Aérophagie, digestion difficile et homéopathie
Fiche N°5
Aérophagie, digestion difficile et homéopathie
L’aérophagie, rappelons-le, est une déglutition anormale d’air qui a pour conséquence de provoquer une distension de l’estomac parfois considérable et qui produit des troubles de trois ordres : des troubles névralgiques car le malade se plaint de douleurs épigastriques et de douleurs thoraciques ; des troubles cardiaques : il y a souvent des palpitations, toujours accompagnées d’angoisse ; des troubles respiratoires : on observe de l’oppression : le malade a besoin de faire de grandes respirations.
On peut se demander ce qu’on « avale » en même temps que l’air, ou plus exactement ce qu’on « ravale » ou encore qu’est-ce qu’on « gobe »…
Philippe Dransart, homéopathe à Grenoble, associe l’œsophage avec la « capacité d’accueillir, de « faire passer la pilule ». Révolte passive face à une situation que nous avons malgré tout accepté d’avaler. »
Il précise qu’« une fois prise la décision d’avaler, la digestion échappe notre volonté, toute marche arrière est désormais impossible, sauf si l’on emploie des moyens coercitifs (vomissement provoqué, etc.) Lorsque nous avalons quelque chose dont nous ne sommes pas sûrs de l’innocuité, il n’est pas rare de ressentir notre œsophage « avaler la pilule », comme à regret. » On peut alors se poser la question de ce qu’on ne parvient pas à avaler dans notre vie, de ce qu’on accepte pas – ou de ce qu’on ne digère pas. Si quelque chose nous reste en travers de la gorge, nous n’arrivons pas à l’avaler ; mais cette gêne dans l’œsophage « évoque une chose que nous avons réussi à avaler mais à contrecœur, comme à regret. »
Les remèdes présentés ci-après – dont la liste n’est pas exhaustive – sont à utiliser en cas de crises aiguës (dilutions basses ou moyennes). En cas de problèmes chroniques, il est conseiller de consulter un médecin homéopathe, lequel étudiera le terrain, l’hérédité, les antécédents familiaux, la manière de vivre (si on est sportif, l’alimentation qu’on privilégie, si on préfère le salé ou le sucré, la qualité du sommeil, etc.). Cependant, dans certains cas, quand les symptômes correspondent parfaitement à la description du remède sur le plan physique, comme sur le plan psychologique, on peut prendre le quart d’une dose en 15 CH (prendre le quart ou la dose entière, c’est la même chose. Conserver le reste de la dose : la DLU peut être largement dépassée. Lorsque les granules ou globules jaunissent, ils ne sont plus efficaces mais sans risque de toxicité aucun).
Un remède présente particulièrement le tableau complexe exposé en introduction, il s’agit d’IGNATIA. C’est un grand remède de la nervosité : dans le monde qui nous entoure, certaines expériences peuvent être « dures à avaler » : elles restent en travers de la gorge, comme une boule bloquant la respiration. Du fait de l’éducation, on ne va pas pleurer ni se rouler parterre : les choses restent coincées. Par la suite, ce souvenir nous obsède, assaillant sans cesse notre esprit en nous gâchant le présent ; le sommeil disparaît. L’humeur devient instable avec des décharges de fous rires incontrôlables alternant avec un larmoiement pitoyable. D’autre part, le malade présente une « sensation de faim avec défaillance épigastrique » vers 11 h du matin. En même temps, besoin de faire de « grandes respirations », une « tendance à soupirer constamment » et des « bâillements » violents et spasmodiques. Les symptômes de ce remède sont souvent paradoxaux, les nausées par exemple, dans la mesure où elles sont améliorées en mangeant. On supporte mieux les aliments indigestes que les aliments légers. Il y a une extrême irritabilité et hyperesthésie de tous les sens. Sensation de constriction pharyngée et comme si une boule montait de l’estomac et l’étranglait, resserrement qui se déclenche à la moindre émotion ou à la moindre contrariété. Impression d’être bloqué au niveau de l’estomac – et ne peut rien avaler.
L’aérophagie d’Ignatia disparaît brusquement quand le malade est distrait : au cinéma, au théâtre, au cours d’un dîner entre amis : le malade oublie ses problèmes et ceux-ci disparaissent. Le malade est essentiellement un « motif » hypersensible. Ce remède sera d’une aide précieuse, pour certains avant un examen ou le permis de conduire si on trouve ces symptômes paradoxaux.
KALI CARBONICUM : avec ce remède, tout aliment absorbé, quel qu’il soit « paraît immé-diatement se changer en gaz ». Que ce soit de l’eau ou un peu de pain, le malade a tout de suite des éructations ; il éprouve en même temps une sensation de « plénitude gastrique » dès qu’il a absorbé quelque chose – alors que pour Ignatia, la sensation de plénitude gastrique se produit avant le repas. Encore une personne hypersensible (si on veut tenir compte du psy-chisme et travailler sur le terrain, la dilution sera alors élevée – comme expliqué plus loin), mais cette fois-ci, elle sera vite découragée, anxieuse pour tout et notamment pour sa santé, avec une angoisse au creux de l’estomac. Impression d’un estomac plein d’eau. Nausées qui s’exagèrent quand le malade est couché, nausées qui reviennent après une émotion et qui persistent (celles d’Ignatia disparaissent en mangeant). Ce remède peut être utilisé en cas de reflux gastro-œsophagien. Personne souvent chatouilleuse, difficile, de ce fait, à examiner. Cependant désir de compagnie, mais l’individu traite l’entourage outrageusement Outre un désir de sucre qui est consommé tel quel, on observe un gonflement des paupières supérieures. C’est aussi un bon remède de toux et d’asthme survenant vers 3 h du matin. Souvent, parallèlement, douleurs piquantes dans le thorax et la gorge. Beaucoup de douleurs rhumatismales piquantes. Un bébé qui relève de ce remède va en vouloir à l’entourage d’être soudain si dépendant, et l’ambivalence de la relation qui en découle fait que sitôt rassasié, il rejette la compagnie.
CARBO VEGETABILIS. Avec ce remède, on a affaire à un dyspeptique fragile : c’est à tout moment que le malade « épuisé » et « refroidi » (sensation de brûlure interne et de froid externe) éprouve une impression de plénitude gastrique. La « distension abdominale est considérable », mais elle occupe seulement la partie supérieure du ventre. Aversion pour le lait, la viande, la nourriture grasse. Tendance au saignement de nez, à l’enrouement (surtout le soir), au rhume des foins et à l’asthme.
Douleurs « crampoïdes et constrictives » qui ont tendance à s’étendre vers la poitrine. La flatulence est toujours « améliorée par l’émission de gaz » qui soulage immédiatement, mais momentanément. Éructations sûres et aigres (celles de Kali carb sont sans goût et sans odeur). Ne supporte pas l’alcool, dont la plus petite quantité lui empourpre le visage. Frilosité, mais avec besoin d’être éventé (le malade a la sensation d’étouffer). Aspect pâle et cyanosé. Douleurs au niveau de la tête (ne supporte pas le poids d’un chapeau). Besoin d’être éventé.
ARGENTUM NITRICUM : flatulence excessive, avec beaucoup d’éructations bruyantes, qui surviennent immédiatement après le repas et soulagent momentanément le malade, qui a des nausées qui apparaissent après chaque repas. Le malade fait des efforts infructueux pour vomir ; il a des régurgitations. Signe particulier : douleurs sous les fausses côtes gauches, palpitation en étant couché sur le côté droit ou après une émotion ; vertiges avec bourdonnement d’oreille, surtout en fermant les yeux. Désir irrésistible pour le sucré – qui ne l’améliore pas. Le malade, sur le plan psychologique, est un grand nerveux : toujours pressé, il voudrait que les choses soient finies avant d’avoir commencé. Dans la rue, il ne marche pas, il court. Facilement tremblant, il est sujet au trac. Il craint la chaleur.
Ce remède peut être utile, dans la mesure où ses caractéristiques sont présentes, dans le cas de céphalée (diminuée par la pression), d’anxiété, d’insomnie. Ce remède convient aux nourrissons maigres, nerveux, présentant des conjonctivites importantes en période néonatale, des difficultés à faire le rot, des selles diarrhéiques vertes. Peur des pièces remplies de monde. Peur d’être en retard.
ARSENICUM ALBUM : La clef de ce remède est l’angoisse de la mort. Importante agitation physique et mentale traduisant cet état d’esprit : le malade, trop agité est « vivant », sauf dans les cas chroniques où, au contraire, il se fige dans une grande obsession, devient extrêmement méticuleux pour des broutilles, se noie dans les détails de la vie ordinaire. Les symptômes ont tendance à s’aggraver vers minuit et ne disparaissent pas avant 3 h du matin. Des soucis, des inquiétudes et des rêves agités effraient cet individu sérieux, qui s’habille en noir (qui n’est pas une couleur, mais une absence de couleur) et se trouve aggravé à minuit, comme déjà dit (le milieu de la nuit, quand il fait le plus noir) ou à midi, milieu du jour, quand le soleil commence à décroître. Aggravation au bord de mer, en novembre (après la visites des tombes à la Toussaint), en janvier, creux de l’hiver et en juillet, quand les jours recommencent à décliner. Grand remède, par ailleurs, d’otite, d’asthme nocturne, de gastro-entérites chez l’enfant, avec vomissements, puis diarrhée. Ce remède est aussi indiqué dans les suites de vaccin.
Concernant les problèmes digestifs, il y a des nausées à la vue ou à l’odeur des aliments, des renvois et vomissements (important remède des gastro-entérites, quand les symptômes correspondent à la pathogénésie du remède, par exemple selles noirâtres, très fétides et très aqueuses, sensations de brûlures améliorées par la chaleur). Grande soif de petites quantités d’eau froides mais fréquemment répétées. C’est le remède de l’indigestion par des aliments avariés, par des fruits glacés, crèmes glacées, aliments trop acides.
BRYONIA : Soif intense de grandes quantités d’eau froide peu souvent répétées. Tendance à la constipation (sécheresse générale et notamment des muqueuses). Il existe parfois une toux douloureuse. Symptôme mental important : le malade veut rester à la maison, tranquille, qu’on ne l’embête pas. Langue blanche, goût amer dans la bouche. Parfois vomissements aqueux ou bilieux et alimentaires, survenant tout de suite après les repas. Nausées et sensation de défaillance par le moindre mouvement, améliorées par le repos. Sensation de pression comme par une pierre dans l’estomac.
CHINA : Distension intense de l’estomac, non améliorée par les éructations. Digestion très lente, renvois surs et amers. Le malade a la sensation comme si la nourriture restait dans l poitrine, pis les aliments semblent rester longtemps dans l’estomac et provoquent des renvois ; puis finalement ils sont vomis non digérés. Goût amer dans la bouche : tout ce que l’on mange et boit, même l’eau, semble amer. Dégoût du lait, langue jaune. Convient surtout aux indigestions par les fruits. Sur le plan psychologique, c’est une personne qui veut penser à tout à la fois : les idées grouillent dans son esprit. C’est un remède de grande fatigue et d’anémie, fatigue due notamment à une perte importante de liquide organique (sang, par exemple).
COLOCYNTHIS : Coliques (intestinales, hépatiques...) très aiguës, spasmodiques, obligeant le malade à se plier en deux, toute autre position lui étant insupportable. Chaque paroxysme est accompagné d’une agitation générale et d’un frisson qui part de l’abdomen et monte jusque dans la tête. Souvent des coliques surviennent à l’occasion d’un accès de colère (ou d’une colère rentrée), une vexation. Ce remède convient particulièrement aux coliques survenant brusquement en montagne, après avoir pris froid.
Remède très utile pendant les intersaisons, quand l’air est encore froid et le soleil déjà chaud. On est alors en présence de terribles maux de ventre forçant à se plier en deux, de diarrhées avec émission de selles à chaque tentative d’alimentation solide ou liquide. La chaleur et la pression améliorent les douleurs abdominales.
DIOSCOREA VILLOSA : Coliques comme par des coups de couteau dans la région du bas-ventre. Borborygmes, gargouillements et émission de beaucoup de gaz. La douleur irradie au dos, à la poitrine, aux bras ; elle est améliorée par la marche, en se tenant droit et surtout en se penchant en arrière, aggravée en se pliant en deux (modalité inverse de Colocynthis).
MAGNESIA PHOSPHORICA : Entéralgie soulagée par la pression, en se doublant en deux (Coloynthis), par les frictions, par la chaleur, par la pression, accompagnée d’expulsion de gaz qui ne soulagent pas. Sensation de plénitude et de gonflement de l’abdomen ; doit desserrer ses vêtements, et marcher de long en large. Constipation chez les rhumatisants due à la flatulence et les mauvaises digestions. Les douleurs crampoïdes et spasmodiques ont la particularité d’apparaître brusquement et de disparaître de la même façon. A la différence de Colocynthis, dont il est très proche, ce remède n’a pas de diarrhée : ici, colique sèche.
Une autre utilisation de Magnesia phos., c’est en cas de crampe des écrivains.
CUPRUM METALLICUM : Coliques spasmodiques avec sensation de crampes, revenant par intermittence. Amélioration en buvant froid. Lèvres et visages violacés, cyanosés. Au moment des accès, le malade a la sensation qu’il est sur le point de perdre la respiration. Coliques de crampes sèches, sans évacuation de selles liquides, accompagnées parfois de hoquet et d’autres crampes et contractures musculaires dans les membres.
Dans les coliques des trois premiers mois, Cuprum fait des merveilles s’il existe un bruit de « glouglou » lorsque l’enfant avale son biberon. Remède aussi de l’asthme avec attaque suffocante à 3 h du matin, la toux se calmant en buvant de l’eau. Utile possiblement en cas de coqueluche.
ANTIMONIUM CRUDUM : Grand remède de l’indigestion quand la langue est recouverte d’un enduit blanc très épais, comme du lait ou de la craie. Souvent gerçures aux coins de la bouche. Éructations ayant le goût et l’odeur des aliments. Par ailleurs, la soif est vivre : désir d’eau froide ou de limonade, de citronnade. Nausées et vomissements peuvent survenir, avec épuisement des forces, sueurs froides au front et somnolence. L’indigestion survient après avoir trop mangé, surtout des aliments gras, ou acides, du porc ou des pâtisseries ; ou après avoir bu du vin sur. Extrême sensibilité au froid, douleurs et/ou céphalées après un bain froid ou quand le temps est humide. Irritable, le sujet – surtout lorsqu’il s’agit d’un enfant - ne supporte pas d’être touché.
IPECA : Un grand remède antispasmodique, que le spasme soit digestif (dû par exemple à une gastro-entérite) ou broncho-pulmonaire, lors d’une attaque soudaine d’asthme. Se caractérise par la langue propre, absolument nette, qu’il s’agisse d’une maladie fébrile, pulmonaire ou gastro-intestinale. La salivation est abondante, les nausées sont persistantes, les vomissements semblent ne devoir jamais cesser, ils n’améliorent pas les nausées, et sont bilieux, aqueux, ou alimentaires. Le visage est pâle et couvert de sueurs. Souvent existe une diarrhée verdâtre, muqueuse et glaireuse. Ce remède convient surtout aux indigestions provoquées par l’ingestion de viande grasse, ou de veau. Souvent, toux sèche , spasmodique, sans expectoration, avec des râles fins dans les poumons. Il y a souvent une petite note hémorragique, par exemple un discret saignement de nez (Ferrum phosphoricum).
NUX VOMICA : Langue recouverte d’un enduit jaunâtre (ou blanc-jaunâtre) très épais dans sa partie postérieure, tandis que sa partie antérieure est presque propre. Les nausées sont fréquentes, surtout le matin, dans le lit et après voir mangé. Estomac distendu et sensible à la pression ; sensation d’un poids lourd sur l’estomac, agg. Une heure à 3 heures après avoir mangé. Il semble que si le malade pouvait vomir, il serait soulagé, mais ses efforts sont difficilement efficaces, et parfois il essaie des les provoquer en mettant les doigts dans la bouche.Les éructations sont fréquentes. Ce remède convient surtout à l’indigestion provoquée par l’ingestion d’alcool ou l’abus des stimulants (vin, café, etc.), excès de table qui peuvent provoquer des céphalées. Constipation avec besoins urgents et inefficaces.
Soigne aussi certains coryzas : nez bouché la nuit, fluent le jour.
En dilutions hautes, ce remède correspond au type de l’homme d’affaires moderne et surmené, à l’activité cérébrale débordante, à l’activité physique à peu près nulle : un sédentaire, facilement irritable, impatient, qui ne peut supporter le moindre bruit, ni le moindre détail qui cloche, excité, à bout de nerfs à la suite d’excès de toute sorte.. Somnolent après les repas, dort mal : s’endort pour se réveiller de bonne heure, vers trois heures du matin. Toujours amélioré par une courte sieste qui le repose immédiatement.
PULSATILLA : Goût amer et graisseux dans la bouche, langue jaune ou blanche, haleine fétide. Dégoût pour les graisses, pour les aliments et les boissons chauds ; éructations qui ont le goût des aliments ingérés longtemps auparavant, et des vomissements de nourriture longtemps après les repas. Troubles provoqués par l’ingestion de glaces, fruits (China), aliments gras : beurre, pâtisserie. Souvent diarrhée, avec l’indigestion, qui se caractérise par sa grande variabilité : il n’y a pas deux selles semblables. Embarras gastrique avec douleur et pesanteur, avec distension abdominale obligeant à desserrer les vêtements (Nux vom). Douleurs erratiques, apparaissant brusquement et disparaissant graduellement, généralement accompagnées de frissons sans fièvre. Aversion pour pour la chaleur, désir d’air froid ou frais.
Lorsqu’il s’agit de soigner un coryza, il y a des frissons constants, avec perte de goût et de l’odorat ; nez sec et bouche le soir, fluent le matin, toujours agg. Dans une chambre chaude. Le matin, on a des mucosités épaisses, jaunâtres et sanguinolentes, d’odeur de catarrhe. Il peut y avoir une toux sèche la nuit ou le soir après d’être couché, obligeant le malade à s’asseoir pour obtenir un soulagement, disparaissant dès que le malade se recouche, épuisante parce qu’elle empêche le sommeil. Toux sèche la nuit, grasse le jour (Calc. carb.), avec mucosités épaisses, abondantes, jaunâtres.
Peut agir quand les règles sont tardives et peu abondantes, courtes, avec écoulement intermittent, qui s’arrête un jour pour réapparaître.
En dilutions hautes, ce remède convient à des tempéraments doux, mais jaloux et suspicieux, pas violents, mais irritables, pusillanimes, timide et émotifs : pleure aisément, mais rapidement consolé.. Une constante : l’absence complète de soif et extrême variabilité des symptômes : tout est changeant. (souvent mauvaise circulation sanguine. Élimination insuffisante. Bon draineur, souvent donné à la période terminale d’une maladie infectieuse.
Article de Ying-Yang pour Créer-son-bien-être
Les fiches homeo sont réalisées par Sophie en collaboration avec Yin Yang
Fiche N°6
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