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Fléau mondial

 

J’ai écouté une interview sur « Le sucre histoire d'un complot mondial » sur France Inter, racontée par Jean-Marie Hosatte, journaliste photojournaliste, grand porter dans la rubrique « La terre au carré » avec Mathieu Vidard.  source podcast ici

 

À la fin du XIXe siècle, dans l’Amérique puritaine et industrielle, en 1906, débutent les grands monopoles aux États-Unis. Rockefeller a vu dans l’exploitation du pétrole un moyen de s’enrichir, il a créé en 1870 la Standard Oil. C'est aussi l'époque de Ford et d’un nouveau modèle d’organisation que l’on a appelé le fordisme qui permettra une hausse de la production et de la productivité, une baisse du coût de production (par une économie de main-d'œuvre et de surface), une dé-qualification du travail ouvrier, un meilleur contrôle par la direction du travail ouvrier de plus en plus répétitif et monotone, et une standardisation de la production dans le but de favoriser une consommation de masse pour vendre toujours plus.  

 

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John Harvey et Will Keith Kellogg, deux frères au nom désormais emblématique, s’engagent dans une croisade alimentaire.  Dans la petite ville de Battle Creek, dans le Michigan, au sein d’un sanatorium adventiste où John Harvey Kellogg règne en maître. Il est médecin, nutritionniste et inventeur prolifique, convaincu que la plupart des maux de l’humanité viennent de l’estomac… et du péché. Le sucre, selon lui, excite les sens, alimente la luxure et favorise la masturbation – ce fléau qu’il combat avec une obsession médicale et morale. Il banni sel, épices, sucre, privilégie le végétal. Il prône aussi les lavements réguliers, les bains froids, le silence pendant les repas et la chasteté.

Son frère cadet, Will Keith, est plus pragmatique et beaucoup plus ambitieux. Ensemble, ils expérimentent des recettes censées nourrir l’âme autant que le corps. Un jour, par accident, ils oublient du blé cuit dans la cuisine du sanatorium. En le repassant au rouleau, le grain se transforme en flocons légers et croustillants. Les cornflakes sont nés.

 

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Mais ce que John voit comme un aliment thérapeutique, Will entrevoit une révolution industrielle. Il veut sucrer les cornflakes afin de les rendre plus attractifs au grand public. John hurle à la trahison : le sucre pervertirait leur mission. Mais le cadet n’en démord pas, il s’émancipe pour fonder la Kellogg Company en 1906 et sucre ses cornflakes. Il rompt totalement avec l’austérité avec des slogans joyeux, un emballage colorées afin de conquérir les foyers américains. Son invention n’a plus rien d’hygiéniste et devient un produit masse dans lequel l’Amérique va croquer à pleines dents.

John, lui, reste fidèle à ses principes, cloitré dans son sanatorium dans un lent déclin qui le mène à la ruine, tandis que son frère bâtit un empire. Dans la guerre entre deux visions du monde : l’ascétisme puritain contre le capitalisme sucré, c'est le sucre qui a gagné.  Plus d'un siècle plus tard, il est partout causant des troubles alimentaires et sanitaires que longtemps les industriels ont voulu garder secret. Comment ce délicieux poison s'est invité dans tout de ce que nous mangeons, même ou ne l'attend pas, l'industrie sucrière a transformé nos habitudes alimentaires, telle une épidémie mondiale qui sème sur son passage non seulement l’obésité mais de multiples maladies et le coût sanitaires est considérable.

Jean-Marie Hosatte signe pour la revue We demain, une grande enquête sur le sucre.

Le point de départ de son enquête est Tahiti qu'il avait visité à plusieurs reprises sur une période de 30 ans. "J'avais été fasciné par les Tahitiens, leur forme physique absolument incroyable", raconte-t-il. De son retour sur ce territoire, il découvre "une population devenue obèse". La situation illustre parfaitement le paradoxe dénoncé par le journaliste : "C'est un paradis sur terre. On pourrait se nourrir facilement sainement et les gens se tuent au sucre."

 

Avec 160 litres de soda par personne et par an le Mexique devenu le plus gros consommateur de soda au monde au détriment de sa santé, illustre également la tragédie mondiale avec désormais les deux tiers de sa population en surpoids. L'homme le plus gros du monde est mexicain, le bébé le plus gros du monde également, 28 kilos à 11 mois. Mère patrie du coca cola, le pays est devenu accro au sucre et bat des records d'addition, d’obésité, hypertension et diabète. L’emprise de la firme au Mexique est colossale. Coca-Cola extrait plus de 1,14 million de litres d'eau du bassin du volcan Huitepec. Cette consommation massive d'eau a contribué à une grave crise de l'eau, bien que le Chiapas soit l'une des régions les plus riches en eau du Mexique. Paradoxalement, de nombreuses communautés rurales de la région n’ont pas accès à l’eau courante. Le changement climatique et la demande croissante en eau des multinationales aggravent la situation et la population doit faire face à des semaines sans eau à certaines périodes de l’année. Cette prédation sur les ressources nationales a notamment permis au Coca-Cola de se vendre à des prix parfois inférieurs à l’eau en bouteille, favorisant ainsi la consommation du soda par la population….

 

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Face à ce fléau sans précédent, le Mexique a pris des mesures radicales en 2014 pour entraver la consommation de sucre. des moyens coercitifs qui touchent directement le portefeuille du consommateur par une taxe, intégrée dans une politique de santé plus large. Cette taxe est appliquée directement par l’État sur certains produits de consommation.

D'une part un impôt de 8 % est appliqué aux produits jugés non essentiels mais riches en calories, tels que les chips, bonbons, confitures, crèmes sucrées et chocolats. D’autre part, une taxe spécifique est imposée sur les boissons sucrées, sodas, jus de fruits. 

L'OMS recommande un taux de 20 %, ce qui est le double de ce qui est actuellement appliqué. Les producteurs ont tendance à répercuter ce coût sur le prix final, ce qui signifie qu’une bouteille de soda coûte souvent plus cher qu’une bouteille d’eau.

En 2023, les recettes générées par cette taxe étaient d'environ 50 milliards de pesos pour les boissons sucrées et 30 milliards pour les produits trop riches en calories, soit un total de près de 3,5 milliards d’euros par an. Ces fonds étaient destinés à financer des initiatives de santé publique, comme l’installation de fontaines à eau dans les écoles, mais ils sont souvent intégrés dans le budget général de l’État. Les défenseurs de cette taxation soulignent néanmoins les économies réalisées sur le coût des soins de santé.

Cependant, l’efficacité de cette mesure est limitée. Bien qu’une baisse des ventes de sodas ait été observée lors des deux premières années suivant l’instauration de la taxe, le Mexique reste le premier consommateur mondial de boissons sucrées, avec une consommation de 170 litres par personne par an. L’obésité continue d’augmenter, touchant 70 % des adultes et 16 millions d’enfants et d’adolescents âgés de 5 à 19 ans.

En plus de la taxation, le gouvernement a introduit d’autres mesures, telles que des étiquettes d’avertissement, une interdiction de la publicité ciblant les enfants, l’interdiction des points de vente de malbouffe dans et autour des établissements scolaires.

 

En 2024  la ministre de la Santé, Geneviève Darrieussecq, a plaidé pour la mise en place d’une taxation sur les sucres transformés, dans l’espoir de réaliser près de 5 milliards d’euros d’économies dans le secteur de la santé. Cette proposition suscite des débats au sein du gouvernement français, mais reste à l’étude.

 

Une manipulation industrielle orchestrée depuis le XXe siècle

L'enquête révèle comment, avec une logique économique implacable, l'industrie agroalimentaire a progressivement habitué nos palais à des doses de sucre toujours plus grande, notre goût s'est adapté progressivement. Là où un ouvrier du début du XXe siècle consommait l'équivalent d'un morceau de sucre par jour, nous en consommons aujourd'hui 40, souvent à notre insu.

 

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Au début du XXe siècle, chaque Français consommait 1 kg de sucre par an, 35 kg aujourd’hui.

 

L'argument de l'industrie : "Plus on met de sucre, moins on met d'ingrédients chers". "le sucre c’est de la calorie pas chère" indispensable selon l'industrie agroalimentaire pour nourrir les populations. Une industrie qui met en garde, réduire le sucre impliquerait la hausse des prix de l'alimentation.

 

Le sucre le gras et le sel sont les ingrédients qui rapportent le plus. c'est-à-dire que plus vous mettez de sucre plus vous mettez de gras et plus vous mettez de sel et moins c'est cher à produire et plus vos marges augmentent. 

 

Ne vous leurrez pas, pour rendre un produit attractif, si vous diminuez l'un des 3 vous augmentez un des deux autres. Les produits allégés en sucre sont plus riches en gras et inversement.   

 

Le journaliste prend l'exemple des glaces à la framboise : "Si vous mettez beaucoup, beaucoup de sucre, et un peu de framboise, le sucre fera toujours passer le fait qu'il n'y a pas beaucoup de fruits." Ce procédé constitue pour lui "le fondement de toute l'industrie agroalimentaire". L'industrie sucrière a même réussi l’exploit de détourner l'attention sur le sucre en diabolisant les graisses à partir des années 1950-60. L'industrie sucrière décrète alors que le problème, c'est le gras, explique le journaliste, afin d’exonérer le sucre de toute responsabilité dans les problèmes de santé. (Notre organisme et en particulier notre cerveau ont besoin du gras, le bon gras bien sûr et une quantité raisonnable de sucre, c’est la dose qui fait le poison, le trop reste l’ennemi du bien).

Les Américains consomment des quantités absolument phénoménales de viande et les producteurs de viande sous toutes ses formes font des fortunes absolument gigantesques.

 

L'impossible sevrage face à une addiction organisée

 

« L échelle d’addiction alimentaire »  mise au point par Ashley Gearhardt,  permet d’évaluer la dépendance à la nourriture. Ainsi une personne est considérée comme accro si  elle cumule un certain nombre de comportements typiquement addictifs tel que ne pouvoir se passer de dessert,  avoir du mal à s’arrêter quand ils mangent des bonbons, devoir consommer systématiques plus d’une dose et d’avoir des difficultés à s’en passer.

 

 

Le journaliste, se dit ancien "toxico du sucre", il témoigne de sa propre expérience de sevrage : résultat -13 kilos. Sevrage difficile puisque la tentation est permanente."

 

Face à cette épidémie, les solutions peinent à émerger. Les nouveaux médicaments anti-obésité comme l'Ozempic suscitent l'espoir, mais inquiètent le journaliste, c’est une fausse solution. Du même acabit que prescrire des statines pour faire croire que cela empêchera les maladies cardiovasculaires. La seule façon saine de préserver sa santé est de manger équilibré.

 

Longtemps la cigarette a été présentée comme un aliment plaisir et santé dans les années 50 / 60 où on disait fumer, un personnage en blouse blanche prétendait que c'est excellent pour la santé parce que le plaisir était lié à la santé. On vend du plaisir, au même moment on achète des grosses bagnoles pour le plaisir, on fume on mange beaucoup de sucre pour se faire plaisir. Puis on invente du tout prêt ou des aliments faciles à préparer qui fournissent énormément de calories de mauvaise qualité mais qui lui permettent de nourrir sa famille et de se libérer du temps pour aller bosser ou pour se faire plaisir, devant la TV par exemple…

 

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L'épidémie d'obésité débute dans les années 70. C’est un médecin anglais qui prédit le premier qu’on   va à la catastrophe et voit sa réputation détruite par l’industrie de la betterave sucrière qui était aussi destiné à fabriquer de l'alcool, un lobby déjà très puissant encore aujourd’hui, on le voit avec les néonicotinoïdes.

Comme pour le tabac, les firmes ne font qua gagner du temps, sur le dos de la santé des gens. A l'après guerre, face à l'épidémie d'alcoolisme, le lobby de la betterave sucrière, renonce l'alcool et déclare le sucre aliment sain par excellence, il devient la récompense a donné aux enfants sous forme de bonbons. 

 

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Encore aujourd'hui TOUT ce qui est estampillée "enfant" est TROP sucré !!!  Ce qui constitue un conditionnement. 

 

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   Sucre et hyperactivité :  hyperactivite-alimentation-enfants-cause


Désormais toutes es études indépendantes sont à peu près convergentes sur le l'aspect arme de destruction massive de l'abus de sucre sur la santé humaine.  Son lien avec l'obésité est démontré et donc l'abus de sucre fait grimper les dépenses de santé de façon abyssales... C'est une des multiples façons de gaspiller l'argent public pour le bien de la première industrie du monde : l'industrie agroalimentaire. On sait aussi que le sucre est plus addictif que tout autre substance cocaïne et autres stupéfiants. 
Les études qui ont été menées à Bordeaux ou des rats qui sont rendus toxicos à la cocaïne et finissent pas s'en détourner au profit du sucre quand ils ont le choix a démontré une addiction supérieur à celle de la cocaïne.  

 

 

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Les différents degrés de raffinage du sucres

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La canne à sucre, principalement cultivée dans les îles des Antilles, fit la fortune, aux XVIIe et XVIIIe siècles, des planteurs français.

Ce fut pour pallier la pénurie de sucre puisque les Anglais contrôlaient les mers et interceptaient ainsi les cargaisons de sucre, que Napoléon Bonaparte encouragea à trouver une alternative. En janvier 1812, Benjamin Delessert fils de banquier, présenta à l’empereur le premier pain de sucre fabriqué à partir du sucre de betterave.

Depuis, les grands industriels sucriers se sont multipliés. La compagnie Beghin a été fondée en 1821 et la société Say quelques années plus tard, les Sucres Saint-Louis ensuite. De nos jours, le groupe Béghin-Say est le plus important au monde et la France est actuellement le premier pays producteur de betteraves à sucre au monde, devant la Russie.

 

 savez-vous-comment-est-obtenu-le-sucre-blanc ?

                                            et :  raffinage du sucre

Le raffinage pour obtenir du sucre blanc nécessite à la fois une dépense folle d'énergie et tout un arsenal de moyens chimiques :

  • traitements physiques :
    • lavage (dans un sirop saturé pour dissoudre la couche superficielle des cristaux) ;
    • centrifugation (pour retirer la mélasse résiduelle en surface) ;
    • broyage ;
    • filtrage.
  • traitements chimiques :
    • addition de lait de chaux (pour neutraliser les acides organiques) : impuretés retirées par flottaison et filtration ;
    • clarification avec de l'anhydride carbonique et de l'anhydride sulfureux ;
    • décoloration par passage dans des citernes remplies de "noir animal" (particules calcinées d'os de bœuf) puis dans des colonnes de résines ;
    • finalisation à l'aide d'autres réactifs chimiques, comme l'alcool isopropylique.

 

Quelles conséquences sur la santé ?

 

L’excès de sucre oblige le corps à puiser dans ses propres réserves en minéraux et vitamines entrainant des carences. Car celui-ci, pour être métabolisé, consomme des vitamines (notamment B1) et des minéraux (calcium, magnésium).

De plus, le sucre à un index glycémique élevé : la digestion de celui-ci provoque un pic glycémique, auquel  succède une hypoglycémie. Lorsque le corps n’est plus capable de réguler sa glycémie (ou taux de glucose sanguin) c’est là qu’apparait le diabète !

 

 

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Le sucre complet, non raffiné est meilleur d'un point de vue nutritionnel. En effet, non soumis au raffinage, son apport en vitamines, minéraux et fibre est préservé. Les fibres ralentissent sont assimilation et sont utile au transite. Autre atout, son pouvoir sucrant est supérieur (2 fois plus environ) à celui du sucre raffiné, ce qui permet de réduire sa consommation.

 

Le sucre blanc raffiné est un véritable poison. le sucre de betterave est obtenu en râpant les betteraves dont on extrait le jus. Ce jus est mélangé à de la chaux, puis à l'anhydride carbonique. Il est épuré avec de l'anhydride sulfureux et filtré sur du noir animal composé de débris d'os calcinés d'animaux. Une très longue ébullition permet la concentration. Décoloration (traitement au sulfoxylate de sodium) Une fois le sucre " brut " le raffinage est facilité par divers produits chimiques. Déshydratation par chauffage (emploi de l'alcool, isoprophylique l'acétate de sodium), azurage par le bleu anthraquinonique.

C'est un produit chimiquement pur à 100%.

 

Le sucre issu de la betterave sucrière (à chair blanche) est naturellement blanc. Il représente la grande majorité du sucre blanc commercialisé en France.

Le sucre de canne, aussi appelé cassonade, est lui naturellement roux, en raison des pigments colorés contenus dans la canne à sucre.

Que ce soit du sucre de canne ou de betterave, le sucre raffiné est essentiellement du saccharose pur, composé de molécules de glucose et de fructose.

 

Sucre mi-blanc : Il contient plus de 99,5% de saccharose

Sucre glace : Cristaux de sucre blanc moulus très finement auquel on y ajoute de l’amidon afin d’éviter son agglomération

Sucre roux : Il s’agit soit de sucre brut cuit (sucre de canne roux véritable), soit du sucre raffiné recoloré (avec de la mélasse, ou des colorants)

Cassonade : Il s’agit de sucre cristallisé roux obtenu directement à l’issue de la première cuisson du jus de canne. Il n’a donc subit que la première opération de raffinage. Elle contient moins de saccharose (95%) que le sucre blanc. Les 5% restants sont faits de sels minéraux et de matières organiques restantes.

Sucre de canne blanc : Provient de la cassonade raffinée

Sucre blond : Partiellement raffiné, sucre auquel on a retiré une partie de la mélasse, puis que l’on a cristallisé et déshydraté.

Quelles alternatives?

Sucre de canne complet : Il est obtenu à partir du jus de canne déshydraté, cristallisé, malaxé et centrifugé. Il contient 92% de saccharose et est riche en sels-minéraux et vitamines.

Sucre de canne intégral : Ici, le jus de canne est simplement déshydraté, sans autre traitement. On l’appelle aussi : rapadura, sucanat, muscovado.

Mélasse : Il s’agit de la partie non cristallisable du jus de canne, elle est riche en minéraux. Attention à ses arômes forts qui ne se marient pas forcement avec tous vos petits plats !

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Le moins raffiné n'est pas le sucre complet mais le cure intégral. 

 

 

LES DANGERS ET LA TOXICITE DU SUCRE

 

Il faut bien distinguer les sucres naturels assimilables des sucres artificiels qui ne le sont pas. Nos enzymes cellulaires sont adaptés au galactose (sucre du lait), au fructose (dans les fruits) et au miel.
Le saccharose est un disaccharide (glucose + fructose), un sucre artificiel d’origine industrielle qui apporte une énergie factice, car elle ne se consume pas mais se caramélise au niveau des muqueuses intestinales. Il ne peut pas intégrer les cycles du métabolisme cellulaire. Cette union artificielle d’un hexose et d’un cycle pentose constitue un corps étranger qui ne fait qu’encombrer l’organisme.

Il modifie les fonctions digestives en les ralentissant et, par la création de spasmes formant un film sur les diastases (comme le pétrole sur les eaux d’un lac), il bloque leur action. C’est un obstacle à la physiologie normale. Il en résulte de multiples déficiences enzymatiques et des carences immunitaires.
Le saccharose résulte d’une production chimique qui utilise la chaux vive, pour l’extraction, et des colles. C’est un faux ami que nous conseillent vivement les publicités alors qu’il faut absolument l’éviter, la portée de ses effets néfastes étant incalculable pour l’espèce humaine.

Il est décalcifiant ainsi que tous les produits raffinés.

 

 Effets sur l’estomac et le pancréas

Le saccharose oblige l’estomac à une sécrétion en hyperchlorhydrie (HC1) accrue qui provoque des aigreurs. L’hyperchlorhydrie est nécessaire pour dissocier le cycle pentose et l’hexose, mais la molécule se reforme aussitôt après le pylore et le pancréas doit tam­ponner l’excès d’HCl. Il s’y épuise et, secondairement, s’atrophie.
Un métabolisme défectueux engendre des carences. Le système génétique se dévie et axe son développement sur la recherche de cette carence en négligeant tout le reste. Le système immunitaire sera déficient, les défenses affaiblies face à l’invasion bactérienne extérieure.
Le monde bactérien interne va être disposé à épouser tout étranger apportant une carte génétique supérieure à l’existant. On observera donc progressivement des méfaits secondaires sans en déceler l’origine. Les enfants ou les adultes vont évoluer peu à peu vers une déficience générale.
En ce qui concerne le saccharose, cette intoxication sournoise et fort mal connue se déroule sur une période de cinq à vingt-cinq ans.

 

Effets sur l’odorat, les glandes, le foie

Le saccharose ne comble pas les besoins énergétiques et induit des effets secondaires catastrophiques. Il atténue l’odorat, modifie et endort les glandes salivaires, est à l’origine des caries dentaires. Le système endocrinien, lui aussi, accuse une bonne partie de cette agression, notamment le foie qui s’encrasse de plus en plus. Cela engendre des méfaits au niveau de la sécrétion biliaire. En plaçant une allumette enflammée sous un morceau de sucre, on observe une caramélisation. C’est exactement le type de composé qui se crée au niveau des cellules du foie, lequel absorbe ce corps étranger, sans pouvoir l’éliminer, jusqu’à s’asphyxier.

Un des moteurs du vieillissement est la thésaurismose ou la caramélisation. Les protéines de l’organisme réagissent avec les sucres, notamment le saccharose, entraînant la perte des fonctions essentielles des enzymes.

Maladies de surcharge, obésité, diabète

Depuis longtemps, les nutritionnistes et les endocrinologues le soupçonnent d’être à l’origine d’un grand nombre de maladies de surcharge, diabète, obésité. Il faut y ajouter les insuffisances immunitaires, entraînant des infections ORL récidivantes mais également des problèmes de plus en plus fréquents de stérilité. La diminution générale de la résistance de notre population aux agressions infectieuses en découle pour une bonne part. J’avancerais le chiffre de 30 % et vraisemblablement autant pour les pesticides…
Il faut remplacer le sucre industriel par les sucres naturels. La consommation de deux fruits par jour est excellente. Le miel est un sucre très assimilable, en outre, il renferme des oligo-éléments nécessaires et les substances bactéricides car il ne fermente jamais. Son usage est sans danger, mais il est hyper-calorique.

Plus de détail sur ce lien :  LES DANGERS ET LA TOXICITE DU SUCRE

 

Un peu de chimie !

 

Glucose

Sucre directement assimilable par l’organisme, carburant essentiel mais qui est à l’origine du pic glycémique post prandial.

 

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Sucre monosaccharide, tiré synthétiquement de l’amidon

 

Fructose 

 

Sucre des fruits, mais aussi du maïs, des céréales ou de l’agave ; absorbé en petite quantité, il a un index glycémique bas ne provoquant ainsi pas d’hyperglycémie et ce qui diminue l’accoutumance du corps au sucre. Mais attention, l’absorption de fructose pur en trop grande quantité ou trop fréquemment augmenterait les syndromes métaboliques (l’obésité, le mauvais cholestérol, l’hypertension, certains cancers) et serait aussi, selon certaines études, à l’origine d’une résistance à l’insuline et donc du diabète de type II.

 

Lorsque vous mangez des fruits, le fructose est absorbé lentement avant de passer par votre foie qui va le transformer en énergie immédiatement disponible. En revanche, si vous consommez du fructose concentré, il arrive trop rapidement au niveau du foie qui ne peut pas tout transformer en énergie. L’excédent est alors transformé en graisses qui vont circuler dans votre sang avant d’être stockées.

Manger des fruits est bon pour vous, et manger du fructose est très mauvais.

Idem pour le sirop d’agave, très riche en fructose concentré, il n'est pas bon du tout pour les diabétiques. Tout récemment des chercheurs de Harvard ont démontré que manger des fruits entiers diminue le risque de diabète de type 2 alors que boire des jus de fruits, riches en fructose concentré et dépourvus de fibres, augmente ce risque.

En plus, le fructose inhibe votre niveau de leptine, l’hormone de la satiété qui indique à votre corps que vous n’avez plus faim. En d’autres termes, le fructose vous donne envie de manger plus. Et non seulement il vous fait gagner du poids, mais le fructose charge votre corps de graisse à l’endroit le plus dangereux pour votre santé : entre vos organes vitaux et vos viscères (graisse viscérale), dans la zone du tronc/ du ventre.

C’est ce qui a été très clairement établi par une étude de mai 2009 dans le Journal of Clinical Investigation.

 

Lactose

Sucre du lait (parfois d ’origine végétal).

L'intolérance au lactose est causée par un déficit en lactase, l'enzyme qui décompose le lactose, entraînant des symptômes digestifs inconfortables tels que des douleurs abdominales, des ballonnements et de la diarrhée.

Lorsque le lactose n'est pas correctement digéré, il peut perturber le microbiome intestinal et provoquer des carences nutritionnelles.

Pour les personnes intolérantes, la consommation de lactose peut avoir un impact significatif sur leur santé intestinale.

En résumé, le lactose peut être problématique pour ceux qui sont intolérants, mais il n'est pas intrinsèquement dangereux pour la plupart des gens, sauf que c'est du sucre, possède les inconvénients du sucre. 

Saccharose

Saccharose = glucose + fructose ; lors de la digestion, il se scinde en ces 2 molécules.

En bref, que l’on parle de glucose ou de fructose ou de saccharose,  s’il est consommé modérément il n’est pas nuisible, seule leur consommation excessive va être à l’origine de désordres métaboliques.

 

 

Sirops de céréales

 

 Élaborés à partir de graines germées (blé, orge, riz, maïs), ils sont riches en vitamines, minéraux et en maltose. 

 

Le sirop d'agave  

 

Le sirop d'agave est le fruit d'une opération marketing. Prétendument plus sain que le sucre, il est vendu cher... Pourtant ce n'est pas un produit traditionnel, utilisé de longue date au Mexique, il n'est pas bon pour la santé. Son index glycémique (effet sur le taux de sucre dans le sang) peut être aussi élevé que celui du glucose pur. Une cuillère à café de sirop d’agave contient 16 calories, soit autant que du sucre. Et il n’est ni recommandé pour les diabétiques, ni pour les personnes qui cherchent à perdre du poids ou retrouver un équilibre alimentaire.

 

 

Le système immunitaire et le sucre 

Des études ont montré et démontré que la consommation de sucre pouvait avoir un impact négatif sur notre système immunitaire. En effet, nous allons voir que ce petit morceau blanc serait peut-être responsable du moindre résistance devant les maladies. Cette étude est une expérience réalisée à l’université de Loma-Linda en Californie USA.

En temps normal, 1 globule blanc peut détruire 14 bactéries

5 minutes après l’ingestion de 6 cuillères à café de sucre blanc, 1 globule blanc peut détruire 10 bactéries.

5 minutes après l’ingestion de 12 cuillères à café de sucre blanc, 1 globule blanc peut détruire 5 bactéries.     

5 minutes après l’ingestion de 18 cuillères à café de sucre blanc, 1 globule blanc peut détruire 2 bactéries.

 5 minutes après l’ingestion de 24 cuillères à café de sucre blanc, 1 globule blanc peut détruire seulement 1/2 bactérie.  

Maintenant, vous vous rendez surement compte du mal que vous faites à votre corps lorsque vous mangez du sucre. 

                                                                                                

 

Les édulcorants 

 

Les édulcorants entretiennent le goût du sucré et sont dangereux, les sucres naturels, sucres de coco, sirop d'agave, sirop d'érable sont à mettre dans le même sac que le sucre blanc.

Le plus sain est de manger des fruits.

 

- Aspartame : Les effets connus de l'ingestion d'aspartame sont : "manie, rage, violence, cécité, douleurs articulaires, fatigue, prise de poids, angine de poitrine, coma, insomnie, torpeur, dépression, acouphènes, faiblesse, spasmes, irritabilité, nausées, surdité, pertes de mémoire, éruptions cutanées, vertiges, maux de tête, AVC, anxiété, palpitations, évanouissement, crampes, diarrhée, panique, inflammation buccale. Les maladies déclenchées comprennent le diabète, la sclérose en plaques, le lupus, l'épilepsie, le Parkinson, les tumeurs, les fausses couches, la stérilité, la fibromyalgie, la mort du nourrisson, l'Alzheimer..."
Source:FDA (source :  aspartame

 

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Un poison mortel!  Lupus, cancer du cerveau, SEP, diabète, Parkinson....

Un vrai scandale sanitaire!

 

Quand la température de l’aspartame dépasse les 86°F, l’alcool méthylique ou esprit-des-bois contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde puis en acide formique qui, à son tour, cause l’acidose métabolique (l’acide formique est le poison administré par les piqures de fourmis rouges).
L’intoxication au méthanol reproduit les symptômes de la sclérose en plaques, de là, des erreurs de diagnostic parmi les diagnostics de sclérose en plaques.

La sclérose en plaques n’est pas mortelle, l’intoxication au méthanol l’est. Pour le cas du Lupus systémique, ce que nous observons c’est qu’il s’est presque autant répandu que la sclérose en plaques, particulièrement chez les consommateurs de produits lights. De plus dans le cas de l’intoxication au méthanol, les victimes en boivent généralement 3 à 4 canettes de 12 oz. par jour, et certains encore plus.

Dans les cas de Lupus systémique, qui est déclenché par L’ASPARTAME, la victime ne sait généralement pas que c’est l’aspartame le coupable. La victime continue sa consommation, aggravant le Lupus à tel point que parfois leur vie en est menacée. Quand nous éliminons l’aspartame de la consommation des patients, les personnes souffrant de Lupus deviennent généralement asymptomatiques.
Malheureusement, nous ne pouvons enrayer la maladie. D’un certain côté, ceux parmi lesquels on a diagnostiqué une sclérose en plaques (alors qu’en réalité ce qu’ils ont n’est qu’une intoxication au méthanol), la plupart des symptômes disparaissent. Nous avons vu des cas où leur vision s’est rétablie ainsi que l’ouie. Et il en est de même pour les cas d’acouphène.

Lors d’une conférence je déclarais : « Si vous consommez de L’Aspartame (Nutra Sweet, Equal, etc.) et que vous souffrez de symptômes fibromyalgiques, de spasmes, de lancements d’engourdissements dans les jambes, de crampes, vertiges, nausées, maux de tête, acouphène, douleurs articulaires, dépressions, crises d’angoisse, discours incohérent, vision trouble, ou pertes de mémoire, vous avez probablement la maladie de l’Aspartame. »

Les gens sursautaient au cours de cette conférence, disant : “C’est exactement ce que j’ai. Est-ce réversible ?”. Cette maladie sévit. Certains des intervenants à ma conférence souffraient eux-mêmes de ces symptômes.
Dans une conférence à laquelle l’Ambassadeur de l’Ouganda assistait, il nous a dit que dans l’industrie du sucre chez eux, on ajoute de l’aspartame! Il a poursuivi disant que le fils de l’un des leaders de l’industrie du sucre ne peut plus marcher et que c’est en partie dû à l’usage de ce produit. Nous avons là un problème grave.
Un inconnu vint même trouver le Dr. Espisto (l’un de mes intervenants) et moi-même et dit “Pouvez-vous me dire pourquoi tant de personnes semblent avoir contracté la sclérose en plaques?”.

Lors d’une visite dans un hôpital, une infirmière affirma que chez six de ses amis, qui sont tous de grands buveurs de boissons light, on avait diagnostiqué la sclérose en plaques.
Cela dépasse la coïncidence.

Le problème est là, il y a eu des séances au Congrès, au début, quand l’aspartame fut introduit dans 100 produits différents comme substance sucrante. Depuis cette séance initiale, il y en a eu deux autres mais elles n’ont servi à rien.

Maintenant il existe plus de 5000 produits contenant cette substance chimique (…)

A l’époque de cette première audience, plusieurs personnes perdaient la vue. Le méthanol contenu dans l’aspartame se transforme en formaldéhyde dans la rétine de l’oeil. Le formaldéhyde est classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l’arsenic, poisons mortels!

Malheureusement il met plus de temps à vraiment tuer, mais il tue des gens et cause toutes sortes de troubles neurologiques. L’aspartame modifie la chimie du cerveau elle cause de sévères crises. Ce produit modifie le taux de dopamine dans le cerveau.

 

Imaginez l’effet de cette “drogue” chez des patients atteints de la maladie de Parkinson. Cette drogue cause aussi des dommages au niveau des naissances. Il n’y a absolument aucune raison de consommer ce produit. Ce n’est pas un produit diététique!

Le rapport du congrès dit : “Ce produit crée chez le consommateur un besoin maladif d’hydrates de carbone et les fait grossir”. Le Dr. Roberts a spécifié que lorsqu’il faisait arrêter l’aspartame à ses patients, ils perdaient en moyenne 19 livres par personne. Le formaldéhyde s’accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.
L’aspartame est particulièrement mortel pour les diabétiques. Tout médecin sait l’effet qu’aurait de l’alcool-des-bois sur un diabétique.
Nous trouvons des médecins qui croient que certains de leurs patients font de la rétinopathie, quand en fait, c’est l’aspartame qui est en cause.
L’aspartame rend le niveau de sucre dans le sang incontrôlable, mettant ainsi beaucoup de patients dans le coma. Malheureusement beaucoup d’entre eux sont morts. Des personnes nous disaient, lors de la Conférence de l’Ordre des Médecins Américain, qu’ils avaient des proches qui sont passés de produits à la saccharine à des produits contenant de l’aspartame et que certains étaient tombés dans le coma. Leurs médecins ne pouvaient maîtriser le niveau de sucre dans leur sang. Ainsi les patients souffraient de sévères pertes de mémoire, voire tombaient dans le coma et mouraient.
La perte de mémoire est due au fait que l’acide aspartique et la phénylalanine sont des neurotoxiques, ils constituent des protéines (…), qui, alors passent la barrière sanguine du cerveau et détériorent les neurones.

Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, a déclaré : “Ces ingrédients stimulent le cerveau à mourir, causant des dommages de degrés variés au cerveau.” Le Dr R. Blaylock a écrit un livre intitulé “Excito-Toxines : Le goût qui tue” (Health Press 1-800-643.2665)
Le Dr H. J. Roberts, diabétique, spécialiste et expert mondial de l’empoisonnement par l’aspartame, a lui aussi écrit un livre, qui est intitulé : “Défense contre la maladie d’Alzheimer” (1-800-814-9800) Dr Roberts y raconte comment l’intoxication à l’aspartame Aggrave la maladie d’Alzheimer, et pour cause. Comme me l’a confié l’infirmière de l’hospice, des femmes âgées de 30 ans sont admises avec la maladie d’Alzheimer.
Le Dr. Blaylock et le Dr. Roberts vont rédiger un article sur la situation présentant quelques cas et le feront paraître sur Internet.

D’après la Conférence du Conseil des Médecins Américain : “Nous parlons d’un fléau de maladies neurologiques causé par ce poison mortel”.

 

Le Dr. Roberts a réalisé ce qui était en train de se passer lorsque l’aspartame a commencé à être commercialisée. Il a déclaré que ses patients diabétiques présentaient des pertes de mémoire, confusions, et de graves troubles visuels.
A la conférence du Conseil des Médecins Américain, les médecins admettent qu’ils ne savaient pas. Ils se sont interrogés au sujet de l’origine de certaines crises chez leurs patients (la phénylalanine de l’aspartame fait chuter le seuil des crises et la sérotonine, ce qui cause des maniaco-dépressions, des crises de panique, de rage, de violence).

Le New York Times a sorti, un article révélant comment l’ADA retire de l’argent de l’industrie alimentaire pour accréditer. Ils ne peuvent donc critiquer quelques additifs que ce soit ou parler de leur lien avec des grands groupes. Quelle en est la gravité ?

Nous avons dit à une mère dont l’enfant consommait du Nutra Sweet d’arrêter ce produit. L’enfant avait des crises graves chaque jour. La mère appela son médecin qui appela l’ ADA, qui dit au docteur de ne pas faire arrêter le Nutra Sweet à l’enfant. Nous essayons toujours de convaincre la mère que c’est l’aspartame qui cause les crises. Chaque fois qu’on fait arrêter l’aspartame à quelqu’un, ses crises s’arrêtent. Si le bébé meurt, vous en connaissez le fautif et savez contre quoi nous nous battons.

Il y a 92 symptômes prouvés de l’aspartame passant par le coma et allant jusqu’à la mort.

La majeure partie d’entre eux sont d’ordre neurologique, car l’aspartame détruit le système nerveux. La Maladie de l’Aspartame est une des causes qui se cachent derrière les troubles de la santé apparus lors de l’opération “Tempête du Désert” ! La langue brûlante et autres troubles observés dans plus de 60 cas peuvent être directement liés à la consommation d’aspartame. Plusieurs milliers de palettes de boissons “light” ont été acheminées aux troupes de l’opération “Tempête de Désert” (souvenez-vous que la chaleur peut libérer le méthanol de l’aspartame à 86°F). Les canettes de boisson light ont séjourné sous les 120°F du soleil arabique pendant des semaines entières sur des palettes. Les hommes et femmes en service en buvaient toute la journée. Tous leurs symptômes sont identiques à ceux de l’empoisonnement par l’aspartame.

Selon le Dr L E, pédiatre et professeur en génétique à l’université d’Emory, lors de son témoignage devant le Congrès:
“La phénylalanine se concentre dans le placenta, faisant naître des attardés mentaux. Dans les test de labo originaux, les animaux développaient des tumeurs du cerveau, la phénylalanine se déclinant en DXP, un agent entrainant des tumeurs du cerveau”.

Après la Conférence de l’ACP, nous espérons obtenir le soutien de plusieurs lobbies puissants mondiaux.
S’il vous plait, aidez-nous, vous aussi. Il y a un nombre immense de personnes tout autour de nous qui doivent être averties, s’il vous plaît, informez-les.

Laurie Moser
Centre Ressource du Cancer pour les Femmes

Références :
Women’s Cancer Resource Center Laurie Moser, Assistant Director 1815
East 41st Street, Suite C
Minneapolis, MN
55407-3425 1-800-908-8544 or 612-729-049
The author, Betty Martini, can be reached at 770-242-2599.

Plus d’informations sur l’aspartame :

L’aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu’elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l’industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révélé qu’ils entraînaient des cancers.

Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L’aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
La liste des effets secondaires liés à la consommation d’aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d’effets secondaires reliés à l’aspartame (l’organisme ne veut d’ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d’humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d’avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l’ingestion de boissons à l’aspartame. Des communiqués à cet effet ont d’ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d’épilepsie et même quelques décès! Et il ne s’agit là que d’une fraction des effets actuellement associés à la consommation d’aspartame, puisque la majorité des gens n’ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s’ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
Une étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète démontre qu’elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l’ingestion de boissons sucrées à l’aspartame, comparativement à l’ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l’obésité).

Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l’aspartame augmenterait l’appétit. Quelques autres études, toutefois, n’ont pu démontrer ces effets.
On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu’ils ont déjà “économisé”…

Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l’aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d’une perte de poids durable.
Si vous souffrez d’un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l’aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d’en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.

En 1992, l’aspartame apparaissait dans plus de 4 200 produits alimentaires aux États-Unis : certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts préparés, céréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses « diète », les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré « sans sucre » et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
L’aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées – ce qui se produit lorsqu’on fait chauffer l’aspartame, qu’on l’ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu’il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce.

La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.

Source ==> http://www.danger-sante.org/aspartame-danger/
— avec Corinne Gouget et Additifs alimentaires, métaux lourds.

 

Voir aussi :  les-edulcorants-favorisent-le-diabete

 

                     l'aspartame-endommage-notre-cerveau

 

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Le sucralose

 Le sucralose est un édulcorant artificiel intense, découvert en 1976. C'est un substitut du sucre obtenu à partir du saccharose (sucre de table courant) par chloration intense. Comme l'aspartame, il s'agit d'unadditif utilisé pour son pouvoir sucrant et ses propriétés non calorigènes : son apport calorique est nul. Cet édulcorant artificiel est fabriqué à partir de sucre, avec un procédé chimique en plusieurs étapes. 3 groupes hydrogène-oxygène sont remplacés par des atomes de chlore. Sa base est la structure du saccharose dont 3 groupes hydroxydes ont été remplacés par 3 atomes de chlore. 

 

Si, selon certaines études, le sucralose ne provoque pas d’effets secondaires, pour d’autres le sucralose peut avoir les effets secondaires suivants :

Modifie les taux de glucose et d’insuline

Augmente le risque de troubles digestifs

Altère la santé intestinale et endommage le tube digestif

Tue les probiotiques

Peut jouer un rôle dans certains cancers

Génère des composés toxiques lorsqu’il est chauffé

Peut entraîner une prise de poids. 

 

 

Une famille à arrêté le sucre, voici les résultat au bout d'un an :  revue-de-presse

 

Source partielle :  Le sucre (cliquez) 

 

Par contre, un sucre peu connu :  Le xylitol est un sucre tiré de l’écorce de bouleau, arbre porteur de nombreux bienfaits de santé.

 

 

La prévalence de l'obésité explose dans tous les pays du monde selon l'OMS, ainsi que le risque accru de diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.

Mais réduire le sucre des boîtes de conserve, de la nourriture ultra transformée et autres, cela équivaudrait à diminuer le tonnage vendu de 40 à 60%, une perte de 32 milliards d'euros c'est colossale pour les industriels du sucre, un manque à gagner énorme. 

 

Au cours des 50 dernières années les habitudes alimentaires ont davantage évolué qu’au cours des siècles précédents (Hercberg, 1996).

Certains aliments ont été introduits, d’autres ont pratiquement disparu.  

La consommation du sucre brute a fortement baissé depuis 1970 (passant de 23

kg/an/habitant à 14 kg/an/habitant en 1995), alors que les quantités incorporées aux aliments

industriels ou aux boissons ont augmenté. De 1950 à 1995, la consommation de boissons sucrées,

jus de fruits et nectars a été multipliée par 6 pour atteindre 50 l/an/personne. La consommation de

produits riches en sucres (gâteaux, crèmes glacées, sorbets,…) a augmenté encore plus, passant de

1 kg/an/habitant en 1960 à 14 kg/an/habitant en 1995.

(http://www.sante.gouv.fr/IMG/pdf/conso.pdf)

 

Le sucre est un carburant indispensable de notre cerveau, il ne serait pas raisonnable de s’en passer  complètement. Mais il est possible de changer certaines habitudes et modérer sa consommation.

 

•             En premier lieu, choisir avec discernement

•             lire les étiquettes pour repérer les sucres ajoutés et  cachés

•             préférez de l’eau aux boissons sucrées qui de toutes façon sont néfastes.

 

 
 
Je vous recommande vivement le livre: "Le sucre ou la vie" de Bruno Kleiner

 

 

 

 

 



27/05/2025
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