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● Maux de dents ou mots dedans ?

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MAUX de dents ou mots dedans ? Approche somato-émotionnelle des problèmes dentaires

 

SOCRATE DISAIT : "LES MOTS DOIVENT FRANCHIR LA BARRIÈRE DES DENTS"

 

 Comme l’explique Estelle Vereeck dans son livre LANGAGE DES DENTS, "quand nous n’osons pas les prononcer, les mots qui ne peuvent franchir cette barrière se transforment en maux… de dents !"

 

Par ailleurs, ne dit-on pas "Avoir une dent contre... " ??? 

 

Décoder le sens de ses problèmes dentaires

Nombre d’idées reçues nous font attribuer nos problèmes dentaires au hasard ou la fatalité. “J’ai toujours eu de mauvaises dents” ou encore “j’ai hérité des mauvaises dents de mes parents” sont des justifications souvent invoquées. Pour autant, suffisent-elles à tout expliquer ?

 

 

L’analyse psychodentaire

 

Estelle Vereeck a développé l’analyse psychodentaire voir le site  : http://www.holodent.fr

 

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Quand le sucre n’explique pas tout 

 

Invoquer des causes psychosomatiques n’implique pas de nier le rôle du sucre mais de le recadrer dans une perspective plus globale en parallèle avec d’autres facteurs. S’il est établi que sucres et bactéries produisent des acides qui dissolvent les tissus durs de la dent, ce mécanisme chimique n’explique pas tout. Toute dent saine est douée d’une immunité naturelle, à travers un flux interne qui la protège en neutralisant les attaques acides des bactéries. Une dent fragilisée par un stress passé ou présent est une dent qui se défend moins bien. Des expériences montrent que le mécanisme naturel protecteur de la dent se bloque dès lors qu’un stress excessif est vécu par la personne. De nombreuses études cliniques  confirment le lien étroit existant entre stress et caries.

 

Selon l’Association Dentaire Américaine, « les caries apparaissent lorsque les aliments riches en glucides (sucre ou amidon), comme le lait, les sodas, les fruits secs, les gâteaux ou les bonbons, restent en contact avec les dents. Les bactéries vivant dans la bouche prospèrent sur ces restes de nourriture, et produisent de l’acide qui détruit l’émail des dents, ce qui provoque des caries ».

 

Selon le Dr. Weston Price et d’autres pionniers de la médecine dentaire, certains déficits fragilise les dents.  

- Pas assez de sels minéraux dans votre régime alimentaire.

- Pas assez de vitamines A, D, E et K dans votre régime alimentaire

- Trop de nutriments non-naturels (cf. nourriture industrielle) que les intestins ne sont pas capables d’absorber correctement. La présence d’acide phytique influence beaucoup ce facteur.

 

Les aliments à privilégier sont:

  • L’huile de noix de coco, les produits laitiers biologiques (surtout le beurre), la viande biologique ou bleu-blanc-coeur, les fruits de mer ou le bouillon d’os.
  • Les légumes biologiques cuits (les soupes avec du bouillon d’os sont idéales).
  • Les abats, comme le foie.

Limitez les aliments riches en acide phytique, comme les céréales, les haricots, les noix et les graines, tout en limitant l’apport d’aliments transformés plein de farines raffinées et de sucres qui perturbent la glycémie.

Les suppléments à envisager sont les suivants:

  • L’huile de foie de morue – très riche en vitamines liposolubles A, D et K.
  • Le magnésium – nécessaire pour utiliser le calcium et le phosphore efficacement.
  • La gélatine – si vous n’avez pas le temps de faire du bouillon d’os, c’est une bonne alternative et c’est idéal pour les gencives et la digestion.

 

source partiel : www.sante-nutrition.or

Voir :  ce-quon-ne-vous-dit-pas-pour-prevenir-les-caries

 

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Acupression 

 

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Les points énergétiques à traiter en acupression 

 

 

 

 

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Nos dents nous parlent

 

 

HUILE ESSENTIELLE

 

Huile essentielle de clou de girofle antibactérienne et analgésique est extrêmement efficace en application directe sur la dent douloureuse et la gencive ! Effet anesthésiant. Vous pouvez réellement vous passer d'un antalgique. A savoir les amandes aussi ont des propriétés antalgiques. 

ATTENTION: 1 ou deux gouttes et  n'appliquez jamais pure cette l'huile essentielle, toujours diluée dans un support huileux, du miel, un petit morceau de mie de pain ou avec du gel aloe vera. Cette huile essentielle est dermo-caustique, donc à ne pas appliquer pure sur une muqueuse. 

 

 

Voir aussi :  troubles-liees-aux-dents-levres-nez-parole-et-les-approches-corps-esprit

             et :   action-mandibulaire-cranienne-et-cervicale

 

Maux de dents ou mots dedans ?

 

Pour la médecine psychosomatique, le corps parle à travers les maux qui l’affectent. Chaque partie du corps revêt un sens symbolique qui permet de comprendre la signification des malaises et des maladies. L’approche s’applique avec plus de justesse encore à la bouche et aux dents. La bouche est par excellence la zone du corps dévolue à la parole. Les mots qui n’ont pu être verbalisés s’expriment à travers les maux de dents. Ainsi, nulle atteinte (carie, déchaussement, fracture, etc.) n’apparaît par hasard, mais exprime un langage à part entière: le langage des dents, langage du dedans.

 

Écouter le langage des dents

 

Prendre en compte la dimension émotionnelle et psychosomatique des atteintes dentaires est la meilleure chose à faire pour sortir enfin du cercle infernal des maux qui touchent de manière récurrente toujours les mêmes dents. Chaque dent à son langage et chaque atteinte sa signification. Tout message non compris a tendance à se répéter, parfois jusqu’au délabrement complet de la dent. Pour éviter d’en arriver là, il suffit de faire parler nos dents ou plutôt d’écouter ce qu’elles ont à nous dire. Il nous appartient d’en finir avec la fatalité des problèmes dentaires, en décodant les mots du dedans cachés derrière les maux de dent.

 

Quand la dent parle

Ainsi toute atteinte dentaire (carie, déchaussement, dent mal implantée) est l’expression d’une charge émotionnelle qui n’a pu être libérée par la parole. La dent « parle » à notre place en quelque sorte. 

Les dents sont au corps ce que le tableau de bord est à une voiture. La dent qui se détériore, émet un signal douloureux ou pose problème, est avant tout un signal d’alerte que le corps envoie, un voyant rouge qui s’allume sur notre tableau de bord pour nous avertir : « attention, il y a quelque chose qui cloche dans un domaine de ta vie, une émotion que tu n’exprimes pas, un acte que tu refuses de poser, etc. ». 

 

Le besoin exacerbé de mettre des mots sur la souffrance

Il n’est bien sûr pas question de nier le rôle du sucre et des bactéries dans le phénomène de la carie et des problèmes tels que déchaussement ou abcès mais de les mettre en perspective avec les facteurs psychologiques. Si le sucre, dégradé en acides par les bactéries de la flore buccale, contribue à la formation d’une carie, il n’est pas le seul facteur. L’équation sucres=carie ne fonctionne pas. 

Sinon, comment expliquer que certaines personnes à l’hygiène déplorable ne développent jamais de carie et qu’à l’inverse d’autres, pourtant méticuleuses, voient leurs dent se détériorer? Comment expliquer en outre que les caries touchent électivement certaines dents et épargnent miraculeusement les autres, avec lesquelles elles sont pourtant en contact ? Sucres et bactéries ne peuvent agir que sur un terrain préalablement fragilisé. C’est là qu’entre en jeu le psychisme et le vécu personnel. 

Les problèmes dentaires sont le témoin d’une souffrance psychique qui s’exprime de manière préférentielle à travers certaines dents. Pourtant, à l’inverse, l’absence de problèmes dentaires ne signifie pas que la personne n’a aucun problème psychologique. Cela signifie simplement qu’elle ne l’exprime pas au travers de cette partie du corps. 

Les maux de dents surviennent chez les personnes qui ont le besoin exacerbé de mettre des mots sur leur souffrance. C’est le besoin viscéral de parler, de verbaliser qui fait la différence entre la personne qui développe des problèmes dentaires à répétition, à l’exclusion de toute autre maladie, et celle qui n’a pas de problème aux dents mais souffre de maladies organiques (foie, estomac, etc.). 

 

 Un lien étroit existe entre stress et caries.

 

Source : Lasante.net -

psychosomatique-des-problemes-dentaires

 

Dossier d'Odonto-Stomatologie Homéopathique.

 

 

Ce texte est extrait d’un ouvrage du Docteur Geneviève Ziegel (Montpellier) : Psychismes en mouvement ( Novembre 2005 aux Editions internationales de Monaco).

 

 

 

" La souffrance du corps et l'angoisse qu'elle engendre ou dont elle témoigne doit d'abord être entendue, là ; maintenant au niveau synchronique en tant que douleur : " ça fait mal "... G. Besançon.

 

Croquer, manger, dévorer, grignoter, lacérer, mâcher, mâchouiller... Avoir du mordant dans la vie... S'y casser les dents... Avoir la dent longue... Ronger son frein... : le lien avec l'agressivité, avec la capacité à se défendre, à manifester ou verbaliser est ici évident. La parole non dite, bien souvent liée à ce qui en a permis ou non l'expression dans les temps les plus primitifs du développement de la psyché, émerge là.

 

Est atteinte ici la capacité à attaquer, à faire sien l'extérieur, pour en assimiler l'apport et en amoindrir la force agressive. Il n'est donc pas étonnant qu'avoir mal aux dents ou aux gencives, ne puisse en aucun cas être anodin. En même temps qu'est réveillé le souvenir d'une phase des plus primitives, est aussi " posée " la question de ce qui, au travers d'un symptôme si manifestement parlant, vient s'inscrire de cette étape là.

 

La douleur des dents et de son environnement ; que ce soit les gencives ou la langue, ne peut qu'obliger à rappeler de ce qui se met en place au travers de ce tout premier stade évolutif.

 

Le stade oral donne certes la primauté à la bouche comme zone érogène ou source corporelle pulsionnelle mais, y est impliqué bien plus que la cavité buccale. Carrefour aéro-digestif jusqu'à l'oesophage et l'estomac, organes respiratoires ou de la phonation, donc du langage, toucher et peau, organes des sens que ce soit ceux du goût, ceux de l'olfaction, ou de la vision – l’on dit bien " dévorer quelqu’un des yeux ", y sont associés.

 

La perception ne constitue-t-elle pas ici une sorte de préhension ? Sont mis ici, et à l'intérieur de soi, des éléments appartenant au monde extérieur.

 

La première année de la vie est celle où le bébé est le plus sensibilisé à l'apport de nourriture. Avide de caresses, baisers, chatouilles dont est prodigue la mère lors des soins ou en dehors, il associe fondamentalement nourriture avec amour et bien être, englobant dans l'oralité, tous les sentiments qui peuvent y être associés.

 

Sujet à une pulsion orale primaire, le nourrisson suce certes son pouce in utéro mais, l'objet primordial de son désir est toujours représenté par le sein maternel. L'activité substitutive de téter constitue la première expression de la pulsion sexuelle ; elle tente de combler le besoin mais génère aussi du plaisir qui, les deux fonctions devenant bientôt séparées, se maintient peu à peu en dehors de la nourriture.

 

L'excitation des lèvres et de la bouche génère dès lors un auto-érotisme qui se renforce d'autant plus que le nourrisson, se sentant uni fantasmatiquement aux " objets "dans la mesure où il les avale ou les " absorbe ", il éprouve le désir d'autant plus grand de les " incorporer ". L "’objet " constituant une partie de lui-même, le but pulsionnel est ici double : " l'enfant porte à sa bouche tout ce qui l'intéresse et le plaisir d'avoir, se confond pour lui avec le plaisir d'être ".

 

A cette phase évolutive correspondent, bien sûr, des peurs et angoisses orales spécifiques avec, par exemple, repérables parfois dans des phases de régression, la peur d'être mangé retrouvée dans les rêves et les fantasmes de bien des sujets, qu'ils soient psychotiques ou non.

 

Après ce stade oral primitif de zéro à six mois, la succion et l'aspiration sont prévalentes. Elles visent à "l'incorporation" de l'objet.

 

Lors des périodes de frustration, elles constituent une satisfaction auto-érotique de compensation et sont, en quelque sorte, de type masturbatoire. Corps propre et objet extérieur ne sont pas ici différentiés avec ce qui est controversé par certains auteurs (Mélanie Klein en particulier), absence d'amour et haine proprement dits : prime ici le simple plaisir de sucer.

 

Le stade oral tardif de 6 à 12 mois ou stade sadique oral voit apparaître des pulsions que Freud a pu appeler cannibaliques. Dés l'apparition des dents, morsures, mordillements des objets -sein maternel notamment, complètent la simple succion mise en place au stade précédent. Que l'enfant réponde ici à une frustration en se mettant à mordre pour prendre sa revanche, ou qu'il exprime par ce biais une pulsion d'agressivité, l'absorption devient sadique et destructrice : l’" objet" incorporé est vécu comme attaqué, mutilé, absorbé et rejeté comme pour l'annihiler.

 

Il est, dans la période la plus primitive, constitué par la mère ; sensations de tension ou de détente sont liées à sa présence. Tout en la vivant comme il se vit lui-même, en morceaux nullement localisés dans l'espace, l'enfant établit son monde relationnel dans deux directions ; celle d'un auto-érotisme accompagné de masturbation et celle d'une dépendance où les objets ne sont alors, que purement fonctionnels.

 

C'est par le biais de cette alternance entre moments de présence, moments d'absence avec attente frustrante de ce qui peut satisfaire les besoins, que se fait très graduellement leur découverte. La mise en place, d'une différenciation progressive des impressions, en fonction de la capacité à être comblé, amène à ce qu'ils soient, dès lors, vécus, comme sécurisants ou dangereux.

 

S'établit alors, lors de cette phase sadique prégénitale, et à travers les jeux de morsure, une communication avec la mère sous tendue par le désir de retrouver une union avec elle. La composante hostile a, ici, une place prépondérante. L'objet extérieur, ne répondant pas à l'attente, est affecté de haine et, par un mécanisme projectif, devient porteur de l'éprouvé agressif intérieur, pour lequel la manière dont il est reçu prend une importance fondamentale.

 

Le sevrage signe la fin de ce stade oral et constitue dans la trace permanente qu'il laisse, la marque de la relation primordiale à laquelle il vient mettre fin. Indissociable du maternage, il constitue un traumatisme ; la frustration qu'il engendre se vit comme une punition talionique : de fait, les gens nourris tard au sein sembleraient avoir une difficulté à exprimer leur agressivité sans manifester, dans ce même temps, le besoin de s'autopunir.

 

Aïe ! Mes dents...

 

Bon nombre de remèdes peuvent mettre cette rubrique à leur répertoire. Douleurs de tous types, douleurs de toutes localisations, subjectives, objectives, elles sont là, prégnantes, incisives, insistantes, donnant au vécu et à ce qui en est manifesté, une teneur des plus indéniablement pénibles.

 

Peut-être nous bornerons nous ici à évoquer ce que toutes ces expressions fonctionnelles et lésionnelles peuvent rappeler et mettre en acte dans le corps, lié à l'histoire personnelle, héréditaire et fonction de la diathèse prévalente en cause.

 

Le lien stress et immunité n'est certes pas à dire. Il permet de comprendre pourquoi certaines diathèses ou certains types sensibles plus fragiles sont, plus que tout autres, et à certains moments de leur parcours, susceptibles de s’exprimer dans la purulence de leurs gencives ou dans le sang qui en émane. Ils manifestent ainsi ce qui les agresse et contre quoi ils ont si peu de défenses. Peut-être, au delà de l'analyse basique du symptôme qui en est l'expression telle qu'elle se donne à voir, peut-on, pour certains, tenter de comprendre leur maladie et en saisir le langage crypté.

 

La perspective diathésique ouvre ici une porte à la réflexion, donnant au symptôme son véritable sens, dans une double facette englobant tout à la fois le langage des tissus, et celui de la psyché :

 

Tuberculinisme déminéralisé ; celui dont la trame peu solide donne aux dents une propension à la régularité et à une fragilité qui condamne à ce que se creuse ou s'en infecte le centre, ou à saigner très fort lorsque l'irritation à son comble ne peut se formuler que dans la réaction enflammée et au delà des mots...

 

Psore sthénique ou psore refroidie, confinant déjà à la luèse d'Arsenicum Album ; la douleur qui brûle manifeste la nécrose, au point où ne peut s éliminer ce qui reste coincé dans la zone des premiers plaisirs, ceux marqués du sceau de l'interdit et de la précarité de vie.

 

Luèse agitée, confuse, anarchique dans ses réactions et ses manières de se défendre : saignements, douleurs de tous type, de préférence aggravés la nuit, sont ici au rendez vous de ce qui détruit, pour épurer et permettre qu'à grands renforts de sursauts éliminateurs et destructeurs, soit préservée la totalité.

 

Sycose asthénique rétractant ses gencives, se défendant mal et donnant à ses tissus toutes les mornes caractéristiques d'une sclérose active...

 

La diathèse s'exprime et imprime de ses miasmes, soma et psyché.

 

La perspective psychologique démêle mal ce qui appartient au substratum physique et ce qui y est rattaché de l'ordre des modalités dans le ressenti. La sensation d'avoir les dents longues donne-t-elle l'envie de mordre, ou bien l'envie de mordre trop longtemps inscrite dans le passé d'une famille, a-t-elle fini par modeler la matière jusqu'au désagrément qui oblige à une correction ?

 

Le besoin de sucreries a-t-il fini par altérer les dents, au point d'entraîner des troubles générateurs dans un second temps de frustration du fait de l'impossibilité à se laisser aller à sa gourmandise, ou bien est-ce la présence de dents gâtées qui, empêchant toute absorption de ce sucre " consolateur" ou source de plaisir, donne à l'organisme fragilisé par cette absence, sa faiblesse et son agressivité ? Ces dernières ne sont-elles alors réduites à avoir l'impossibilité à s'exprimer autrement, que dans une sorte de somatisation délabrante, active jusque dans la trame des tissus ? La question peut se poser, mais aussi se comprendre dans le fil des générations : " Les parents ont mangé des raisins verts et les enfants en ont eu les dents cariées ".

 

Peut-être peut-on, dans cette perspective, voir s'inscrire diverses causes bien souvent entremêlées, empêchant que ne soit, pour un remède donné, évoquée spécifiquement une seule d'entre elles.

 

N'est-il pas nécessaire que soit entrevue toute la complexité de ce qui se joue, porté par une symptomatologie aussi banale dans son aspect, mais prononcée d'autant plus fort, qu'est profonde l'atteinte somato-psychique ; cette dernière incluant la note héréditaire dans son ensemble ?

 

Dans la perspective homéopathique, le problème apparaît tout à la fois plus simple et plus complexe obligeant, au delà du donné à voir de la symptomatologie, de prendre en compte le sujet qui présente le trouble, le moment où il apparaît, ce qu'il vient signifier de désordre physique, psychique et des deux à la fois. (en lire davantage sur :  homeoint.org )

  

Voir aussi :  troubles-liees-aux-dents-levres-nez-parole-et-les-approches-corps-esprit

          et  enlevez-le-tartre-la-plaque-dentaire-et-les-bacteries-de-votre-bouche avec l'huile de coco

 

 

Pour trouver le sens des maux, consultez ce site :   dicomaux

 

 

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11/12/2013
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