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► Le lait

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La consommation de produits laitiers est montée en flèche depuis le début des années 50, et progresse encore, et même en Chine ou traditionnellement ces produits étaient peu prisés. Le lobby laitier est très actifs et comme en témoignent les rayons frais, le marché est inondé de desserts plus alléchants les uns que les autres. 

 

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 Il faut seulement 30% de lait pour avoir l'appellation "lait"

 

 

 

Lactose et D-galactose

Les femmes qui consomment trois verres ou plus de lait par jour ont un risque relatif de décès "de 90% plus élevé" et un risque de fracture de la hanche "de 60% plus élevé" par rapport à celles qui boivent moins d'un verre de lait par jour, explique à l'AFP, le Pr Karl Michaelsson principal signataire de l'étude.

 

Pour les hommes, le lien statistique entre grande quantité de lait consommé et risque de décès est également observé mais "de manière moins prononcée" tandis qu'aucun lien n'est observé pour les fractures.

L'analyse concernant les produits laitiers - lait fermenté et fromage - montre également un lien statistique avec fractures et décès, mais "dans le sens inverse".

"Les femmes qui consomment beaucoup de fromage et produits à base de lait fermenté ont un taux de mortalité et fracture plus faible que celles qui en prennent peu", observent les chercheurs. L'analyse tient de l'observation et aucune relation de cause à effet n'a été formellement démontrée.

Mais les scientifiques suédois avancent une hypothèse pour expliquer l'éventuel effet néfaste du lait à haute dose chez les adultes: la présence en quantité importante de sucres spécifiques, lactose et D-galactose, qui sont peu présents dans les produits fermentés. Le D-galactose pourrait jouer un rôle dans le "stress oxydant" des cellules et l'inflammation des tissus: des expériences ont montré que ce produit injecté chez des souris accélérait le vieillissement.

"Il pourrait y avoir un lien avec le lactose et galactose contenus dans le lait (...) mais une telle relation de cause à effet doit encore être l'objet d'expérimentations", souligne l'équipe suédoise. "Il s'agit d'une étude intéressante, bien conçue mais, comme disent les auteurs, la prudence est de mise", commente la diététicienne et nutritionniste britannique Gaynor Bussell.

"On ne peut pas tirer une conclusion sur une relation de cause à effet car il se peut qu'il y ait un autre facteur difficile à identifier qui va de pair avec la consommation de lait et qui provoque mortalité accrue et fractures", explique-t-elle

Source : Etude suédoise sur les dangers du lait

 

Absorber le calcium ne suffit pas, encore faut-il le fixer, pour en savoir plus, voir cet excellent article sur home.naturopath 

 

Nous sommes les seuls mammifères à boire du lait au delà de la période de sevrage. 

Notre organisme n'est pas fait pour digérer le lait au delà de cette période et certains le sentent et sont dégoûtés du lait. D'autres ont des manifestations allergiques, tel que des ballonnements. On sait que la caséine s’agglutine dans les articulations et crée des inflammations. Que le lait favorise aussi les inflammations ORL chez les enfants.  Le lait actuel est pauvre en OM3 et riche en oméga 6, il est dénaturé lorsque les vaches ne broutent pas l'herbe fraîche de même que la viande. 

Un rhumatologue de Grenoble recommande d'arrêter tous les produits laitiers pour se débarrasser des tendinites, arthrites et autres sciatiques

Pour en finir avec tendinites, arthrites, sciatiques, ostéoporose, le Docteur Poinsignon interdit les produits laitiers, presque toutes les céréales, et la cuisson à haute température. Il prône le retour à une "diététique ancestrale". Sa méthode radicale reste sujet à controverse scientifique. 

 

Dans le petit déjeuner du Docteur Poinsignon, vous ne trouverez aucun produit laitier. Pour ce rhumatologue grenoblois, le lait animal, de vache en particulier, ne serait pas adapté à notre espèce. Il serait tout à fait inutile et même dangereux pour l'être humain. Jean-Pierre Poinsignon affirme que le fameux calcium laitier est un mythe inventé par l'industrie. Par contre, les très nombreuses protéines de croissance contenues dans le lait de la vache encrasseraient notre système immunitaire et pourraient participer au développement de cancers chez l'homme.

 

Le Dr Poinsignon interdit également les céréales "modernes". Le blé serait devenu "un monstre génétique" indigeste à force de sélections et manipulations humaines. Le riz par contre retournerait toujours à sa forme d'origine. Enfin, le rhumatologue proscrit les cuissons à "haute température", c'est à dire au dessus de 110 degrés. Trop cuire tuerait les vitamines, et engendrerait des combinaisons de molécules inassimilables par notre organisme, les "molécules de Maillard". Fini la bonne croûte du pain!
 

source :  un-rhumatologue-grenoblois-recommande-d-arreter-tous-les-produits-laitiers-pour-se-debarrasser-des-tendinites-arthrites-et-autres-sciatiques

Vous trouverez une video sur le lien plus bas.

 

 Longtemps considéré comme bénéfique pour la santé à tous âges, le lait soulève aujourd’hui d’innombrables critiques. Il serait ainsi responsable de troubles digestifs, d’allergies, de rhinites, d’otites, de migraines, d’affections articulaires… et augmenterait même le risque de développement de certains cancers ! La mauvaise réputation de ce blanc nectar qui a été le pilier de base de l’alimentation des enfants et des adolescents pendant plus d’un demi-siècle ne cesse de croître depuis que des médecins ou des journalistes dénoncent, dans des livres, les tactiques de l’industrie laitière. Pour s’assurer d’écouler les stocks, cette dernière aurait tendance à surestimer très largement les vertus des laitages. Des vertus dont les Français semblent désormais se méfier puisque, en dix ans, leur consommation de lait a baissé de 13 % et qu’ils sont quelque 16 % à croire qu’il peut avoir des effets nocifs sur la santé.

 

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Un très bon reportage à été diffusé sur France 5 vous 

pouvez le visionner en ligne au cas ou la video est supprimée : 

http://www.france5.fr/et-vous/France-5-et-vous/Les-programmes/LE-MAG-N-43-2012/articles/p-16873-Le-Lait-poison-ou-potion-.htm

 

 


 

 

 

 

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 Un lien externe  

"Le lait : de la colle, des hormones et du pus…"

http://mutien.com/site_officiel/?p=12586

 

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Lien vers un article qui comprend la liste des aliments, autre que le lait, riche en calcium 

� TABLEAU des VITAMINES

Le lait et le cancer. 

 

Pourquoi une femme sur 10 est atteinte d’un cancer du sein en occident en comparaison avec 1 sur 10 000 en Chine? Les Chinois ne consomment pas de produits laitiers. Le nom familier du cancer du sein en Chine est « La maladie des femmes riches » car elles mangent de la glace ou du fromage comme à Hong Kong. Les études en épidémiologie commencent également à mettre en évidence le lien entre lait et cancer.

Alors comment les produits laitiers, tant aimés et adulés par les occidentaux, sans parler des américains dont le régime en contient 40%, peuvent-ils avoir des effets si néfastes ? Le lait maternel est un aliment parfait pour le bébé mammifère.

Il ne peut pas manger la nourriture des adultes. Mais le lait contient un élément chimique puissant – le facteur de croissance insuline ou IGF-1 – qu’on trouve naturellement chez les filles pubères car il favorise le développement des seins. Cette substance chimique, conçue pour stimuler la croissance, pourrait aussi favoriser la croissance anarchique des cellules. Plus de 70% de la population mondiale ne digère pas le sucre du lait, le lactose. L’intolérance au lactose pourrait être le signal d’alarme de la nature : peut-être la nature essaie-t-elle de nous dire que cet aliment n’est pas fait pour nous. L’homogénéisation apparemment permettrait seulement aux éléments chimiques cancérigènes de passer plus vite dans le sang. Les études épidémiologiques montrent une corrélation positive entre la consommation de produits laitiers et le cancer du sein depuis une vingtaine d’années. Les chercheurs commencent à trouver une augmentation du risque de cancer du sein et de la prostate chez les personnes qui consomment du lait.

Il y a aussi les dioxines et autres éléments chimiques très toxiques, certains cancérigènes, souvent solubles dans les graisses, qu’on trouve en concentration particulièrement élevée dans le lait. Une autre question est maintenant soulevée : le lait que nous buvons depuis les années 1960 n’est plus le même que celui d’avant ; en effet à l'origine les vaches mangeaient de l’herbe, ce qui est rarement le cas de nos jours. Comment savoir : facile ! Vérifiez par vous-même : stoppez le lait pendant quelques semaines et observez l’effet sur votre bien être. Si vous vous sentez mieux, face à des petits maux comme l’acné, une allergie, des ballonnements, etc. cela vous encouragera à appliquer le principe de précaution contre toutes ces nouvelles maladies qui apparaissent avec le développement du mode de vie occidental.

Source

http://www.eddenya.com/index.php/sante-et-sciences/3577-le-lait-et-le-cancer-la-verite

 

 

 Lien ou trouver sa dose de calcium en dehors du lait :  http://www.naturopathie82.com/archives/2014/02/13/29128928.html

 

 

 Voici un lien vers un article édifiant :  http://mutien.com/site_officiel/?p=12586

 


 

 

Les produits animaux en trop grande quantité favorise les inflammations (omega 6) alors que les omega 3 sans anti-inflammatoires

voir la liste de tous les aliments anti-inflammatoires : 

â�º Liste d'épices, plantes et aliments anti-inflammatoires

 

 

4 vidéos explicites : 

 

 

 

 

 

 

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Source : La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société 

 

En France, les produits laitiers sont partout, ils s’imposent dans les rayons des grandes surfaces : lait, yaourts, fromages, crème fraîche s’offrent en grande variété au caddie du consommateur. C’est que les Français en raffolent. Ils sont les champions européens de la consommation de beurre (près de 8 kg par habitant et par an) et les vice-champions de la dégustation de fromages (près de 24 kg/hab/an) ! Et les euros coulent à flot : les produits laitiers ont généré 25,5 milliards d’euros de chiffres d’affaires en 2012. Soit 1 % du PIB français ! En plus, ils s’exportent massivement, presque aussi bien que le vin. 216 000 emplois en dépendent, les trois quarts dans l’élevage et un quart dans les industries de transformation. La France est le 8ème producteur mondial de lait. Cocorico ?

En plus de la richesse qu’ils créent, les produits laitiers sont parés de toutes les vertus. Leurs bienfaits nutritionnels ne cessent d’être vantés par le marketing... et les politiques publiques. 

 

Un coût ignoré par le monde économique : 7,1 milliards d’euros

(Voir la video et l'article source pour en savoir plus.) 

C’est l’élevage qui génère le plus d’impacts. 

3,8 millions de vaches laitières, ça pollue beaucoup !

3,8 millions de vaches : cela pollue forcément l’eau. Les troupeaux laitiers sont présumés responsables de 10% de la pollution des cours d’eau et des nappes phréatiques. 

 

Lait bio et fromages AOC : des alternatives bien moins coûteuses

 

 

Tous les coûts cachés ne peuvent être estimés en euros, en particulier la détresse de nombreux éleveurs laitiers. C’est le paradoxe d’une filière qui, économiquement, semble se porter à merveille. La richesse créée est bien mal distribuée. Le fossé entre les revenus des exploitations laitières et céréalières – les seconds servant notamment à nourrir les vaches élevées par les premiers – ne cesse de se creuser. Les revenus des céréaliers sont dix fois plus élevés par heure de travail effectif ! 

 

Les grandes entreprises du secteur – Lactalis, Danone, Sodiaal, Bongrain, fromagerie Bel – tirent parfaitement leur épingle du jeu. Et leurs propriétaires également : au palmarès des fortune françaises, la famille Besnier (Lactalis) trône en 11ème position (avec une fortune estimée à 6,5 milliards d’euros), la famille Fiévet (Bel) figure à la 47ème place (1,4 milliard) et la famille Bongrain à la 102ème (640 millions).

Le lait, une richesse bien mal redistribuée

 

Pollution de l’eau, gaz à effet de serre, déchets... La transformation du lait en produits pour le consommateur comporte aussi ses effets néfastes. Une usine moderne de transformation du lait rejette au moins un litre d’eau pour produire... un litre de lait ! Aux coûts de retraitement des eaux usées s’ajoutent les émissions de CO2 générées par le transport routier. Car les produits laitiers rejoignent massivement les grandes surfaces où 98% y sont achetés. La vente directe apparaît bien négligeable. Devenues incontournables, les grandes chaines de supermarchés françaises misent sur la compétition par les prix au détriment des revenus des éleveurs.

Une bouteille de lait sur deux non recyclée

Les habitudes de consommation laissent aussi derrière elles une lourde empreinte.

 

La moitié des emballages de lait et de yaourts produits chaque année, soit 97 000 tonnes, ne sont pas recyclés. Acheminés en déchetterie ou brûlés dans les incinérateurs, ces emballages coûtent à l’environnement 77,2 millions d’euros. « Au final, si les impacts estimés sont majoritairement générés par l’amont agricole, ce sont tout autant les habitudes de consommation qui sont à la source des impacts sur l’ensemble de la filière, analyse le rapport du Basic. Les agriculteurs sont les premiers à en subir les conséquences en termes de précarité, d’endettement, d’impact sanitaire. »

« Ces données montrent un besoin de se réapproprier les biens de consommation courants et la possibilité de peser dans une filière économique en tant que consom’acteur », commente Tanguy Martin de l’association Ingénieurs sans frontières. Car la filière laitière est à la croisée des chemins.

La fin des quotas laitiers au 1er avril 2015 est redoutée par bon nombre d’éleveurs. La dérégulation du prix du lait pourrait encore favoriser les logiques productivistes, avec des élevages encore plus concentrés. « La répartition de la production sur le territoire est indispensable, tout comme les freins à l’agrandissement à outrance. Sans cela, nous ne verrons plus que quelques fermes-usines réparties sur un morceau de territoire », alerte la Confédération paysanne ; à l’exemple du « projet des 1000 vaches » en Picardie. Une méga ferme controversée qui « ne correspond pas au modèle d’exploitation promu par le ministre dans la loi d’avenir pour l’agriculture », souligne le cabinet de Stéphane Le Foll. Qu’en sera-t-il demain alors que la Chine s’intéresse aussi au lait français ?

Intégrer les coûts sociétaux dans le prix du lait ?

L’entreprise chinoise Synutra, deuxième groupe dans le secteur de la nutrition infantile du pays, a posé début janvier la première pierre de sa future usine de fabrication de poudre de lait à Carhaix (Finistère). Une nouvelle qui réjouit les 700 éleveurs bretons adhérents de la coopérative Sodiaal qui devront fournir 280 millions de litres de lait par an, destinés au marché chinois. Mais seront-ils prêts à en payer les coûts cachés ?

7,1 milliards, telle est donc l’addition globale de la filière laitière si l’on prend en compte les impacts sociaux, sanitaires et environnementaux. Comment valoriser les modes de production les moins polluants ? Surtout, faut-il envisager d’intégrer ces coûts dans le prix du lait ? « Une piste à creuser serait peut-être une TVA différente en fonction des impacts, souligne Sylvain Ly du Basic. La TVA serait minorée si les impacts sont faibles et un système de malus serait appliqué aux produits les plus polluants ». Le système aurait le mérite de rendre la raison à la filière : le lait bio couterait moins cher qu’un lait « intensif ». Interrogé sur ce sujet, le ministère de l’Agriculture n’a pas donné suite.

Les collecteurs laitiers annoncent d’ores et déjà des baisses du prix du lait de plusieurs dizaines d’euros d’ici janvier 2015. Ce qui pourrait conduire à terme à la disparition des exploitations laitières de taille moyenne. Le choix politique de soutenir ou non des modes de production plus soutenables ne se posera alors plus. Sur le terrain, des organisations de la société civile ont décidé de provoquer le débat. Des ateliers d’éducation au développement sont proposés par Ingénieurs sans frontières pour s’approprier les données du rapport et s’interroger sur la souveraineté alimentaire au Nord. Des paysans d’Afrique de l’Ouest, touchés par les exportations de poudre de lait en provenance d’Europe du Nord [3], travaillent également à la reconquête de leurs marchés et d’un revenu digne. Espérons qu’en France le débat s’ouvrira.

Sophie Chapelle et Ivan du Roy

@Sophie_Chapelle

 

Pour que nous puissions tous consommer ce lait dont on nous vente les mérites seulement pour favoriser sont industrie (énorme enjeux financier) les vaux sont enlevés à leur mère dès la naissance et traités d'une manière absolument ignoble, dans des conditions inacceptable. Ce sont des bébés et ils souffrent, ils ne sont pas insensibles ! Je vous garantie que si vous regardez ce lien, vous ne boirez plus de lait, et si la majorité des gens agissaient ainsi, ils seraient bien obligés de faire du fric autrement, SOYEZ PLUS COMPLICES ! regardez ce lien, ça vous donnera le courage.  http://www.cruautedescages.ca/

 

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 Video à voir ... (cliquer) 

 

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08/02/2014
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