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Surpoids, microbiote, Covid-19

Les hommes en surpoids semblent davantage touchés

Une analyse du Intensive Care National Audit & Research Centre, basée sur 2 200 patients de l'Angleterre, du Pays de Galles et de l'Irlande du Nord, constate que sur 73% des hommes admis en soins intensifs 73,4% sont en surpoids ou obèses.

Autre statistique révélatrice : 42,4% des malades en obésité survivent contre 56,4% des personnes ayant un IMC inférieur à 25.

L'étude met également en avant le fait que les hommes pourrait être davantage à risque.

Plus de la moitié des femmes survivent au Covid-19 (55,4%), ce sont seulement 47,8% des hommes qui s'en sortent.

Un chiffre expliqué par le Professeur Pierre Delobel, chef du service des maladies infectieuses au CHU de Toulouse : "L'immunité innée est meilleure chez les femmes, notamment avant la ménopause".

 

 

Disparité hommes / femmes pour la mortalité

 

Femmes et hommes sont tout autant infectés, mais la mortalité est moindre chez les femmes d'après l'étude du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies.

jusqu'à présent, 2,8% des hommes contaminés par le virus en sont morts, contre 1,7% des femmes contaminées
Il tue plus d hommes que de femme.

Plusieurs raisons comportementales sont supposées pour expliquer cette disparité.

Les femmes produisent des réponses immunitaires plus fortes contre les infections. Ce qui est constitue un atout dans les cas d'infections virales par voies respiratoires, mais c est un désavantage dans le cas des maladies auto-immunes ( 80% des personnes atteintes de maladies auto-immunes sont des femmes. Dans ce cas de figure leur système immunitaire se met en état de surcharge, attaque les organes et les tissus du corps. 

D'autre part, les femmes prennent plus soin de leur santé que les hommes, et ont les bons réflexes de prise en charge en cas de signes. Ainsi les femmes seraient prises en charge plus rapidement, et le virus, traité rapidement et de manière plus efficace, augmente leur chance de survie.

 

Ces mêmes inégalité face à la maladie ont été observées dans le passé, lors des épidémies de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) et de MERS (syndrome respiratoire du Moyen-Orient). Les hommes étaient davantage touchés par la mortalité que les femmes malades.

Plus de femmes que d'hommes ont été infectées par le SRAS à Hong-Kong en 2003. Pourtant, le taux de mortalité chez les hommes était de 50% plus élevé, selon une étude publiée dans les Annals of Internal Medecine, retrouvée par le New York Times.

Quant au MAERS, il a tué 32% d'hommes infectés, contre 25,8% des femmes atteintes. Des disparités du même type pour l'épidémie de la grippe de 1918.

Source  coronavirus-quel-est-le-profil-type-des-malades

 

Les Coronavirus sont connus de longue date, et les types 229 E et OC43.
Celui qui circule actuellement est nouveau pour l’Homme, il se propage rapidement car ne rencontre aucun humain immunisé, donc aucune barrière physiologique, c’est bien ça qui pose problème. Il est dangereux sur les personnes sensibles, comme toute infection.
La stratégie de confinement vise donc à freiner sa propagation : pour que la totalité de la population infectable (nous tous) mette un an à se contaminer plutôt qu’un mois, afin d’éviter le déferlement de la population dans le système de santé. Lorsque plus de 80% de la population sera naturellement adaptée, il est fort probable que la pandémie cessera… Il est possible aussi qu'en réduisant le nombre de personnes contaminées en dessous d'un certain seuil, que l'épidémie soit contenue comme Zika ou H1N1 : ces virus qui continuent à circuler, mais touchent beaucoup moins de personnes qu'au début. Mais l'épidémie du coronavirus s'est beaucoup plus répandue que les autres contamination... source:  le-coronavirus-ne-disparait-pas-et-devient-saisonnier
Nous serons tous, à terme, en contact avec ce virus et sans pour autant avoir de symptôme.  Certains seront asymptomatiques, d’autres feront un rhume, une bonne crève, et ce sont les plus fragiles, incapables de produire une immunité efficace, qui feront les formes graves.
 
Un des facteurs aggravant est la consommation de corticoïdes et d’anti-inflammatoires (Advil, Nurofène etc) car ils favorisent les surinfections et formes graves +++ : en paralysant les globules blancs responsables des signes de l’inflammation, ils paralysent aussi la réponse immunitaire !!! c’est connu depuis plus de 20 ans, mais les généralistes continuent de les prescrire massivement. Quelles que soient les décisions du gouvernement, elles seront critiquées, car nos sociétés sont irrationnelle
Sophie CHA, médecin conseiller ARS Bretagne

 

 

Mortalité selon l'âge

 

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source image

 

L'âge médian est de 59 ans pour la mortalité. 
 
 80% des cas de contamination sont bénins. Sur cent victimes, ce virus prend la vie seulement de trois  personnes, essentiellement des personnes âgées souffrant de problèmes de santé.  Les personnes à risque sont les diabétiques, fumeurs, personnes malades.  Pour les autres le virus ne laisse aucune séquelle. 1 seul mort dans la tranche d âge avant 15 ans. 
Les enfants sont plus protégés même pour les grippes en général. Pour les personnes qui ne sont pas à risque, attraper le virus maintenant permet d'être immunisé par la suite.  vous ne l’attraperez pas plus tard si il fait partie des coronavirus endémiques. Dans cette hypothèse, il reviendra de façon saisonnière, comme la grippe. La grippe est saisonnière car les températures basse, l'environnement froid et sec permettent de durcir le gel protecteur enveloppant le virus lorsqu'il est dans l'air. Cette enveloppe plus résistante lui permet de survivre plus longtemps dans l'air pour lui laisser une chance de passer d'une personne à l'autre. C'est qu' expliquait Amanda Simanek, épidémiologiste à l'université du Wisconsin (Etats-Unis).
Mais contrairement à la grippe, le coronavirus ne risque pas de muter à chaque saison.
En effet,  les gènes du virus de la grippe évoluent par un processus appelé "dérive antigénique", ainsi chaque mutation produit un nouveau virus de la grippe que notre système immunitaire doit combattre comme un nouveau virus. (C'est pourquoi les vaccins antigrippaux ne risque pas d'être efficace à 100% ). Mais les coronavirus, dans l'ensemble, sont "moins sujets aux mutations que la grippe", selon Stephen Morse.
 
Le coronavirus est plus contagieux que la grippe mais bien moins que la rougeole et la gastro-entérite.
Le tabagisme, le diabète et l'hypertension augmenteraient les risques de mortalité.
 
 

Les personnes en surpoids sont plus vulnérables au Covid-19, mais surtout plus vulnérables aux maladies en général. 

La flore intestinale des personnes en surpoids est différente de celle qui ont un poids normal.
N'oublions pas que le microbiote est la source de notre immunité à 80%
 
 
 

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Source :  microbiote-et-linflammation

 

 

L’existence d’une flore intestinale est connue depuis plus d’un siècle. 

 La flore forme un écosystème au sein de l’organisme qui l’héberge.

Chaque microbiote est unique, un peu comme une empreinte digitale. 

 

 

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Le microbiote intestinal en chiffres

  • 100 000 milliards de bactéries
  • 10 fois plus que le nombre de cellules de l’organisme
  • 1 000 espèces différentes
  • 1 à 2 kg
  • 3,3 millions de gènes (150 fois plus de gènes que le génome humain)

Source :  human-microbiome/the-intestinal-

 

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VOIR : Quelles sont les bonnes-et-mauvaises-bacteries-pour-la-flore-intestinal

 

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PRENDRE DES PROBIOTIQUES N'EST PAS LA SOLUTION ! 

Comme l'explique très bien ce naturopathe

 

C'est la solution de facilité, mais n'a aucune efficacité, seul d'enrichir les labo. 

 

Voir aussi :  serotonine-l-hormone-du-bien-etre fabriquée dans les intestins

 

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Pour rétablir l'équilibre, soignez tout d’abord votre hygiène de vie :

  • faites plus d’exercice physique doux ; les efforts physiques violents déséquilibrent la flore) ;
  • aérez-vous, respirez…
  • prenez le temps de mâcher et de digérer ;
  • évitez tous les excès (de sucre = fermentation+++, de protéines = putréfaction+++, d’acides gras trans ou d’édulcorants = perturbations ++++ de la flore).

 

Réduire votre consommation d'aliments concentrés

Les aliments concentrés tels que la viande, les fromages, certaines graisses (beurre, huile de tournesol, de maïs, de soja ou de carthame) et les sucres simples doivent être consommés avec modération car ils sont susceptibles de provoquer une rupture de l’équilibre de la microflore.

Or, depuis les années 1950, la consommation des aliments concentrés n’a pas cessé de croître avec le développement incessant de ce que l’on appelle les maladies de civilisation : troubles cardiovasculaires, digestifs, métaboliques, nerveux, ostéoarticulaires, etc. 

Par exemple, la forte consommation de sucres simples : saccharose, fructose, maltose, lactose, glucose. 

Tous les aliments sucrés ou qui se transforment rapidement en sucre simples (y compris les jus de fruit), favorisent la prolifération d’une flore fongique qui altère l’immunité, induit le risque de diabète, d’obésité, d’accidents cardiovasculaires et de tous types de cancers

Cela peut sembler exagéré mais les médecins n'ont plus de doute aujourd'hui à ce sujet : la forte consommation de sucre produit de l’hyperglycémie, puis de l’hyperinsulinémie qui va stimuler la formation de la tumeur cancéreuse et accélérer la croissance des cellules tumorales. 

Les Français consomment en moyenne 40 kg de sucre par an, soit environ 110 grammes par jour. Ce chiffre est dangereusement élevé. Il devrait être réduit au minimum des trois quarts, c'est-à-dire descendre en dessous de 10 kg par an. On peut en dire autant de la viande et des produits laitiers. 

Alors priorité aux fruits, légumes et céréales complètes, baies, noix, poissons gras de haute mer riches en précieux nutriments (collagène, minéraux, vitamines liposolubles et acides gras omega-3 à longues chaînes). Un peu de viande, de produits laitiers (surtout au lait de chèvre et de brebis) et d’huiles végétales (préférence à l’huile d’olive, de noix, de colza) et très peu de sucreries. 

 

Voir :  la-mort-commence-dans-le-colon

 

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Voir :  impacte-du-microbiote-sur-le-mental

et

 

psychobiotiques-les-nouveaux-antidepresseurs

 

et 

Le microbiote intestinal est un trésor pour la santé

 

 

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Autre vidéo sur ce lien :  Notre cerveau et nos pensées sont directement liés à nos intestins

 

Étude du microbiote par l'approche méta-génomique

La métagénomique est le séquençage et l’analyse de l’ADN des microorganismes présents dans les échantillons de divers environnements (océan, sols, air, corps humain…) sans que la culture de ces microorganismes soit requise. Cette technique a représenté une avancée majeure dans la compréhension du microbiote intestinal humain, environnement dans lequel seules 75 % des bactéries ne sont pas cultivables. Le 11 avril 2008 est lancé le projet européen MetaHIT74. Coordonné par l'INRA, il a pour but d'étudier le génome de l'ensemble des bactéries constituant la flore intestinale humaine afin de caractériser ses fonctions et ses implications sur la santé.

Les premiers résultats de MetaHIT sont obtenus en 2010 : à l'âge adulte, chaque personne héberge dans son tube digestif 170 espèces bactériennes différentes (ce qui représente un métagénome 150 fois plus important que le génome humain) dont une cinquantaine commune à plus de 90 % des individus. Cette étude met en évidence 19 000 fonctions différentes de cette flore : désagrégation de substances que notre propre système est incapable de démanteler, par exemple les cartilages et les molécules de cellulose ; fonctions immunitaires ; synthèse de substances indispensables, par exemple la vitamine K, qui joue un rôle essentiel dans la coagulation sanguine.

D'autres résultats de MetaHIT publiés en 2011 révèlent que les individus possèdent, comme pour les groupes sanguins, trois entérotypes, qui sont de véritables « signatures bactériennes intestinales ». Cet entérotype est spécifique de chaque individu et indépendant de l'origine géographique (pays, continent, etc.), de l'âge et de l'état de santé de l'individu. Il est défini par l'abondance de certains types bactériens et par leur « potentiel génétique (c'est-à-dire par les fonctions que leurs gènes codent) ». 

Source Wikipédia analyse_du_microbiote_intestinal_humain

 

Exemple de pathologies associées au microbiote intestinal

Il y a depuis le début des années 2000 un consensus médical sur l'importance du microbiote pour la santé. Les données acquises chez l'animal de laboratoire et chez l'humain laissent penser qu'un microbiote intestinal normal améliore le métabolisme de son hôte en accroissant le rendement énergétique et la qualité de la digestion. Le microbiote intervient aussi en modifiant certains composés dérivés de l'hôte et certaines voies métaboliques, et en améliorant l'immunité.

Un déséquilibre du microbiote intestinal peut induire ou permettre le développement de pathologies telles que l'obésité, les maladies cardiovasculaires et certains syndromes métaboliques (diabète de type 2 notamment), notamment via la production d'inflammasomes.

Cependant, la grande complexité de cette communauté microbienne, virale et fongique fait que les liens de cause à effet sont encore mal compris.

Les études actuelles montrent que :

  • pour la maladie de Crohn, le microbiote intestinal des patients atteints montre une modification du rapport Firmicutes/Bacteroidetes, avec un rapport qui s’échelonne de 1/1 à 3/1 au lieu de 10/1 chez le sujet sain. On constate un déficit marqué du groupe Firmicutes, à la fois en nombre d’espèces et en proportion ;
  • pour le syndrome métabolique une altération de la richesse en espèce et en gène a été observée ;
  • pour le syndrome du côlon irritable une diminution des symptômes est constatée lors de l'administration de probiotiques ou d'un placebo. Une altération de la microflore est retrouvée chez les patients. Leur biofilm est moins diversifié que celui des sujets sains avec une prédominance de clotridies et d'eubactéries ;
  • un individu obèse aurait un déséquilibre de son microbiote avec un ratio Firmicutes/Bacteroidetes de l’ordre de 100/1 (associé à un fort déficit en Bacteroidetes). La perte de poids semble liée à l’augmentation de la proportion de Bacteroidetes avec un changement du ratio qui évolue vers 10/178 ;
  • la durée d'une diarrhée infectieuse aigüe ou d'une diarrhée persistante chez l'enfant est diminuée par absorption de probiotiques ;
  • gastro-entériteulcère gastro-duodénal et autres pathologies intestinales d'origine infectieuse ou inflammatoire sont étroitement liés à un déséquilibre du microbiote ;
  • les personnes souffrant de constipation ont une augmentation de la composante méthanogène et bifidogène de leur microbiote intestinal87. La production de méthane semble être associée à un ralentissement du transit intestinal.
  • Dans le cas du cancer colorectal une étude israélienne a explicité en Janvier 2015, un processus qui expliquerait l'inhibition des cellules immunitaires par la bactérie Fusobacterium nucleatum .
  • Dans le cas du cancer de l'estomac la bactérie Helicobacter pylori, inhibe la protéine P53, ce qui permet aux cellules cancéreuses de proliférer.

Mieux comprendre le fonctionnement des interactions entre le microbiote et son hôte devrait donc permettre d'améliorer les traitements de maladies métaboliques (probiotiquesprébiotiques, bactériothérapie fécale, etc.). L'exploration du métagénome (association du génome humain de l'hôte et de celui, bien plus riche du génome du microbiote) pourrait y contribuer.

 

Source Wikipédia analyse_du_microbiote_intestinal_humain

 

 

Voir aussi :  savez-vous-pourquoi-vous-stockez-la-graisse-dans-la-zone-abdominale

perdre-de-la-graisse-abdominale.jpg

 

 

Votre morphologie est votre façon d'être sont aussi, en grande partie prédétermines par votre équilibre et dosage hormonale.

Notre dosage hormonal détermine non seulement nos attirances, mais notre personnalité et notre apparence physique comme vous le découvrirez dans cet article. Les hormones ou neurotransmetteurs sont synthétisés sous différentes influences : nos pensées, nos perceptions (par exemple l’audition d’un beau morceau de musique), nos émotions (par exemple lorsque nous tombons amoureux), et sont liés à notre activité corporelle. Ils peuvent s’appauvrir par un mode de vie inapproprié. Il existe pour chacun d’entre nous un équilibre des neurotransmetteurs qui fonctionne de manière optimale.  

Evaluez le votre sur ce lien : 

tests - Evaluez vos taux d hormones

  

 

 

La médecine officielle a dénaturé la notion de santé et de maladie en s'appropriant le pouvoir de guérir. Elle désinforme, infantilise, déresponsabilise Les gens courent chez le médecin pour un oui pour un non... et font une confiance aveugle aux médecins et à l'administration sanitaire qui, pourtant, sont complètement influencer respectivement, par les lobbies et les industriels. Exemple pour le lait, ils ont réussit à faire entrer dans la caboche de tout le monde, que le lait est indispensable à la santé, hors, à la base, c'était pour des raisons purement économique, il fallait écouler la surproduction laitière ! Le lobbying existe depuis longtemps.  Si nos grands mères avaient leurs remèdes, la génération qui suit devient complètement ignorante de tout ce que la Nature a mis à notre disposition pour nous soigner le plus sainement possible, sans contre effets dus aux molécules chimiques de synthèse.  

Il existe des scientifiques et des médecins qui ne se laissent pas manipuler et  possédant suffisamment de conscience pour nous informer correctement au lieu de nous désinformer. Nous sommes les artisans de notre santé, cette santé dont on nous a dépossédé. 

 

 

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11/04/2020
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