Les Catalyons
Les Catalyons sont des oligo-éléments naturels ionisés. Ils sont obtenus par la dissolution électro-catalytique des métaux dans l’eau purifiée, aboutissant à la formation d'ions de ces métaux. Ceci leur confère un haut degré d'assimilation biologique. Les Catalyons présentent plusieurs
La forme ionisée : les Catalyons, par leur nature d'ions "entourés" par des molécules d'eau, sont "prêts à l'emploi" car le métal sous forme ionisée est capable d'activer une enzyme.
Le transporteur des Catalyons étant l'eau, les Catalyons sont directement assimilables contrairement aux oligo-éléments liés à des transporteurs chimiques ou sous formes solides.
L'absence de toxicité : Leur concentration ne dépassant jamais les apports nutritionnels, il n'existe aucun risque de toxicité.
La dynamisation : Les oligo-éléments Catalyons sont dynamisés pendant le processus de fabrication par un procédé Vortex-Aimant.
Les Catalyons sont des catalyseurs indiscutables qui interviennent personnellement dans les diverses synthèses et régulations cellulaires nécessaires au maintien de la vie. Parmi les oligo-éléments ionisés Catalyons, vous pouvez retrouver les principaux oligo-éléments ionisés (chrome, cuivre, fer, manganèse, magnésium, sélénium, silicium, zinc…) mais aussi des oligo-éléments ionisés moins connus comme le molybdène, le bore…
Les oligo-éléments sont des éléments minéraux nutritifs indispensables à notre organisme, mais en quantités très faibles car à des doses élevés, ces mêmes minéraux seraient toxiques pour l'organisme. L'effet d'un oligo-élément dépend de sa dose. Lorsque l'oligo-élément est dit essentiel, l'absence, comme un apport excessif peut entraîner des problèmes sérieux rarement létaux
Parmi ces substances indispensables, on distingue : - Les macro-éléments ou éléments minéraux majeurs : Na, K, Cl, Ca, P, Mg - Les oligo-éléments ou éléments en traces : Fe, Zn, Cu, Se, I, …
Déjà, depuis l’Antiquité, on avait remarqué que l’eau contenue dans des récipients d’argent restait potable plus longtemps. L’argent était utilisé pour aider à la conservation bien avant que ne soient démontrées les propriétés bactéricides du métal. La Bible et l’Odyssée témoignent de l’emploi d’un minéral, le soufre, dans la désinfection des habitations. Soufre que les Romains avaient coutume d’utiliser pour traiter les affections de la peau. Quant aux Egyptiens, ils avaient remarqué que le zinc appliqué sur une plaie permettait d’accélérer le processus de cicatrisation.
Quelques siècles plus tard, au Moyen-âge, le moine Basile Valentin (XIIIème siècle) serait parvenu à soigner les goitres grâce à l’administration d’éponges marines, sorte de réservoirs d’iode, à ses patients. Tous pratiquaient en fait l’oligothérapie sans le savoir, et sans en connaître encore les fondements scientifiques.
L’histoire de l’oligothérapie commence réellement vers la fin du XIXème siècle. C’est le français Gabriel Bertrand qui a utilisé ce terme pour la première fois. Chercheur à l’institut Pasteur (Paris), il travaillait sur la composition des tissus vivants et sur les réactions qui caractérisent leurs activités biologiques.
Ses travaux s’avèrent décisifs en 1894 quand il démontre l’existence de traces de minéraux : ils jouent un rôle essentiel dans le développement des végétaux et des organismes vivants. Gabriel Bertrand les baptise oligo-éléments, parce qu’ils sont présents en quantités infimes et que le mot grec ‘oligo’ qui signifie ‘peu’ illustre parfaitement ce nouveau concept scientifique.
Suite à ces travaux et bien d’autres, le milieu du XXème siècle voit la naissance de l’oligothérapie, médecine naturelle, qui consiste à prévenir ou soigner par l’administration d’oligo-éléments.
Les oligo-éléments sont des modificateurs de terrain. C'est le terrain qui fait la maladie, pas le microbe. Le microbe ne peut se développer que sur un certains terrain.
L’oligothérapie est une médecine complémentaire de la médecine allopathique, qui ne se substitue pas à elle. Elle consiste à administrer des oligo-éléments à faible dose dans l’organisme pour améliorer l’état de santé général d’un patient, pouvant ainsi éviter le recours à des traitements plus lourds. L’oligothérapie agit aussi bien sur la cause du problème que sur les symptômes.
Le recours à l’oligothérapie se fait dans les principaux cas suivants :
- Pour prévenir un déficit ou une carence,
- Pour compenser un déficit ou une carence,
- Pour obtenir un effet thérapeutique en complément d’autres recours médicaux, lors de différentes maladies.
L’oligothérapie permet d’intervenir en douceur, et en amont, pour prévenir les déséquilibres ou en complément d’autres soins allopathiques, pour soulager les symptômes ressentis.
La plupart du temps, il n'existe pas de contre-indication. Les oligo-éléments sont très bien tolérés et généralement sans effets secondaires.
Même si aujourd'hui vous pouvez vous procurer librement des oligo-éléments aux dosages parfaitement étudiés pour un profil type, l'avis de votre pharmacien ou de votre médecin peut vous aider à définir lesquels vont vous convenir et vous aider à retrouver forme et santé, surtout si vous êtes dans une situation particulière (période de croissance, convalescence, grossesse en cours, ...).
Source : http://www.granions.fr/oligotherapie
Comment prendre Thyroïyon?
Il est conseillé de prendre 1 bouchon 15 minutes avant le repas ou le soir au coucher. Avaler sans diluer. Ne pas consommer en cas d'hyperthyroïdie.
Précautions
Respecter la dose journalière indiquée. Tenir hors de portée des enfants. Ne peut se substituer à une alimentation variée, équilibrée et à un mode de vie sain.
CUIVRE : bactéricide et virucide Moins efficace si déficit en œstrogène. |
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Pathologie |
Action |
Utilisation |
Arthrose |
Améliore l’intégrité et l’élasticité du cartilage, module la réaction inflammatoire, action sur la douleur |
Oral : En association avec souffre, silicium |
Arthrite |
Modère la réaction inflammatoire |
Oral |
Pathologie inflammatoire |
Anti-infectieux, anti-inflammatoire, cicatrisant |
Oral : En association avec sélénium, or |
Etat infectieux |
Anti-infectieux, anti-inflammatoire, cicatrisant |
Oral : En association avec argent, bismuth |
Etats grippaux |
Anti-infectieux, modère la réaction inflammatoire |
Oral |
Angine – Maux de gorge Laryngite – Gingivite |
Anti-infectieux, anti-inflammatoire |
Local Oral |
Brûlures |
Cicatrisant |
Oral et Local |
Conjonctivite |
Anti-infectieux, anti-inflammatoire |
Oral |
Entorse - Foulure |
Anti-inflammatoire |
Oral |
Chondro-calcinose |
Anti-inflammatoire |
Oral |
Rhinite – rhinite allergique Sinusite - rhino-pharyngite trachéite |
Anti-infectieux, anti-inflammatoire |
Oral et local : En association avec l’argent |
Jambes lourdes Varices- varicosités |
Essentiel pour la qualité du tissu conjonctif veineux, du tissus vasculaire et la synthèse du collagène. |
Oral |
Ostéoporose |
Intervient dans la synthèse du collagène. La baisse du taux d’œstrogène altère l’absorption de cet oligoélément. |
Oral |
Rides |
Essentiel à la synthèse du collagène |
Oral |
Tendinite |
Modère la réaction inflammatoire |
Oral |
L’argent colloïdal. Bactéricide hors pair, germicide par excellence, antibiotique naturel, l’argent colloïdal est source de plusieurs guérisons « miraculeuses » que les sceptiques ne sont pas prêts d’accepter. Et pourtant, les faits parlent d’eux-mêmes. Se guérir d’une hépatite, d’un cancer, d’une vilaine grippe ou d’une affection de la peau? La réponse se trouve sous le couvercle d’une petite bouteille opaque dont la solution aqueuse renferme des ions d’argent et d’infimes particules d’argent dites colloïdales, c’est-à-dire en suspension. L’argent colloïdal élimine plus de 650 espèces de microbes, virus, bactéries, parasites, moisissures, champignons et mycoplasmes, dont certains en quelques minutes seulement. Le tout sans aucun effet secondaire nocif connu? Allons donc! Ce serait trop beau pour être vrai.
Je vous avais averti.
Et ce n’est pas tout.
La préparation de cette substance ne requiert ni laboratoire, ni connaissances poussées en chimie ou en pharmacologie. Le tout peut être préparé avec des instruments et une technique dont la simplicité est déconcertante. Pas étonnant que le cartel pharmaceutique en interdise la vente dans plusieurs pays et qu’aucune recherche « officielle » n’ait été financée par ledit groupe. Il est de loin préférable pour leurs profits que cette information soit le plus méconnue possible. Alors à nous de jouer.
BREF HISTORIQUE
L’utilisation de l’argent pour traiter maladies, brûlures, blessures et autres joies de la vie corporelle n’est pas récente. L’argent colloïdal n’est pas un nouveau traitement ou une découverte récente, c’est plutôt un « remède de grand-mère », moyennant que cette grand-mère ait vécu à une époque très lointaine ;-). Depuis la plus haute antiquité, et peut-être même avant, l’argent était déjà connu pour ses propriétés germicide et bactéricide. Voici ce qu’en dit Frank Goldman dans son livre Une arme secrète contre la maladie : l’argent colloïdal :
Il était employé dans des ustensiles destinés aux enfants afin de les protéger contre des maladies dont l’origine n’était pas connue à ces époques. L’expression « Être né avec une cuillère d’argent dans la bouche » vient de ce phénomène, son utilisation récente comme indication de richesse n’est qu’une conséquence. Les Vénitiens transportaient eau, vin et vinaigre dans des réservoirs en argent pour les conserver ; lors de la conquête de l’ouest américain, les pionniers protégeaient leur réserve d’eau, de lait et d’aliments en plaçant des pièces de monnaie en argent dans leurs outres, barriques ou récipients pour en préserver la fraîcheur. Alexandre Le Grand (356-323 av. J.C) transportait son eau dans des récipients argentés. La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient leurs boissons dans des coupes en argent.
L’utilisation médicale de l’argent a une longue tradition, les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l’apogée de la phytothérapie du temps d’Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus de 230 plantes médicinales dans son ouvrage « Corpus Hippocraticum », science à laquelle il avait été initié par son père, Héraclide. Il la développa et l’exerça en tant que médecin itinérant au cours de ses voyages en Asie Mineure et en Grèce et, à cette époque, il enseigna à ses disciples que la fleur d’argent (poudre extra-fine) cicatrisait les blessures ulcérées.
De nombreux médecins, alchimistes, comme Pline (78 après J.C), Gerber (702-765), Avicenne (980-1037, Paracelse (1493-1541) conseillaient l’usage médical de l’argent.
Au Moyen Âge, les médecins arabes employaient l’argent dans le traitement des palpitations et des rétentions hydriques. Pour les alchimistes, l’argent correspondait à la lune (macrocosme) et à la tête (microcosme), il fut donc administré aux fous et aux épileptiques. C’est au XVIIIe siècle que le nitrate d’argent devint une thérapeutique de choix pour le traitement des plaies, des ulcères et de la plupart des affections de la peau.
On comptait plus de 60 préparations à base d’argent dans la pharmacopée du XIXe siècle.
En 1869 le scientifique Ravelin indiquait que l’argent à doses infimes déployait des effets antimicrobiens.
En 1881 le gynécologue de Leipzig, Carl Sigmund Franz Crède (1819-1882), recommandait de prévenir l’inflammation de l’œil du nouveau-né par le traitement d’une solution à 1 % de nitrate d’argent. Les résultats étaient tellement impressionnants qu’on a ordonné ce traitement, nommé « Prophylaxie Crède », pour les nouveaux-nés ! Avec l’instauration de cette pratique, le taux d’ophtalmie des nouveau-nés tomba rapidement de 10 % à 0,2 %. En conséquence, cette pratique devint obligatoire aux USA et dans la plupart des pays européens.
En 1893, le botaniste suisse Von Nägeli (1871-1938) découvrait que la concentration de seulement 0.000 000 1 % des ions argentés suffisent pour tuer le germe spirogyre (une algue verte d’eau douce, se présentant sous la forme de filaments) qui se trouve dans l’eau fraîche.
Les propriétés anti-infectieuses de l’argent colloïdal furent énoncées au début du XXe siècle.
Les Chinois utilisent l’acupuncture depuis environ 7 000 ans. Ils ont rapidement découvert l’effet antimicrobien des aiguilles en argent. On peut penser que des milliers d’acupuncteurs de par le monde utilisent aujourd’hui des aiguilles argentées pour l’acupuncture.
L’argent est toujours utilisé dans la médecine traditionnelle indienne (ayurvédique), entre autres pour traiter fièvres chroniques, inflammations intestinales, hyperactivité de la vésicule biliaire et ménorragies.
En 1928, Krause eut l’idée de placer un revêtement d’argent dans des systèmes de filtration pour l’eau domestique. Actuellement, plus que la moitié des lignes aériennes mondiales emploient l’argent pour traiter l’eau des avions destinée aux usagers. Les Américains et les Russes ont choisi un système de traitement de l’eau à base d’argent pour leurs navettes spatiales.
Aux É.-U., des villes ont choisi l’argent pour traiter les eaux usées, dans certains hôpitaux l’installation de système d’ionisation argent/cuivre ont permis d’éradiquer la Legionella Pneumophila de leurs réseaux d’eau chaude.[1]
LA MAGIE DE L’ARGENT COLLOÏDAL
L’argent colloïdal en usage externe peut être utilisé pour accélérer la cicatrisation des brûlures et de diverses blessures ou encore pour soigner une panoplie d’affections de la peau, des yeux, des oreilles, etc. Il est communément bu afin de combattre efficacement et rapidement toute infection virale ou bactérienne. Même que plusieurs personnes (moi inclus) en prennent quotidiennement de façon préventive et/ou en tant que complément alimentaire. Il peut aussi être vaporisé dans les voies respiratoires à l’aide d’un nébuliseur ou même utilisé en intraveineuse dans les cas plus graves. Bref, à la sauce du jour, selon vos maux. Traiter ces types de pathologie est une chose, mais qu’en est-il des maladies plus graves telles que les cancers?
L’argent colloïdal a plus d’un tour dans son sac. Il ne lui suffisait pas d’être un antibiotique, un germicide et un bactéricide hors du commun, il lui fallait plus. Et plus, il est. Le Dr Becker, auteur de The electric body (1985), a étudié le mécanisme par lequel les ions d’argent régénèrent les tissus et voici une des conclusions à laquelle il est arrivé :
Les ions d’argent forment un complexe avec les cellules vivantes autour de la blessure pour produire des cellules-souches immédiatement convertibles. Le résultat net de cette conversion est que les cellules-souches fournissent toutes les composantes nécessaires à la restauration complète de toute structure atomique.[2]
Nous parlons donc ici de régénération des tissus, rien de moins! Un délire de science-fiction? Un leurre? Je vous entends presque dire : « Si c’est trop beau pour être vrai… ». Mais lorsque nous saisissons la mécanique de profit du monde dans lequel nous vivons, nous comprenons rapidement qu’une telle panacée n’est aucunement rentable. En effet, si tous les « gens du peuple » arrivent à se guérir de la majorité des affections qu’ils subissent, le cartel pharmacomédical en prendrait pour son rhume :-). Et c’est exactement la raison pour laquelle aucune étude sérieuse (officielle) des bienfaits de l’argent colloïdal n’a été entreprise par l’establishment médical. Beaucoup d’informations sur le sujet sont tout de même disponibles et l’AC peut se faire à l’aide d’une simple électrolyse.
Voici une liste non exhaustive (recueillie sur le Net ) de pathologies pour lesquelles l’argent colloïdal s’est avéré efficace :
Abcès, Acné, Allergies, Amygdales, Angines, Aphtes, Arthrite, Asthme, Blessures, Plaies, Bronchite, Brûlures, Coups de soleil, Cancer, Candida albicans, Cellulite, Colite, Conjonctivite, Maladie de Crohn, Soins du cuir chevelu, Dents (carries), Diarrhée, Eczéma, Fatigue chronique, Infection de l’estomac, Fibromyalgie, Gale, Hépatite C, Herpès, Hidrosadénite, Ulcères d’estomac, Diabète, Choléra, Malaria, Peste bubonique et Lèpre, HIV/Sida, Infections des poumons, Infections cutanées, Problèmes de foie, Yeux, Oreilles, Reins, Vessie, Voies urinaires, Intoxication alimentaire, Kystes, Levures, Maladie de Lyme, Moisissures, Mycoses, Pancréatite, Pellicules, Mauvaise haleine, Pneumonie, Rhumes et Grippes, Saignements, Sclérose en plaques, Sinusite, Stérilité, Teigne, Varicelle, Verrues, Zona…
D’autres exemples de pathologies sont présents dans le livre de Frank Goldman.
Pour en savoir plus et notamment sur LA FABRICATION D’ARGENT COLLOÏDAL
Cet excellent article : argent coloidal
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