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Preuve du fondement de l'homéopathie

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Source : doctissimo.fr - Homeo

 

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chemphys.u

 

Le  Swiss Network for Technology Health Assessment. est un service créé en 1999 par le gouvernement fédéral suisse pour évaluer l’efficacité des investissements dans le domaine de la santé.

Le rapport est intitulé « Homéopathie dans la santé : efficacité, pertinence, sécurité, coût », et a été dirigé par Gudrun Bornhöft et Peter F. Matthiessen, de l’Université de Witten/Herdecke en Allemagne et de la Fondation Pan-Medion à Zurich. Ils ont revu en détail toutes les études majeures réalisées sur l’homéopathie :

  1. les recherches pré-cliniques les plus importantes : sur des lignées de cellules humaines, des plantes et des animaux, ainsi que les études biochimiques ;
  2. les essais sur l’homme, selon la règle d’or du « double-aveugle randomisé et contrôlé par placebo » ;
  3. les méta-analyses, les études épidémiologiques et enfin les « systematic reviews », autrement dit les résumés de toutes les données scientifiques valides.

La méthodologie de ce rapport avait été utilisée par le Ministère de la Santé de Grande-Bretagne (National Health Service) pour évaluer la véritable efficacité, la sécurité et les meilleures options économiques parmi les traitements conventionnels disponibles, ainsi que par de nombreux organismes internationaux.

Les scientifiques suisses avait deux critères majeurs pour juger de la qualité des études : validité interne (qualité de la conception de l’étude et de son exécution) ; validité externe (dans quelle mesure les études reflètent l’usage qui est fait de l’homéopathie dans la vie réelle).

Evaluer la validité externe est particulièrement crucial, les recherches sur l’homéopathie étant souvent menées par des médecins et des scientifiques qui ne connaissent pas les procédures spécifiques de l’homéopathie ni quels traitements fonctionnent le mieux avec quels patients. De nombreuses études publiées dans de grandes revues scientifiques et qui prétendent démontrer que l’homéopathie ne marche pas sont en fait conçues au départ pour échouer parce que les chercheurs font n’importe quoi.

Il arrive même que les chercheurs utilisent le mauvais remède ou ne l’utilisent pas correctement. Certaines études homéopathiques ont essayé d’utiliser un traitement unique pour éliminer un symptôme, ce qui est précisément contraire à la démarche homéopathique qui tient compte du terrain de la personne pour adapter le traitement !

Après avoir évalué toutes les données disponibles, l’équipe suisse a conclu que les investigations de haute qualité de la recherche fondamentale pré-clinique prouvent que les remèdes homéopathiques à haute dilution provoquent « des modifications spécifiques et régulatives dans les cellules ou les organismes vivants » (dans le texte : « regulative and specific changes in cells or living organisms »).

Parmi les « systematic reviews » des études menées sur l’être humain, 20 sur 22 ont permis de détecter « au moins une tendance en faveur de l’homéopathie », et cinq ont montré « des preuves claires d’une thérapie homéopathique ».

Le rapport a établi des preuves particulièrement fortes en faveur de l’utilisation de l’homéopathie contre les infections des voies respiratoires supérieures et les réactions allergiques : parmi les études montrant un résultat global favorable en faveur de l’homéopathie, six sur sept sont apparues au moins équivalentes aux interventions conventionnelles et, sur seize études contrôlées par placebo, la moitié montraient des résultats significatifs avec l’homéopathie.

Le plus frappant est sans doute le fait que le rapport conclue que l’efficacité de l’homéopathie « peut être confirmée par des preuves cliniques » (dans le texte : « can be supported by clinical evidence ») et « considérée comme sûre ». Pratiquée correctement, écrit le rapport, « l’homéopathie classique a peu d’effets secondaires et l’utilisation de hautes dilutions n’a aucun effet toxique » (3).

Bornhöft et Matthiessen ont conclu qu’il y avait « assez de preuves en faveur de l’efficacité clinique de l’homéopathie, de son absence de nocivité et de son caractère économique par rapport aux traitements conventionnels ».



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Source  homeopathie-la-preuve

homeopathie-la-reconnaissance-par-la-suisse-fait-des-vagues

 

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Voir aussi : L’homéopathie contre le cancer



17/03/2015
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