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Suicides en progression

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24, 8 suicides pour 100 000 habitant en Bretagne, la zone la plus touchée en France. Le suicide augmente beaucoup chez les jeunes de 18 à 25 ans, en nette progression. La tranche d'âge la plus touchée est 45 /54 ans. Nous ne sommes pas les pires dans le monde mais par contre au sein de la communauté européenne nous sommes en tête de liste quand même ! On peut se demander si les conjonctures actuelles vont accentuer les chiffres.
L'OMS cite les facteurs de risque individuels et environnementaux suivants : antécédents de tentative de suicide, troubles psychiques, dépendance à l’alcool, perte d’emploi ou difficultés financières, désespoir, douleurs chroniques, antécédents familiaux de suicide, facteurs génétiques et biologiques, relations conflictuelles, mésentente ou perte, sentiment d’isolement et manque de soutien social, traumatisme ou abus, discrimination, stress, harcèlement, perte de sens, ou d'espoirs, catastrophes naturelles, guerres et conflits, stigmatisation associée à la demande d’aide, couverture médiatique inappropriée, accès aux moyens létaux et obstacles aux soins.
Déclencheurs
Les facteurs de risque sont souvent interdépendants ou se cumulent. Un événement difficile (p. ex., séparation, décès, conflits) peut déclencher le geste suicidaire chez une personne fragile. Mais d'autres sentiments moins manifestes (p. ex., sentiments de culpabilité ou de honte, sentiment d'être un fardeau pour les autres) peuvent également entraîner un comportement suicidaire.
Facteurs de protection
Une personne peut présenter un seul facteur de protection ou plusieurs et ne pas être suicidaire. Des facteurs tels que confiance en soi, compétences sociales, relations constructives, perspectives personnelles et professionnelles, religiosité, etc. ont un effet de protection.

 

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Plus de 700.000 personnes se sont suicidées en 2019, soit un décès sur 100, un constat qui a incité l’Organisation mondiale de la santé (OMS) à élaborer de nouvelles orientations pour aider les pays à améliorer la prévention et la prise en charge liées au suicide.

 

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Les idées suicidaires ne sont pas une fatalité. 

Outre les évènements extérieurs sur lesquels nous n'avons pas de prise, notre humeur, notre moral, sont en large partie conditionnés par notre flore intestinale qui produit la sérotonine. 

 

15% de la population sont des "petits porteurs" de sérotonine. Boris Cyrulnick décrit cette particularité, qui induit une émotivité accrue. Ces personnes s'émeuvent de tout. 

On peut se demander si les enfants ne seraient pas, naturellement des petits porteurs de sérotonine, dans le sens ou ils passent du rire aux larmes en moins d'une minute ! 

 

La sérotonine agit à l’image d’un pont entre deux cellules. Un peu à la manière d’un messager, elle prévient et ordonne au cerveau par exemple de retirer la main d’une casserole trop chaude. Mais surtout elle participe à la régulation dans l’organisme de multiples fonctions indispensables : l’humeur, la satiété, le seuil de douleur, et a un rôle majeur dans le sommeil. 

 

À chaque respiration que nous prenons, chaque pensée que nous avons, chaque muscle que nous contractons, nos cellules nerveuses envoient des signaux électriques et chimiques à notre système nerveux si complexe. Sans sérotonine, on imagine aisément que les êtres humains ne pourraient pas vivre… Mais la encore, tout est question d'équilibre.

 

D’après le chercheur Ronald F. Bore de l’université du Missouri, la sérotonine est le neuromédiateur des années 2000. Il écrit que la « sérotonine est la substance la plus impliquée dans l’étymologie et le traitement de divers désordres, particulièrement ceux du système nerveux central, incluant l’anxiété, la dépression, les troubles obsessionnels compulsifs (T.O.C), la schizophrénie, les crises de panique, l’obésité (avec certitude), la souffrance, les crises hypertensives ainsi que certains troubles vasculaires, la migraine, et la nausée ».

 

La sérotonine intervient dans l’inhibition, l’agressivité et le rapport à la souffrance. La destruction des noyaux raphés entraîne une désinhibition du contrôle réfléchi sur le comportement : l’animal cède à des pulsions quelles que soient les conséquences de ses actes. Lorsqu’on administre des chocs électriques à un rat qui essaie de se procurer de la nourriture, il s’interrompt après une dizaine de tentatives. Mais lorsqu’on épuise sa sérotonine, il persiste malgré 200 chocs et plus. Souris et rats cohabitent généralement sans problèmes dans une cage. Mais si leur sérotonine est anormalement basse, les rats massacrent les souris. René Hen (Inserm U184, Strasbourg) a créé une lignée de souris particulièrement agressives en « éteignant » le gène qui code l’un des récepteurs de sérotonine. La déplétion de sérotonine entraîne aussi une désinhibition de l’activité sexuelle.

Chez l’homme les taux anormalement bas de sérotonine sont généralement associés à des comportements impulsifs, agressifs, voire très violents.

Des taux de 5-HIAA effondrés ont été relevés chez des gens qui ont assassiné leur famille avant de tenter de mettre fin à leur jour. L’équipe du docteur Markus Kruesi (Université de l’Illinois, Chicago) a trouvé qu’un taux bas de sérotonine chez un enfant à problème était le facteur qui prédisait le mieux un comportement criminel ou suicidaire. Les substances qui diminuent la sérotonine ont un effet désinhibant. La yohimbine, un aphrodisiaque, interfère avec la sérotonine. La drogue ecstasy augmente la sociabilité et les échanges en détruisant les terminaisons nerveuses sérotoninergiques.

Source :  a-quoi-sert-la-serotonine

L'état amoureux entraîne une baisse du taux et celle-ci entraîne une désinhibition de l’activité sexuelle et favorise les comportements hardis mais aussi les pensées obsessionnelles… Et oui, quand on est vraiment amoureux, cela occupe toutes nos pensées, de façon obsessionnelle… 

 

Le transport de la sérotonine serait également un paramètre important influençant la personnalité. 

La protéine de transport de la sérotonine est en effet codée par un gène appelé 5HTT qui existe sous deux formes : une forme « courte » et une forme « longue ». De nombreuses études mettent en évidence l’importance de cette forme notamment dans les comportements addictifs.

Une équipe de chercheurs américains s’est intéressé au comportement vis-à-vis de l’alcool de 262 étudiants.

En parallèle ils on regardé si ces derniers étaient porteurs de la forme courte ou de la forme longue du transporteur à la sérotonine.

Nous possédons tous deux gènes codants pour ce transporteur, un sur le chromosome issu de la mère et un autre sur le chromosome venant du père. Les chercheurs se sont aperçus que les étudiants qui portaient deux gènes codants pour la forme courte du transporteur de la sérotonine avaient plus de risque de présenter des troubles alcooliques. Par ailleurs ces derniers avaient plus tendance à souffrir de troubles anxieux.

Une étude finlandaise publiée en 2006 conclut quant à elle que le taux de protéine de transport à la sérotonine serait plus faible chez les alcooliques que dans le reste de la population.

Pour parvenir à ces conclusions les chercheurs ont analysé le cerveau de patients alcooliques après leur décès et l’ont comparé au cerveau de patients non alcooliques.

Verdict : les patients dépendants à l’alcool avaient 26 % de transporteur de la sérotonine en moins que les autres.

Les récepteurs à la sérotonine interviendraient également dans le comportement et la relation à l’alcool. Ainsi une équipe de chercheurs suédois a voulu savoir si le gène codant pour le récepteur 5-HT1B à la sérotonine pouvait être impliqué dans les comportements violents et l’alcoolisme. Il se sont alors aperçus que ceux qui étaient porteurs d’une forme particulière du gène codant pour le récepteur à la sérotonine avaient davantage de prédisposition pour les comportements anti-sociaux et l’alcoolisme.

 

Source :  a-quoi-sert-la-serotonine

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NOS ENFANTS 

 

L'état émotionnel de bon nombre d'enfant est préoccupant dénoncent certains psychologues et psychiatres. Les chercheurs le dénoncent aussi à travers des données statistiques de plus en plus alarmantes traduisant une augmentation aiguë et constante de la maladie mentale infantile qui atteint maintenant des proportions épidémiques :
Les statistiques ne mentent pas :
• 1 enfant sur 5 a des problèmes de santé mentale
• Une augmentation de 43 % du TDAH a été observée
• Une augmentation de 37 % de la dépression des adolescents a été observée
Le taux de suicide a augmenté de 200 % chez les enfants de 10 à 14 ans
 

Que se passe-t-il ?

Les enfants d'aujourd'hui sont sur-stimulés et sur-offerts d'objets matériels et technologiques, mais ils sont privés des fondements d'une enfance saine, tels que :
• Parents émotionnellement disponibles
Limites clairement définies
• Responsabilité
• Nutrition équilibrée et sommeil adéquat
• Activité physique en général mais surtout en plein air
• Jeu créatif, interaction sociale, opportunités de jeu et espaces d'ennui
 
Au lieu de cela, ces dernières années, les enfants ont été remplis de :
• Parents distraits numériquement
• Des parents indulgents et permissifs qui laissent les enfants « gouverner le monde » et fixent les règles
• Un sens du droit, de tout mériter sans le mériter ou être responsable de l'obtenir
• Rêve inadéquat et nutrition déséquilibrée
• Un mode de vie sédentaire
• Stimulation sans fin, nounous technologiques, gratification instantanée et absence de moments ennuyeux
 

Que faire ?

Si nous voulons que nos enfants soient des individus heureux et en bonne santé, nous devons nous réveiller et revenir aux bases. C'est encore possible ! De nombreuses familles voient des améliorations immédiates après quelques semaines de mise en œuvre des recommandations suivantes :
 
• Établissez des limites et rappelez-vous que vous êtes le capitaine du navire. Vos enfants se sentiront plus en sécurité en sachant que vous contrôlez le gouvernail.
• Offrez aux enfants un mode de vie équilibré rempli de ce dont les enfants ONT BESOIN, pas seulement de ce qu'ils VEULENT. N'ayez pas peur de dire "non" à vos enfants si ce qu'ils veulent n'est pas ce dont ils ont besoin.
• Fournir des aliments nutritifs et limiter la malbouffe.
• Passez au moins une heure par jour en plein air à faire des activités telles que : vélo, randonnée, piquenique, observation des oiseaux / insectes
• Profitez d'un dîner quotidien en famille sans smartphones ni technologie qui les distraire.
• Jouez à des jeux de société en famille ou si les enfants sont trop petits pour des jeux de société, laissez-vous emporter par vos intérêts et laissez-les commander dans le jeu
• Impliquer vos enfants dans des tâches ou des tâches ménagères selon leur âge (plier les vêtements, trier les jouets, accrocher les vêtements, déballer les vivres, mettre la table, nourrir le chien etc. )
• Juste une routine de sommeil cohérente pour s'assurer que votre enfant dort suffisamment. Les horaires seront encore plus importants pour les enfants d'âge scolaire.
• Enseigner la responsabilité et l'indépendance. Ne les protégez pas trop contre toute frustration ou toute erreur. Se tromper les aidera à développer leur résilience et ils apprendront à surmonter les défis de la vie,
• Ne portez pas le sac à dos de vos enfants, ne leur apporte pas les devoirs qu'ils ont oubliés, ne leur pellez pas les bananes et ne leur pelez pas les oranges s'ils peuvent le faire seuls (4-5 ans). Au lieu de leur donner le poisson, apprenez-leur à pêcher. Permettez leur d'être plus autonome ! Le rôle d'un parent c'est de les rendre toujours plus indépendant. 
• Apprenez-leur à attendre et à retarder la gratification. Sans quoi ils seront frustrés par la vie et se réfugieront dans une quelconque addiction, le jeu video ou des substances récréatives voir des drogues. 
• Offrez des opportunités pour « l'ennui », car l'ennui est le moment où la créativité se réveille. Ne vous sentez pas responsable de toujours divertir les enfants.
• N'utilisez pas la technologie comme un remède à l'ennui, et ne l'offrez pas à la première seconde d'inactivité.
• Évitez d'utiliser la technologie pendant les repas, dans les voitures, les restaurants, les centres commerciaux. Utilisez ces moments comme des occasions de socialiser, entraînant ainsi les cerveaux à savoir fonctionner lorsqu'ils sont en mode "ennui"
• Aidez-les à créer un « flacon d'ennui » avec des idées d'activités pour quand ils s'ennuient.
• Soyez émotionnellement disponible pour communiquer avec les enfants et leur enseigner l'auto-régulation et les compétences sociales :
• Éteignez les téléphones la nuit lorsque les enfants doivent aller au lit pour éviter la distraction numérique.
• Devenez un régulateur ou un entraîneur émotionnel de vos enfants. Apprenez-leur à reconnaître et à gérer leurs propres frustrations et colère.
• Apprenez-leur à saluer, à prendre tour de rôle, à partager sans rester sans rien, à dire merci et s'il vous plaît, à reconnaître l'erreur et à s'excuser (ne les obligez pas), soyez modèle de toutes ces valeurs qu'il inculque.
• Connectez-vous émotionnellement - souriez, câlin, embrassez, chatouillez, lisez, danse, sautez, jouez ou rampez avec eux.
Source :  Dr Luis Rojas Marcos psychiatre

 

 

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Sérotonine et dépression 

 

Une intéressante étude a été conduite à l’université Mc Gill à Montréal au Canada dont le protocole consistait à nourrir des « cobayes » volontaires avec un mélange de tous les acides aminés essentiels, excepté en tryptophane (c’est à partir du tryptophane qu’est fabriquée la sérotonine, le tryptophane est un acide aminé de la précurseur de sérotonine. ).

Ce type d’alimentation oblige l’organisme à utiliser des protéines, et tant qu’il a besoin de tryptophane, il le déloge dans le sang ou ailleurs dans les tissus de l’organisme.

En l’espace de 5 heures, la quantité de tryptophane des sujets étudiés avait chuté de 80 %. Les chercheurs ont alors noté une baisse significative du niveau de sérotonine.

Les scientifiques ont mis en évidence que, dans de nombreux cas et particulièrement chez les personnes ayant des antécédents d’épisodes dépressifs, qu’un véritable changement négatif de l’humeur s’opérait.

Il existe donc une corrélation entre l’humeur et le faible niveau de sérotonine, et également entre des taux faibles de tryptophane et la dépression. D’ailleurs les antidépresseurs actuels tels que Prozac, Zoloft, Deroxat… sont appelés « Inhibiteurs de la recapture de la sérotonine » (IRS) car ils économisent la sérotonine et gèrent ainsi la pénurie ! Mais hélas pas les effets secondaires. 

 

Une alimentation pauvre ou dépourvue de tryptophane accélère et aggrave les rechutes dépressives et augmente l'agressivité. Il ne faut donc pas se priver de consommer les aliments riches en tryptophane cités ci-dessus!

Les principaux aliments riches en tryptophane :

Viande, volaille, poisson, produits laitiers, noix de Cajou, soja, foie, graines de citrouille ou de melon d'eau, amandes, cacahouètes, levure de bière. 

 

Voir : ameliorer-et-preserver-sa-sante-grace-aux-acides-amines-essentiels

 

Douleurs et migraines

 

Chez les migraineux, les crises débutent souvent lorsque les taux sanguins de sérotonine baissent significativement. Plusieurs tests ont d’ailleurs montré que les drogues qui faisaient baisser le taux de sérotonine induisaient une souffrance migraineuse. En augmentant les taux de sérotonine dans le système nerveux central, les scientifiques ont démontré que l’on pouvait augmenter le seuil de tolérance à la douleur, diminuant ainsi la souffrance et sa perception.

Un autre élément important que les chercheurs ont mis en évidence est le fait que certains médecins prescrivent quelquefois des antidépresseurs dans l’indication de douleurs chroniques parce que ces derniers augmentent le taux de sérotonine au niveau du système nerveux central, soulageant ainsi la

douleur chez certains patients ; c’est un traitement supplémentaire dans l’arsenal thérapeutique du traitement de la douleur chronique.

Très certainement une grande part des thérapies nouvelles dans ce domaine sera issue de la recherche sur la sérotonine.

Cette zone de recherche est, aujourd’hui, en plein développement et semble promise à un bel avenir, car le soulagement à long terme de la douleur reste une bataille importante pour la médecine. Et la sérotonine jouera incontestablement un rôle capital dans ce domaine.

 

 

Sérotonine et sommeil

 

Le sommeil, ainsi que sa qualité sont largement fonction de la production de mélatonine. Cette hormone, qui règle les cycles de sommeil et de veille et qui est sécrétée au cours de la nuit au niveau de la glande pinéale, est produite à partir de la sérotonine qui, elle, est active pendant les périodes d’éveil et prépare le sommeil. Ainsi, un faible taux de sérotonine rend le sommeil plus difficile.

Le 5-htp : un précurseur de la sérotonine

Alors ne pourrait-on pas remédier à tous ces maux en prenant par exemple une gélule de sérotonine ?
Hélas non ! Car la sérotonine est détruite au niveau de l’estomac par les sucs gastriques et ne peut pas parvenir jusqu’au système nerveux.
Par contre on peut utiliser une substance, le 5-htp qui en est le précurseur (la sérotonine étant le 5-ht).

 

La graine de Griffonia simplicifolia : du 5-htp 100 % naturel

 

Les graines d’une plante que l’on trouve en Afrique – le Griffonia simplicifolia – contiennent, à l’état naturel environ 10 % de 5-htp. Là où la chimie propose d’économiser la sérotonine déjà présente dans l’organisme, la présence de son principal précurseur dans la graine de Griffonia permet d’en assurer un réapprovisionnement régulier, immédiatement utilisable par l’organisme.
Il y a ainsi renouvellement de l’apport, mécanisme sans turbulences et plus conforme à la notion d’équilibre ou de rééquilibrage, principe majeur de la médecine holistique.

 

Mode d’emploi

Il est conseillé d’utiliser le Griffonia à l’état naturel car le 5-htp est fragile et il est préférable de ne pas prendre d’extraits ni d’autres formes altérées par le chauffage ou l’utilisation de solvants.
La prise de vitamine B6 lui confère une efficacité plus grande par un effet de synergie.
La posologie usuelle varie en fonction de l’indication : 2 à 6 gélules de 400 mg de poudre de graines de Griffonia par jour. Pour les troubles digestifs : 1 gélule avant les repas.

 

 

Lien entre sérotonine et intestin :

 

Comment l'intestin agit sur nous ?

Le nerf vague relie le cerveau et l'intestin en longeant l’œsophage et se termine dans l'abdomen. Une partie de ses nombreuses ramifications entoure l'intestin. 80 % de ces fibres nerveuses sont à sens unique, allant de l'abdomen vers le cerveau. L'intestin envoie donc plus d'info au cerveau que l'inverse. 

 

Les neurones des tissus de l'intestin (100 millions de neurones) utilisent les mêmes neuro transmetteurs que celles du cerveau crânien comme la sérotonine.
L'appareil digestif produit 95 % de la sérotonine de l'organisme.

 

Un taux élevé de sérotonine met de bonne humeur et chasse les idées noires.

 

Les bactéries de l'intestin secrètent des substances qui agissent sur le cerveau via le sang.

 

Des expériences ont été menées sur des souris. Correctement nourries les souris deviennent plus hardies.

La nourriture a un effet sur le comportement et l'humeur. La nourriture agit sur les état d'anxiété et de dépression. La souris bien nourri est pleine d'assurance celle qui est mal nourrie est craintive, anxieuse.

 

 

D'autres études vont dans ce sens. Les bactéries de la flore intestinale déclenchent la peur. 

 

L'équilibre de la flore intestinale est donc essentielle. Mais il ne suffit pas de prendre des probiotiques dont les effets ne sont pas démontrés. Par contre manger beaucoup de fibres a des effets très positifs. L'équilibre ACIDO-BASIQUE (cliquez) est aussi essentiel pour entretenir une flore équilibrée et éviter les inflammations chroniques (alimentation trop acide). 

 Voir l'article : ► Pourquoi manger des FIBRES ?


 

 

 

 

 

 



16/01/2022
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