Notre pouvoir démontré par les expériences cliniques
Vous avez sans aucun doute entendu parler de certaines miracles de guérison, certains se sont produits à Lourdes.
Pour les esprits cartésiens, non croyants, il y a une explication qui n'a rien à voir avec la volonté divine.
Un nouveau miracle accidentel notoire s'est produit dernièrement lors d'une expérience contrôlée.
Il s'est produit à l'Université d'Otago, en Nouvelle-Zélande, lors d'une étude visant à soulager la douleur chronique.
L'un des sujet de ces études, porté volontaire en raison de douleur au niveau du bassin suite à une chute en 2020, a vu un autre de ses problèmes se résoudre miraculeusement.
La patiente âgée de 80 ans, était en effet aveugle, souffrant d'un glaucome, une maladie chronique du nerf optique, qui lui a fait perdre la vue depuis 12 ans.
Le miracle est qu'elle a retrouvé la vue !
Et le plus incroyable est qu'elle ne faisait même pas partie du groupe de participants qui a testé le traitement, mais du groupe "contrôle", toujours présent lors d'un essai clinique afin de vérifier son efficacité. Cette femme a donc reçu... un placebo.
L'essai clinique avait pour but d'examiner les effets de la stimulation cérébrale sur la douleur chronique.
On aurait pu imaginer que la stimulation cérébrale aurait eu un effet, mais elle ne l'a pas eu ! Elle a crut qu'elle l'avait eu par contre !
Placebo : l’effet croyance
En médecine, on enseigne vaguement aux étudiants, que le mental peut affecter le corps.
Mais aucune démarche thérapeutique ne met en pratique ce principe démontré par la science.
On leur apprend que certaines personnes vont mieux quand elles croient (même à tort), qu’on leur administre un traitement efficace.
Lorsque le patient se sent mieux après avoir avalé un comprimé de sucre, la médecine appelle ce phénomène effet placébo.
Bien entendu le principe selon lequel le mental peut guérir le corps, ne serait pas très lucratif pour les compagnies pharmaceutiques.
Rob Williams, fondateur de PSYCH-K, un système de traitement psychologique basé sur l’énergie, affirme qu’il serait plus juste de qualifier ce phénomène d’effet perception. on peut aussi l'appeler : effet croyance, afin de souligner que nos perceptions, exactes ou inexactes, agissent concrètement sur le comportement et le corps…
Une étude de la Baylor School of Medecine, publiée en 2002 dans le New England Journal of Medecine, a évalué la chirurgie dans le cas de douleurs débilitantes sévères au genou. Le principal auteur de l’étude, le Dr Bruce Moseley, « savait » que la chirurgie aidait ses patients. « Tout bon chirurgien sait qu’il n’y a pas d’effet placebo en chirurgie ».
Or, Moseley tentait de comprendre quelle partie de la chirurgie soulageait ses patients.
Dans son étude, les patients se divisaient en trois groupes.
Dans le premier groupe, Moseley avait cureté les cartilages du genou endommagé de ses patients ; Dans le deuxième groupe, il avait lavé l’articulation et retiré la matière qu’il croyait être la cause de l’inflammation.
Ces deux procédures constituent en effet le traitement courant dans le cas d’arthrite du genou.
Quant aux patients du troisième groupe, ils avaient subi une « fausse » chirurgie. OU chirurgie fictive, après leur avoir administré un sédatif, Moseley fit les trois incisions habituelles, parla et agit comme durant une véritable opération, et aspergea même le genou d’eau salée pour simuler le bruit d’une procédure de lavage. Au bout de quarante minutes, il recousit les incisions comme dans une chirurgie. Aux trois groupes, il prescrit les mêmes soins postopératoires, dont un programme d’exercices.
Les résultats furent incroyables. Bien sûr, comme on s’y attendait, les groupes ayant subi une chirurgie s’étaient améliorés. Cependant, le groupe placebo s’était amélioré tout autant que les deux autres ! Malgré le fait qu’il y ait actuellement 650 000 chirurgies du genou, coûtant chacune 5 000 $, pour Moseley les résultats étaient clairs : « mes talents de chirurgien n’ont été d’aucune utilité à ces patients. L’avantage d’une chirurgie pour l’arthrose du genou est entièrement attribuable à l’effet placébo »…
Effet placebo et antidépresseur… le professeur de psychologie Irving Kirsch, de l’université du Connecticut, découvrait que 80% de l’effet des antidépresseurs, tels que mesuré en essais cliniques, serait imputable à l’effet placebo…
Autre fait intéressant à noter sur l’efficacité des antidépresseurs : les performances en essais cliniques s’est améliorée au fil des années, ce qui laisse penser que leur effet placebo est partiellement attribuable à un bon marketing. Plus le miracle des antidépresseurs était vanté dans les médias et en publicité, plus ceux-ci devenaient efficaces. Les croyances sont contagieuses ! Nous vivons maintenant dans une culture où les antidépresseurs fonctionnent, parce que les gens y croient !
Si l'effet placebo à un effet positif, l'effet négatif est tout aussi opérant !
L'effet nocebo : l’effet des croyances négatives
Si la pensée « positive » peut vous sortir de la dépression et guérir un genou endommagé, imaginez un peu ce que la pensée négative peut faire dans votre vie ! Le phénomène de l’esprit, qui par la suggestion positive, améliore la santé, est connu sous le nom de placébo. En revanche, lorsque le même esprit est absorbé par des pensées négatives susceptibles de nuire à la santé, cet effet négatif est appelé nocebo
En médecine, l’effet nocebo peut s’avérer aussi puissant que l’effet placébo, ce que vous devriez avoir à l’esprit chaque fois que vous consultez un médecin. Par leurs paroles et leurs attitudes, les médecins sont à même de transmettre aux patients des messages décourageants qui peuvent induire des symptômes voir des troubles graves…
Dans l’émission « Placebo : Mind Over Medecine, diffusée en 2003 sur les ondes de Discovery Health Channel, … le passage le plus touchant présente un médecin de Nashville, Clifton Meador, lequel avait réfléchi pendant trente ans au pouvoir potentiel de l’effet nocebo. En 1974, le Dr Meador avait un patient du nom de Sam Londe. Cet homme, un vendeur de chaussures à la retraite, souffrait du cancer de l’œsophage, considéré comme fatal à l’époque. Londe fut traité pour ce cancer, mais toute la communauté médicale « savait » que son cancer reviendrait. Ce ne fut donc pas une surprise lorsque l’homme mourut, quelques semaines après son diagnostic.
La surprise vint après la mort de Londe, lorsque l’autopsie révéla que les tumeurs étaient bénignes. Il présentait quelques taches au foie, et une autre au poumon, mais aucune trace de ce cancer de l’œsophage qui état censé l’avoir tué. Il était bel et bien question d'une erreur de diagnostique.
Le Dr Meador fit ce commentaire à la télévision : « cet homme est mort avec le cancer, non pas du cancer. ».
De de quoi Londe est-il mort, si ce n’est du cancer de l’œsophage ?
Est-il mort parce qu’il croyait qu’il allait mourir ? Ce cas hante encore le Dr Meador, trente ans après le décès de Londe : « je pensais qu’il avait le cancer. Il pensait en être atteint. Tout le monde autour de lui le pensait … ne lui aurai-je pas fait perdre espoir, d’une certaine manière ? »
De tels cas de nocébos suggèrent que les médecins, les parents et les enseignants peuvent vous amener à perdre espoir en vous programmant à croire que vous n’avez aucun pouvoir. Que vous êtes condamné.
Nos croyances positives et négatives affectent non seulement notre santé, mais aussi les autres aspects de notre vie. Vos croyances agissent comme les filtres d’un appareil-photo : elles changent votre façon de voir le monde. Et votre biologie s’adapte à vos croyances. Lorsque nous admettons réellement que nos croyances ont un tel pouvoir, nous détenons la clé de la liberté. Nous ne pouvons changer les matrices de notre code génétique, mais nous pouvons changer notre esprit…
Une fois que vous avez intégré et pris conscience de tout cela, on peut alors se demander, dans quelle mesure, tout ce tapage médiatique et ces articles ou post listant tous les symptômes imputés au "méchant" virus qui a sévi, n'ont pas conduit bon nombre de personnes pris de peur, à produire ces symptômes ! Tel un conditionnement opérant.
Biologie des croyances
Le dogme central de la biologie s’est appuyé sur le déterminisme génétique, la croyance que le vivant est régi par les gènes mais à sens unique. Comme si le gène peut régir le corps, mais sans envisager que l’environnement, l’intention, l’état d’esprit, les sentiments, les croyances, ce que nous mangeons, en fait TOUT ce qui nous nourrit, peut modifier le code génétique.
Hors, les recherches actuelles nous démontrent par exemple que les émotions positives détendent le gène au cœur de chaque cellule du corps humain, provoquant des effets positifs sur l’immunité, entretenant la joie de vivre, la résistance, la jeunesse. D’autres approches vont dans le même sens en stipulant que l’état d’esprit positif attire des évènements positifs. Inversement, les émotions négative crispent le gène et produisent maladie, déprime et tout un cortège de désagrément physique et mental. Et l’attraction des évènements négatifs.
Comme disait Einstein " rien ne peut être résolu sans changer le niveau de conscience qui l'a engendré, on le vérifie aujourd'hui en biologie épigénétique, des mutations par le développement de nouveau brins, ou hélices d’ADN chez l'humain irait de pair avec des modifications de la conscience ( le Dr. Berrenda Fox).
La PNL (Programmation Neuro Linguistique ) a travaille entre autre a remédier, déprogrammer des croyances limitantes.
Pour en savoir plus sur la PNL http://ayeba.fr/les-outils-developpement-personnel/pnl/definition-de-la-pnl/
Voici un vidéo qui s'attache spécifiquement aux croyances limitantes
En référence avec le livre du Dr Lipton "Biologie des croyances :
Quand la pensée positive se gâte.
Avant de poursuivre sur le pouvoir incroyable de l’esprit et sur la façon dont ma recherche sur les cellules m’a amené à comprendre le fonctionnement des voies de communication entre le corps et l’esprit, je viens de clarifier ceci : je ne crois pas qu’une simple pensée positive mène invariablement à la guérison physique. Il est important pour notre santé et notre bien-être de canaliser l’énergie de l’esprit vers des pensées positives, et vivifiantes, et d’éliminer les constantes pensées négatives, qui sont débilitantes. Mais, et j’insiste fortement « MAIS », le seul fait de penser positivement n’a pas nécessairement d’effet sur nos vies ! En réalité, ceux chez qui la pensée positive ne réussit pas deviennent encore plus démunis face à la situation qu’ils croient sans issue, car ils pensent avoir épuisé tous les remèdes de l’esprit et du corps.
Ce que ces décrocheurs de la pensée positive n’ont pas compris, c’est que même si les subdivisions de l’esprit, le conscient et l’inconscient semblent séparés, elles sont interdépendantes. Le conscient est le créatif, celui qui peut créer les pensées positives. En revanche, l’inconscient est l’archivage d’actions-réactions mémorisées, archivage hérité de l’instinct et de l’expérience acquise. L’inconscient fonctionne uniquement par habitude. Il rejoue sans cesse les mêmes réactions comportementales aux signaux de la vie, et c’est déplorable ; combien de fois êtes-vous parti en guerre pour un détail aussi bête qu’un tube de dentifrice ouvert ? Comme, dès l’enfance, on vous a montré à soigneusement remettre le bouchon sur le tube, votre « esprit programmé » s’active et vous vous mettez automatiquement en colère en voyant le tube débouché. Ainsi, vous répétez tout bonnement le mécanisme d’action-réaction d’un programme comportemental stocké dans votre inconscient.
Sur le plan des capacités neurologiques, l’inconscient est des millions de fois plus puissant que le conscient. Si la volonté du conscient entre en conflit avec la programmation inconsciente, laquelle des deux l’emportera à votre avis ? Vous aurez beau vous répéter sans cesse l’affirmation positive que vous êtes digne d’être aimé, ou que votre tumeur cancéreuse se résorbera, si, dans l’enfance, on vous a constamment répété que vous étiez nul et maladif, ce message programmé dans votre inconscient minera vos efforts en vue de changer. Pensez seulement à la vitesse à laquelle votre résolution du Nouvel An, visant à moins manger, à fondu à l’odeur du gigot au four… mais il y a de l’espoir pour les personnes chez qui la pensée positive n’a pas réussi…. Nous verrons cela plus tard….
L’esprit prime sur le corps
… à mesure que les animaux plus complexes ont évolués, les cellules spécialisées ont pris la responsabilité de surveiller et d’organiser le flux des signaux moléculaires régulant leur comportement. Ces cellules se sont constituées en des réseaux de nerfs et un processeur central d’information, le cerveau. La fonction de ce dernier est de coordonner le dialogue des signaux moléculaire dans la communauté. En conséquence, chaque cellule d’une communauté doit obéir aux décisions éclairées de son autorité consciente, le cerveau, lequel contrôle le comportement des cellules du corps. C’est là un point dont il faut tenir compte lorsque nous accusons les cellules de notre corps des problèmes de santé qui nous affectent.
Emotions : comprendre le langage des cellules
Chez les formes de vie supérieures plus conscientes, le cerveau s’est spécialisé pour permettre à toute la communauté de se syntoniser sur ses signaux régulateurs. Le système limbique s’est doté d’un mécanisme unique qui convertit es signaux communicationnels chimiques en sensations que toutes les cellules de la communauté sont aptes à ressentir. Notre conscient ressent ces signaux en tant qu’émotions. Le conscient ne se limite pas à « lire » le flux des signaux de coordination cellulaire qui constituent « la conscience » corporelle. En réalité, il peut également générer des émotions sous la forme d’une émission de signaux régulateurs contrôlée par le système nerveux.
… Candace Pert, étudiait le cerveau humain et comprenait de mieux en mieux les mécanismes du cerveau cellulaire. Dans « Molécules of Emotion », Pert révèle comment, en étudiant les récepteurs d’information situés sur les membranes des cellules nerveuses, elle a découvert que ces récepteurs étaient présents dans la plupart, si non la totalité, des cellules de notre corps. Par ses expériences, elle a établi que « l’esprit » n’est pas uniquement localisé dans la tête, mais réparti dans tout le corps, sous forme de signaux moléculaires. Son travail soulignait en outre que les émotions n’émanent pas seulement d’une réaction à l’information provenant de l’environnement physique. Le mental peut consciemment utiliser le cerveau pour « générer » des « molécules d’émotion » et outrepasser le système. Si la conscience, employée judicieusement, peut améliorer la santé du corps, le contrôle inconscient des émotions peut aisément nuire à un corps en santé…
Les croyances contrôlent la biologie
… nous avons la capacité d’évaluer consciemment nos réactions aux stimuli et de changer nos vieilles réactions n’importe quand … après nous être occupé du puissant inconscient… dès lors nous ne sommes donc pas esclaves de nos gènes ni de nos comportements autodestructeurs…
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 1947 autres membres