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Quelques secrets pour préserver votre jeunesse

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La miraculeuse faculté de récupération des enfants a une explication : leur  taux élevé d'hormone de croissance.  Cette hormone à la faculté de régénérer les cellules, elle stimule la croissance et la reproduction cellulaire.  C'est elle qui permet aux enfants de grandir, mais elle continue de jouer un rôle décisif à l'âge adulte : plus vous avez d'hormone de croissance, mieux vos tissus se régénèrent, vos muscles conservent leur force, vos os restent solides, votre cœur reste jeune, vos cheveux poussent, vous cicatrisez rapidement.

Parce que les enfants secrètent naturellement beaucoup d'hormone de croissance, il suffit d'une bonne nuit de sommeil à un enfant en bonne santé pour effacer la fatigue de la veille. Elle leur donne leur étonnant pouvoir de cicatrisation et de récupération.  Sa sécrétion qui est maximale à l'adolescence, diminue ensuite progressivement au cours de la vie pour devenir faible chez les personnes âgées.

 

La sécrétion de l'hormone de croissance par l'antéhypophyse est, pour l'essentiel, sous le contrôle d'hormones peptidiques sécrétées par l'hypothalamus. La concentration de l'hormone de croissance dans le plasma présente des pics au cours du nycthémère avec un maximum durant les premières heures du sommeil.
La sécrétion de l'hormone de croissance est stimulée par la GHRH (growth hormone releasing hormone) ou somatocrinine, sécrétée par l'hypothalamus d'une manière pulsatile et selon un cycle circadien avec un maximum durant le sommeil lent.
La GHRH agit en augmentant la concentration intracellulaire de calcium des cellules qui sécrètent l'hormone de croissance.
La sécrétion de GHRH est augmentée durant le sommeil lent et le stress (adrénaline). Elle est stimulée par l'hypoglycémie, l'arginine, la dopamine, la sérotonine, les a2-mimétiques comme la clonidine qui a été utilisée dans le traitement de l'insuffisance staturopondérale. L'arginine, à doses élevées, prise le soir au coucher, a aussi été utilisée pour favoriser sa sécrétion.

Les épreuves de stimulation de la sécrétion de l'hormone de croissance utilisées en exploration fonctionnelle pour tester la capacité de réponse de l'antéhypophyse, sont le plus souvent l'hypoglycémie insulinique et l'administration de L-Dopa qui agit après sa transformation en dopamine. Toutefois, les agonistes dopaminergiques qui stimulent la sécrétion de l'hormone de croissance chez le sujet normal, l'inhibent en cas d'hypersécrétion due à un adénome. Ainsi, la bromocryptine, agoniste dopaminergique, peut être utilisée pour freiner une sécrétion excessive de l'hormone de croissance.

L'hormone de croissance est un traitement pour les enfants trop petits. Il a d'ailleurs été à l'origine d'un scandale sanitaire dans les années 1980. Près de 120 enfants sont morts, car on leur a injecté des hormones de croissance infectées par l'agent de la maladie de Creutzfeldt-Jakob. Le problème, c'était l'origine de ces traitements qui étaient extraits d'hypophyse naturelle, une glande cérébrale prélevée sur des cadavres. Aujourd'hui les traitements à l'hormone de croissance existent toujours, mais ils n'ont plus rien à voir avec le passé. Depuis 1988, ce sont des médicaments de synthèse fabriqués en laboratoire.

L'hormone de croissance aussi appelée somatotropine, est une hormone naturellement synthétisée. Elle nous permet de grandir, de développer nos os et nos muscles. Elle est stockée et sécrétée au cœur du cerveau par l'hypophyse. Cette glande sécrète et commande les hormones.

A la sortie de l'hypophyse, l'hormone de croissance est transportée dans la circulation sanguine. Pour faire grandir l'organisme, elle provoque la multiplication des cellules, notamment celles des muscles et des os.

Voir aussi :  sciences et avenir - inverser-le-vieillissement-c-est-possible 

 

Si, avec l'âge, vous avez plus de mal à vous remettre de vos fatigues, c’est que votre taux d'hormone de croissance baisse de 14 %. Ainsi, au lieu de secréter 500 microgrammes par jour d'hormone de croissance à vingt ans, vous n'en secrétez plus que 200 microgrammes à 40 ans et 25 microgrammes à 80 ans.

 

Comment maintenir votre taux d'hormones de croissance ?

 

L'hormone de croissance est secrétée pendant le sommeil, en début de la nuit. Dès que vous faites une mauvaise nuit, votre taux d'hormone de croissance chute, ce qui vous donne l'impression de vieillir trop vite. Mais cette baisse s'accélère si vous faites plusieurs mauvaises nuits de suite.

Et oui, l’exercice physique nous maintien jeune et en bonne santé ! Bien entendu un entrainement intensif  journalier peut avoir l’effet inverse ! L'exercice physique augmente votre taux d'hormone de croissance, parce que vos muscles libèrent de l'acide lactique quand ils travaillent. Le meilleur moyen toutefois est d'alterner les exercices intenses avec de courtes périodes de repos. Ou pratiquer un peu d’exercice chaque jour.

Votre taux naturel d'hormone de croissance sera plus élevé encore si vous mangez des sécrétagogues deux heures avant le sport. Ce sont des aliments, principalement des acides aminés, qui déclenchent la sécrétion de cette hormone.

Une étude de 1999 a montré que l'association suivante s'était révélée particulièrement efficace pour de jeunes athlètes :

chlorhydrate de L-arginine. En prendre 100 mg par kilo de poids corporel (donc par exemple 6 grammes si vous pesez 60 kg) ;

chlorhydrate de L-ornithine (80 mg par kilo) ;

Des acides aminés à raison de 140 mg/kg, dont 50 % de L-leucine, 25 % de L-isoleucine et 25 % de L-valine.

Ces acides aminés qui constituent les protéines que vous consommez quand vous mangez des légumineuses, de la viande ou du poisson.

Ils sont également vendus dans le commerce sous forme de compléments alimentaires, pour les personnes qui cherchent un dosage, et donc des effets, précis. Mais il s'agit dans tous les cas de produits alimentaires parfaitement naturels qui ne comportent pas de danger pour la santé, sauf bien sûr si vous souffrez d'une intolérance ou d'une allergie spécifique.

Taille plus fine, os plus denses, muscles plus développés... L'hormone de croissance semble avoir des effets positifs sur bien des parties du corps. Pourtant, les études sont encore insuffisantes pour pouvoir la recommander comme traitement antivieillissement.

 

 

Le vieillissement s'accompagne d'un déclin plus ou moins brutal de la sécrétion d'un grand nombre d'hormones. L'exemple le plus caractéristique en est les estrogènes, qui s'effondrent à la ménopause. Mais d'autres substances sont également concernées, notamment l'hormone de croissance, sécrétée par l'hypophyse. Différents travaux indiquent que la baisse de cette hormone est associée à une diminution de la masse et de la force musculaire, à une augmentation de la masse graisseuse et à une altération de la qualité de vie, voire à des troubles du sommeil. Vouloir corriger ce déficit, dans l'espoir d'effacer les différentes conséquences du vieillissement, est une option tentante. Mais encore faut-il démontrer que retrouver le taux d'hormone de ses vingt ans suffit à se façonner un corps plus jeune.

 

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Plus de forces

 

Hormone de croissance, hormone de jouvence ?

Plusieurs études indiquent les effets favorables que pourrait avoir un tel traitement.

Une étude  a montré que l'hormone de croissance facilitait le rétablissement après une fracture du

col du fémur, mais seulement chez les personnes de plus de 75 ans. Après 24 semaines, 93,8 %

des patients traités par l'hormone de croissance avaient retrouvé leurs conditions de vie

habituelles, contre 75 % seulement des patients qui avaient reçu un placebo.

 

De même une étude 2 menée chez des sujets âgés sous hémodialyse, en raison d'une

insuffisance rénale, indique que le traitement par hormone de croissance améliore

l'état nutritionnel des patients et leur force musculaire, ce qui est important pour ces personnes

souvent en très mauvais état général.

D'autres données 3 vont dans le même sens, en concluant à un effet positif du traitement

par l'hormone de croissance, mais toujours chez des personnes malades.

 

Des réactions indésirables

 

Qu'en est-il pour les personnes en bonne santé ? Les études sont beaucoup plus rares et contradictoires, à ce sujet. Des chercheurs japonais ont observé que l'hormone de croissance augmente la masse osseuse et la force musculaire et diminue la graisse abdominale chez la femme ménopausée . Mais cette étude ne porte que sur huit femmes… Par ailleurs, le traitement s'est accompagné d'un léger oedème et de douleurs articulaires.

Ces réactions indésirables ont également été constatées dans une étude américaine 5, où les effets de l'hormone de croissance ont été testés chez 13 hommes âgés dénutris. Outre les oedèmes, une chute de la pression artérielle lors du passage de la position assise à la position debout a été observée, conséquence non négligeable pouvant entraîner des chutes. Les auteurs recommandent donc la prudence, tout en précisant que cette mauvaise tolérance était peut-être liée à l'emploi de doses trop élevées.

Attention aux effets indésirables

Ces résultats sont-ils suffisants pour préconiser l'hormone de croissance comme traitement "antivieillissement" ? La réponse est sans aucun doute non, même s'il existe des éléments très encourageants pour poursuivre les recherches, et la législation française le reconnaît en n'autorisant l'hormone de croissance que dans certains indications précises et sous surveillance étroite (certains retards de croissance et les déficits bien identifiés en cette hormone).

 

Bien entendu, je vous conseillerai plutôt de bien dormir et de préférence vous couchez AVANT MINUIT, ce sont les heures les plus favorables pour produire cette hormone, que ce soit pour les enfants comme pour les adultes et de pratiquer une activité physique journalière. Consommer des légumineuses.

Certaines personnes ont l’habitude de se coucher tard à cause du travail ou juste pour le plaisir de regarder la télé.

 

Le sommeil est un facteur indispensable qui permet au corps humain de se ressourcer.

 

Les habitudes de sommeil peuvent avoir un impact sur la longévité.

Les différentes hormones sont sécrétées par notre organisme en adéquation avec notre horloge circadienne. L’assimilation de la vitamine D (facteur de bonne humeur aussi) et des minéraux ne se fait pas non plus à toute heure et dans toutes les conditions.

 SE COUCHER AVANT MINUIT APPORTE PLUS DE RÉPARATION À NOTRE CORPS.  Idéal pour renforcer le développement de la masse musculaire. En effet, le sommeil avant minuit apporte une récupération de forces musculaires dépensées durant la journée pour être plus performantes le lendemain. Le sommeil tardif est un facteur qui entraine un déséquilibre de notre organisme. Cela peut causer une fatigue générale du corps ainsi que de l’obésité.

 

Selon différentes enquêtes, plusieurs personnes qui ont un sommeil de quatre heures seulement pendant six nuits consécutives subissent des perturbations métaboliques vraiment semblables à celles qui sont causées par le diabète.

Le manque de sommeil entraine des conséquences indésirables pour le corps humain. Il s’agit d’une hypertension artérielle, des troubles gastro-intestinaux, des maladies cardiovasculaires ainsi que des difficultés d’apprentissage. Il est donc préférable de se coucher avant minuit pour ne pas subir des perturbations qui pourront affecter l’organisme.

Il est recommandé de ne pas rester trop longtemps devant la télé et de ne pas faire des activités qui vous empêchent de dormir tôt, afin de pouvoir vous coucher avant minuit.

Pour en savoir plus sur l’hormone de croissance, quelques vidéo sur ce lien.

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Antioxydants pour nous protéger des radicaux libres.

 

Le terme de "radicaux libres", est apparu à la fin des années 30, après que des chimistes aient observé que des atomes et des molécules instables, extrêmement réactives, étaient impliquées dans l'apparition de la rouille du fer et des fendillements du caoutchouc. Sûrs qu'il s'agissait de sous-produits de l'oxygène de l'air, ils les baptisèrent "free radikals".

 Car il s'agit d'atomes possédant à leur périphérie un électron libre, isolé, baladeur. Pour devenir plus stables, ces atomes ou molécules donnent un électron ou arrachent un autre électron à un atome ou une molécule en possédant deux à la périphérie, la transformant à son tour en radical libre.

Denham Harman, médecin, ancien chimiste de la Shell, installé à Berkeley, qui est le père de la théorie du stress oxydant imagina, dans les années 50, que ce phénomène destructeur pouvait être extrapolé à l'organisme humain. Et il avait raison...

 

Aujourd'hui, nous savons que ces radicaux libres jouent un rôle majeur à la fois positif et négatif. Lorsqu'ils sont dans un excès insupportable pour le corps, celui-ci entre dans un stress oxydatif, avec des conséquences irréversibles sur notre santé. Cet excès apparaît quand nos défenses naturelles anti-oxydantes, provenant soit de molécules que nous ingérons, soit que nous fabriquons, sont dépassées.  Ce qui est méconnu cependant, c'est que ces radicaux libres, à doses physiologiques, ont aussi un effet bénéfique pour l'organisme.

C'est donc l'excès de radicaux libres qui est dangereux et cet excès peut provenir aussi de sources extérieures présentes dans notre environnement. Les radicaux libres sont produits par les polluants chimiques, par les radiations de toutes sortes, les agents infectieux, l'alimentation, les médicaments... et par le stress psychologique.

Nous sommes un tout composé de parties, ces parties sont les cellules, bien entendu notre santé passe d'abord par celle de nos cellules.

Contre le stress oxydant, la «détoxification » ne sert à rien

Il ne faut pas confondre ces déchets avec les toxines que l'on a coutume d'éliminer par la dépuration en "rinçant" notre organisme, en buvant beaucoup d'eau et qui sont ensuite évacuées par l'intestin ou les reins. Non, les molécules oxydantes, malheureusement, ne disparaissent pas en quelques gorgées : si les « éboueurs » de l'organisme ne suivent pas le rythme de leur production, elles restent sur place, se déposent souvent, non pas dans les cellules elles-mêmes mais à la surface extérieure de celles-ci.

Nous avons des défenses antioxydantes mais...

Bien qu'inégaux devant les radicaux libres (comme sur le plan immunitaire) nous sommes naturellement armés pour les neutraliser dès qu'ils commencent à présenter un danger. Nous disposons à cet effet d'un certain nombre d'antioxydants endogènes que nous fabriquons.

Ainsi, nous produisons en particulier une petite molécule faite de trois acides aminés (glycine, cystéine et glutamate), le glutathion : c'est à la fois le meilleur capteur de groupements chimiques oxydants et de surcroît un excellent détoxifiant. On l'appelle « le maître antioxydant ».

Bien-sûr, notre organisme fabrique d'autres antioxydants comme l'acide urique ou la superoxyde dismutase (SOD) mais aucun n'est aussi puissant ni aussi généraliste que le glutathion.

Notre source interne de glutathion se tarit à la cinquantaine

Le rôle bénéfique des antioxydants sur la durée de vie a été démontré par plusieurs expérimentations depuis la fin des années 50, époque à laquelleDenham Harman réussit à faire vivre des souris 20% plus longtemps en enrichissant leur alimentation en antioxydants.

Nous savons aussi et depuis peu, qu'à l'approche de la cinquantaine, l'homme et la femme deviennent particulièrement fragiles face aux radicaux libres. C'est la conclusion d'une très sérieuse étude américaine réalisée par Dean Jones en 2002. Cette équipe d'Atlanta a étudié certains paramètres pouvant refléter le stress oxydant, tel que la quantité de glutathion oxydé (le mauvais ou GSSG) et de glutathion réduit (le bon ou GSH) dans le plasma ou dans les globules rouges. Elle a ensuite recherché des corrélations avec les caractéristiques des sujets et n'en a trouvé aucune à l'exception, très nette, de l'âge.

Effectivement, à partir de 45-50 ans commence un déclin du glutathion réduit tandis que le glutathion oxydé augmente. C'est l'âge critique du vieillissement humain, celui où commencent à apparaître les phénomènes de dégénérescence. Stress oxydant et vieillissement sont étroitement liés et, en corollaire, il est évident qu'un stress excessif se manifeste par un vieillissement prématuré. La plupart des maladies de l'époque, celles qui nous font le plus peur, se situent précisément au croisement de ces deux phénomènes.

Le glutathion est une molécule que l'on considère comme essentielle à l'apparition de la vie humaine sur Terre. Elle contrôle la plupart des processus vitaux de nos cellules. Ce produit éminemment naturel fabriqué par notre foie, est depuis longtemps utilisé sous une forme injectable. Si vous en injectez à un malade de Parkinson, ses tremblements cessent immédiatement.

 

Comment bénéficier pleinement des effets du glutathion

Malgré son rôle essentiel, le glutathion n'est pas assimilable par absorption buccale et donc il n'est pas commercialisé dans les pharmacies. Il est parfois administré par intraveineuse néanmoins. Mais la meilleure méthode est de stimuler la capacité de notre corps à produire son propre glutathion, et à le retenir dans l’organisme pour en bénéficier pleinement. Pour se faire, se sustenter avec le précurseur du glutathion : N-acétyl-cystéine (NAC). C'est à partir de ce dérivé d'acide aminé (la cystéine) que le corps produit le glutathion. En effet, une étude publiée dans la revue Redox Biology démontre  l'effet du NAC  dans le maintien du niveaux de glutathion et donc dans la prévention de l'oxydation des cellules et donc du déclin métabolique lié à l’âge.

 

Le N-acétyl-cystéine est pafois utilisé pour favoriser l’évacuation du mucus en cas de bronchite. Il est aussi utilisé à haute dose en médecine en détoxifiant d’urgence, en cas d’ingestion de poison.

L-cystéine permet aussi la synthèse dans l'organisme de la mélanine, principe actif qui intervient dans la pigmentation de la peau et des cheveux, c'est pourquoi sa commercialisation met surtout en avant ses qualités essentielle à la formation et à la santé de la peau et des cheveux. Celle que l'on trouve dans le commerce est d'ailleurs fabriquée à partir de cheveux humains et de plumes d'animaux et vantée pour favoriser le renforcement capilaire. Son impact sur le glutathion n'est pas mis en avant, mais il est bel et bien efficient. 

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Je priviligie autant que possible l'absorbstion de nutriment à travers une alimentation saine, mais je fais néanmoins ds cures variées de diffférents compléments alimentaires. L-cysteine en fait partie.

 

Les aliments riches en cystéine sont:

  • Lait et produits laitiers;
  • grains entiers;
  • amandes, arachides, noix, noisettes et noix de cajou,
  • l’ail, l'oignon rouge (pour ce qui est des bienfaits de l'ail je fais une cure de  clean candida chaque fois que quelques signes me laissent penser qu'il faut faire le ménage et l'ails a de multiples bienfaits)
  • brocoli et choux de Bruxelles.

Bien entendu on ne peut pas manger de tout tout le temps et les compléments aide à maintenir l'équilibre et éviter les déficites. 

 

Dans le registre des antioxydent il faut un supplément de vitamine C car les aliments aujourd'hui ne sont plus assez riches en vitamine C et elle est vraiment essentielle. Je prends aussi de la vitamine  E et du malate une bonne partie de l'année. 

J'alterne la vitamine C seule et un complexe tel que 

 

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Malate 

 

 

 

Pour optimiser le taux d'absorption des antioxydants, de même que l’absorption de la  vitamine C un corps gras est nécessaire. 

L'avocat est idéal ou bien prendre une gélule d'huile de poisson ou  huile de lin ou  huile de bourrache ou  huile d’onagre en même temps que vos gélules. 

 

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Lithothamne

 

 

 

Voir aussi :   aliments-anti-age

    et             top-5-des-aliments-gorges-d-antioxydants-pour-lutter-contre-le-vieillissement

 et enfin :  Prévenir naturellement les maladies cardio-vasculaires et l'hypertension

 

 



15/07/2014
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