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La cause du cancer : le PH acide et le manque d'oxygène.

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La cause du cancer selon le Dr Otto Heinrich Warbug, est liée à deux facteurs qui sont toujours présents lors d’un cancer : le pH acide et le manque d’oxygène.

 

Prévenir le cancer c'est ne pas entretenir un terrain propice au développement des cellules cancéreuses, nous en avons tous dans notre corps. 

Heureusement pour la plupart d’entre nous, notre système immunitaire les élimine. Elles n’ont pas le temps de se multiplier pour former des tumeurs mortelles. 


Une de leurs principales pistes aujourd’hui est que les tumeurs mortelles se développent plus vite si votre corps est trop acide

Des chercheurs ont pu le constater : plus les tissus sont acides, plus vite le cancer se développe et forme des métastases. 

A l’inverse, plus ils ont réduit l’acidité de ces tissus, moins les métastases ont progressé. Ils ont même réussi à atteindre le point où les métastases arrêtent de se développer [2]. 

Cette information est capitale. 

 

Otto Heinrich Warburg, né le 8 octobre 1883 à Fribourg-en-Brisgau (Bade-Wurtemberg), mort à Berlin, était un médecin, physiologiste et biochimiste allemand. Docteur en chimie et docteur en médecine, il fut lauréat du prix Nobel de physiologie et de médecine pour sa découverte de processus-clés de la respiration cellulaire et de différents systèmes enzymatiques.

 

Ayant démontré que les cellules cancéreuses changent leur métabolisme pour passer à un métabolisme anaérobie, il a formulé l’hypothèse, non confirmée, que le cancer ne peut pas se développer dans un milieu riche en oxygène. Parmi ses étudiants, le plus illustre est Hans Adolf Krebs, prix Nobel lui aussi en 1953.

Le Dr Warburg fait partie des plus éminents physiologistes du 20e siècle : il a découvert que la cause du cancer est une acidité trop importante dans le corps, signifiant que le pH dans le corps est en dessous du niveau normal de 7,365 – qui constitue un état « acide ». Warburg a étudié le métabolisme des tumeurs et la respiration des cellules et a découvert que les cellules cancéreuses persistent et prospèrent dans un pH plus faible (à 6,0) à cause de la production d’acide lactique et d’une concentration élevée en CO2. Il croyait fermement qu’il y avait une relation directe entre le pH et l’oxygène. Un pH plus élevé, qui est alcalin, signifie qu’il y a une concentration plus élevée en molécules d’oxygène, tandis qu’un pH plus faible, qui est acide, signifie qu’il y a une concentration plus faible d’oxygène… c’est justement cet oxygène qui est nécessaire pour conserver des cellules saines.

En 1931, il a été lauréat du prix Nobel de physiologie ou de médecine pour cette importante découverte sur la cause du cancer. Il déclara : « Les tissus cancéreux sont acides, alors que les tissus sains sont alcalins. L’eau se divise en ions H+ et OH-, s’il y a un excès d’H+, c’est acide ; s’il y a un excès d’OH-, alors c’est alcalin ».

Dans son ouvrage Le métabolisme des tumeurs, il prouve que « toutes les formes de cancer sont caractérisées par deux conditions de base : l’acidose et l’hypoxie. Le manque d’oxygène et l’acidose sont les deux faces d’une même pièce : si vous en avez une, vous avez l’autre [...] Toutes les cellules normales ont un besoin absolu d’oxygène, mais les cellules cancéreuses peuvent vivre sans oxygène, c’est une règle sans exception. Privez une cellule de 35 % de son oxygène pendant 48 heures et elle courra le risque de devenir cancéreuse ».

Le Dr Warburg a clairement démontré que la première cause du cancer est un manque d’oxygène, ce qui crée un état acide dans le corps humain. Il a aussi découvert que les cellules cancéreuses sont anaérobies et ne peuvent pas survivre en présence de niveaux élevés d’oxygène, que l’on trouve dans un état alcalin.

Comprendre le pH , la cause du cancer et pourquoi on a le cancer ou d’autres maladies.

  

 

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 L'apparente incohérence entre le fait que les tumeurs se développent dans un milieu acide et ce graphique désigne le terrain biologique humain propice au cancer  du côté alcalin tient du fait que le graphique en fait, est basé sur l' analyse du ph du sang : sang basique =terrain corporel acide. 

 

Une fois que vous aurez compris où vous êtes dans ce graphe et ce qu’il faut faire pour aller bien, vous vous étonnerez de sa simplicité et de son efficacité !

Regardez où se trouvent les maladies aujourd’hui , Cancer, Virus en particulier. A votre avis ou sommes nous ? Et que devons nous faire pour revenir au point SP (Santé Parfaite). Tout ceci va commencer par l’Eau, l’élément de base de notre vie.

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Controverse sur l’équilibre acido-basique: cancer, faut-il acidifier ou alcaliniser?



Le rôle fondamental du pH de l’organisme, c’est-à-dire son degré d’acidité ou d’alcalinité a été mis en évidence ces dernières années comme un facteur déterminant pour la santé. Les méfaits de l’acidification ont été dénoncés comme responsables d’une foule de maux et les moyens d’alcaliniser l’organisme pour rétablir un pH normal ont été largement diffusés.

Or, malgré le rôle néfaste et évident de l’acidification, on a pu lire, ces derniers temps, juste l’opposé de ce qui se dit habituellement à ce sujet, à savoir que l’acidification de l’organisme devait être recherchée, qu’elle était un moyen curatif et préventif excellent contre le cancer et différentes maladies dégénératives. 

Comment cela est-il possible ? Comment deux affirmations si contradictoires peuvent-elles être faites à propos d’une même chose. 

Pourquoi alcaliniser ? 

Quelles sont les raisons qu’invoquent les partisans de l’alcalinisation pour affirmer qu’il est bon de désacidifier l’organisme pour le ramener à la santé ? 

Tous les phénomènes vitaux qui ont lieu dans notre organisme sont effectués par des enzymes. Or, ceux-ci ne peuvent être actifs que lorsque le milieu dans lequel ils se trouvent possède un pH bien défini, variable d’un tissu à un autre, mais de manière général légèrement alcalin, c’est-à-dire au dessus de 7 (7,3). Lorsque le pH se modifie et devient acide, les enzymes sont entravés dans leur activité. Il s’ensuit un ralentissement des diverses fonctions organiques touchées et, par là, l’apparition des maladies. 

L’organisme cherche donc toujours à maintenir un pH idéal pour garantir sa survie et se conserver en bonne santé. Pour corriger un pH qui devient trop acide, il puise des minéraux basiques dans les tissus pour neutraliser les acides excédentaires, selon le principe qu’une base combinée à un acide donne un sel neutre (système tampon). Le caractère neutre du sel obtenu, permet de corriger le pH mais aussi de protéger le corps du caractère agressif des acides. En effet, les acides irritent, enflamment, blessent et lésionnent les tissus lorsque leur présence devient trop importante dans l’organisme, ce qui est justement souvent le cas de nos jours à cause du mode d’alimentation et de vie que mène l’homme moderne. 

Les méfaits de l’acidification sont donc triples : elle perturbe l’activité des enzymes, elle agresse les tissus et elle les déminéralise en les obligeant à céder des bases. Les maladies par acidose sont donc le résultat de cette triple influence et la thérapeutique consistera tout naturellement à diminuer les apports et la production des acide (régime alcalin), à neutraliser les acides présents dans l’organisme (prise de citrates alcalins) et à stimuler l’élimination des acides par les émonctoires spécialisés dans leur élimination (poumons, reins, peau). 

Les partisans de l’acidification 

Les raisons qui font préconiser la mise en acidose de l’organisme pour lutter contre le cancer et d’autres maladies dégénératives sont motivées par les travaux de trois scientifiques. 

Les plus anciens travaux sont ceux d’Otto Warbury, prix Nobel, qui en 1913 expliquait que la différence essentielle entre la cellule cancéreuse et la cellule saine tenait à leur métabolisme. La cellule mutée ou cancéreuse est de type fermentatif et ne peut pas se développer lors d’acidose. L’acidose empêche le cancer d’utiliser le sucre qui lui est nécessaire. C’est ce qui fait que les diabétiques graves, non traités, qui ont une tendance à une acidose sanguine permanente, font très rarement ou peu facilement un cancer. En d’autre termes : l’alcalose sanguine favoriserait le développement de cellules cancéreuses. 

Les deuxièmes travaux sont ceux de Louis-Claude Vincent. Dès 1948, ce chercheur français, créateur de la bio-éléctronique, science qui mesure les terrains biologiques à partir de trois facteurs objectifs : le pH, le potentiel oxydo-réducteur (rH2) et le facteur de résistivité (r ou r02), concluait aussi à la suite de ses travaux que l’alcalose sanguine était favorable au développement du cancer. Les mesures thérapeutiques et préventives qui découlent de cette constatation sont évidemment qu’il faut lutter contre l’alcalinisation du sang et chercher à l’acidifier. 

C’est ce que confirme à son tour le savant américain Reding qui, se basant sur des statistiques faites au niveau mondial, déclare « L’acidose sanguine constitue un état défavorable au développement de la cellule cancéreuse ; la tendance à l’alcalose sanguine contribuant à son éclosion. » 

Reding a constaté en effet que les taux les plus élevés de non-cancérisation se trouve dans les groupements d’individus présentant une forte acidose sanguine, acidose dont les origines sont multiples : condition de vie restrictives (camps de concentration), habitudes alimentaires (monastères), maladies chroniques acidifiantes (urémie, artériosclérose, diabète), habitudes socio-culturelles (pratique rituel du jeûne). 

Le dénominateur commun à ces différents groupes de population peu enclins à faire des cancers est que le sang est acide, ce qui crée des conditions adverses au développement des cellules mutantes ou cancéreuses. La thérapeutique anti-cancéreuse consistera donc à rechercher l’acidification, ceci par les moyens déjà mentionnés, les diètes et jeûne, mais aussi par l’exercice musculaire et les séjours en altitude. 

 

 

 

Faut-il acidifier ou alcaliniser ? 

En apparence, nous nous trouvons donc devant une énigme puisque les deux approches semblent radicalement opposées. En réalité, ce n’est pas le cas. Elles se rejoignent même et sont parfaitement conciliables, car les tenants des deux positions ne parlent pas… de la même chose ! 

Les tenants de l’alcalinisation parlent des tissus organiques (le terrain) alors que les tenants de l’acidification parlent du sang. Or, tissus et sang n’ont pas le même pH. Leurs pH sont au contraire opposés l’un à l’autre. On peut même dire que le pH de l’un est toujours le reflet inverse de l’autre. 

Voici pourquoi : 

Le sang est le liquide le plus précieux de l’organisme. Son pH ne peut varier que dans une infime mesure, sinon apparaissent rapidement des troubles organiques et des modifications de la conscience, puis la mort. L’organisme cherche donc constamment à maintenir un pH sanguin dans l’équilibre idéal. Lorsque le sang reçoit de grandes quantités d’acides, ceux-ci seront neutralisé par le système tampon et, lorsque celui-ci est dépassé, rejetés dans les tissus pour préserver l’équilibre acido-basique du sang. Avec le temps les acides s’accumulent donc dans les tissus et le terrain devient acide. 

Dans cette situation, le corps lutte donc pour conserver un pH sanguin normal, face à cet environnement acide que représente le terrain acidifié. Les systèmes de protection qu’emploie le sang tendront à le rendre légèrement alcalin pour deux raisons. D’une part, parce que le sang augmente ses réserves alcalines pour faire face aux agressions « acides » et d’autre part, parce qu’il transporte des bases d’une partie du corps à une autre, bases destinées aux tissus acidifiés. 

Ainsi, lorsque le terrain s’acidifie, le sang tend à l’alcalinisation. Il ne devient pas alcalin, mais tend seulement légèrement dans cette direction. En effet, le sang supporte aussi peu de devenir trop acide que trop alcalin. 

Dans la situation inverse, lorsque le terrain a un pH normal, donc légèrement alcalin, le sang ne doit pas se protéger comme expliqué ci-dessus, et son pH est un peu plus acide. Il tend vers des valeurs plus acides pour équilibrer le pH alcalin du terrain (de là, la recommandation d’acidifier le sang). 

Etant donné que le pH de l’un est le reflet inverse du pH de l’autre, on peut tout aussi bien affirmer qu’il faut acidifier ou qu’il faut alcaliniser, suivant que l’on parle du sang ou des tissus. 

Ainsi lorsque Reding ou Vincent disent que la tendance à l’alcalose sanguine contribue à l’éclosion de la cellule cancéreuse, c’est parce que le terrain est acide. En effet, ce qui est primordial pour une cellule, c’est moins le sang avec lequel elle n’est pas en contact direct, que les sérums cellulaires qui imprègnent les tissus et qui représentent son environnement immédiat. 

Or, une cellule cancéreuse ne se développe pas dans un terrain sain, donc légèrement alcalin, alcalinité du terrain qui correspond, au niveau du sang, à un pH … acide. Lorsque les tenants de l’acidification disent que le cancer ne se développe pas lorsque le sang est acide, c’est tout simplement que dans cette situation le terrain est alcalin. 

Les deux approches sont donc justes et correspondent toutes deux à la réalité. Ce ne sont que les explications qui ne sont pas assez précises, l’action d’acidification n’étant pas assez définie comme agissant sur le sang, et l’action d’alcalinisation, sur le terrain. 

Que ces deux approches apparemment antagonistes correspondent est d’ailleurs confirmé par l’analyse des moyens thérapeutiques préconisés de part et d’autre. 

Le Jeûne : 

Les partisans de l’acidification préconisent le jeûne comme technique de mise en acidose (du sang). Après ce qui a été dit précédemment, nous devons cependant nous poser la question : les effets thérapeutiques proviennent-ils de l’acidification du sang ou de l’alcalinisation des tissus qui en résulte ? 

Que se passe-t-il pendant le jeûne ? La restriction des apports oblige l’organisme à puiser dans ses tissus. La dégradation des tissus produit des acides qui seront acheminés vers le sang, puis éliminés par les émonctoires. L’intensification du travail d’élimination que déclenche le jeûne, conduit aussi les acides des tissus vers les émonctoires en passant par le sang. S’il y a augmentation de l’acidité tissulaire tout au début du jeûne, la désacidification du terrain, environnement direct de la cellule, en est la conséquence à long terme. Le sang, lui par contre, a tendance à s’acidifier pendant le jeûne. 

Le jeûne permet donc bien de lutter contre le cancer puisqu’il : 

acidifie le sang (diraient les partisans de l’acidification) 

parce qu’il alcalinise le terrain (diraient les partisans de l’alcalinisation). 

Le processus est le même et les conclusions qu’on peut en tirer aussi lorsqu’il s’agit de jeûne partiels ou des régimes restrictifs préconisés (diminution des viandes, graisses et sucre). Dans ces cas il y a aussi désacidification du terrain et acidification du sang. 

L’exercice musculaire 

Un autre moyen d’acidifier préconisé par les tenants de l’acidification est l’exercice musculaire. Certes, les contradictions musculaires produisent de l’acide lactique, mais l’acidification des tissus musculaires est de courte durée puisque l’acide lactique va être conduit au sang (ce qui se traduit par l’acidose sanguine), puis aux reins pour être éliminé comme en témoigne l’acidification des urines après l’exercice. Cependant, tout exercice musculaire provoque aussi une accélération des métabolismes respiratoires et circulatoires et par là une meilleure oxygénation des tissus. De nombreux acides sont ainsi oxydés à la faveur de l’exercice. Comme dans le jeûne, le résultat final est une désacidification des tissus profonds après l’acidification passagère du début. Or, ce qui sera déterminant pour les cellules cancéreuses dont on veut entraver le développement, ce n’est pas l’acidification passagère du terrain ou du sang, mais l’alcalinisation durable du terrain qui suivra. 

Séjour en altitude 

Il en va de même pour les séjours en altitude également préconisés. Le manque d’oxygène disponible en altitude oblige le corps à augmenter son métabolisme de base. L’amplitude respiratoire est plus profonde, l’oxygénation des tissus aussi et les acides sont ainsi plus facilement oxydés et éliminés, ce qui alcalinisera le terrain. 

Cancer : faut-il acidifier ou non ? 

La réponse à notre question du départ est maintenant simple à donner. Oui, il faut acidifier, si on parle du sang. Non, il ne faut pas acidifier, si l’on parle du terrain.

La logique voudrait que l’on mette en priorité le phénomène de fond et que l’on parle donc plutôt du terrain. En abordant d’abord la question par le pH du sang en sous-entendant et en occultant le déclenchement du phénomène inverse au niveau du terrain – on ne fait que troubler les esprits et semer la confusion. 

Ce qui est à rechercher ce n’est pas acidifier, mais alcaliniser, c’est à dire alcaliniser le terrain, ce qui, en définitive, est le but recherché aussi bien par les tenants de l’alcalinisation que de l’acidification. 

Tableau récapitulatif
à = tend vers

  terrain sang urine
santé alcalin à acide alcaline
cancer acide à alcalin acide
effet du jeûne
séjour en montagne
exercice physique
à alcalin à acide à alcalin



Remarque : Le pH du terrain est l’inverse de celui du sang. Le pH urinaire, lui, correspond au pH du terrain, car si un organisme est chargé d’acide son terrain est acide par accumulation et ses urines acides par l’élimination des acides excédentaires. 

Christopher Vasey  source : controverse_sur_l_equilibre_acido_basique

 

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Le PRAL et le pH

 

Récemment sont apparus en Occident de nouveaux appareils prétendant neutraliser l’acidité du corps par une eau ionisée négativement (présence d’électrons) et très basique, c’est-à-dire dont le pH est élevé.

Leurs promoteurs confondent en fait le pH et l’indice PRAL (Potential Renal Acid Load) de l'eau, ou encore son caractère basique ou bien alcalinisant, ce qui n’a été relevé par aucun médecin ou physiologiste à ce jour, tant le mépris pour l’eau, un vecteur si simple et si universel, est grand! La connaissance de l’eau ne fait malheureusement pas partie des connaissances de base enseignées dans les écoles de médecine.

Il y a donc une différence entre acide et acidifiant, de même qu'entre alcalin et alcalinisant. Bien que cela puisse, bien sûr, aussi être le cas, tout ce qui est acide n'est pas automatiquement acidifiant. Tout ce qui est alcalin n'est pas automatiquement alcalinisant. Et inversement.

 

Qu'est ce que l'Indice PRAL?

 

Tous les aliments que l’on mange donnent naissance, dans le sang et dans le liquide extra-cellulaire, à des acides et des bases. Les aliments dits acidifiants ou «producteurs d’acides» (céréales, viande, poisson, œufs, laitages...) génèrent plus d’acides que de bases. Les aliments dits basifiants ou alcalinisants (fruits, légumes) génèrent plus de bases que d'acides. Certains aliments sont donc «acidifiants» et d'autres «alcalinisants».


L'Indice PRAL (Potential Renal Acid Load) se mesure en milli-équivalents (mEq): Il mesure la charge acide de l’urine - et donc de l’organisme - grâce à la quantité de minéraux acides et de minéraux basiques apportée par 100 grammes d’aliments en tenant compte du coefficient d’absorption intestinale.

L’Indice PRAL additionne les minéraux acides et soustrait les minéraux basiques.


L'Indice PRAL permet de classer les aliments en deux catégories bien distinctes:


- Si le nombre obtenu est positif (supérieur à zéro), l’aliment est considéré comme acidifiant.


- S’il est négatif, l’aliment est considéré comme alcalinisant.


- La valeur «zéro» signifie la neutralité.


Pourquoi privilégier des aliments à indice PRAL négatif?


Pour bien fonctionner, notre organisme doit se situer dans une zone de pH équilibré, ni trop bas - c’est-à-dire acide, ni trop élevé - c’est-à-dire basique.


Si vous consommez plus de minéraux acidifiants que de minéraux basifiants, l’indice PRAL est alors supérieur à zéro: votre alimentation est, pour vous, globalement acidifiante. Dans le cas contraire, l’indice PRAL est négatif: votre alimentation est alcalinisante ou basifiante.

Si vous êtes trop acide - ce qui est généralement le cas avec notre alimentation dite "moderne" -, vous souffrez d’un déséquilibre appelé acidose chronique, qui tend à «dissoudre» les os par élimination du contenu minéral osseux, mais, en plus, elle fait aussi fondre les muscles et abîme les reins (lesquels ont, du coup, "trop de travail").

 

 

Il est donc fondamental de veiller à ce que la nourriture ingérée ne soit pas acidifiante, et, bien sûr, l'eau bue joue aussi un rôle important pour cela!

Pour référence :  

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Source :  wikipedia

 

Notre pH sanguin, lui, est constant et possède - avec une échelle allant de 0 à 14 – une valeur de 7,4 unités! Par contre, nous ingérons ou bien nous fabriquons tous les jours beaucoup d’acides! Ce qui devrait constamment tirer le pH du sang et des tissus vers le bas … mais nous avons un système très efficace de lutte contre les acides, nommé système-tampon, qui implique les ions bicarbonates, liés eux-mêmes dans le corps au calcium, au magnésium, ou encore au potassium ou au sodium. Ces minéraux sont stockés dans les os.

 

En cas de stress répété, ou bien si nous consommons trop de viandes, de céréales, de sucres et d’excitants comme le café, nous nous acidifions et ces acides néo-formés ou bien apportés se stockent dans notre tissu conjonctif; le corps mobilise alors ses bicarbonates pour neutraliser ces acides; ceux-ci sont prélevés dans l’os, ce qui libère des minéraux dans le sang: ainsi calcium et magnésium se retrouvent, pour finir, dans les urines et, malheureusement, sont ainsi éliminés! Et donc perdus pour le corps.

 

Pour compenser ces pertes en précieux minéraux, il s’agit de manger abondamment des fruits et surtout des légumes, lesquels sont riches en minéraux, calcium, magnésium, sodium ou potassium, mais aussi fer et tous les oligo-éléments.

 

Si l’on veut compenser les acides produits par le corps dans le sang et les tissus par une eau particulière, il faut le faire avec une eau riche en bicarbonates! C’est le taux de bicarbonates dans l’eau qui est important pour neutraliser les acides, pas son pH élevé; par ex, une eau comme la Vichy St-Yorre est riche en bicarbonates, mais son pH est acide (il est inférieur à 7 et est égal à 6,6)!

 

La notion d’acidification du terrain est essentielle, car de nombreux troubles peuvent y être associés, et sa correction apporte des résultats étonnants. De plus, la prise en charge du terrain acide s’intègre dans une médecine préventive, notamment chez les enfants présentant très tôt un déséquilibre acide-base. Avant de voir en détail l’équilibre acido-basique, il est indispensable de bien comprendre la notion de terrain.

 

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Qu’est ce que le terrain ?

Si une plante pousse harmonieusement sur son terrain de prédilection, il en est de même pour le corps humain.

Il existe un terrain organique idéal qui permet un fonctionnement optimum de nos organes. Le corps est composé à 70 % de liquides représentés par le sang, la lymphe et les sérums. Les cellules ne peuvent pas se déplacer pour aller chercher leur nourriture, l’oxygène, et pour se débarrasser de leurs déchets, ce sont les liquides organiques qui vont se charger des ces fonctions.

 

 

La composition de ces liquides est primordiale pour la cellule, car ils représentent son milieu vital, et, comme tout être vivant, les cellules ne peuvent pas survivre dans un environnement qui ne leur est pas favorable.

Ceci implique que chaque modification de la composition idéale éloigne le corps de l’état de santé. Plus ces modifications seront importantes, plus importants seront les dérèglements.

 

En règle générale, le terrain peut se modifier de 2 manières différentes :

  • En se carençant : les substances nécessaires aux cellules(vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides gras…) sont réduites ou absentes, et l’activité cellulaire diminue ou s’interrompt.
  • En se surchargeant:
    • de substances indésirables, des toxiques, qui ne se trouvent pas normalement dans le corps, ce sont les pesticides, les colorants, les conservateurs, les polluants divers, le tabac, les drogues, les médicaments, métaux lourds (mercure, plomb, cadmium, aluminium etc)…
      Les voies d’entrée de ces substances sont la voie digestive, pulmonaire et cutanée. On parle alors d’intoxication.
    • de toxines et acides qui sont des résidus des métabolismes.

On parle alors d’intoxination ou « encrassement« . La présence de petites quantités de toxines est normale, le corps possède des organes appelés émonctoires qui vont se charger d’éliminer ces déchets résiduels : ce sont le foie, les reins, la peau, les poumons, l’intestin.
Une partie des déchets provient de l’usure des tissus, tous les jours, le corps doit éliminer des débris de cellules usées, des cadavres de globules rouges…
Mais la plus grande partie des toxines et acides (l’urée, l’acide urique, l’acide lactique,l’acide acétique, les acides cétoniques, cholestérol…) provient de la dégradation des substances alimentaires.

 

Tant qu’un certain seuil est respecté ces toxines sont bien supportées, mais si ces toxines sont en excès, elles vont provoquer de graves dommages à l’organisme et prépareront le lit des maladies futures.

Elles agissent comme de véritables poisons, les liquides organiques qui charrient ces déchets, s’épaississent et circulent de plus en plus difficilement.

Exemple : les globules rouges deviennent de plus en plus rigides et s’agglutinent, augmentant ainsi la viscosité du sang qui coule plus lentement.

Il en découle une mauvaise irrigation des tissus, de mauvais échanges cellulaires. Les substances nutritives et l’oxygène ont de la peine à être transportés jusqu’à leur lieu de destination : la cellule. Les cellules étouffent sous les déchets

A ces troubles fonctionnels s’ajoutent les lésions causées par l’agressivité des déchets. Les toxines et les acides enflamment, détruisent, sclérosent les tissus.

 

Notion de PH

Le pH (puissance à libérer des ions hydrogène) est l’unité qui permet de mesurer le degré d’acidité ou d’alcalinité d’une substance ou d’un milieu.

L’échelle varie de 0 à 14. Le pH neutre se situant autour de 7.

Plus l’acidité est grande, plus le pH est faible : de 7 à 0.

Plus l’alcalinité est grande, plus le pH est élevé : de 7 à 14.

Le pH qui permet un fonctionnement optimum, donc normal de notre corps, est de 7,4 au niveau du sang, c’est-à-dire légèrement basique, il doit rester constant.

 

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Pour en savoir comment équilibrer ou corriger une acidose  voir :  Equilibre acido-basique

 

D’après les recherches du Dr. Enderlein, une guérison totale de maladies chroniques ne peut arriver que lorsque le sang est ramené à un pH normal, légèrement alcalin.

 

Cause du cancer : pourquoi le pH devrait-il nous concerner ?

 

Étant donné que nous sommes faits à 60-70 % d’eau, le niveau du pH a des effets très profonds sur la chimie du corps, la santé et les maladies. Tous les mécanismes régulateurs (respiration, circulation, digestion et production hormonale) ont pour but d’équilibrer le pH en débarrassant le corps et les tissus des résidus acides, sans endommager les cellules vivantes. Si le pH dévient trop acide ou trop alcalin, les cellules s’empoisonnent avec leurs propres déchets toxiques et meurent.

 

Comme les pluies acides sur une forêt et des déchets alcalins dans un lac, un pH déséquilibré corrode les tissus humains, consumant les  milliers de kilomètres de veines et d’artères, comme des produits corrosifs s’attaquant à du marbre. S’il n’est pas régulé, un pH déséquilibré peut interrompre les activités et fonctionnements cellulaires, comme les battements du cœur et les étincelles entre les neurones du cerveau.

 

La cause du cancer est liée à deux facteurs qui sont toujours présents lors d’un cancer : le pH acide et le manque d’oxygène.

 

En apprenant à manipuler ces deux facteurs qui seraient la cause du cancer, on peut réduire ou inverser le processus du cancer. Rappelons-nous que le pH est un nombre exponentiel de 10 ; donc une petite différence dans le pH se traduit en grosse différence dans le nombre d’ions OH-. En d’autres mots, un sang avec un pH de 7,45 contient 64,9 % d’oxygène en plus qu’un sang dont le pH est de 7,3. Le cancer a besoin d’un environnement acide pauvre en oxygène pour survivre et se développer.

 

Les patients en phase terminale d’un cancer sont environ 1 000 fois plus acides qu’ils ne devraient l’être. Cela veut dire un niveau d’oxygène dangereusement critique au niveau cellulaire. En l’absence d’oxygène, le glucose fermente et devient acide lactique. Cela baisse le pH des cellules. Le pH des urines et de la salive des patients en phase terminale de cancer se situe très souvent entre 4,0 et 5,5. Quand le cancer se transforme en métastases, le pH chute d’avantage.

 

Nos corps ne peuvent pas lutter contre la maladie si le pH n’est pas proprement équilibré. En d’autres termes, c’est « alcalinise ou meurs ».

Source concernant le Dr OttoWarburg H  :  croah.fr-revue-de-press

 

Pour en apprendre davantage sur la désinformation concernant le cancer et les aliments anti-cancer :  A propos du cancer

Pour prévenir le cancer de la prostate :  cancer-de-la-prostate-prevention-par-massage

 

 



08/11/2014
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