L’équilibre Acido-basique
De nos jours, en raison de nos habitudes alimentaires et de notre mode de vie, notre équilibre acido-basique est perturbé, et de plus en plus, nous tendons vers l’acidification.
Notre alimentation est majoritairement acidifiante, nos assiettes étant garnies de viandes et de céréales agrémentées d’une bonne dose de sel. Toutefois, pour fonctionner correctement, notre organisme doit se situer dans une zone de pH équilibré ni trop acide, ni trop basique. Cet équilibre acide-base dépend en grande partie de notre alimentation.
Côté acide : les céréales, les protéines (surtout animales) apportent des acides aminés qui contiennent du soufre et/ou du phosphore alors que le sel apporte des ions chlorures. Ces apports contribuent à la charge acide nette de l’organisme via la formation d’acides sulfurique, chlorhydrique et phosphorique.
Coté basique : les fruits, légumes, racines et tubercules apportent des sels de potassium alcalins. Une alimentation riche en fruits et en légumes, tubercules et racines par leur quantité de sels alcalins neutralise facilement les acides issus du métabolisme alimentaire. Sachant aussi que tout ce qui est plat préparés industriels, junk food, viennoiseries et autres sucreries acidifient, à partir de là, On peut très bien équilibrer son alimentation sans se focaliser sur les chiffres précis.
Cette défaillance métabolique est l’une des plus répandue, mais aussi l’une des moins connue.
La notion d’acidification du terrain est essentielle, car de nombreux troubles peuvent y être associés, et sa correction apporte des résultats étonnants. De plus, la prise en charge du terrain acide s’intègre dans une médecine préventive, notamment chez les enfants présentant très tôt un déséquilibre acide-base. Avant de voir en détail l’équilibre acido-basique, il est indispensable de bien comprendre la notion de terrain.
Qu’est ce que le terrain ?
Si une plante pousse harmonieusement sur son terrain de prédilection, il en est de même pour le corps humain.
Il existe un terrain organique idéal qui permet un fonctionnement optimum de nos organes. Le corps est composé à 70 % de liquides représentés par le sang, la lymphe et les sérums. Les cellules ne peuvent pas se déplacer pour aller chercher leur nourriture, l’oxygène, et pour se débarrasser de leurs déchets, ce sont les liquides organiques qui vont se charger des ces fonctions.
La composition de ces liquides est primordiale pour la cellule, car ils représentent son milieu vital, et, comme tout être vivant, les cellules ne peuvent pas survivre dans un environnement qui ne leur est pas favorable.
Ceci implique que chaque modification de la composition idéale éloigne le corps de l’état de santé. Plus ces modifications seront importantes, plus importants seront les dérèglements.
En règle générale, le terrain peut se modifier de 2 manières différentes :
- En se carençant : les substances nécessaires aux cellules(vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras…) sont réduites ou absentes, et l’activité cellulaire diminue ou s’interrompt.
- En se surchargeant:
- de substances indésirables, des toxiques, qui ne se trouvent pas normalement dans le corps, ce sont les pesticides, les colorants, les conservateurs, les polluants divers, le tabac, les drogues, les médicaments, métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, aluminium etc)…
Les voies d’entrée de ces substances sont la voie digestive, pulmonaire et cutanée. On parle alors d’intoxication.
- de toxines et acides qui sont des résidus des métabolismes.
On parle alors d’intoxination ou « encrassement« . La présence de petites quantités de toxines est normale, le corps possède des organes appelés émonctoires qui vont se charger d’éliminer ces déchets résiduels : ce sont le foie, les reins, la peau, les poumons, l’intestin.
Une partie des déchets provient de l’usure des tissus, tous les jours, le corps doit éliminer des débris de cellules usées, des cadavres de globules rouges…
Mais la plus grande partie des toxines et acides (l’urée, l’acide urique, l’acide lactique,l’acide acétique, les acides cétoniques, cholestérol…) provient de la dégradation des substances alimentaires.
Tant qu’un certain seuil est respecté ces toxines sont bien supportées, mais si ces toxines sont en excès, elles vont provoquer de graves dommages à l’organisme et prépareront le lit des maladies futures.
Elles agissent comme de véritables poisons, les liquides organiques qui charrient ces déchets, s’épaississent et circulent de plus en plus difficilement.
Exemple : les globules rouges deviennent de plus en plus rigides et s’agglutinent, augmentant ainsi la viscosité du sang qui coule plus lentement.
Il en découle une mauvaise irrigation des tissus, de mauvais échanges cellulaires. Les substances nutritives et l’oxygène ont de la peine à être transportés jusqu’à leur lieu de destination : la cellule. Les cellules étouffent sous les déchets
A ces troubles fonctionnels s’ajoutent les lésions causées par l’agressivité des déchets. Les toxines et les acides enflamment, détruisent, sclérosent les tissus.
lequilibre-acido-basique
Notion de PH
Le pH (puissance à libérer des ions hydrogène) est l’unité qui permet de mesurer le degré d’acidité ou d’alcalinité d’une substance ou d’un milieu.
L’échelle varie de 0 à 14. Le pH neutre se situant autour de 7.
Plus l’acidité est grande, plus le pH est faible : de 7 à 0.
Plus l’alcalinité est grande, plus le pH est élevé : de 7 à 14.
Le pH qui permet un fonctionnement optimum, donc normal de notre corps, est de 7,4 au niveau du sang, c’est-à-dire légèrement basique, il doit rester constant.
Pour en savoir plus sur l'indice PRAL : qu'est-ce-que-l'indice-pral
comment-evaluer-lacidite-de-lorganisme
Neutralisation des acides
La présence d’acides dans l’organisme est normal (jusqu’à un certain point) puisque le corps, par son mode de fonctionnement reçoit et produit des acides. Ce sont des quantités réduites que le corps neutralise et élimine facilement, mais lorsque ce taux est dépassé, l’organisme n’arrive plus à les éliminer et va les stocker dans les tissus.
Les systèmes tampons
Pour maintenir le pH sanguin, l’organisme va mettre en œuvre des systèmes tampons très performants et d’autant plus efficaces qu’ils doivent faire front à de nombreux éléments perturbateurs, au premier rang se situe l’alimentation.
L’action des systèmes tampons repose toujours sur le même principe : il consiste à neutraliser un acide fort en le liant à une base pour obtenir une substance neutre et un acide faible.
sel minéral + acide = sel neutre difficile à éliminer , s’associe à l’eau et à la graisse pour former un dépôt résiduel.
A cet effet le corps sacrifie en permanence des sels minéraux qu’il retire de la nourriture ou des réseves qui sont à sa disposition.Il récupère ses substances dans le cuir chevelu, les dents, les os, le sang, le cartilage, ce qui signifie un viellissement chimique du corps.
Les minéraux acide sont le soufre, le phosphore, le chlore, le fluor, l’iode, la silice.
Les minéraux alcalins sont le calcium, le sodium, le potassium, le magnésium, le cuivre, le fer…
Petite algue rouge
Riche en calcium, réputé efficace contre les aigreurs d'estomac, le lithothamne agit en rééquilibrant l'équilibre acido-basique. Quand on sait que 80% de la sérotonine est fabriquée dans les intestins, et donc qu'une bonne fleure prévient la dépression, on a tout intérêt à bichonner sa flore et l'équilibre acido-basique est essentiel en ce sens !
L’élimination des acides
L’organisme va essayer d’éliminer les acides issus du métabolisme et de l’action des systèmes tampons, par les poumons, la peau, les reins.
Les poumons assurent plus de 90% de la désacidification de l’organisme. Ils vont rejeter les acides « volatils », provenant surtout de la dégradation des protéines végétales (acides organiques faibles : acide citrique, oxalique, pyruvique) qui seront transformés en acide carbonique puis en gaz carbonique expulsé lors de la respiration. Cette voie d’élimination est rapide et adaptable d’où l’intérêt d’une activité physique et d’une bonne oxygénation.
Les reins vont rejeter les autres acides « non volatils » (acide urique, acide sulfurique, acide phosphorique) provenant de la dégradation des protéines animales. Ce sont des acides forts. Cette voie d’élimination est lente et peu adaptable, car les reins ne peuvent éliminer qu’une quantité bien définie d’acides forts par jour.
L’élimination par la peau est limitée : sueur odorante acide pouvant s’accompagner de prurit.
Pour estimer approximativement l’acidité résultant de notre alimentation, on peut utiliser l’indice de PRAL (Potential Renal Acid Load). Cet indice évalue l’acidité de l’urine, et donc de l’organisme, en relation avec la quantité de protéines, de minéraux acides et de minéraux basiques apportés par notre alimentation. Si un aliment renferme des protéines et plus de minéraux acidifiants que de minéraux basifiants, l’indice de PRAL est supérieur à zéro : l’aliment est acidifiant. Dans le cas contraire, l’indice de PRAL est négatif, l’aliment est alcalinisant.L’acidose chronique est en partie responsable de la flambée d’ostéoporose. En effet si notre alimentation est trop acidifiante, notre organisme puise dans les os des substances alcalinisantes pour neutraliser cette charge acide. Dans nos os, ces substances se trouvent sous forme de citrate de calcium ou de bicarbonate de calcium. En puisant ces éléments basifiants, l’organisme pompe le calcium dans nos os.
La meilleure façon pour lutter contre l’acidose :
- Augmenter la part de fruits et de légumes (jusqu’à 8 à 10 par jour)
- Manger moins de protéines animales (manger des portions moins importantes de viandes, fromages etc..)
- Manger moins de sel (saler très peu ses plats, consommer moins d’aliments préparés, consommer moins de pain)
- Manger moins de céréales en les choisissant complètes ou semi-complètes (chaque jour pas plus de 4 à 5 tranches de pain complet ou semi-complet)
- Consommer régulièrement une eau minérale riche en bicarbonates
Les aliments sont alcalins et oxydés ne favorisent pas la santé.
Les aliments trop raffinés, traités sont dénaturés.
75 % des maladies viendraient de l'eau selon Claude Vincent. Mais aussi des aliments qui détermine le terrain.
Voir l'article essentiel : Tout savoir sur l'EAU
Maintenant regardez ce graphique là :
Une fois que vous aurez compris où vous êtes dans ce graphe et ce qu’il faut faire pour aller bien, vous vous étonnerez de sa simplicité et de son efficacité !
Regardez où se trouvent les maladies d’aujourd’hui , Cancer, Virus en particulier. A votre avis ou sommes nous ? Et que devons nous faire pour revenir au point SP (Santé Parfaite). Tout ceci va commencer par l’Eau, l’élément de base de notre vie.
Voir l'article essentiel : Tout savoir sur l'EAU
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voir aussi les tableaux des aliments acides/basiques : Liste aliments
Circonstance d’apparition d’une acidose tissulaire
Elle apparaît quand le taux normal d’acides que peut neutraliser l’organisme est dépassé.
- La cause essentielle de l’acidification est l’alimentation contemporaine. Elle résulte d’unexcès d’aliments acidifiants et pauvres en minéraux et d’un manque d’aliments alcalinisants (abus de viande,laitages, charcuteries, insuffisance de légumes, sodas riches en acide phosphorique…)
- Notre mode de vie actuel : stress, manque de sommeil, surmenage, tabagisme tendent à faire pencher cet équilibre en faveur d’une acidification
- La carence en micronutriments conséquence directe de l’alimentation raffinée
- La sédentarité, le manque d’exercice physique, entraînent une sous oxygénation des tissus
- Une activité sportive trop intense a une action acidifiante (acide lactique)
- Les phénomènes digestifs, des troubles colitiques (fermentation, putréfaction) entraînent la formation de sous produits dont plusieurs acides ; ces derniers réabsorbés et réintroduits dans la circulation sanguine font chuter le pH
- L’insuffisance d’élimination rénale
- Médicament anti douleur :Acide acétylsalicylique
Que se passe-t-il face à un excès d’acide ?
L’apport d’acides par les aliments et la production d’acides par le fonctionnement de l’organisme sont inévitables, il est normal pour l’organisme d’avoir à traiter avec des acides.
Si certaines personnes se trouvent bien armées pour faire face aux acides, d’autres le sont moins.
- Les personnes dont les systèmes tampons fonctionnent bien, qui ont de grandes réserves minérales et brûlent facilement tout excès d’acide, ne s’acidifient pas facilement.
- D’autres présentent une faiblesse métabolique à l’égard des acides (frilosité, nervosité excessive, fatigabilité), elles les neutralisent mal et leurs réserves minérales s’épuisent rapidement, elles ont une très faible capacité de combustion des acides et ceux-ci au lieu d’être transformés restent sous forme d’acide. A cause de leur extrême sensibilité, ces personnes s’acidifient pour « un rien » (période de surmenage, contrariété) et très vite vont s’installer des affections de toutes sortes.
L’excès d’acides est stocké dans les tissus où il va agir à trois niveaux :
- En ralentissant l’activité des enzymes qui ne fonctionnent qu’à un pH défini. L’acidification du milieu va rendre ces enzymes inefficaces.
- En irritant et en encrassant les organes où ces acides s’accumulent créant ainsi une inflammation. Les cellules ne fonctionnent plus normalement, il y a une souffrance cellulaire, un vieillissement des tissus avec production de radicaux libres, de mauvais échanges, une auto-intoxication. On parle d’encrassement des tissus.
Le corps brûle sous l’effet des acides :douleurs musculaires, tendinites, peau qui se dessèche…
L’encrassement : ces toxines et acides seront stockées , associées à de l’eau et des graisses pour former des dépôts résiduels.
Chez la femme ils se transforment en cellulite, chez l’homme , c’est le trour de taille qui augmente.
- En provoquant une déminéralisation progressive des tissus. L’organisme tire les substances minérales dont il a besoin de la peau, des cheveux, des ongles, des os , articaulations,des dents.
Dès que le pH sanguin baisse, le phosphate de calcium du tissu se solubilise pour neutraliser les acides, lors de l’acidose chronique il y a pillage des réserves alcalines, ce qui amène une déminéralisation à l’origine d’un grand nombre de pathologies :caries, fractures spontanée, douleurs osseuses et articulaires, ostéoporose, atteinte des phanères (cheveux et ongles)…
Les signes d’une acidose
Un certain nombre de symptômes apparaissent progressivement dans un organisme souffrant d’acidose tiss ulaire chronique. Ils s’installent peu à peu et l’on vit avec, mais ils peuvent évoluer vers des dysfonctionnements majeurs.
La première chose à faire est de boire assez d'eau et éliminer ou réduire drastiquement les soda, les boissons les sucres et le café. Remplacez-les par le thé, les tisanes, du keifir, très alcalinisant.
Ajoutez de la verdure dans vos assiettes, des feuilles de salade verte, de mâche, de menthe....
Mais en fait qu’est-ce que l’équilibre acido-basique ?
Pour maintenir une santé optimale, le PH sanguin doit se situer entre 7,32 et 7,42.
Pour ce faire, notre organisme cherche le plus souvent des minéraux alcalinisants (magnésium, potassium, calcium…) dans notre corps pour réguler ce PH, il actionne ce que l’on appelle « le système tampon ». A chaque fois que le système tampon fonctionne, il y a production d’eau et de sels. Ces sels sont des petits cristaux, des déchets qui vont se loger dans les tissus et peuvent à terme créer de l’inflammation, des douleurs et des dysfonctionnements s’ils ne sont pas évacués rapidement.
Pour ce faire l’organisme va chercher ces minéraux dans les tissus les moins vitaux à notre santé. Il les pioche d’abord dans les ongles, les cheveux, la peau (ce qui explique les ongles et cheveux fragiles) puis s’il n’y a plus suffisamment de ressources, il va les prendre dans les cartilages, les os et créer une déminéralisation.
C’est ainsi que les troubles de santé tels que l’arthrose, les rhumatismes, l’ostéoporose, peuvent trouver leur cause dans l’acidose.
Quelles sont les causes principales de l’acidose ?
• Une alimentation acidifiante, carencée en minéraux tels que le magnésium, potassium, calcium, riche en sucres (biscuits, barres sucrées, soda), en graisses saturées (viennoiserie, quiche, pizza, charcuterie), riche en sels et acide sulfurique (fromages, charcuterie, soda).
• Les maladies chroniques qui créent une inflammation constante et par la même occasion de nombreux radicaux libres.
• Le stress, gros consommateur de minéraux, et tout particulièrement de magnésium.
• Le manque d’oxygénation (respiration étriquée, peu d’exercices physiques).
• L’exercice physique en excès (grand sportif, compétition).
• La pollution, la consommation de pesticides, les conservateurs.
• Le manque de sommeil.
• Un transit irrégulier.
Les actions à mettre en place
• Avoir une alimentation alcalinisante : consommer beaucoup de fruits et légumes tels que les pommes de terre, patates douces, potimarron, châtaignes, bananes, fruits séchés,
• Réduire la consommation de protéines animales telles que la viande, le fromage notamment les fromages fondus, le comté, gruyère, parmesan. Savez-vous que pour contrebalancer l’acidité de 40 g de comté il vous faudra consommer 400 g de légumes ?
• Réduire la consommation des produits riches en sucres rapides et surtout les sodas. Avez-vous fait l’expérience d’une pièce rouillée trempée une nuit dans un coca ? Pour l’organisme c’est pareil !
• Privilégier les protéines végétales : tofu, légumineuses, tempeh, ces protéines produisent des acides volatiles évacués par les poumons, ils évitent ainsi de surcharger le travail des reins (principal organe d’élimination des acides).
• Stimuler la transpiration qui permet d’éliminer les acides en pratiquant une activité sportive, en allant au sauna, au hammam, en prenant un bain hyperthermique.
• Augmenter l’oxygénation afin d’évacuer les acides volatiles, le sport, les respirations complètes, ventrales, le yoga, le qi qong apportent cet effet.
• Veiller à avoir un bon sommeil et à vous coucher avant minuit. Le corps stocke les acides la journée dans les tissus et les élimine la nuit, c’est aussi durant la nuit que l’organisme se répare.
• Apprendre à gérer son stress ou le réduire par des activités de relaxation, de détente (sophrologie, pleine conscience, antigymnastique, yoga, chant…), en complément prendre du magnésium, des vitamines du groupe B (germe de blé, levure de bière, pollen), des omega 3, des ampoules d’eau de mer riche en oligo-éléments.
• Equilibrer son transit en buvant suffisamment d’eau (il est intéressant de consommer une eau dont le PH est légèrement acide telle que la Montcalm, la rosée de la reine), en mangeant suffisamment d’aliments contenant des fibres (céréales complètes, fruits et légumes). La flore est un élément déterminant d’un bon transit, pour certains il peut être utile de prendre régulièrement des probiotiques (bactéries qui viennent enrichir notre propre flore).
Quelques conseils complémentaires
Prendre soin de ses pieds car les toxines s’y accumulent sous forme de cristaux sous la peau.
• Prendre des bains de pieds chauds, en ajoutant 5 gouttes d’huile essentielle de genévrier, de pin ou de pamplemousse mélangées à un peu de gel douche.
• Frotter le dessous des pieds avec une pierre ponce.
• Masser ses pieds.
• Prendre rendez-vous pour une réflexologie plantaire.
Drainer les toxines en faisant une cure de sève de bouleau, d’artichaut, de prêle, d’ortie, de cassis sous forme de phytothérapie ou gemmothérapie. Réguler l’équilibre acido-basique en faisant une cure d’eau Hydroxydase, eau riche en bicarbonates, 2 à 3 flacons par jour en dehors des repas, pendant 3 semaines.
Dans un 1er temps : agression des tissus, brûlures, inflammations
- Au niveau de l’état général : fatigue chronique, frilosité, hypotension, migraines fréquentes
- Au niveau du psychisme : irritabilité, état de stress permanent, nervosité, état dépressif, hyperémotivité, insomnie, augmentation de la perception douloureuse.
- Au niveau musculaire, articulaire : inflammations, crampes, tendinites, spasmes, maux de dos chroniques,arthrite, douleurs de nuque et épaules, douleurs musculaires diffuses.
- Au niveau des muqueuses : brûlures urinaires, cystalgies,mycoses, prurit, sueurs acides irritantes, peau sèche, irritée, yeux larmoyants, blépharite, transpiration abondante, gencives enflammées et sensibles.
- Baisse de l’immunité : troubles ORL à répétition, toux, raclement de la gorge.
- Au niveau digestif : mauvaise haleine, langue chargée, bouche sèche, gencives enflammées et sensibles, acidité gastrique, gastrite, ulcère, brûlures rectales, inflammation des intestins, constipation.
Dans un 2ème temps : déminéralisation, épuisement métabolique
Caries, cheveux ternes, chute des cheveux accélérée, ongles fragiles, cassants, dédoublés, déminéralisation du cartilage, arthrose, ostéoporose, douleur lombaire
Dans 3ème temps : encrassage des émonctoires : dépôts minéraux
Cellulite, Goutte, calculs biliaires , urinaires, fibromes, lipomes…
Cas particulier : les enfants
S’intéresser à l’équilibre acido-basique des enfants s’inscrit dans la prévention de l’ostéoporose à l’âge adulte. Entre 2 et 11 ans, seulement 30% des enfants consomment les doses recommandées de fruits et légumes et plus de 50% ingèrent une majorité de leurs calories sous forme de sucres rapides (sucreries, sodas, viennoiseries, pain blanc).
L’alimentation de type occidentale industrielle, la télévision et les jeux vidéo favorisant la sédentarité font que très tôt un terrain acide déminéralisé va s’installer (douleurs de croissance, infections à répétition, caries dentaires…).
Le minéral essentiel à la croissance est le calcium, actuellement ce n’est pas l’apport qui est insuffisant mais les fuites calciques qui sont excessives et dues à une alimentation acidifiante.
Identifier une acidose
Éliminées par les reins, ces acides en excès confèrent à l’urine une acidité permanente, témoin de l’acidification de l’organisme.
Il existe un moyen simple de contrôler son état d’acidité / alcalinité et d’en surveiller l’évolution. Il suffit de tester pendant 5 jours le pH des urines, 3 fois par jour avec une bandelette de papier pH :
- 2ème urine du matin (la 1ère est toujours acide car l’organisme élimine les acides produits pendant la journée)
- avant le repas de midi
- avant le repas du soir
En situation normale, les urines sont plutôt neutres basiques, avec un pH se situant entre 7 et 7,5. Si les valeurs trouvées sont toujours ou très souvent inférieures à 7, cela traduit une surcharge de l’organisme en déchets métaboliques acides.
Comment corriger l’acidose ?
Lutter contre l’acidité, c’est d’abord reconsidérer son alimentation et son mode de vie en corrigeant les apports pour éviter le gaspillage minéral.
La notion d’équilibre acido-basique est essentielle à la fixation de minéraux par l’organisme.
1. Mise en place d’un régime alcalinisant
Les aliments sont classés en trois catégories :
- Les aliments acidifiants c’est-à-dire producteur d’acides : viandes, poissons, œufs, fromages à pâte dure, céréales, légumineuses, sucre raffiné, fruits, oléagineux sauf amandes, café, thé, cacao, vin, sodas.
- Les aliments acides riches en minéraux et en acides reconnaissables au goût : agrumes, vinaigre, fruits pas mûrs, excès de fruits doux, jus de fruits, boissons industrielles sucrées, légumes acides (tomates, rhubarbe, oseille…), petit lait vieux de quelques heures… ces aliments seront alcalinisants chez des personnes ayant une bonne activité enzymatiques. Dans le cas contraire, pour les personnes présentant une faiblesse métabolique et enzymatique, ces acides seront stockés et contribueront à l’acidification de l’organisme.
- Les aliments alcalinisants : ils sont riches en bases et ne produisent pas d’acide quand ils sont utilisés par l’organisme : les légumes (sauf tomates), pommes de terre, châtaignes, bananes, dattes, amandes…
Le PRAL (de l’anglais Potential Renal Acid Load)
Aujourd’hui un nouvel indice de classification apparaît : l’indice PRAL. Il indique la charge acide rénale potentielle d’un aliment, à savoir son effet acidifiant ou alcalinisant sur l’organisme. C’est dans l’urine que l’on obtient la mesure de cette charge dont l’unité est le milliéquivalent (MEq). Tous les chiffres au dessous de 0 révèlent un excès d’acide, au dessus ils sont alcalinisants.
Le PRAL confirme et valide de façon scientifique un certain nombre de connaissances des naturopathes depuis plus d’un siècle. En effet par exemple, parmi les aliments les plus acidifiants, on trouve :
- les viandes : +4,1 pour le canard à +14,2 pour le foie de veau,
- les poissons : de +6,8 pour l’églefin à + 15,5 pour les crevettes roses
- les laitages :de + 1,2 pour les crèmes fraîches à + 34,2 pour le parmesan,
- les céréales :de +1,8 à +4,1 pour le pain à +12,6 pour le riz brun.
Quant au légumes, ils sont classés effectivement comme alcalinisant : de -0,8 pour les concombres à -7,5 pour la roquette ainsi que les fruits : de -1 pour les jus de raisin à -21 pour les raisins secs.
Quelques remarques s’imposent toutefois à la lecture de ces mesures, car quelques paramètres semblent ne pas avoir été pris en compte :nous n’avons pas tous la même capacité métabolique.
Elle dépend de l’équilibre nerveux et glandulaire (force vitale), du pouvoir émonctoriel et des réserves en catalyseurs (enzymes, oligo-éléments, antioxydants,…) de la personne. Les capacités d’assimilation correcte et de gestion des acides organiques sont très différentes, en fonction de la vitalité du sujet, du climat, de ses activités corporelles, amis aussi selon les horaires de la consommation (la matin ou la fin d’après-midi).
- Certains aliments connus pour être acidifiants apparaissent avec la mesure PRAL comme alcalinisants : la confiture : -1,5 ; le café : -1,4, épinard : -14 ! …
- De même des aliments connus comme alcalinisants apparaissent comme acidifiants : amandes : +4,3 , quant aux sodas à base de coca, acide et acidifiant notoire, il est quasiment neutre + 0,4 !!!
Il apparaît que si ces études sont louables et intéressantes, elles méritent quelques années de recherches transversales encore pour prétendre donner une image complète du problème de la réduction acido-basique.
Remarque : Même les végétariens, qui consomment trop de céréales et légumineuses ne sont pas à l’abri de l’acidose.
Faut-il supprimer les aliments acidifiants ?
Non, car l’organisme à besoin de ces aliments riches en protéines qui permettront aux minéraux basiques de se fixer correctement dans les tissus.
Il conviendra donc :
- De modérer sa consommation d’aliments acidifiants
- De privilégier les aliments alcalins :
- La ration en aliments alcalins devrait représenter :
50% pour les personnes en équilibre acido-basique
60 à 80% pour les personnes en déséquilibre acido-basique
Si la quantité d’aliments acides et acidifiant est bien contrebalancée par l’apport d’aliments alcalins, les bases neutraliseront les acides sans que les systèmes tampons n’aient à intervenir.
Si les bases alimentaires nécessaire à la neutralisation des acides font défaut, ce sont les sels minéraux alcalins prélevés dans les tissus qui devront être utilisés, ce qui à la longue conduit à la maladie.
Dans la maîtrise du pouvoir alcalinisant : le Docteur Christian Rémesy, chercheur à l’INRA de Clermont Ferrand propose les associations suivantes :
- œufs ou viandes ou fromages / légumes / pommes de terre
- céréales + viandes / légumes
- produits laitiers / fruits
2. Reminéraliser par l’apport de citrates alcalins
La plupart du temps, chez les personnes présentant plusieurs signes d’acidose, la mise en place d’un régime alcalinisant est insuffisante, la déminéralisation des tissus est trop profonde. Pour que le corps puisse se reconstruire correctement, des cures régulières de compléments nutritionnels spécifiques seront nécessaires. Ces compléments doivent être riches en sels minéraux basiques d’acide faible (calcium, magnésium sous forme assimilable et issus de produits naturels) et en vitamine du groupe B nécessaires à la plupart des processus métaboliques concernés.
Certains produits riches en sodium sont déconseillés aux insuffisants rénaux, et insuffisants cardiaques.
La posologie
Il faut donner à l’organisme autant de bases qu’il a besoin, la posologie sera adaptée à la personne.
Les citrates alcalins sont des béquilles provisoires, néanmoins utiles pour basculer à court terme le pH digestif et tissulaire menacé en situation inflammatoire aigue par exemple, le temps que la personne modifie son mode de vie.
Des oligo-éléments, catalyseurs enzymatiques, vont permettrent de restaurer l’équilibre biologique, et d’optimiser les fonctions de l’organisme.
Les enfants
Aux oligo-éléments essentiels, on ajoutera un complexe alcalinisant adapté à l’enfant pour limiter les fuites calciques.
3. Drainer les toxines
Il est utile de compléter l’action des citrates par des draineurs qui vont stimuler le travail des émonctoires (reins, poumons, peau) permettant d’augmenter l’élimination des déchets acides et des toxines.
On utilisera des plantes diurétiques et des plantes sudorifiques qui en augmentant la sécrétion de sueur, augmentent la quantité d’acides éliminés. On pourra aussi utiliser les saunas, hammam, bains chauds…
Pour plus d’information, voir le dossier « Drainage de Printemps ».
4. Rééquilibrer la flore intestinale, cicatriser la muqueuse intestinale.
Confert article l’intestin : acteur clé de notre santé
5. Prendre des revitalisants basiques
Pour augmenter la vitalité certaines personnes souhaitent prendre des compléments anti-fatigue, certains sont acidifiants donc à éviter, ce sont : l’argousier, levure de bière, pollen, gelée royale.
Il est préférable de privilégier les revitalisants alcalins comme la spiruline, l’algue bleue du lac klamath, le jus d’herbe d’orge, le ginseng bien dosé en ginsénosides, le germe de blé, l’huile de foie de morue.
La première chose à faire pour alcaliniser votre organisme et rétablir un bon équilibre acido-basique consiste à cesser de consommer des aliments acidifiants de façon trop importante. Pour cela, il vous faudra réduire :
- les viandes (en particulier les viandes rouges) ;
- les laitages (excepté le fromage blanc et les yaourts écrémés) ;
- les blancs d’œufs ;
- les huiles végétales raffinées ;
- le sucre blanc ou raffiné ;
- les boissons sucrées (sodas, sirops...) ;
- le blé c’est-à-dire pains, pâtes, biscuits, semoule ;
- les excitants : café, thé, tabac et aussi chocolat (le cacao, au contraire, est basifiant).
Par ailleurs, réduisez votre consommation de sel, le chlorure de sodium étant un acidifiant naturel. Néanmoins, vous pouvez continuer à consommer du sel naturellement si vous le neutralisez avec des suppléments alimentaires de bicarbonate ou de citrate de potassium.
En parallèle de la réduction des apports d’aliments acidifiants, il vous faudra augmenter votre consommation de produits basifiants (ou alcalinisants). Sans surprise, les aliments à consommer en priorité seront :
- les fruits :
- agrumes (sauf l’orange) et surtout le citron (le goût acide n’a rien à voir avec l’acidification que l’aliment entraîne, au contraire) ;
- amandes et châtaignes ;
- bananes (si elles sont mûres), cerises, figues ;
- pêches, pommes, poires, papaye ;
- raisin, tomate ;
- melon, pastèque ;
- les légumes :
- avocats, betteraves, champignons ;
- brocolis, épinards, petits pois (frais) ;
- carottes, céleri, endives ;
- choux et choux-fleurs ;
- échalotes, olives, sésame, chicorée ;
- épinards, persil ;
- courges (aubergine, concombre, courgette, potiron...), cornichons ;
- salades (laitue, mâche, scarole...), pissenlits ;
- pommes de terre et patates douces (non frites !) ;
- poivrons, radis, navets.
Le jaune d’œuf est également alcalinisant, de même que les huiles de première pression à froid et le vinaigre de cidre.
Vous pouvez agrémenter vos plats avec quelques compléments basifiants tels que :
- des graines germées : faites pousser quelques lentilles, graines de blé, d’orge ou autre dans un peu de coton imbibé d’eau et ajoutez-les dans vos salades ;
- des algues : vous en trouverez sous forme de paillettes en magasin bio et elles peuvent s’intégrer dans des soupes ou des salades ;
- la levure de bière : même emploi que les algues.
Vous pouvez vous préparer votre propre bouteille d’eau alcalinisée à boire tout au long de la journée :
- Mettez de l’eau dans une cruche ou une bouteille.
- Placez-y quelques rondelles de citron et quelques rondelles de concombre.
Autres options envisageables :
- Mettez une cuillerée à café de vinaigre de cidre (c’est toujours mieux s’il est bio) par verre d’eau.
- Prenez de l’extrait de racine de réglisse à raison de 5 ml deux fois par jour dans de l’eau.
- Buvez des infusions de fleurs de camomille (une cuillerée à soupe de fleurs séchées dans 200 ml d’eau bouillante à laisser infuser dix minutes).
Le jus de citron est un excellent alcalinisant (son acidité entraînera une réponse alcalinisante de la part de l’organisme dans la mesure où vous ne souffrez pas de pathologie particulière).
- Consommez chaque matin un jus de citron fraîchement pressé. Dans l’idéal, vous choisirez un citron issu de l’agriculture biologique.
Astuce : vous pouvez couper le jus avec de l’eau s’il est trop acide pour vous.
- Vous pouvez également consommer des jus de légumes à volonté tout au long de la journée (les légumes les plus simples à employer étant dans ce cas les carottes et les betteraves). Vous pouvez les agrémenter selon vos goûts avec des herbes de Provence, du persil, du gingembre frais, etc.
- Enfin, le jus d’herbe d’orge est un excellent alcalinisant et un bon dépuratif. Vous pourrez également vous en procurer sous forme de comprimés ou de poudre.
Une bonne oxygénation des cellules participe de façon non négligeable au bon équilibre acido-basique de votre organisme.
- Il vous suffira de faire un peu de sport en plein air chaque jour ou au moins une heure par semaine. Marcher peut suffire.
- Vous pouvez également vous procurer un pulmo-rééducateur qui vous permettra de faire travailler votre ventilation, mais, surtout, d’oxygéner de plus en plus efficacement vos cellules. Cette méthode est idéale pour les personnes qui ne peuvent pas pratiquer d’activité sportive, quel qu’en soit le motif.
http://digestion.comprendrechoisir.com/fiche/voir/250338/alcaliniser-son-organisme#step-1
6. Lutter contre les phènoménes du vieillissement cellulaire
Les radicaux libres en excès sont impliqués dans de nombreux troubles. Pour lutter contre le stress oxydatif en adoptant une alimentation colorée et variée et par l’ apport de compléments alimentaires à dose nutritionnelle. La famille des antioxydants est grande et les chercheurs en découvrent tous les jours, les principaux : acide lipoïque, antioxydants végétaux (flavonoides, polyphénols, lycopène, Betacarotène, lutéine, resvératrol), vit C, co-facteur comme le sélénium.
7. S’hydrater
Pour une action désacidifiante renforcée, on peut conseiller la prise d’une eau riche en bicarbonates pendant une dizaine de jours par mois.
Les eaux riches en sulfates sont acidifiantes, il faut donc consommer beaucoup d’aliments alcalinisants en même temps.
Certaines eaux sont riches en bicarbonates mais aussi en sodium donc pas d’abus (maximum 10 jours par mois).
L’idéal boire 1 à 1.5l d’eau peu minéralisée par jour.
8. Oxygénation et Hygiène de vie
- Respect du sommeil
- Activité physique, au grand air de préférence, pour stimuler l’évacuation des déchets acides volatils et apporter une bonne oxygénation.
- Arrêt du tabac qui est un facteur d’acidose, de mauvaise oxygénation
pH mètre
J'ai découvert qu'il existe un appareil pour mesurer le pH, c'est le pH mètre. Facile à utiliser, compact, portable et étanche à l'eau (IP67) pour rincer sous le robinet. Fonction automatique de compensation de température de 10 à 50°C. Approprié à tous les aliments, les boissons, le sol de culture hydroponique, les huiles de découpage et les liquides.
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Conclusion
La mise en place d’une correction acido-basique n’est pas si évidente, beaucoup d’erreurs sont faites au niveau alimentaire (suppression des protéines animales, trop de céréales raffinées, trop de légumineuses)
De même, les compléments alimentaires ne doivent pas être pris au hasard, il est conseillé de consulter un professionnel de santé.
L’équipe Bio et Nutrition
Bibliographie
- Acide-Base, une dynamique vitale, Docteur Paul Gaston Besson
- L’équilibre acido- basique, Christopher Vasey
- Gérez votre équilibre acido-basique, Christopher Vasey
- L’alimentation ou la 3ème médecine, 4ème édition, Docteur Jean Seignalet
- Que mangerons-nous demain ?, Docteur Christian Rémesy
- Antibiotiques naturels, Docteur Jean-Pierre Willem
- La santé par la dépuration -Dr h.c. Peter Jentschura Josef LohkÄmper
Mise en garde
Les informations de ce document ne peuvent en aucun cas être considérées comme un avis médical ou comme des conseils individualisés. En conséquence, nous vous invitons à vous rapprocher de votre médecin ou professionnel de la santé.
Livre :
Disponible à 9 Euros sur Amazone
Articles externes à voir :
equilibre_acido_basique
www.passeportsante.net
patybio.over-blog
Tableau des aliments acides et alcalins
Liste des aliments et leurs indices
Aliments+alcalinisants+ou+acidifiants.pdf
Sources :
http://www.bio-et-nutrition.com/inscription-a-la-newsletter/
http://www.lavieclaire.com/la-vie-bio/lequilibre-acido-basique.html
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