A propos des additifs alimentaires
LE GLUTAMATE MONOSODIQUE
Le glutamate – est un acide aminé excitateur naturellement présent dans le corps ( et tout aliment protéiné) dont la libération excessive peut devenir toxique (phénomène d'excitotoxicité), conduisant à une destruction de la fibre et à une surdité de perception par exemple.
Également appelé glutamate de sodium et GMS, le glutamate monosodique est utilisé comme additif alimentaire - ou tout au moins classé comme tel par l'Union européenne. Stimulateur chimique extrêmement puissant, on le définit comme exhausteur de goût dans l'industrie agro-alimentaire. Cet intérêt fut découvert en 1908 au Japon par le professeur Kikunae Ikeda et un chercheur de l'entreprise Ajinomoto. On le trouve sur les étiquettes des produits alimentaires avec la lettre « E » : E620, E621 le plus utilisé 1500 000 tonnes par an), E631, E632, E635, E637.
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20 ans de silence en France au sujet d'un additif qui est utilisé depuis 1909.
Concernant le nitrite, plus compliqué qu'il n'y paraît !
Une vidéo plus bas, car assez fastidieux à lire.
De nombreuses études tendent à démontrer que le glutamate monosodique (GMS ou MSG), qui se cache derrière à peu près 25 noms différents, est un poison lent.
la recherche scientifique, que le glutamate monosodique, administré à des rats à leur naissance, les rend systématiquement obèses et a pour effet de tripler la quantité d’insuline que secrète leur pancréas… Une découverte très utile pour les scientifiques qui se penchent sur les tests d’études portant sur les régimes amaigrissants ou sur le diabète.
Génétiquement, le rat ou la souris ne sont pas obèses.
Quand on jette un œil sur les produits courants d’une épicerie, cet œil pourrait bien s’agrandir jusqu’à sortir de son orbite parce qu’il y en a partout, de ce glutamate : chips assaisonnées, soupes chinoises, sauces de Heinz, nuoc mam, sauces Kraft, ramen, soupes en boîte… et j’en passe. Tous ces produits n’inscrivent pas MSG, GMS ou glutamate monosodique, mais protéine végétale hydrolysée, monosodium glutamate, monopotassium glutamate, acide glutamique ou, plus subtile, plus difficile à identifier, caséinate de calcium, maltodextrine, extrait solide de lait, extrait de levure, farine de soja, extrait de malt, levure autolysée, gélatine alimentaire, accent,aginomoto, natural meat tenderizer, etc.
Introduit dans l’alimentation américaine il y a plus ou moins 50 ans (en droite ligne venu du Japon où il venait d’être commercialisé), le glutamate est apparu en doses de plus en plus grandes dans les repas préparés, les potages, les collations et la restauration rapide, tous ces auxiliaires de la vie trépidente et surchargée que nous menons dans notre société post-industrielle et de consommation de plus en plus active. Tous les restaurants de type “fast-food” utilisent généreusement le glutamate parce qu’il pousse les gens à manger davantage. D’ailleurs, des études ont prouvé que les personnes âgées mangent plus si du glutamate est ajouté à leur nourriture, ce qui peut être un bien pour elle. Mais qu’en est-il du reste de la population ?
Les premières études constatant les effets secondaires du glutamate datent de 1978 ! Les chercheurs scientifiques et les fabricants de produits alimentaires connaissent depuis très longtemps les dégâts que peut causer à notre santé la consommation systématique de glutamate. Pour vous en convaincre, il vous suffit d’introduire “MSG Obese” sur Google et vous tomberez sur de très nombreux articles et de très nombreuses études médicales sur le sujet…
Un acide aminé faisant fonction de neuro-transmetteur, déjà présent dans le cerveau et qui joue sur les hormones et les neurones. Il est essentiel dans le processus de mémorisation et d’apprentissage. Le problème est qu’il y a une différence de structure moléculaire entre le glutamate naturel biologique et la molécule chimique de synthèse, purifiée, qui n’est pas reconnue par le vivant. Et quand les fabricants nous serinent que le glutamate étant produit par la nature, il ne peut être dangereux, ils nous manipulent : c’est faux ! Ingéré à doses répétitives et régulières, ce produit de synthèse est un poison dangereux, d’autant plus que l’organisme ne peut identifier son goût. Ceci a pour effet que le consommateur dépasse, sans le savoir, son seuil de tolérance.
Selon certains experts (notamment le docteur Russell Blaylock), le glutamate monosodique est une excitotoxine, terme désignant une substance chimique qui excite vos neurones (cellules du cerveau) et qui peut provoquer la mort de ces neurones. Ces experts suggèrent que les excitotoxines comme le GMS peuvent aggraver de nombreux troubles neurologiques tels que la maladie d'Alzheimer et la maladie de Parkinson.
Lisez aussi : Alimentation qui diminue les risques de maladies du cerveau.
D'autres personnes sensibles au glutamate de monosodium (environ 1 sur 5 000 dans le monde, mais 1 sur 50 000 en Asie) ont rapporté d'autres dangers de cette substance :
- Sensations de brûlure dans le dos, le cou, la poitrine, la bouche,
- Migraines
- Engourdissement dans les mêmes régions du corps,
- Paralysie,
- Bronchospasme (difficulté à respirer) chez les personnes asthmatiques qui souffrent d'intolérance au GMS, incapacité à respirer, manque de souffle,
- Enflure,
- Transpiration excessive,
- Picotements ou chaleur au visage, aux mains, au dos,
- Nausées,
- Faiblesse,
- Contraction faciale,
- Accélération du rythme cardiaque,
- Douleurs à la poitrine,
- Crises d'asthme,
- Somnolence,
- Envies de manger des nourritures contenant du glutamate ( le plus souvent malsaines).
Voir aussi les 12 additifs à éviter
Lisez aussi : conseils pour mieux décoder les étiquettes des produits alimentaires.
Ce sont des petits cristaux qui se dissolvent rapidement dans l'eau ou la salive. Une fois dissoute, cette substance se sépare en sodium et en glutamate. Le glutamate est fabriqué en fermentant un féculent et un sucre (comme la canne à sucre, la mélasse)
A certaines doses c'est un neurotoxique. Le problème est donc qu'on le trouve un peu partout dans l'alimentation industrielle. La cuisine chinoise fut la première à l'utiliser, dans 80 % de sa cuisine. Peu coûteux et très efficace pour renforcer la perception du goût et de l'odeur de manière artificielle. On le trouve principalement dans les soupes ou bouillons, sauces, jus de viande, assaisonnements, mélanges d'épices, dans la nourriture transformée, en conserve ou surgelées : viandes, poissons, légumes, plats prêts-à-manger, garnitures, ketchups, mayonnaises, sauces de soja, saucisses, grignotages, produits aapéritifs quelques fromages transformés, poudres pour nouilles instantanées, etc.
L'usage du glutamate monosodique est parfois caché dans les étiquettes alimentaires sous différents noms. Si vous voyez "assaisonnements naturels" (n'oubliez pas qu'il s'agit d'une substance chimique présente à l'état naturel), "protéines hydrolysés" et "épices" dans une étiquette de produit alimentaire, vous voyez probablement une façon cachée d'indiquer la présence du GMS. Soyez donc conscients de sa présence très probable même dans des nourritures que vous pensez dépourvues de de cet additif alimentaire.
Une étude américaine réalisée sur des rats de laboratoire a trouvé que le GMS augmente leur risque d'obésité. Les jeunes rats nourris aux aliments contenant du GMS ont vu tripler la quantité d'insuline produite par leur pancréas, ce qui provoque leur obésité. Certains experts se posent la question de savoir si le glutamate monosodique peut produire le même effet négatif sur les humains, contribuant par là au problème d'obésité dans le monde entier. Source : carevox.fr
Voici la liste de 100 produits courants toxiques à éviter
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