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Autoguérison par neurofeedback

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Qui n'a jamais imaginé pouvoir se soigner, se guérir consciemment, par la volonté, par les pouvoirs de son cerveau?

Le concept du neurofeedback est né dans les années 40, après que des chercheurs ont découvert, grâce aux enregistrements réalisés par electroencéphalograme (EEG), qu’il était possible de modifier son activité cérébrale. Beaucoup d’études ont depuis été publiées, principalement aux États-Unis et en Allemagne, pour évaluer cette technique dans des situations concrètes.

 

 

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L’électroencéphalogramme (EEG), comme l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMfsont deux techniques permettant de mettre en évidence l’activité du cerveau.

Dans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble, comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un électroencéphalographe (EEG), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d'ondes appelées ondes cérébrales.

 

 

Voici des résultats d'une expérience scientifique qui va dans se sens... 

Il est à préciser que nos représentations, la façon dont nous sommes en quelques sortes, formaté, interfère grandement sur nos capacités !  

Et les représentations sont malheureusement longues à faire évoluer. Certaines découvertes scientifiques attestent de certains faits, et pourtant, notre civilisation continu de fonctionner sur des schémas dépassés. Les découvertes scientifiques peuvent transformer la façon dont nous percevons la réalité du monde qui nous entoure.


Le neurofeedback 

Des effets qui nous permet de modifier certaines connexions dans notre cerveau.

Des neuroscientifiques brésiliens de l’Institut D’OR d’Enseignement et de Recherche et de l’Université Fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ) ont réalisé une étude qui démontre que, grâce au neurofeedback , il est possible de produire les changements souhaités au niveau neuronal, dans un court laps de temps, moins d’une heure.

Il est question d'une technique d’entraînement cérébral visant à modifier les connexions neuronales en un temps record. Les travaux ont été publiés dans la revue scientifique Neuroimage.

La neuroplasticité, c’est-à-dire la capacité d’adaptation du cerveau, est ce qui permet l’apprentissage et la mémoire humaine. Lorsque nous comprenons mieux le fonctionnement des connexions et des interactions dans le cerveau, il devient plus facile de comprendre nos comportements, nos émotions et aussi les maladies qui nous affectent.

Theo Marins, auteur de l’étude : « Tout ce que nous sommes, faisons, ressentons, tout notre comportement reflète la façon dont notre cerveau fonctionne ». Il explique également que certaines maladies affectent directement le fonctionnement du cerveau et que si nous lui apprenons à se comporter correctement, nous pouvons réduire les souffrances causées par de nombreuses maladies.

 

Comme il s’agit d’un territoire inconnu pour nous, il était nécessaire de développer un outil qui nous permettrait de mieux comprendre toute cette dynamique.

 

 

L’expérience a été réalisée avec l’aide de 36 volontaires, qui ont subi une imagerie par résonance magnétique. L’activité neuronale montrée dans l’examen a été transformée en images présentées sur écrans d'ordinateurs. Les volontaires ont observé les images en temps réel et ont ainsi appris en pratique à contrôler leur propre activité cérébrale.

Sur les 36 volontaires, 19 ont reçu une véritable formation et 17 ont été soumis à de fausses informations, qui ont fonctionné comme un placebo. Des images cérébrales des volontaires ont été enregistrées avant et après la formation, de sorte que les chercheurs ont pu mieux mesurer la communication et les connexions entre l’ensemble du cerveau. L’objectif était d’observer comment les réseaux de neurones étaient affectés par le neurofeedback.

 

Après avoir comparé le fonctionnement du cerveau, avant et après l’entraînement, les scientifiques sont arrivés à la conclusion que le corps calleux (le principal pont de communication entre les hémisphères gauche et droit) était structurellement plus robuste . En outre, la communication fonctionnelle s’est également améliorée. Selon les scientifiques, l’ensemble du système de communication du cerveau a été renforcé.

 

Le neurofeedback, ou entraînement cérébral, s’est avéré être un excellent outil pour développer la neuroplasticité. La prochaine étape des scientifiques consiste à utiliser ce genre de formation pour aider les patients qui ont subi un accident vasculaire cérébral ou qui ont reçu un diagnostic de Parkinson et atteints de dépression, à modifier leur fonction motrice.

La radiologue Fernanda Tovar Moll, présidente de l’Instituto D’OR : « La prochaine étape sera de savoir si les patients souffrant de troubles neurologiques peuvent également bénéficier du neurofeedback, s’il est capable de réduire les symptômes de ces maladies » "Plus nous comprendrons les mécanismes, plus nous pourrons développer de thérapies. »

 

Source ouest-france.fr

 

 

L’intérêt de cette technique est qu’elle repose sur le principe du renforcement positif : « Comme le patient doit chercher ses propres stratégies mentales pour atteindre l’objectif et qu’il “visualise” leur efficacité en temps réel, il réalise qu’il est capable de modifier son activité cérébrale et, ainsi, d’améliorer lui-même sa santé et son bien-être. »

Le déroulement d'une séance de neurofeedback

 

  • Des électrodes, placées sur le cuir chevelu, enregistrent les signaux électriques émis par le cerveau, qui reflètent certains états mentaux dans lequel on peut se trouver.
     
  • Ces signaux sont numérisés par un appareil relié soit à un écran d’ordinateur si le programme d’entraînement utilise l’image (par le biais de jeux vidéo le plus souvent), soit à un casque audio s’il s’appuie sur le son (de la musique généralement), soit aux deux.
     
  • Par un travail mental ou cognitif, le patient doit réussir, en augmentant l’intensité de certains signaux et en en “bridant” d’autres, à faire évoluer en temps réel l’image sur l’écran (par exemple déplacer une montgolfière, assembler les pièces d’un puzzle, accélérer une voiture...) ou le son dans les écouteurs (par exemple faire baisser les aigus ou augmenter les graves d’un opéra).
     
  • Par essais et erreurs successives, aidé et guidé par un thérapeute formé à ces techniques, le cerveau va finir par trouver les meilleures stratégies mentales lui permettant d’atteindre l’objectif fixé.

 

Les applications du neurofeedback encore marginales en France

 

Contrairement à des pays comme les États-Unis, l’Allemagne ou encore les Pays-Bas où de nombreuses consultations sont déjà ouvertes, la technique n’est encore que timidement proposée en France, notamment dans deux centres hospitaliers universitaires (Pitié-Salpétrière, à Paris, et Sainte-Marguerite, à Marseille) et quelques cabinets de psychologues et psychiatres, rares et difficiles à trouver.

À ne pas confondre toutefois avec les “thérapeutes”, qui se réclament du neurofeeback et utilisent NeurOptimal, qui ne répond pas à ses principes mais présentée comme pouvant soigner de nombreuses pathologies bien souvent sans preuve scientifique à l’appui.

 

Il existe une start-up française, qui a mis au point un dispositif – longtemps proposé seulement aux entreprises, qui est désormais disponible pour les particuliers, qui comprend un casque connecté à un smartphone, qui permet de contrôler son activité cérébrale et de réguler son stress en écoutant de la musique à basses fréquences. Au fur et à mesure que le cerveau se détend, le volume sonore diminue. Cette séance de relaxation dure 15 minutes. Je vais tester et voir si il y a moyen d'avoir une remise pour les membres du blog, car c'est vraiment cher. 

J'ai envoyé un message, j'espère pouvoir tester et je vous tiens au courant. 

 

FONCTIONNEMENT CEREBRAL

Pour comprendre comment fonctionne le neurofeedback, il faut d’abord savoir que le cerveau émet des signaux électriques qui, selon leur fréquence, peuvent caractériser certains de nos états mentaux. Lorsque, par exemple, nous sommes dans un état calme et détendu, c’est la fréquence dans la bande alpha qui domine ; mais en état de vigilance et de concentration, c’est plutôt la fréquence dans la bande bêta.

Le principe du neurofeedback est d’apprendre, grâce à des exercices visuels ou auditifs, à “brider”certains de ces signaux et à en stimuler d’autres, selon l’effet thérapeutique recherché.

 

Une onde est une modification de l'état physique d'un milieu quelconque se propageant à la suite d'une perturbation initiale. Par ailleurs, transportant de l'énergie, elle produit sur son passage une variation des propriétés physiques locales du milieu. Les ondes du cerveau sont formées d'oscillations, qui peuvent être mesurées avec l'EEG. Elles se classent en cinq groupes : thêta, alpha, delta, bêta ou gamma.

Un rythme cérébral : désigne une oscillation électromagnétique dans une bande de fréquences donnée résultant de l'activité électrique cohérente d'un grand nombre de neurones du cerveau telle qu'on peut l'observer en électroencéphalographie (EEG).

Ces ondes cérébrales sont de très faible amplitude, elles sont de l'ordre du microvolt (chez l'être humain) et ne suivent pas toujours une sinusoïde régulière. Les caractéristiques des rythmes cérébraux dépendent de l'état psychologique et, le cas échéant, pathologique de la personne chez qui on les enregistre. Ainsi, l'enregistrement de l'activité rythmique cérébrale permet d'étudier les phases du sommeil ou de caractériser des maladies neurologiques, telles que l'épilepsie.

 

 

Comme le cerveau a une activité électrique, celle-ci peut, comme toute activité électrique, être mesurée par un oscilloscope. Dans le cas de l'activité cérébrale, cet appareil est rebaptisé électroencéphalogramme. Il permet d'établir une carte du cerveau et fait partie de l'arsenal offrant des possibilités d'imagerie cérébrale, permettant la thérapie par le neurofeedback. Ces ondes se subdivisent selon leurs fluctuations, en ondes delta, thêta, alpha et bêta, que nous vous présentons ici.

Les ondes cérébrales : sont des fluctuations du potentiel électrique entre différentes parties du cerveau, une activité cérébrale pouvant être mesurée avec un EEG

  • L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes.

    On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Le cerveau émet un très faible courant électrique du fait de son activité, même en état de sommeil ou de coma.

 

Des études démontrent que les pensées négatives tout comme les pensées positives influencent significativement notre fréquence.

Les pensées négatives diminuent notre fréquence en moyenne de 12 MHZ.   Les pensées positives élèvent notre fréquence en moyenne de 10 MHz.

L’augmentation ou la perte progressive d’une vigilance (corporelle, sensitive, ou encore mentale) de la conscience, trouve un parallèle entre « le ralentissement de l’activité cérébrale » et « l’accès à de nouveaux états de conscience »

 

 

 

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Onde cérébraleBande de fréquence
Delta Inférieur à 4 hertz
Thêta 4 à 7 hertz
Alpha 8 à 15 hertz
Bêta 16 à 31 hertz
Gamma Plus de 32 hertz

 

Par exemple, dans le cas d’un trouble du déficit de l’attention ou de l’épilepsie, l’objectif sera d’augmenter l’activité cérébrale dans la bande fréquentielle bêta pour accroître la vigilance. 

 

 

 Gamma et Beta corresponde à des états de veille

 

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Les sens, l’intellect, l’intuition, ou encore la mémoire sont mis harmonieusement et synchroniquement à l’œuvre. L’émission de ce type d’ondes, à oscillations rapides, reflèterait en quelque sorte la pleine conscience à travers l’être. La production d’ondes gamma témoigne d’une intense activité neuronale et mentale. On retrouve l’apparition de ces ondes rapides pendant les phases de création, lors de la résolution de problèmes, ou encore lors d’une attention soutenue.  

Ondes des activités courantes, mais aussi les ondes par lesquelles se manifestent le stress et la panique. Les ondes cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec du rêve (sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient des activités diurnes.

 

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Les oscillations 15-30 oscillations (ou vagues) par seconde (Hz) correspond au rythme du cerveau dans l’état normal d’éveil propice à la réflexion, la résolution des problèmes consciemment et une attention active orientée vers le monde extérieur. Pour se concentrer, lire et comprendre ce que vous lisez actuellement, vous êtes dans un « état bêta ». Elles sont présentes aussi en phase de tergiversation, rumination, préoccupation anxieuse.

 

Le passage des ondes THETA à ALPHA correspondrait à l’état onirique.

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Lorsque vous êtes vraiment détendu, votre activité cérébrale se ralentit pour aller vers les ondes plus douces de l’alpha. Source d’énergie créatrice, libéré des angoisses vous êtes en mesure d’éprouver la  paix et le bien-être. L ‘«état alpha» correspond aux prémices de la méditation qui vous permet d’ accéder à la richesse de votre potentiel créatif qui se situe en dessous de votre conscience (dans votre inconscient). C’est la passerelle qui mène à des états de conscience plus profonds. Elles représentent un état de conscience lorsqu’on a les yeux fermés. Ondes émises lors de la relaxation légère et de l’éveil calme.

 

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Au stade supérieur de la relaxation et de la méditation, vous entrez dans « l’état thêta », où l’activité du cerveau ralentit jusqu’à la limite du point de sommeil. Thêta met en avant une réceptivité accrue, une mise en place de l’imagerie onirique, de l’inspiration et parfois des souvenirs oubliés liés au même état de bien-être refont surface. Cela peut aussi vous donner une sensation de « flotter » ou de vous sentir soit très léger ou bien très lourd. Vos perceptions conscientes changent et vous accédez plus facilement à votre plein potentiel. Theta est l’un des royaumes les plus insaisissables et extraordinaires que nous pouvons explorer. Il est également connu comme l’état crépusculaire que nous avons seulement lors d’expériences fugaces quand nous nous élevons depuis les profondeurs des ondes delta au réveil, ou à l’inverse lorsque nous dérivons vers le sommeil. En thêta, nous sommes dans une sorte de rêve éveillé, hyper réceptifs à l’information au-delà de notre conscience normale. La méditation thêta réveille l’intuition et d’autres compétences de perception extrasensorielle, tel que le troisième oeil. On les observe principalement chez l’enfant, l’adolescent et le jeune adulte. Elles caractérisent également certains états de somnolence ou d’hypnose, ainsi que lors de la mémorisation d’information. celles de la relaxation profonde, atteinte notamment par les personnes expérimentées. Régénération. (régénération –méditation profonde)

 

Les ondes DELTA correspondent à un état inconscient.

 

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C’est l’activité cérébrale la plus lente de toutes les ondes cérébrales, elle est détectée pendant le sommeil profond et sans rêve. Elle est aussi parfois observée chez les méditants expérimentés. Fréquences jusqu’à 4 Hz, normales chez le très jeune enfant

 

Pendant un état inconscient, (par exemple le sommeil profond), les ondes lentes delta sont dominantes, alors que les ondes bêta de haute fréquence sont plus répandues au cours d’activité consciente et éveillée. Tout ceci est d’un intérêt majeur pour nous, cependant, ce sont les ondes alpha et thêta qui sont associées à la relaxation profonde et à la méditation. Donc ce sont elles que l’on veut obtenir pour des séances de méditation, d’hypnose ou d’auto-hypnose.

Les ondes cérébrales et les machines à méditation ?

 

Fréquences         Longueur d’onde

0,1-3 Hz              100000 Km à 1000000 km

3-30 Hz               10000 km à 100000 km

30-300 Hz           1000 km à 10000 km

 

 

Les messages subliminaux et les sons sont des fréquences difficilement perceptible par nos oreilles mais captés par notre cerveau. 

Les messages subliminaux deviennent des pensées induites. La pensée émet des ondes électriques, cette activité électrique cérébrale est mesurée sous forme de fréquences hertziennes. Voir :  messages-subliminaux

 

En 1940 le chercheur Gray Walter, neurologue, étudie l’effet sur le cerveau d’une lumière stroboscopique dirigée sur les yeux, à des fréquences de 10 à 25 Hz. Un des faits remarqués lors cette expérience fût que le cerveau (EEG) semblait « suivre » la fréquence de la lumière, en particulier dans les fréquences alpha et thêta. Cet effet est devenu connu comme l’effet de résonance. Un exemple familier est la tendance à glisser dans un état détendu ou onirique lorsque nous regardons un feu, c’est à cause du taux de scintillement qui se produit en moyenne dans la gamme alpha / thêta.

Ensuite, dans les années 60, on fait le rapprochement entre l’utilisation de fréquences Alpha et Thêta et la réduction de l’anxiété, une profonde relaxation physique et mentale, une augmentation du Q.I. et une plus grande sensibilité aux suggestions.

Plus récemment, le son a été utilisé pour produire des résultats similaires, en particulier en utilisant des sons bineuronaux. Cet effet, binaural, provient du fait qu’une oreille entend un son pur légèrement différent de celui que perçoit l’autre oreille. Le cerveau synthétise ensuite la différence entre les deux tons et engendre un état modifié de conscience avec une sensation agréable de lâcher-prise, le rythme des pulsations provoquant une « descente » en douceur.

 

Avec l’avènement de l’EEG (Électro-Encéphalo-Gramme), on a fait rapidement l’association entre l’activité globale du cerveau et l’état d’être de la personne à ce moment là.

 

Pour chaque ensemble semblable d’activités, le cerveau produit un ensemble similaire de fréquences.

 

On s’est également rendu compte que la production d’une fréquence donnée dans un état donné, était un phénomène réversible.

 

Si on induit une fréquence particulière dans le cerveau, celui-ci se met dans l’état habituel produisant cette fréquence.

Un exemple vous illustrera ce principe:

Lors d’une activité normale, en état d’éveil, le cerveau produit majoritairement des fréquences aux alentours de 15 à 23 Hz (1 Hertz équivaut à un cycle par seconde).

Lorsque vous vous endormez, votre cerveau ralentit ses activités et descend graduellement jusqu’au voisinage de 4 à 6 Hz.

Une séance de 30mn de méditation ou relaxation profonde, induira ce rythme à votre cerveau, qui, au bout du compte, mettra tout votre corps dans un état propice au sommeil, de façon naturelle (Voilà pourquoi le sommeil est alors si réparateur).

À la fin de la séance, vous vous trouverez dans un état somnolent, qui vous permettra de passer une excellente nuit.

 Plus vous pratiquez, plus l'état est facilement accessible. Et le phénomène de persistance, prolonge les effets de la séance bien après celle-ci. Des études montrent que les performances intellectuelles sont significativement plus élevées après une séance méditative ou de relaxation et même d'avantage qu'elle ne le sont après une nuit de sommeil. 

 

Voici quelques effets :

Amélioration de la qualité du sommeil. Soulagement de l’insomnie (sans fatigue ni effets secondaires). Diminution du stress et de la fatigue mentale. Amélioration de l’apprentissage et de la mémorisation. Augmentation des capacités de méditation. Augmentation de la capacité de créativité et d’imagerie  et visualisation mentale. Aptitude à la pleine conscience. Aide dans l’autosuggestion créatrice. Synchronisation des deux hémisphères du cerveau. Aptitude à la relaxation légère ou profonde. Amélioration de l’humeur générale. 

 

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Il est bien évident, que pour parvenir à un niveau de conscience modifié, à partir du niveau Alpha, ou Theta, il faut parvenir à un lâcher prise, renoncer au contrôle. 

En séance d'hypnose, vous êtes accompagnés vers ce lâcher prise et cette reconnexion possible avec des émotions, des souvenirs, des pensées qui ne sont pas conscients. Vous pouvez aussi vous adonner à l'auto-hypnose, en vous entrainant à l'aide de vidéo. 

On peut se demander quel est l'utilité de rendre ces pensées, croyances (parfois erronées, ou n'étant plus d'acutalité), pensées, conscientes ?

Et bien pour agir en toute conscience, il est nécessaire de lever le voile pour que nos pensées, nos émotions, nos actes, soient en harmonie. Et éviter de SOMATISER, d'agir en dépit de nos souhaits.

Exemple, certaines personnes sont agressives voir violentes malgré elles, d'autres s'auto sabotent ou d'autres encore, somatisent, se créent des symptômes, ou encore sont anxieux ou dépressifs de façon chronique. 

 

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Autre source

www.rvd-psychologue.com

 

Les états modifiés de conscience p.jpg

 

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21/10/2020
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