  l’autre : « Je t’aime » signifie littéralement : « Toi, je ne veux pas que tu meures ». Par extension, cela suppose de vouloir faire sa vie avec lui. « Je vais passer ma vie à apprendre à t’aimer ». « amour » vient du latin  amor, formé de l’  « a »  privatif et de  « mors »,  mortis, la mort, et signifie donc étymologiquement être sans mort. Dire à l’autre : « Je ne t’aime plus », c’est en réalité lui dire : « Je ne t’ai jamais aimé ». Dans ce cas, il aurait été plus juste de dire : « Je n’ai plus de sentiment pour toi » si l’on est dans une relation sentimentale, ou de reconnaître : « Sexuellement, tu ne m’attires plus » si l’on est dans le désinvestissement sexuel. Mais si  cet homme et cette femme sont véritablement dans l’ordre de l’amour, ils traiteront leurs conflits, et parfois leur évolution divergente, sans avoir besoin de se séparer.

Nous serions dans l’illusion et dans le morcellement affectif en nous imaginant que ce que nous ressentons devrait nécessairement s’exprimer, et que nous devions changer de partenaire selon l’état de nos affects. L’amour  est durable. Le sentiment est  variable. Ne confondons pas l’un avec l’autre. Une interaction se produit entre l’amour parvenu à la maturité affective et les sentiments, afin de hiérarchiser les sentiments et enrichir la vie affective conjugale, en enracinant  toujours davantage la relation amoureuse. Ce dynamisme intérieur est rendu possible grâce à la croissance du self qui permet à la personnalité de s’unifier, là où le self de l’adolescent est encore écartelé entre les pulsions qui cherchent à s’exprimer pour  elles-mêmes et les systèmes de représentation, comme celui de l’amour qui permet l’unification des exigences sexuelles dans l’amour de l’autre, l’amour de sa vie. C’est pourquoi l’amour est un système relationnel. Il a un ordre symbolique fragile qui a besoin d’être entretenu dans la réflexion sur soi, dans la fidélité et dans un don toujours à renouveler. Il est un mouvement de l’être qui fait exister. Dans un couple, on peut parfois souffrir affectivement, être dans le doute, le manque sexuel, tout en continuant à aimer, c'est-à-dire à exister et à faire exister l’autre. La relation conjugale implique de  rejoindre l’autre sexuellement, régulièrement, afin d’entretenir et de renouveler la communion à être l’un par l’autre,  et pas simplement pour se soulager de pulsions qu’on ne parviendrait pas à contrôler autrement.

 

Peur de l'intimité 

 

Oui, nous "Rêvons" de cette relation privilégiée avec l'autre. Et pourtant la promesse, ou la menace, d'une intimité plus grande crée bien souvent sur nous une pression qui peut susciter un effet de panique. Nous sommes conditionnés socialement à nous protéger, nos amours nous ont laissé blessés. Ça fait peur. Ça fait mal. On a mal d'avoir peur. On a peur d'avoir mal. On voudrait...mais sans rien changer. La plupart des gens qui "évitent l'amour" essaient "d'éviter des peurs". Les plus fréquentes sont: la peur de perdre, la peur de l'engagement, la peur de l'intimité…

C’est bien l'intimité amoureuse qui nous met au monde une fois de plus. En découvrant d'autres aspects de nous-mêmes. Pour y arriver nous devrons cesser d'écraser l'intimité sous le poids de nos idéaux pour qu'elle puisse s'incarner avant de n'être plus qu'un nouveau mythe.

L'intimité devient un lieu idéal pour actualiser et développer l'être réunifié: ne faire qu'un avec ses propres convictions, ses désirs, son intuition, ses sentiments, ses émotions, avoir accès à toutes ses ressources intérieures, ne pas se sentir morcelé ou déchiré, mais en harmonie. Les moments difficiles peuvent être vus comme autant d'occasions de faire l'expérience de l'abandon, de réussir ce qui sembla impossible, de se rapprocher davantage. Abandon à une juste colère, abandon aux larmes, abandon à l'exubérance ou au silence pas toujours confortable. 
  
Les hommes et les femmes ne perçoivent pas l'intimité de la même manière. Historiquement, les femmes ont appris à sacrifier le "je" pour le "nouset ont souvent un urgent besoin de se perdre dans une relation privilégiée pour se réaliser. À l'opposé, les hommes ont été encouragés à supporter le "je", parfois au détriment des liens avec les autres. La "faculté d'intimité" est davantage intégrée à la nature féminine. Les hommes qui ont développé leur anima, leur côté yin, apprécient davantage les rapports intimes. Ttout est basé sur la question d'identité: La femme est généralement beaucoup plus enracinée dans son identité, elle peut se perdre dans la fusion et se retrouver plus vite.

L'homme a peur de la fusion; il entre dans l'intimité à tâtons. Il a peur de perdre son identité et peur de dégager son intériorité, qu'il connaît mal, pour la partager. L'homme se situe au niveau de l'instinct de survie, il refuse pour se protéger. S’il encore il  a pu  s'arracher du sein, de sa mère pour trouver son identité. La fusion est dès lors vue comme un retour en arrière, comme la perte inévitable de son identité. Dans l'intimité, les frontières de l'ego sont diffuses et c'est d'autant plus menaçant quand l'identité n'est pas bien définie. L'homme peut découvrir que l'altérité le renforce et le garde au commencement de lui-même.

Vivre l'intimité avec une personne, que se soit amical ou sentimental est, semble-t-il, un rare privilège. La recherche même de l'intimité est un phénomène relativement nouveau qui découle du développement sans précédent de l'individualisme en Occident.

Notre appréciation autant que notre appréhension de l'intimité est teintée par l'apprentissage que nous en avons fait depuis l'enfance. La relation affective avec les parents, les frères et soeurs et les amis sont autant de rapports humains qui nous invitent à l'échange, à la confiance et à faire l'expérience du sentiment de complicité, base de la relation intime. Ou qui nous en éloignent, ou qui nous font la craindre.

Dans les lieux publics, on voit parfois des couples enveloppés dans une aura toute particulière qui attire le regard. On dirait qu'ils baignent dans une même complicité, fluide et forte. Cette intimité, on la veut et on la redoute.

Quand deux être fondamentalement distincts (et séparés) choisissent d'être ensemble ils font appel à la confiance, à l'abandon et à la détermination. «Choisir» l'intimité, c'est accepter d'être vulnérable et parfois, aussi, d'être désemparé. 
Le risque à prendre: lâcher prise et laisser tomber les frontières de l'ego. 
Le paradoxe: se perdre dans l'amour pour mieux se retrouver.

La première difficulté est qu'on ne tombe pas en intimité comme on tombe amoureux. Non seulement faut-il le vouloir, mais il faut être deux à le vouloir. Quand le besoin d'affirmer son individualité et ses attentes respectives prédominent, il faut du courage et de la détermination pour pénétrer plus avant dans l'univers de l'intime. Nous sommes appelés à y maintenir ce délicat équilibre entre notre réalité d'être séparé et celle d'être relié à l'autre. Nous faisons face au défi de soutenir les deux aspects de nous-mêmes sans perdre ni l'un ni l'autre, surtout dans les moments difficiles. Il faut que les deux personnes en présence soient fortes dans leur identité propre. À la limite de la distance et de la fusion: trop éloignées l'un de l'autre, elle n'existent plus comme couple; trop rapprochées, elles perdent leur unicité. La vie du couple n'est-elle pas la recherche constante de la bonne distance?

Comment faire la différence entre ses limites personnelles d'un être en devenir et l'exigence du constant ajustement pour être avec l'autre? Comment se donner en se gardant intègre, prendre sans posséder? Comment être vulnérable et se protéger à la fois? Comment se dire sans heurter l’autre? Comment nous parler pour nous comprendre?  Allons-nous choisir de souligner nos similitudes ou nos différences? Sommes-nous assez semblables pour pouvoir comprendre l'expérience intime de l'autre. Mais aussi vrai que le jour succède à la nuit, dès qu'un sentiment de confiance s'installe entre un homme et une femme, on voit réapparaître tous leurs sentiments infantiles.
L'enjeu du jeu est délicat et, en plus de l'attachement, demande de l'humour beaucoup de communication, de la complicité sexuelle, de la compassion, et de l'engagement. Le vie commune et intime peut être un aphrodisiaque pour les gens mûrs, un yoga gigantesque, une entreprise qui conduit un homme et une femme vers la plénitude, un drame durant lequel ils peuvent se libérer de tous les archétypes et stéréotypes pour en venir à s'aimer dans leur perfectibilité. Loin de toute romance et tel un cheminement individuel, commence alors la danse de l'individualité et de la communion.

L'alchimie de l'amour inconditionnel ne peut opérer que lorsqu'un homme et une femme, ayant pris connaissance du meilleur et du pire chez l'autre, acceptent l'inacceptable, brûlent les ponts et condamnent les issues de secours. C'est le grand saut et on s'affole.
Jusqu'où peut vraiment aller la tolérance de l'intimité? Combien de confiance et d'abandon faut-il? Combien de compromis peut-on faire en respectant ses limites et ses priorités? À zéro centimètre La présence à soi rend possible la présence à l'autre, en reconnaissant ce que l'on est avec nos grandeurs et nos faiblesses. N'être plus qu'une présence, savoir recevoir l'autre, fort, faible, confus, clair ou visionnaire. A l'opposé, il y a l'absence, la fuite dans l'inconscience qui permet de ne pas voir et de ne pas être vu. Étions-nous vraiment ensemble? Ensemble et pourtant à des lieux de distances! À quel moment avons-nous perdu le contact? Comment et pourquoi peut-on se sentir seul en présence de l’autre ?

L'intimité est exigeante. Il faut à chaque instant vérifier si "nous sommes bien ici, à zéro centimètre de soi-même, exactement au centre, là ou réside le calme au milieu de la tempête, là où notre être programmé est mis en veilleuse. Là où naît cette compréhension profonde qui reconnaît et apprécie l'unicité de l'autre et nous réconcilie avec nous-même, l'autre étant souvent notre image dans le miroir. Quand sa propre insécurité empêche d'accepter l’insécurité de l’autre. Quand on trouve insupportable l’intolérance de l’autre.
Dans le rapprochement intime, le physique, l'émotionnel, le mental et le spirituel se pénètre et échangent quantité d'informations subtiles. Pas étonnant que nous nous sentions bousculés, surtout au début d'une nouvelle relation. Aussi, faut-il respecter le rythme interne de ce que l'on croit être un simple ajustement et qui s'avère une transformation profonde. C'est la valse-hésitation: trois pas en avant, deux pas en arrière.
Parce que les espaces de nos jours et de nos nuits sont remodelés, éclatés, semblent tantôt trop grands, tantôt courts, on retourne chez soi reprendre son souffle, se retrouver dans ce petit lieu familier de son histoire personnelle où on peut revenir à soi- même, réapproprier son espace intérieur. On a besoin de se retrouver seul pour mieux aimer l’autre à son retour. On veut se trouver exactement là où on est en tant qu'autre. 

Pour quand la dépendance mature qui nous lie en toute liberté et apporte un support dont nous avons besoin? Sommes-nous prêts à reconnaître que nous avons besoin de l'autre? L'ìnterdépendance est fondée sur la coopération et la compassion où les attentions réciproques façonnent la relation. L'intimité ne serait-elle pas un lieu où trouver un peu de repos et nous ressourcer, reprendre contact avec l'essentiel? Un lieu où assouvir notre désir inavoué de "droit à la défaillance, à la dissolution"

L'intimité grandit par la force de la persévérance, de la tendresse et de l'attention sans cesse renouvelés, pour que s'accomplisse notre humanité d'hommes et de femmes. Pionniers et pèlerins en territoire inconnu, nous cherchons à réinventer la vie à deux.

 

 

Apprendre à vivre ses peurs, c’est d’abord se donner le moyen de les reconnaître et de les ressentir.  Par la suite, l’accueil de celles-ci est primordial.  Malheureusement, beaucoup de personnes se jugent lorsqu’elles ressentent des peurs et c’est à ce moment-là qu’elles se mettent à s’en défendre.  C’est humain et normal d’avoir peur.  Encore plus si nous venons d’un milieu où nous avons été surprotégé et/ou d’un milieu où nos parents portaient eux-mêmes beaucoup de peurs.  Les peurs, ce sont les cordes qui nous retiennent à la terre et nous empêchent de prendre notre envol.  Elles nous empêchent de réaliser nos rêves les plus profonds, elles nous empêchent d’avoir des relations nourrissantes mais surtout, elles nous empêchent de reconnaître notre vrai valeur.  De plus, les peurs peuvent avoir une incidence majeure sur notre santé physique et mentale.  Lorsque les peurs prennent des proportions importantes, elles peuvent se transformer en état de panique qui nous paralysent et nous empêchent de vivre pleinement.  Nous avons l’impression d’être dans un état perpétuel de survie.  Lorsque vous réalisez que vos peurs prennent de grandes proportions, je vous encourage à aller chercher une aide professionnelle.  Il en va de votre bien-être, de votre bonheur au quotidien et de votre capacité à vivre et non pas à survivre.


 http://au-coeur-de-l-ame.webnode.fr/mes-articles/la-peur-une-emotion-sournoise/

 

Psychologiquement, la peur découle de conditionnements inculqués par notre famille ou la société. La religion elle-même véhicule la peur, la peur du mal, de nous-même en sommes ! Un pouvoir d’instrumentalisation de la religion à des fins politiques est malsain.

Et puis le fait d'être exposé à la maltraitance, à la violence ou à tout autre traumatisme.

Si vous êtes motivé, il est toujours possible de vaincre ces craintes, malgré ce que vous avez pu subir...

 

Le plus grand frein dans la vie, c’est la peur.

 

Les blessures intérieures, c’est comme les blessures extérieures, si on ne les soigne pas, elles s’infectent.

Nos plus grandes blessures et peurs sont infantiles, elles naissent de nos doutes et de notre manque de confiance. Peur de l’échec et de l’abandon, peur du ridicule et de la souffrance, peur de la perte, peur d’aimer ; Peur de ne pas bander et faire la preuve de son désir, et d'autant plus lorsque l'on est amoureux ou que l'on sent que l'on pourrait basculer, LES PEURS DECUPLENT. Mais un partenaire qui peut vous comprendre, vous rassurer et vous encourager est précieux pour dépasser la peur.

L'énergie de la peur:  elle induit en vous une sensation discordante, paralysante, épuisante, vous engloutit telle une lame de fond, vous amène, sur le plan intuitif, à vous sentir mal assuré, sur la défensive, diminué, vous projette dans une attitude alarmiste, dissociée du cœur, perturbe votre humeur.

L'énergie du courage: elle vous donne une impression inspirante, expansive, revitalisante,

vous édifie et vous recentre, vous donne la sensation intuitive d'être centré sur le présent, en contact avec ce qui est grand, ouvre votre cœur, augmente votre estime de soi, améliore votre humeur.

 

Les pensées, les intentions, les émotions, la peur, l’amour … sont des convoyeurs d’énergie ;

Il existe différents niveaux d’état vibratoire.

L’énergie générée par la peur est colossale. L’énergie générée par l’amour également ; Mais ce sont des énergies opposées et justement, l’amour peut dissoudre la peur. Se donner à la vibration amour sans retenue, sans se poser de question procure une réconfort et une grande puissance intérieure.

La première peur à affronter, c’est la peur de soi-même, puis celle de l’autre. Nous dévoiler à des consciences supérieures, comprendre nos peurs, les accepter pour les dépasser. Une réalité nouvelle, de nouveaux horizons s’offrent à nous.

 

La peur de se tromper est directement liée à l’ego. Ce sont des chimères, des fabrications mentales. Si vous décidez  de vous ouvrir à l’amour et d’explorer votre inconscient (ce qui est inconscient ne le demeure normalement que le temps de l’enfance, le temps ou nous ne savons pas tout gérer émotionnellement) tout s’enchaîne et les peurs sautent une à une. Il faut en avoir l’intention et le désir de prendre ce chemin, sans quoi personne ne peut vous aider, même pas vous-même.

L’ego veut se croire tout puissant dans son petit moi étriqué car il réduit le champs de la personnalité ; Cette fausse puissance artificielle, cette fausse réalité à entretenir demande énormément d’énergie et vous épuise ; Elle vous empêche aussi d’exploiter votre vraie puissance.

Il est possible de procéder à un grand nettoyage de printemps on dira. Par la prise de conscience.  

"Première transformation", une entreprise sacrée. Vous allez traquer ce qui vous effraie, puis faire appel au courage pour le transformer...

 

La peur est une émotion négative puissante. La peur non maîtrisée, tout comme le désir, est sans limites; si vous ne la circonscrivez pas, son énergie proliférera à l'infini, tel un cancer. Jusqu'à ce que nous apprenions à nous dégager de ses affres.

À l'inverse, les émotions positives, comme le courage ou l'espoir, naissent de l'amour. L'amour est la force la plus puissante de toutes;

Peur égale frustration, solitude, anxiété, inquiétude, dépression, jalousie, envie, colère.

Amour égale courage, patience, connexion, paix intérieure, espoir, estime de soi, altérité, compassion...

 

La peur est la réaction émotionnelle au danger, perçu ou réel. Ce qui sous-tend la peur sous toutes ses formes, c'est le sentiment d'un malheur imminent. La peur de vieillir, du rejet, de l’échec ... les peurs rejoueront sempiternellement dans votre tête et circonscrira votre liberté. Pernicieusement, vous vous habituez même peut-être à ces angoisses...

 

Commencez à conquérir l'appréhension en évaluant d'abord son rôle actuel dans votre vie. Il s'agit d'une investigation douce, d'un regard candide tourné vers l'intérieur. Pour vous seconder, voici un questionnaire qui déterminera une ligne de base où vous situer actuellement... Répondre à ces questions constitue le début d'une nouvelle évolution que vous poursuivrez pour apaiser votre peur. Une fois votre rapport à ce sentiment clarifié avec compassion, vous vous en délesterez plus habilement, car vous appliquerez les stratégies de la liberté émotionnelle.

 

Voir aussi :  PEUR DE L'ECHEC

 

INTERROGEZ-VOUS:

 

Confronté à une situation, est-ce que je m'attends généralement au pire?

Des pensées angoissantes m'empêchent-elles de dormir la nuit?

Est-ce que je crains de m'exprimer ou de tenter d'obtenir ce que je veux?

Est-ce que je redoute de ne pas être à la hauteur de mes attentes ou de celles des autres?

Les appréhensions d'autrui me semblent-elles contagieuses?

Ai-je de la difficulté à me centrer quand je suis en proie à la peur?

Ai-je souvent l'impression d'être dissocié d'une source spirituelle bienveillante?

Est-ce que je considère l'avenir sous un angle catastrophique?

Est-ce que j’ai peur d’aimer ?

Est-ce que j’ai peur d’être dépendant ?

Est-ce que j’ai peur de l’intimité ?

Est-ce que j’ai peur de l’engagement ?

De 7 à 12 réponses affirmatives signalent un degré très élevé de peur. Cinq ou six réponses affirmatives indiquent un degré élevé de peur. Trois ou quatre réponses affirmatives indiquent un degré modéré de peur, et une ou deux réponses affirmatives témoignent d'un faible degré de peur. S'il n'y a aucune réponse affirmative, cela suggère que la peur n'inhibe pas vos comportements.

 

Sachez que le courage est le mécanisme psychologique qui dépasse la peur, qui procure la force, la clarté et le cran de triompher des obstacles. Il vous donne l'essor vers la liberté. Tentez d'assimiler un maximum de courage puisé chez les autres... Et alors, vous serez prêt à affronter votre avenir, quelqu’il soit ; C’est ça la liberté.

 

Vous êtes que trop réceptif à la peur. Sachez que la frayeur se diffuse par l'intermédiaire des médias, à des dizaines de millions d'entre nous. Pas nécessaire d'être intuitif pour percevoir alors la frousse qui sévit en notre nation. Malgré tout, bonne nouvelle, une fois que vous prenez conscience du fonctionnement de la peur, il est possible d'interrompre le cycle...

Démystifions la peur afin de faire front sans crainte. En apprenant à l'identifier et à travailler consciemment avec ses divers aspects, vous ne la verrez plus comme une force chaotique de la nature qui vous prend à l'improviste. Pour atteindre un tel degré de liberté, vous explorez les quatre composantes des émotions de cette transformation: leur biologie, leur caractère spirituel, leur puissance énergétique et leur psychologie. Cette approche englobante permet de comprendre la dynamique de la peur et de vous en rendre maître. Étudiez la peur de près et laissez le courage affluer de ce que vous apprenez.

 

En présence d'un péril imminent, la peur manifeste l'instinct de survie et comporte des avantages. La frayeur obnubile tout, car, aux époques primitives, ne pas en tenir compte vous valait la mort. Mieux valait être en état d'alerte maximal au premier signe d'un danger, même s'il s'agissait d'une fausse alerte, que d'être moins vigilant et mourir. Aujourd'hui, cinquante mille ans plus tard, cet impératif génétique persiste en nous, même s'il est trop nerveux pour notre monde contemporain. Toutefois, la peur devient nuisible pour l'organisme si elle constitue une réaction habituelle à des conflits quotidiens mineurs. Se sentir continuellement comme un cerf figé devant les phares d'une voiture vous rendra psychologiquement fébrile et vous épuisera physiquement...

 

La peur a un caractère assurément physique. Le rythme cardiaque et la tension artérielle augmentent. Les muscles se tendent. Les mâchoires se crispent. La respiration ralentit. On retient instinctivement son souffle afin de mieux entendre. Les pupilles se dilatent pour mieux voir. Le mécanisme de notre système est remonté en vue d'une vigilance maximale pour repousser le danger.

 

De toute manière, l'absence de peur n'équivaut pas au courage, si c'est le résultat d'une lobotomie des émotions. On note que face au danger, deux réactions sont observées, l’individu réagit instinctivement, ou alors il reste paralysé.

Vous n'êtes libre que si vous réussissez à affronter vos craintes avec dynamisme. Pour moi, le courage s'exprime; vous le cherchez ou il vous cherche. Le courage requiert aussi un élément d'adversité. En vérité, pas de courage sans peur. Sans une épreuve à surmonter, il n'y a pas de pulsions biologiques visant à braver ou à conquérir la négativité, de véritables jalons évolutifs. Paradoxalement, la peur procure cette pulsion à votre cerveau et porte en elle le potentiel de catalyser le courage, elle nous conduit à nous dépasser...

 

Pour ouvrir la voie à un tel courage, je vous conseille de mettre en œuvre des instructions simples.

Pour court-circuiter la peur et atténuer la réaction de lutte ou de fuite, il faudra entraîner votre cerveau à diffuser des neurochimiques à cet effet. Autrement, la peur et ses hormones vous rendront dingue, À l'inverse, une biologie calmée permet de trouver plus facilement le courage en appliquant les techniques ci-dessous pour apaiser votre organisme. (l’idéal est de conjuguer à la méditation même cinq minutes.)

 

Pour obtenir des résultats immédiats et à long terme:

 

Supprimez la caféine, le sucre et les autres stimulants - ils alimentent la réaction de lutte et de fuite;

 Restez près des personnes nourriciers émotionnels, à condition d’exprimer vos peurs, celles qui touchent aux sentiments et l’intimité;

Chaque fois que vous êtes confronté au stress, respirez profondément. Concentrez-vous quelques minutes sur votre respiration, sentez vous vivant ;

En proie à une montée d'adrénaline animée par la peur, faites l'essai des expédients qui suivent.

Dans un état de relaxation paisible, évoquez une circonstance où vous avez fait montre de bravoure. Une situation où vous vous êtes défendu, où vous êtes sorti des sentiers battus malgré les avis contraires. Ou encore, où vous avez combattu l'injustice ou aidé quelqu'un qui en avait besoin. Il s'agissait peut-être seulement de sortir du lit un matin de déprime. Tous les actes de courage comptent. Évitez d'en considérer un comme supérieur à un autre. Pendant quelques instants, dorez-vous au soleil de la bravoure, laissez cette dernière vous imprégner.

Pour aider au départ on peut utiliser SAFRAKITE 15 mg (naturel) traitement d’un mois.

Aurum mattalicum 9CH (5granules 3 fois par jour en dehors des repas)

Arsenicum album 9CH  (idem)

2 semaines maximum.

 

Servez-vous de la technique de relaxation progressive: assis ou allongé dans une position confortable, prenez quelques respirations profondes en laissant votre corps se dénouer au maximum. Lorsque vous êtes prêt, contractez d'abord les muscles de vos orteils. Tenez en comptant jusqu'à dix, puis détendez-vous. Savourez le soulagement de la tension qui se dissout. Faites de même avec les muscles de vos pieds et passez lentement votre corps tout entier: mollets, jambes, estomac, dos, nuque, mâchoire. Contractez et relâchez chaque région.

 

Plongez-vous dans l'eau chaude afin de délier la tension musculaire.

Faites vous masser.

Pour améliorer vos facultés d'adaptation, apprenez à sentir l'énergie de la peur et celle du courage. Pratiquez un art martial par exemple.

 

Ces actions pratiques, qui vous permettent de vous rendre maître de votre corps, sont extrêmement efficaces pour retrouver le calme. Vous n'avez pas à demeurer passif sous l'assaut de l'angoisse. La mentalité de victime adopte plusieurs formes. Il faut du courage pour retrouver la maîtrise et dire: "Je vais être responsable en prenant soin de moi." Entraîner votre corps quant à la manière de réagir vous libère sur le plan affectif.

 

Recadrer la peur permet d'accéder à notre plein potentiel de guérison.

Réfléchissez aux motifs pragmatiques suivants:

 

Le courage naît dans le fait de croire en soi-même et en l'existence de quelque chose de plus grand que soi, peu importe comment vous le définissez, sachant que l'un et l'autre sont plus vastes, plus vrais que la peur. Rallier ces ressources accroît votre capacité de gérer même ce qui semble "intolérable". Si vous puisez à même l'Esprit, vous ne vous sentirez plus seul et vous ne tenterez pas futilement de combattre la peur par votre seule volonté. Songez à l’énergie qui vous anime.

 

La peur est l'espace où s'échoue l'âme; elle exige une attention compatissante. Ce n'est pas simplement un symptôme incommodant qu'il faut améliorer.

 

Permettez-moi de décrire comment la spiritualité a soulagé mon angoisse de l'abandon. En raison de la gravité de cette angoisse, il m'a été fort utile d'exprimer ce sentiment avec précision pour démanteler systématiquement tout aspect qui usurpe ma liberté.

 

On ne s’en débarrasse jamais complètement. Elle est tapis là quelque part, prête à refair surface quand nous nous trouvons dans un moment de vulnérabilité. À quoi ressemble ma peur ? Au fil des ans, j'ai vu que la menace d'abandon peut, en des instants de vulnérabilité, s'insinuer dans mon être, assombrir ma lumière. Ce sentiment d'abandon peut résulter de pertes véritables (même de mon chien) qui réveillent des pertes plus anciennes. Me revient alors le goût âpre du manque que j’ai connu à la mort de mon père lorsque j’entrais dans l’adolescence. Ou encore, à un degré moindre, je serai perturbée par le simple fait qu'un ami proche décide de quitter mon patelin, que des proches soient gravement  malades ou quand j'anticipe (à tort) de me retrouver seule. Mon angoisse jaillit souvent sans crier gare et s'accélère de zéro à cent en un clin d'œil. Soudain, je n'arrive plus à penser avec clarté. Je suis paniquée, abasourdie, le sol se désintègre sous mes pieds. Chose plus inquiétante encore, j'oublie celle que je suis, la Annie forte et aimante. Le sentiment d'abandon ne sera jamais complètement éteint, mais maintenant je sais négocier avec lui.

Comment je me connecte spirituellement pour trouver le courage. En de tels moments, la logique et l'analyse psychologique ne suffisent pas d'habitude à atténuer l'intensité viscérale de ma peur. Pour trouver le courage, je dois me réinitialiser grâce à une source spirituelle. Je me suis entraînée, même lorsque les affres de l'abandon m'engloutissent impitoyablement, à me relier intuitivement à cette source - l'énergie de l'amour, en ce qui me concerne - pour transcender son emprise. Comment? En sollicitant intérieurement du secours au milieu de mes tumultes: un geste puissant capable de modifier ma perception et de restaurer mon lien spirituel. J'y parviens en dépit des protestations prévisibles de mon intellect qui prétend que cela ne marchera jamais; l'esprit analytique aide à comprendre mais n’annule pas la peur. Seule l'intuition le peut. Je reste simplement ouverte à ce qui se passe, sans rien forcer. Appeler une énergie spirituelle plus vaste que la frayeur, une force en laquelle j'ai implicitement confiance et que je sais bien réelle, me relie à mon cœur et à une conscience plus vaste et plus précise de ce qui est. La peur avait encombré ces circuits. Lorsqu'elle s'apaise, les parasites se dissipent en moi, un peu comme l'image disparue qui réapparaît sur l'écran du téléviseur. Intuitivement, cette reconnexion spirituelle donne l'impression de reprendre connaissance, de lever un voile...

 

Je vous invite à analyser vos peurs une à une. Nous en éprouvons tous. Il faut du courage pour les assumer. Minimiser la peur ou vous leurrer en croyant être immunisé contre celle-ci n'est pas que de l'imprudence. C'est la voie de la poule mouillée, laquelle voie vous éloigne définitivement de la liberté. Petit à petit, vous grandirez dans l'amour de vous-même et du monde.

L'essentiel, c'est de puiser à même une force positive plus importante que n'importe quelle émotion négative, pour vous ressaisir lorsque la peur voile votre intelligence et votre intuition. Savoir que la liberté réside là vous conduit à la transformation.

 

Déterminez de quelle peur vous souhaitez vous affranchir. "Peur de l échec », « peur de vieillir seul » ?...

Identifiez ce qui déclenche la peur. Qu'est-ce qui la provoque? Soyez honnête. Consignez ensuite ces facteurs déclencheurs dans un journal. Voir la carrière d'un ami décoller ou réussir mieux que vous ? Aller à un dîner où vous êtes le seul célibataire? Ne pas attirer l’attention ou plaire? Soyez aussi précis que possible. Une fois repérés les déclics courants, rien ne vous prendra plus au dépourvu.

 

Donnez un contexte à votre peur. Interrogez-vous: "Comment cette peur peut-elle m'aider à acquérir le courage, à devenir plus libre?" Par exemple, avoir du courage signifie-t-il cultiver l'amour-propre? Avoir confiance en la personne talentueuse et fantastique que je suis? Cernez le type de courage qui semble le plus approprié. Il vous aidera à transformer la peur au lieu d'avoir le sentiment d'être sa victime.

 

Établissez une connexion spirituelle afin de vous centrer. Avant de vous pouvoir souffler, expirer, il faut inspirer, s’inspirer aussi, nous en avons besoin, s’imprégner, donner un sens.

Pour désamorcer la peur, prenez quelques grandes respirations et retrouvez votre calme. Fermez les yeux et répétez ce mantra: "Je suis bien davantage que ma peur." Puis sollicitez intérieurement une connexion à un sentiment positif qui surpasse la peur, que ce soit l'amour ou autre chose. Votre âme est sur le point de se déployer. Suivez le courant. Préservez votre innocence, évitez de devenir cynique. L'univers spirituel détient une magie hors de la portée de notre rationalité. Gardez les voies intuitives ouvertes tout en pressentant l'Energie; inhalez la en vous et que ce bonheur vous insuffle le courage d'être positif. Actez, faites les gestes avec vos mains, comme si vous vous débarrassiez de quelque chose de physique, secouez vos mains avec intention, comme pour l’évacuer concrètement. 

La peur et le courage rayonnent de vous comme ils émanent de moi. Ces énergies émotionnelles, ainsi que d'autres énergies du même type, influencent sur tout être vivant.

 

Chaque fois que vous éprouvez la peur, invoquez le courage, la formule de la liberté, pour la transformer. Voici comment. Disons que vous craignez de ne plus jamais trouver l'amour. Le courage, au contraire, consiste à vous mouillez, à tenter l’intimité, affronter la peur. Prendre les bonnes initiatives.

L'une des lois de l'énergie émotionnelle veut que nous attirions ce dont nous avons besoin pour nous dépasser, garantie d’une évolution optimale, mais la peur nous freine.

La peur attire la peur. Le courage attire le courage. Si vous voulez que le négatif se transforme en positif, vous devez le générer... Inverser la vapeur.

 

Même si, de toute évidence, certaines choses ne dépendent pas de votre volonté, il est également vrai que la vie est pour l'essentiel modelée par vos pensées et votre comportement. Le courage consiste à abolir l'emprise de la peur grâce à la lucidité et à des réactions conscientes. Voilà qui, à son tour, modifie votre champ énergétique...

 

Le seul fait de redouter une chose ne signifie pas qu'il devra toujours en être ainsi. La clé, en revanche, consiste à faire naître le courage en décidant de le manifester et en agissant en conséquence. Pour éprouver directement comment il améliore votre humeur, faites l'exercice qui suit. Il vous permettra de ralentir et d'observer vos réactions devant la peur et le courage, pour que vous exploitiez ces énergies.

 

Choisissez une peur et intensifiez cette énergie. Plongez-vous à fond dans la pire éventualité: Délirez complètement: échafaudez un scénario catastrophe. Imaginons que vous redoutiez l'échec. Votre monologue interne ressemblerait alors à: "Je ne décrocherai jamais une promotion. Je suis coincé dans ce boulot sans issue jusqu'à ma mort. Vous voyez l'idée. Attisez cette appréhension et observez les sensations intuitives au plexus solaire, le centre des émotions, et ailleurs dans le corps, votre respiration. Votre abdomen est-il tendu ? Vaguement nauséeux? Douloureux comme si on vous avait asséné un coup de poing? Votre gorge est-e1le serrée? Avez-vous le crâne dans un étau? La peur a-t-elle une couleur? Une température? Une texture? Notez toutes les sensations dans cette zone et dans le corps entier pour définir l'énergie de la peur.

 

Prenez la décision courageuse de transformer la peur. Il faudra, pour ce faire, modifier votre pensée et votre comportement. Au lieu d'échafauder des scénarios catastrophes, enjolivez la situation. Tout d'abord, établissez une intention positive comme: "J'obtiendrai un poste plus gratifiant, où j'aurai des chances d'avancement. On sera sensible à ma créativité et à mes efforts." Ou bien j’oserai changer de secteur. Je suis intelligent, j’ai des ressources, je peux créer quelque chose, me recycler dans un domaine qui me plait davantage. Visualisez vraiment une issue concret 100 % positive.

Observez ensuite les réactions de votre corps. Remarquez la différence entre le courage et la peur. La tension se dénoue-t-elle dans votre abdomen? Le malaise se dissipe-t-il? Une force décuplée s'élève-t-elle en vous? Éprouvez-vous de l'excitation? Observez également les sensations dans le cœur, au milieu de la poitrine. Elles sont parfois décrites comme des fenêtres qui s'ouvrent. Ressentez-vous une fermeté? Des fourmillements? Une chaleur? Du réconfort? Explorez les nuances du courage, flottez sur ses ailes. Faites-vous une idée précise de l'énergie du courage.

 

Prenez une vraie mesure courageuse pour transformer la peur. Le geste que vous choisissez doit être simple et faisable. Par exemple, faites une recherche de formations dans un secteur qui vous intéresse (la DGCCRF recrute). Prenez votre temps. Soyez patient. Si vos efforts ne portent pas des fruits sur-le-champ, ne culpabilisez pas. Demeurer optimiste en dépit de la peur est une volte-face téméraire qui fait passer l'énergie du plexus solaire au coeur. Ce sentiment édifiant et d'autres sensations positives remarquées à la phase précédente signalent que vous êtes sur la bonne voie.

 

Cet exercice renforcera le fait que le courage transforme la peur non seulement dans votre tête, mais dans votre champ énergétique subtil. Impossible de vous extirper de la peur par l'intellect; il s'agit d'une métamorphose viscérale de la force vitale dont vous prenez l'initiative. Avec la constance, le courage s'accroît et, progressivement, atténue la peur. Les progrès sont à mon sens prodigieux; j'espère qu'ils vous enchanteront également. Votre rôle est d'être courageux, de vous aimer suffisamment pour persister. Aspirer consciemment à cette liberté vous y conduira. Un homme a d’autant plus besoin de se sentir courageux pour se sentir virile.

 

Deux stades : En premier lieu, répertoriez vos peurs et séparez les peurs irrationnelles des intuitions légitimes. En second lieu, prenez les mesures appropriées en vue de tenir compte des peurs protectrices et de transformer les autres par le courage. Dans certains cas, vous pressentez un danger réel, mais le plus souvent, des appréhensions futiles vous tourmentent. Donc, par principe, entraînez-vous à remettre en cause les peurs liées à une estime de soi médiocre; nous méritons tous une vie meilleure. Par exemple, il convient de contester la peur d'être trop abîmé émotionnellement pour parvenir à aimer; même les êtres sérieusement traumatisés peuvent ouvrir leur cœur de nouveau. Les intuitions authentiques ne vous diminuent jamais et ne confortent pas d'attitudes ou de comportements destructeurs. Voici quelques directives permettant de discerner les peurs légitimes de celles qui sont irrationnelles.

 

Distinguer la peur de l'intuition

 

Les signes d'une intuition fiable

 

Elle fournit de l'information de manière neutre, exempte d'émotion.

Elle semble viscéralement juste.

Son ton est bienveillant, affirmatif.

Elle donne des impressions vivaces, limpides, que l'on ressent.

Elle est imprégnée d'une sensation de détachement, comme regarder un film.

 

Les signes d'une peur irrationnelle

 

Elle est émotionnellement chargée.

Son contenu est cruel, humiliant ou illusoire.

Elle ne comporte pas de confirmation viscérale ou de sentiment de justesse.

Elle reflète des blessures psychologiques antérieures.

Elle réduit le fait d'être centré et la perspective...

 

Tentez de dissocier les appréhensions malsaines de l'intuition... Vous éprouvez peut-être aussi des peurs qui vous diminuent ou vous poussent à interpréter faussement le danger. Lors d'un accès de colère, votre ex vous a peut-être traité de " ????", et vous l'avez cru. Il ne s'agit pas ici d'une intuition. Pas plus que de craindre d'avoir le cancer chaque fois qu'une tache brune apparaît sur votre peau. De même, prenez les peurs de longue date avec un grain de sel; par exemple, le vertige. D'habitude, il ne s'agit pas d'une prémonition.

 

Mais lorsque l’on est un empathique, il est particulièrement délicat de distinguer les peurs authentiques des intuitions utiles. Étant donné votre tendance à absorber les émotions d'autrui, vous avez capté des peurs de l'extérieur, persuadé qu'elles vous appartiennent. Pour éviter cela, interrogez-vous systématiquement: "Cette peur m'appartient-elle ou vient-elle de quelqu'un d'autre?"

Même si absorber le courage et les émotions positives d'autrui ne pose pas de problème puisqu'ils vous fortifient, mieux vaut éviter d'absorber la négativité. Défaites-vous de cette peur étrangère en l'exhalant jusqu'à ce que la sensation disparaisse.

 

Si certaines appréhensions résultent d'une absorption empathique ou sont des avertissements intuitifs limpides, les peurs plus banales traduiront souvent des schémas psychologiques négatifs bien ancrés. Pour les résoudre, il faut découvrir leur provenance et faire ce qui s'impose pour dénouer leur emprise.

 

Posez-vous d'abord quatre questions simples. Elles offrent un cadre pour commencer à transformer psychologiquement la peur en courage. Laissez ce que vous découvrirez filtrer et évoluer. Selon mon maître spirituel: "Aucun travail n'est perdu. N'anticipe pas." Soyez conscient qu'il existe une courbe de croissance. Au fil du temps, consignez au jour le jour vos réponses à ces questions dans un journal et remarquez qu'elles changent. Conservez un journal de bord à jour de ces nouvelles révélations.

 

Mesure émotionnelle active

"Quelles sont mes cinq peurs les plus importantes?" Nommez ce qui vous effraie. Clarifiez ce que vous affrontez pour ne pas être surpris ou pour éviter d'interpréter faussement ces signaux comme une intuition. (Mieux vaut vous restreindre à cinq peurs pour éviter d'être dépassé par le processus). Une peur qui prévaut sur ma propre liste, c'est de terminer mes jours seule dans une résidence pour personnes âgées, la bave aux lèvres. Mettez-vous à table avec vos propres angoisses. Il n'y a pas de honte à les admettre; cela vous affranchira. Jaugez également votre réaction à chaque peur, afin de mesurer à quel degré elle vous déséquilibre (les plus épineuses viennent en premier, la moins épineuse, en cinquième). Puisqu'il est beaucoup plus facile de résoudre une peur plus ancrée, je vous conseille d'acquérir de l'assurance en vous attaquant en premier aux peurs inscrites au bas de la liste. Par la suite, vous serez muni de stratégies pour gérer efficacement tout cela.

 

"D'où proviennent ces peurs?" Les peurs ne surgissent pas de nulle part. Passez votre vie en revue pour repérer la pulsion initiale. Vous avez peut-être vu votre mère diminuée par une maladie cardiaque, et vous redoutez aujourd'hui la maladie. Ou alors, votre premier amour vous aura trahi et, pour cette raison, vous vous méfiez des liaisons romantiques. Connaître ces causes donne un cadre à vos réactions actuelles. Soupesez l'information pour voir comment un traumatisme antérieur non résolu influe sur vos relations amoureuses actuelles.

 

"Quelles personnes ou situations éveillent ma peur?" Sachez ce qui vous fait réagir pour ne pas succomber aux mêmes réactions négatives. Si vieillir vous terrorise, est-ce alors la le flirt avec de jeunes et superbes jeunes femmes qui vous rassure? Cerner le déclic vous donne le choix de réagir sans peur grâce aux stratégies ci-dessous.

 

"Quels changements puis-je effectuer pour être plus libre? Vous avez maintenant la chance d'agir autrement. Déclarez à votre peur: "Merci de t'être dévouée", puis recadrez-la avec compassion. Voici comment:

 

Il n'y a pas de problème à admettre ce qui suit: "J'ai des insécurités. J'ai été blessé. J'ai vu et subi des choses qui m'ont effrayé. On m'a transmis des messages nuisibles à mon sujet." Pleurez sur tout ça. Discutez-en avec un ami. Fulminez.

 

Puis ayez le courage de substituer une solution positive à la peur. Affirmez ceci, par exemple: "On s'occupera de moi, je ne serai pas abandonné dans mon grand âge." Ce renversement mental s'oppose à la peur par une vérité positive qui changera votre perception de vous-même et d'autrui.

 

Atténuez la tension en délimitant des frontières.

Les quatre questions indiquées plus haut visent à faire bouger vos émotions. Remarquez quelles craintes font surface durant l'état de veille et en dormant; elles vous donneront une idée claire de ce qu'il faut affronter et transformer. Prêtez particulièrement attention aux rêves; plus ils sont terrifiants, mieux c'est. Votre subconscient dresse généreusement des scènes qui dramatisent vos pires angoisses en vue de les guérir. Ces rêves peuvent être bouleversants - impossible de sonder la peur sans désagrément -, mais investissez dans cette information pour atteindre la liberté... Voyez si les quatre questions ne suscitent pas des rêves qui purgent vos facteurs anxiogènes...

 

Si la source de nos peurs demeure inconsciente, nous ne sommes que des marionnettes à la merci de ces émotions. Par conséquent, nous souffrons à la fois sur les plans physique, affectif et spirituel. Que ce chapitre sur la première transformation vous permette de braver la peur et de faire appel au courage pour vaincre ce monstre ingérable. Relevez le défi. Les "stratégies pour la libération vous donneront accès au pouvoir. Mettez-les en pratique, pas seulement momentanément, mais jour après jour. La peur ne peut jamais l'emporter si vous demeurez conscient et que vous vous remettez sur pied chaque fois que vous faites une chute - mais nous sommes tous contraints de capituler quelques fois. Rassemblez le courage de vaincre la peur en faisant appel à votre corps, votre cerveau et à votre cœur. Puisez à même votre connaissance de la biologie, de la spiritualité, de la puissance énergétique et de la psychologie pour confondre la peur et la déjouer par l'intuition. Sachez que la conquérir est un exploit valeureux...

Imaginez un bouton de rose bien serré qui ne peut pas s’ouvrir de force, il doit être autorisé à se s’épanouir en douceur, dans le lâchez prise qui n’est pas le laisser aller, c’est différent. La peur est une force irrésistible - on peut l'utiliser pour nous aider à déployer pleinement dans le moment présent et de transformer l'énergie peur en énergie sacrée.

Reconnaître et nommer le sentiment est la première étape. Je susciter la curiosité au sujet de la peur. Où puis-je la sentir? Dans mon corps, ma gorge, la poitrine, le plexus solaire, l'estomac, ma respiration ? Cet acte de témoignage a invité dans un autre niveau de conscience. Maintenant, il ya la peur et il ya prise de conscience. Je commence volontairement à respirer spontanément plus pleinement.

Faire preuve d'auto-compassion. Je remarque que cette peur est comme un enfant qui souffre. Je berceau de la peur, je me rassure intérieurement ou à haute voix. Je mets mes mains sur ma gorge et mon cœur, et le confort de la peur. "Bonjour la peur. Je t’accueille sans résister. C'est normal de se sentir effrayé. Je comprends." Je mets mes mains sur mon coeur. «Je t'aime. Je suis désolé." Je pleure si possible, pour mieux laisser s’exprimer mon enfant intérieur. Une bonne crise de larmes libère du stress, les larmes annule la cortisol, l'hormone du stress.

La compassion pour soi et pour les autres est une énergie nourricière, cela crée un sentiment d'amour et nous connecte aux autres.

Conscience, acceptation,  reconnaissance et confiance en découlent. 
J'ACCEPTE que c'est ce qui se passe. C'est ce qui est. 

http://www.energika.org/transformation-puissantes-a03716062.htm

 

 

La phytothérapie contre les peurs

 

  • le kawa-kawa : antispasmodique, sédatif, antalgique, hypnotique 

  • la valériane, pour celui qui recherche le contrôle intellectuel en toutes situations 

  • L’aubépine, contre les palpitations

  • La mélisse contre les palpitations, faux angors, spasmes digestifs, crises nerveuses, migraines, et augmente la confiance en soi

  • La ballote dans les contextes hystériques 

  • La gentiane jaune ou grande gentiane, avec laquelle on prépare un apéritif bien connu, est aussi, par ses xanthones, pourvue d’une action inhibitrice de la mono-amino-oxydase, qui limite l’élimination trop précoce des neurotransmetteurs, tels la  sérotonine, neurotransmetteur important, en cas de déficit, le sujet est plus sensible à la peur.

  • La passiflore aide à lutter contre les angoisses émotionnelles et favorise l’endormissement 

La passiflore, l’eschscholtzia, le tilleul, les fleurs d’oranger… améliorent le sommeil : 

Les bonnes huiles essentielles

  • HE Néroli : appliquer 2 gouttes sur le plexus cardiaque 

Angoisse :

  • HE Lavande vraie 1 ml 

  • HE ylang-ylang 1ml 

  • HE Ravensare aromatique1 ml 

Trois gouttes du mélange sur plexus solaire ou face interne des poignets.

Les pouvoirs des bourgeons

Le matin : 50 gouttes + eau : Ficus carica (figuier) Bg Mac Glyc 1D1 flacon 125ml 

Le midi : 50 gouttes + eau : Crataegus oxyacantha (aubépine) 

Le soir : 100 gouttes + eau : Tilia tomentosa (tilleul)

Quelques compléments nutritionnels

  • Bioline® (oméga-3) : restaurer la fluidité membranaire, 2 fois 2 gélules par jour 

  • Quiet full® (stress) : 2 fois 2 gélules 

  • Cynorrhodon vit. C® : 2 fois 2 gélules 

 

  •  Safralite 30 

Le safran aide à favoriser la relaxation et à maintenir une humeur positive et contribue à l'équilibre émotionnel chez les personnes soumises à un stress chronique ou présentant une altération chronique de l'humeur ... Safralite améliore l'humeur et permet de retrouver optimisme et sérénité en augmentant la concentration en sérotonine cérébrale à 2 niveaux. SAFRALITE30 (en vente libre en pharmacie ou internet)  inhibe la recapture de la sérotonine (principe d'une certaine classe d'anti-dépresseurs, qui eux entraînent dépendances et effets secondaires). Composition : extrait de griffonia simplicifolia, extrait de safran 30 mg, zinc, vitamine B6.
Contre-indications : enfants en bas âge, femmes enceintes ou allaitant.

 

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En urgence : Association de 5 élixirs de fleurs de Bach (Prunus, Clématite, Impatience, Hélianthème, Ornithogale en ombelle), pour la gestion des situations d'urgence, de tout choc physique ou psychique, ou pour affronter un événement qui fait peur. 

 

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03/06/2020
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