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Retrouver une bonne dynamique posturo-respiratoire

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La manière de se tenir et de respirer, la dynamique posturo-respiratoire, influence les fonctions de notre organisme, l’évolution de notre morphologie, notre santé et notre bien-être, notre qualité de vie.

Certaines pratiques sont pleinement conscientes de l’importance essentielles de la dynamique posturo-respiratoire. Telles que les arts martiaux, le yoga, le pilates, certains autres sports et même les chanteurs, les approches corps-esprit, kinésiothérapie,  fasciathérapie, ostéopathie, posturologie.   Egalement certaines disciplines médicales comme l'orthodontistes, aux stomatologues et aux podologues, qui, en raison de leur connaissance sur l’importance de la  zone  du corps qui les concerne et de l’impact qu’elle a, sur tout l'équilibre du corps humain.

Mais le grand public n’est pas informé ou encore ne prend pas toujours assez au sérieux les consignes dans la mesure où la prise de conscience de l’importance de la dynamique posturo-respiratoire n’est pas officiellement reconnue.

Pourtant,  certaines études (cliquez pour en savoir plus) démontrent que la façon de se tenir et de respirer ont un impact directe, instantané,  sur la sécrétion hormonale.  A l’image des poissons combattants, symboliquement, à l’intérieur, on vire au rouge ou au bleu, selon le dosage de testostérone et de cortisol. Et ces hormones ont un impact démontré sur la prise de risque, la confiance en soi ou à contrario, sur l’inhibition et la soumission.

Cela ne nous est pas enseigné à l’école. Les médias ne nous informent pas non plus. Ils nous bassinent pourtant à prendre 3 produits laitiers par jour alors même que le calcium du lait de vache est mal assimilé par notre organisme… mais concernant la respiration, il n’y a aucun enjeu économique ou peut-être que si, dans l’autre sens, la santé publique en pâtit mais cela arrange bien l’économie de la santé qui n’a jamais été aussi florissante…

Un jour viendra peut-être, et nous militons pour, ou les enfants apprendront à l'école dès le plus jeune âge, à bien respirer et à bien se tenir.

Pour reprendre un concept emprunté à Franz Veldman, " un enfant qui comprend mieux, grandit mieux et se développe mieux".  Ce qui corrobore le principe neurologique selon lequel : "ce qui est pratiqué jeune et entretenu produit des connexions neuronales permanentes et devient  réflexe".

Dans l’autre sens, des mauvais réflexes, nous en apprenons aussi. Mais il n’est jamais trop tard pour ré-apprendre et remédier. Et la ceinture qui a été mise au point (voir plus bas) a justement cette fonction de tuteur.  Elle agit sur le centre, et redresse tout le corps, force la respiration latérale thoracique. Et ceux qui pratiquent le pilates connaissent bien les effets de ce principe.

 

 

La vie prend naissance à l’inspire et la mort survient à l’expire…

 

La respiration est une fonction vitale de l’organisme indispensable à notre survie et nous l’accomplissions instinctivement la plupart du temps, sans même y penser,  de façon inconsciente, 24/24h et toute notre vie.

Vous commencez peut-être seulement à entrevoir la considération qu’elle mérite, mais pas encore les effets qu’elle a sur tout votre métabolisme et votre état d'esprit.

Faire un usage éclairé du potentiel de la respiration en conscience est une garantie de ressourcement physique, psychique, permettant de gérer au mieux  le stress et les émotions, mais tous types d’activité, professionnel, sportif, détente...

 

Le souffle, l’essence même de la vie,  catalyseur de puissance, de bien-être et d’énergie, il peut influencer autant les fonctions organiques et la dynamique globale du corps, la vigilance et la vivacité de l’esprit, la santé, l’humeur et le bonheur.

Si vous commencez à y prêter attention, vous remarquerez comment le rythme de la respiration peut varier, chez vous, chez les autres, tel un sismographe, c’est un indicateur précieux des états d’être.

 

C’est seulement lorsqu’elle peine que la fonction respiratoire redevient consciente. Lorsque nous sommes essoufflés par exemple. Lorsque nous courons et que nous mesurons volontairement les expirations pour éviter le point de côté, lorsque nous coupons notre respiration pour faire une apnée, ou lorsqu’une personne souffre de crises d’asthme. Mais si vous ne souffrez pas d’une pathologie, qui se soucie de la respiration ? Même les soupirs et bâillements,  qui pourtant nous signalent un manque d’air, un manque d’énergie,  que nous devons relâcher la pression, ralentir le rythme, nous n’y prêtons pas attention non plus car nous ignorons le sens de ce signe…  Et pour cause, personne ne nous informe à ce sujet. Nous sommes éduqués sur de nombreux domaines sensés nous préparé à la vie.  Nos connaissances sont nombreuses mais grave une négligence demeure, et surtout en occident. Pourtant, la connaissance et la maîtrise du souffle influence notre qualité de vie et notre évolution. L’évolution de notre être, de notre corps, de notre santé, de notre posture, de notre performance et de notre bien-être, oui, la respiration influence tout cela. Du moins, la façon dont on respire et comment on se tient pour respirer.   Car la posture et la respiration sont liées. Ne dit-on pas « être désaxé » ?

 

La respiration est essentielle à la vie, sans que nous n'y prêtions une véritable attention consciente, mais l'importance du souffle, se traduit dans notre façon d'en parler, indirectement, symboliquement.  

 Les mots sont des symboles et leur usage à un sens manifeste et un sens latent qui parfois nous échappe, sauf si on s'arrête dessus, comme pour la respiration...

Les expressions liées au souffle sont nombreuses et explicites sur le rapport à l’oxygénation et l’importance de cette fonction vitale :

 

-              « Etre gonflé à bloc »

-              « Changer d’atmosphère »

-              « Ne pas manquer d’air »

-              « Etre inspiré »

-              « Pomper l’air »

-              « Se dégonfler »

-              « Des paroles en l’air »

-              « Prendre de grands airs »

-              « Il y a de l’orage dans l’air »

-              « Etre tête en l’air »

-              « En avoir le souffle coupé » « Avoir le souffle court »

-              « Etre à bout de souffle »

-              « Trouver un second souffle »

-              « Leur couper le sifflet » ou « Couper la chique »

-              « Rendre son dernier souffle »

-              « Manquer d’oxygène » ou « Avoir besoin de s’oxygéner »

-              « Aller prendre un bol d’air »

-              «  Un souffle de génie » ou « Un souffle d’écrivain »

-              « Avoir un souffle au cœur »

-              « Jusqu‘ à son dernier souffle »

-              « Être animé d‘ un souffle »

-              « Garder son souffle »

-              « Murmurer dans un souffle »

-              « Reprendre son souffle. »

-              « Retenir son souffle »

-              « S‘agiter au moindre souffle »

-              « Insuffler la vie »

 

Dans les approches asiatique et indienne, le centre, localisé en bas du ventre, est lié à l’enracinement, la survie, le sentiment de sécurité intérieur, de sécurité affective ou physique, il est directement lié au bien-être, à la capacité de se sentir bien dans son corps, dans sa tête, dans sa vie, d'où vient cette aptitude à aimer la vie, d'où vient la motivation, la soif de vivre ?

Le centre, le ventre, c'est de là que nous venons, du giron de la mère et de cette zone nous nous relions au monde physique, ce sentiment d'être chez soi, à sa place,  et notre représentation du monde en dépend et notre façon d'interagir en cohésion avec lui au sein de notre famille et au sein de la société . En art martial et dans toutes les disciplines qui travaillent avec l'énergie, c'est le centre de l’énergie vitale. On s'est longtemps focalisé sur le cerveau comme "ordinateur central", mais pourtant on parle maintenant du deuxième cerveau, ou système nerveux entérique, appelé aussi cerveau des émotions pour les yogistes, le siège de la survie, des instincts.

 

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 La Kundalini est un terme sanskrit lié au Yoga qui désigne une extraordinaire énergie, qui, lorsqu'elle est éveillée, s'élève le long de la colonne vertébrale et traverse tous les chakras du système subtil pour enfin ouvrir le dernier centre au sommet de notre tête, le "Sahasrara". Sa forme et sa localisation sont exactement similaire au trajet du nerf vague, ce nerf qui relie le cerveau et le ventre, tiens donc…… Les intestins sont bourrés de neurones, les mots « pense » et « panse » sonne identique…

Le ventre, ce lieu est notre origine, il est lié à la procréation, et de l'énergie, le chakra racine dans la culture indienne, de là vient l'aptitude à se défende (Ne dit-on pas « en avoir dans le ventre »  ...)  Les expériences prénatales, de la naissance, et post-natales jusqu'à l'âge de 7 ans, vont avoir une influence sur la formation de ce chakra, notre "centre" et influenceront toute la vie.

A chaque épreuve de la vie, qui ébranle notre équilibre interne, nous devons revenir à la source, en notre centre, retrouver nos racines et nous reconnecter à nos origine. Travailler son centre, cela sert à cela, aussi.  

Voir : se-recentrer et s'ancrer

   et :  le-centre-energie-vitale-et-ancestrale-essentielle

Les troubles alimentaires ont leur origine dans le déséquilibre de cette période de la vie, comme manger par compensation et malgré toute compensation, persiste le sentiment de ne pas être rassasié. Cela génère des compulsions pour manger, travailler, consommer… On voit bien à quel point notre société est déséquilibrée sur ce terrain...

 

Pour optimiser toutes les chances d’épanouissement d’ un être humain, pour lui permettre d’exploiter  au mieux son potentiel afin de réussir sa vie, il est juste essentiel et fondamental de l’éduquer à la respiration et le lien entre respiration et posture, en un mot, la dynamique posturo-respiratoire.  On apprend parfois à bien se tenir, mais si l’on force la posture sans se soucier de la respiration, et sans comprendre son fondement, on ne peut aboutir à un résultat satisfaisant à long terme.  On n’imagine pas avoir à apprendre à respirer parce que la respiration semble se faire toute seule, tant et si bien qu’on est persuadé de ne pas avoir à s’en soucier, oui mais pourtant, elle évolue souvent d’une façon préjudiciable et nous n’en avons pas conscience si nous n’y prêtons pas attention.  Bien entendu les sportifs, les pratiquants de techniques et disciplines tels que les arts martiaux, le yoga, les sportifs de hauts niveaux, les  chanteurs, et toutes les disciplines conscientes du lien corps-esprit travaillent consciencieusement la respiration et la posture. Mais tous  pour  les autres ?

Mon travail, ce site en est la vitrine,  est consultant, je  conseille, sur la  gestion du stress, j’apporte un accompagnement au changement avec des outils variés. J’interviens dans les entreprises et auprès des particuliers. Je constate que certaines personnes ne sont pas sportives et ne le seront jamais. Doit-on les laisser choir pour autant ?

 

LA POSTURE INFLUENCE LE DOSAGE HORMONALE

Dosage testostérone et cortisol

 

Pour ceux qui ont lu « Les hommes viennent de Mars et les femmes de vénus », vous avez peut-être retenu que les hommes ont besoin de compliments, d’être « valorisés » pour être de bons « mâles ». Se sentir bien dans leur peau de mâle en quelque sorte.

L’auteur n’explique pas les fondements physiologiques et fonctionnels.

 

On parle aussi de femmes castratrice et pour cause, une femme qui ne flatte pas son homme mais le dévalorise, fait chuter son taux de testostérone et augmente son propre taux de testostérone…  Typiquement, c’est la femme qui a besoin de garder le pouvoir, ou qui craint le pouvoir masculin et s’en protège en prenant elle-même le pouvoir.

 

 Donc, à contrario,  les hommes valorisés, flattés, prennent des shoots de testostérone. Le pouvoir, la victoire, augmentent le taux de testostérone.

Ce n’est pas seulement valable pour les hommes, pour les femmes aussi. Nous avons, hommes et femmes, les mêmes hormones, sauf que les proportions varient. Une femme qui « prend le pouvoir » voit son taux de testostérone s’élever. Pas au point de se voir pousser la barbe néanmoins. Mais cela joue sur l’appétit sexuel par exemple. Ainsi, lorsque les gens font état du nombre d’amants de Rachida Dati, ils oublient que tous les hommes de pouvoir démultiplient les « conquêtes », et le taux de testostérone n’y est pas étranger…

 

La testostérone est une hormone stéroïde androgène.  Lorsqu'on parle d'hormones stéroïdiennes on parle des hormones sexuelles, c'est grâce à cette hormone que la puberté est enclenchée.

Androgène : masculinisation, voix plus grave, accroissement du système pileux corporel et facial, développement des organes sexuels secondaires mâles, production supérieure de glandes sébacées, développement du pénis, agressivité / action / combativité, assurance, prise de risque, énergie et tonus constant, capacité de concentration, comportement sexuel, libido...Elle est responsable aussi de la maturation des spermatozoïdes. Les hormones stéroïdes sont synthétisées à partir du cholestérol dans différents tissus.  Notre corps produit cette hormone qui est responsable d'un grand nombre de fonctions : c'est l'hormone mâle de référence synonyme de virilité et de puissance sexuelle, c'est l’hormone de la gloire du pouvoir et des héros.

 L'alpha-mâle, est le dopaminergique par excellence ! Dans l'évolution humaine, l'alpha-mâle représente le chef du clan. Il est caractérisé par l'élévation importante du taux de testostérone/dopamine. L'homme dominant possède souvent une testostérone élevée,  cause probable d'une dopamine élevée. Le taux de testostérone constituer un contrepoids à l'action « tranquillisante » de la sérotonine, qui, elle,  favorise la passivité et l'inaction tandis que la dopamine stimule l'action !

L'élévation de la dopamine accroît la motivation. À l'inverse, l'état d'hypoactivité dopaminergique a tendance à diminuer l'activité de l'organisme et son énergie. Quant à la noradrénaline, fabriquée à
partir de la dopamine, elle régule la vigilance et l'humeur ; sa déficience est source de dépression ou de fatigue générale. Lorsque la dopamine est hypofonctionnelle, l'individu se sent insignifiant, apeuré et a envie de se terrer comme un animal craintif.

L'activité sexuelle ou la  masturbation entretient ou amplifie  la production de testostérone !  Par ailleurs l'alpha-mâle maintient instinctivement des niveaux élevés de dopamine pour assurer la libido et la reproduction, et, à l'excès, dans des conditions extrêmes, sa paranoïa lui permet d'assurer sa survie face aux dangers de l’adversité, d'ennemis éventuels supposés. La dopamine et la testostérone sont les molécules mâles par excellence, même si la femme en produit à un moindre degré, si elle a une position dirigeante, son taux s’élève.


Par contre, la testostérone vraiment trop élevée conduit aussi à la « persistance comportementale », qui est une conduite incapable d'adaptation, typiquement masculine si elle est fortement prédominante en testostérone donc non contrebalancée par d’autres hormones.  La testostérone est aussi la molécule de la paranoïa, de l'agitation, de l'action, de la domination réclamant la soumission par  l'agressivité. Cela peut conduire à une sorte d'addiction au pouvoir. 

 

*le taux de testostérone a un impacte sur l'acné ! Plus le taux est fort plus il y a de chance d'avoir des boutons = peaux + grasse = + de boutons  !
 

 

Etre flatté, valorisé, se sentir victorieux, puissant, augmente le taux de testostérone. La personne se redresse, brandit les bras au ciel lorsqu’elle « gagne » n’est-ce pas ?

 

On comprend mieux au passage les enjeux des comportement de domination et d'humiliation dans le monde du travail... 

 

Et bien figurez-vous que l’impact sur le dosage est le même lorsqu’on le mime ! Et donc quand on se tient bien droit, le torse bombé et non rentré !! 

L'influence du cerveau sur le corps n'est plus à démontrer, il en est de même de l'influence du corps sur le cerveau. Qu’elle soit nerveuses,  hormonale, psychologique... 

Mais nous sous-estimions cette influence. Comme le démontre une expérience de Amy Cuddy publiée en 2010 (résumée dans une conférence TED en 2012)

Lien vers une video (cliquez) :

Le langage du corps affecte la façon dont les autres nous voient, mais cela peut aussi changer la façon dont nous nous voyons nous-mêmes. La psychologue sociale Amy Cuddy montre comment "les poses de pouvoir" — se tenir dans des posture confiantes, même quand nous ne nous sentons pas confiants — peuvent changer les niveaux de testostérone et le cortisol dans le cerveau, et pourraient même avoir un impact sur nos chances de succès.

 

L'auteur de l'étude démontre que le simple fait de d’adopter une posture dominante pendant deux minutes provoque des changements mesurables dans la concentration de certaines hormones et son impact sur le comportement tel que la prise de risque !

 

Les éthologues ont pu observer, que ce soit chez les chats, les loups ou les grands singes, la façon dont l'animal affirme sa dominance sur un congénère.

Il adopte une posture qui le fait paraître plus gros, plus grand, ou plus fort. Et les grands primates humains que nous sommes en font tout autant semble t-il.

Ainsi, mettre nos mains sur nos hanches ou lever les bras en signe de victoire sont des postures universelles de dominance. À l’opposé, une position du corps recroquevillée, abattue, est un signe évident de soumission.

 

Shoot de testostérone en image !

 

L'expérience :

Cuddy et son équipe ont demandé à des sujets de mimer ces postures pendant deux minutes et ont ensuite regardé si certains niveaux d’hormones avaient changé. Et si oui, lesquelles ?

Les deux hormones mesurées étaient celles que l’on sait liées à la dominance dans le monde animal : la testostérone, dont le taux s’élève alors, et le taux de cortisol, baisse.

Or les dosages avant / après la prise de posture dominante par les sujets confirmait parfaitement l'hypothèse : hausse du taux de testostérone et baisse du taux de cortisol !

Du point de vu comportemental : la prise de risque est bien connue pour sa corrélation positive avec le niveau de confiance, augmentait également.

Quant aux sujets qui avaient adopté une posture de soumission avant les tests, ils ont, pour leur part, montré exactement les fluctuations inverses.

 

Cette étude contribue donc à donner raison à ceux et celles qui insistent pour parler de « cognition incarnée » en rapport avec nos processus de pensée. Et force est d’admettre, que cela fonctionne dans les deux sens. Cela rejoint d’ailleurs d'autres données. Par exemple les études montrant que se forcer à sourire amène un sentiment de bien-être et diminue le niveau de stress ressenti.

 

 

 

    

 

 On voit bien sur ces images l'impact des victoire sur la liesse et l'euphorie collective. Le sentiment de victoire est contagieux chez les supporters... 

 

 

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Le perdant, ce serait plutôt ça, l'abattement. 

 

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Le Dr Hervé Thomas, également ostéopathe et posturologue, à mis au point une ceinture posturale innovante.  

 

Cette ceinture est une innovation, elle est déjà utilisée auprès d'adultes et d'enfants dans le domaine médical, au CHU de Nantes, elle est déjà utilisée en rééducation fonctionnelle et stomatologie (chirurgie maxilo-faciale, et oui, le corps est un équilibre globale, les ostéo le savent bien) et en orthodontie. 

CHU de Nantes, le Dr Salagnac et le Dr Boudaud. 

Elle est maintenant accessible au grand public.  

 

 

Cette ceinture je la cautionne car je l'ai testée. J'ai clairement senti qu'elle  redressait instantanément le haut de mon corps et en position assise me maintenait droite sans effort. Elle appuie sur le bas du ventre, le centre... C'est ce centre que l'on travaille dans diverses disciplines qu'elles soient énergétiques ou physiques, comme dans le pilates. La ceinture induit du même coup une respiration latérale thoracique, ce  qui est travaillé en pilates. Elle ne vise pas à remplacer l'activité physique mais servir de tuteur et aider à "sentir" par ses effets comment retrouver la bonne  dynamique posturo-respiratoire.  Il convient de porter cette ceinture disons 1/4 par jour ou au mieux plusieurs fois quelques minutes par jours, puis d'essayer autant que possible de reproduire la posture, redynamiser les muscles impliqués en prolongeant la bonne posture sans la ceinture, autant que possible, et ainsi approfondir graduellement la respiration et le maintien qu’elle induit, sans la ceinture le reste du temps. Vous ne manquerez pas de sentir les bienfaits sur la santé, les performances et la vitalité, ainsi, prendre conscience concrètement des effets afin de vous motiver à vous reprendre en main activement. En plus de vous rééduquer,  le port de la ceinture peut aussi être indiqué pour soulager des douleurs dorsales, y compris au niveau cervical ( Il convient évidemment, avant toute chose, d’en parler à son médecin traitant en cas de contre-indication spécifique) et elle a de plus un impact sur l'apnée du sommeil, pour les personnes concernées, (voir l'article qui suit  apnee-du-sommeil-directement-lies-a-la-dynamique-posturo-respiratoire) et bien sur sur le taux d'hormones. 

 

Autant que possible je conseille une activité sportive journalière,  et tout au moins la marche et des exercices posturo-respiratoires et d’assouplissement. Le minimum vital pour épargner sa santé.

Notre mode de vie ne favorise pas l’activité, il pousse à la passivité. Les fauteuils confortables, entre autre, ne favorisent pas le tonus musculaire figurez-vous…  Sans parler des ascenseurs et escalators… Nous sommes assistés.  Cette ceinture  apporte un bénéfice considérable aux personnes inactives  physiquement ou très peu actives, et ou le plus souvent en position assise et dont les transverses (muscles profonds) sont affaiblis. En effet, lorsque le corps n'est pas bien gainé de l’intérieur (nous parlons des muscles  profonds qui tiennent la charpente et non des muscles superficiels qui le sculptent,  la posture s'affaisse, la silhouette se déforme alors progressivement et la respiration change de dynamique. 

  

Le port de cette ceinture améliore instantanément la dynamique posturo- respiratoire, mais  il devra toujours être accompagné d’un programme de rééducation physique (exercices ciblés) en conscience respiratoire, sans lequel le sevrage de la ceinture sera difficile. Son utilisation ne vise pas à entretenir la passivité, mais vous montrer le potentiel d’amélioration que l’on peut obtenir par rééducation, et contrôle volontaire qui, progressivement, influencera positivement la régulation inconsciente de la respiration. 

 

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Cette ceinture contient une plaque recouverte de matériaux anti-allergènes et anti transpirants. Elle produit une véritable contre-poussée et remontée du diaphragme qui permet une respiration  latéral thoracique, donc plus profonde, qui peut constituer, transitoirement et de façon ré-éducative, un substitue au gainage.  C'est un tuteur pour apprendre à mieux respirer, se positionner et donc se sentir gainé pour à terme se passer de la ceinture.

Elle est réalisée SUR MESURE, son prix est désormais de 249 Euros (frais d'envoie inclus) TTC car elle est maintenant fabriquée en France et de meilleure qualité,  le fournisseur consent à 20% pour les commandes émanant du blog. Réception sous 10 jours à compté du délais de rétractation et après encaissement. 

 

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Cliquez sur l'image pour l'agrandir 

 

Me contacter à : creer.son.bien.etre@gmail.com pour recevoir le bon de commande. 

 

Vous recevrez le bon de commande par mail.  Il vous faudra l'imprimer, le remplir

(avec vos mesures, à prendre comme indiqué ci-dessus)

 scanner votre bon de commande dûment rempli et le renvoyer par mail.

Puis régler par paypal en cliquant ci-dessous. 

 

 

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Les images ci-jointes illustrent parfaitement que le corps se transforme et s’adapte. La ceinture peut faire office de tuteur transitoire pour les postures les plus déséquilibrées, mais ne doit en aucun cas encourager la passivité. La ceinture ne fera pas tout, elle vous guide, vous met sur la voie. C'est pourquoi elle doit être portée peu de temps / jour.

 

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01/12/2014
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