Méthodes naturelles - Préservation OS / ARTICULATIONS
Il existe un lien entre stress acidification et affaiblissement/inflammation des os et des articulations. L'osteocalcine et le collagène, sont des éléments importantes à la préservation de la bonne santé des os et des articulations. Ils aident à la fixation du calcium notamment (indépendamment des vitamines B et K et autres magnésium, minéraux...).
Voici un excellent moyen "naturel" de maintenir leur condition (désolée pour les vegans) la consommation du bouillon gras (variante des pot au feu, poule au pot, bouillon de couscous...) qui permet par le fait de laisser mijoter longuement, (avec qq légumes, condiments, herbes et un soupçon de vinaigre) des os et cartilages. Les anciens demandaient les os à moelle d' agneau ou autre, pour enrichir leur mijoté, d'éléments reconstituants et nourrissant. En effet, la moelle et les nutriments que contiennent les os fondent et dissolvent littéralement dans le bouillon, qui en deviendra particulièrement assimilable pour le corps. (C'est un moyen efficace d'apporter du collagène régénérant pour les tissus, la peau également, plus efficace que les crèmes vendues dans le commerce. N'hésitez pas à utiliser ce genre de bouillon pour la popotte de vos animaux de compagnie, c'est ce qui se faisait lorsque j'étais enfant.
La vitamine D ?
Les Vikings utilisaient déjà l’huile de foie de morue pour rester forts tout l’hiver et pour se préserver des rhumatismes.
Elle fut utilisée durant la Révolution Industrielle pour l'entretien des machines !
Quand les médecins découvrirent que seuls les enfants orphelins et vagabonds de la ville étaient épargnés par le rachitisme et voulurent comprendre pourquoi, il découvrir que ces enfants abandonnés buvaient l'huile des égouts pour tuer la faim.
Et la raison est que l’huile de foie de morue offre une supplémentation 3-en-1 : riche en oméga-3, vitamine A, et vitamine D.
Or précisément, le rachitisme s’explique par un déficit de vitamine D (manque d’exposition au soleil).
Vitamine D : 80 % de la population carencée
C’est en donnant de l’huile de foie de morue à tous les enfants (et aux femmes enceintes) que le rachitisme a pu être éliminé en Europe. On trouve peu d’aliments renfermant des quantités significatives de vitamine D.
La vitamine D renforce aussi les os, les muscles et le cœur. Son action au niveau des intestins et des reins permet au corps d’absorber plus facilement le calcium et le phosphore, et donc de faciliter leur fixation sur les os (plutôt que dans les artères). C’est ainsi qu’elle favorise la croissance de l’enfant.
Les bienfaits de la vitamine D (calciférol) sont assez étendus
Le Maintien des os et des dents, favorise la croissance des enfants, le fonctionnement du cœur, du système nerveux, des reins, de la peau, elle permet d'éviter la dépression saisonnière de l'hiver. Elle stimule les défenses immunitaires (lutte contre rhume, gastro, etc.). On soignait à l’époque les tuberculeux avec des bains de soleil qui ont pour effet de synthétiser la vitamine D. Elle permet assimilation du fer, zinc, magnésium, calcium et autres minéraux, aide à perdre ses kilos superflus. Elle calme les sur-réactions du système immunitaire : allergies, maladies auto-immunes, ralentit l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Elle diminue les risque d’AVC, et de rupture d’anévrisme.
L’huile de foie de morue est très riche en vitamine A. Mais il faut veiller à ne surtout pas être sur dosé en vitamine A sans quoi elle est toxique. Une étude a démontré que dans les pays riches, une complémentation en vitamine A accroît le risque d’infections. La malnutrition engendre un manque chronique de vitamine A dans les populations pauvres. Une étude a montré qu’une complémentation en vitamine A (avec de l’huile de foie de morue par exemple), permet de réduire le risque d’infections dans les pays pauvres, comme la tuberculose.
Une autre étude a observé une corrélation entre l’ostéoporose et l’excès de vitamine A.
Le problème de l'huile de foie de morue est qu'elle contenait 10 fois plus de vitamine A que de vitamine D. Mais à l'heure actuelle, les chercheurs observent régulièrement des ratios 1/1000 !!!
Sur l’étiquette des huiles de foie de morue, on voit qu’une dose journalière apporte :
- 400 à 1 200 UI de vitamine D. C’est insuffisant. Je recommande 4 000 UI par jour)…
- 4 000 à 30 000 UI de vitamine A. En incluant les apport de l’alimentation, on dépasse vite la limite des 10 000 UI.
Les oméga-3
L’huile de foie de morue est une des sources d’acides gras oméga-3 de types EPA et DHA (les formes les plus faciles à assimiler).
Les oméga-3 remplissent plusieurs fonctions vitales, lutter contre le vieillissement prématuré, développer le cerveau des fœtus et nourrissons, prévenir l’inflammation du corps, préserver la vue, préserver la concentration optimale en triglycérides dans le sang, maintenir une pression sanguine optimale et la santé du coeur, la solidité des ongles et des dents.
Les oméga-3 et les oméga-6 sont classés acides gras essentiels, car l’organisme humain en a absolument besoin mais ne peut les produire lui-même. Il doit donc les retrouver tels quels dans son alimentation. L’AFSSA (devenue ANSES) a effectué un examen assez exhaustif des études scientifiques portant sur le rapport oméga-6/oméga-3, et conclu que ce rapport est déséquilibré dans l’alimentation moderne. De nombreuses études scientifiques recommandent un rapport compris entre 1/1 et 4/1. Or, selon l’AFSSA, l’alimentation moderne apporte un ratio de 10/1 environ. Un apport supplémentaire d’oméga-3 est donc nécessaire pour le rétablissement d’un rapport optimal.
En effet, les conséquences d’un déficit d’apport en oméga-3 sont largement documentées. Les signes peuvent être la fatigue, une mauvaise mémoire, une peau sèche, des problèmes cardiologiques, des sautes d’humeur et troubles émotionnels, une mauvaise circulation, problèmes oculaire, articulaires…
Poissons, huiles de colza ou de noix, mâche, lapins, et même escargots ou surimi… Il existe de nombreuses sources d'Oméga 3, que l'on peut regrouper en deux catégories : les aliments d'origine animale et ceux d'origine végétale. Et ils n'ont pas les même propriétés et la même biodisponibilité
Il faut faire le plein d'Oméga 3 ! Les apports nutritionnels conseillés pour ces acides gras essentiels sont de 2 g par jour. Or nous arrivons péniblement à en consommer 0,8 g en moyenne... Certes, on ne peut pas à proprement parler de carence. Mais il s'agit en tout cas d'un déficit certain qu'il faut combler pour se protéger notamment des maladies cardiovasculaires. Mais comment faire le plein ?
Notre organisme ne sait pas fabriquer ces acides gras (c'est pour cela qu'ils sont "essentiels" dans notre alimentation), il peut en revanche les synthétiser à partir d'un Oméga 3 "précurseur" : l'acide alpha linolénique ou ALA pour les intimes. On peut donc distinguer les aliments qui vont nous apporter cet Oméga 3 permettant de fabriquer les autres (moyennant l'action d'une enzyme) et les aliments qui vont directement nous fournir les "produits finis" (baptisés EPA et DHA). Schématiquement, les plantes ne savent fabriquer que le précurseur, alors que les animaux vont synthétiser les produits complexes.
Il faut donc favoriser la consommation de végétaux qui en contiennent beaucoup, sous forme d'huiles végétales notamment, pour qu'ils soient concentrés : huiles de colza, de noix . A noter : l'huile de lin est également une source intéressante. Ne pas utiliser l'huile de lin vendu en rayon bricolage, certaines personnes ayant été intoxiquées en consommant de l'huile de lin destinées à la peinture… On peut consommer des graines de lin et des graines de pépin de courge ! La graine de lin, doit être moulue ou cuite légèrement pour éclater, sans quoi vous noterez qu'elle repart intacte dans les selles et donc, non ingérée....
Les autres végétaux intéressant sont le pourpier, la mâche, la salade, les épinards … Certes, leurs apports restent assez faibles en quantité, mais leur consommation régulière participe aux apports. Si les sources d'acide alpha linolénique (ALA) sont principalement végétales, pour faire le plein, il faut consommer… la viande des herbivores ! A condition toutefois qu'il ne s'agisse pas de ruminants, leur estomac détruisant partiellement ces Oméga 3. Ainsi, les animaux les plus intéressants sont le lapin, l'oie, le cheval, le gibier sauvage ou les escargots !
Incontournable poisson…
Notre organisme synthétisant faiblement les acides gras EPA et DHA à partir des Oméga 3 des végétaux, il faut impérativement que l'alimentation apporte également ces deux acides gras "terminaux". Cela est particulièrement vrai pour les personnes âgées ou les diabétiques. Et là, pas de mystère, les poissons gras sont incontournables, notamment le saumon, les maquereaux ou les harengs. Ces poissons contiennent des Oméga 3 parce qu'ils ont consommé directement ou indirectement du phytoplancton, riche en ALA, qu'ils ont transformé en EPA et DHA. Mais il existe des différences de teneur en Oméga 3 selon la période de l'année et la provenance (élevage ou sauvage). Schématiquement, on trouve un peu plus d'Oméga 3 dans les poissons d'élevage toute l'année, et dans les poissons sauvages l'été.
A noter : certaines algues produisent également des dérivés des Oméga 3, mais leur consommation reste réservée aux amateurs des légumes de la mer…
Eric Müller préconise de remplacer l'huile de foie de morue par des gélules d'omega 3 et de la vitamine D3 + K2 sous forme huileuse de Cell'innov. ou ZymaD en pharmacies (prendre 16 gouttes par jour et n’oubliez pas de compléter avec de la vitamine K2).
Le cartilage et les os se régénèrent en fonction des aliments consommés.
L- lysine
C'est un des acides aminés très importants pour une régénération rapide du cartilage, dont le rôle est d’absorber le calcium et de produire du collagène pour reconstruire le tissu endommagé, et aussi d’améliorer l’aspect de la peau et de consolider les tendons.
Une étude menée par l’Université du Maryland (UMMC) a déterminé qu’une déficience en lysine peut retarder la croissance du tissu endommagé et peut aussi freiner la régénération des cellules de la peau, ce qui empêche la reconstruction totale de la zone qui a été endommagée lors d’un accident.
La quantité de lysine journalière qu’il faut consommer pour contribuer à une réparation plus rapide du cartilage est de 12 mg (milligrammes) de lysine par kilo de poids corporel. Les aliments qui contiennent une grande quantité de lysine sont les suivants :
Les légumineuses
La morue
La bière
Les oeufs.
Le fromage
Les fruits secs
La levure de bière
La gélatine
La vitamine C
Indispensable pour augmenter les défenses de l’organisme, mais elle a aussi la fonction d’assurer la production de collagène, en permettant que le sang soit constamment oxygéné et qu’en circulant dans les artères, il fournisse aux blessures les éléments nécessaires à leur reconstruction.
Une grande carence en vitamine C peut immédiatement bloquer le processus de cicatrisation ; de fait, les êtres humains ont besoin de plus de 75 mg journaliers de cette vitamine afin d’assurer une réparation constante des parties endommagées du corps. Les aliments qui en contiennent le plus sont, entre autres, les suivants :
Le kiwi
L’orange
Les fraises
Le citron voir aussi : zeste-citron-soigne-les-articulations
Collagène marin + cuivre + souffre + sliicium organique + vitamine C + lysine
UNE ACTIVITÉ PHYSIQUE JOURNALIÈRE est aussi indispensable pour entretenir la qualité des os, des ARTICULATIONS, des muscles et de la peau, entre autre.
Ostéoporose - La taux de testostérone en cause !
Un autre point essentiel que je dois porter à votre connaissance, après avoir écouté la vidéo ci-jointe
Selon la professeur Jauvais, ce n'est en aucun cas le manque de calcium qui est la cause de la décalcification des os (en particulier chez la femme ) et qui explique l’ostéoporose, mais la baisse du taux de testostérone ! Quand on sait que la taux de testostérone impacte directement la densité osseuse, le cartilage et les muscles on se dit hé oui bien sûr !. Seulement nous sommes tous conditionnés par le discours médical dominant...
VOIR aussi : système sympathique et parasympathique
l-impact-des-dosages-de-testosterone-et-de-cortisol-sur-le-bien-etre
TESTOSTÉRONE
La testostérone est une hormone stéroïde androgène qui est aussi produite par la femme, dans une moindre mesure. Lorsqu'on parle d'hormones stéroïdiennes on parle des hormones sexuelles, c'est grâce à cette hormone que la puberté est enclenchée.
Androgène : masculinisation, voix plus grave, accroissement du système pileux corporel et facial, développement des organes sexuels secondaires mâles, production supérieure de glandes sébacées, développement du pénis, agressivité / action / combativité, assurance, prise de risque, énergie et tonus constant, capacité de concentration, comportement sexuel, libido...Elle est responsable aussi de la maturation des spermatozoïdes. Les hormones stéroïdes sont synthétisées à partir du cholestérol dans différents tissus. la testostérone est aussi l’hormone de la force physique. Appelée hormone stéroïde, elle est utilisée comme dopant par les sportifs pour développer leur masse musculaire.
La dopamine et la testostérone sont les molécules mâles par excellence, même si la femme en produit à un moindre degré, si elle a une position dirigeante, son taux s’élève.
Le descriptif est caricatural, bien entendu, il existe autant de nuance que de cocktail d'hormones, c'est ce qui produit la grande diversité de personnalité, mais il y a toujours des traits communs.
L'exercice physique, l'activité sexuelle et la posture tant physique que psychique sont vos meilleurs alliés pour maintenir votre taux de testostérone (homme et femme).
La sécrétion de testostérone est liée à la masse musculaire, osseuse et tendineuse, qui diminue avec l’âge. Pratiquer une activité physique régulière limite la fonte musculaire et la perte osseuse.
Par l’alimentation. La graisse abdominale agit comme un perturbateur endocrinien, en faisant chuter le taux de testostérone et en la transformant en œstrogènes ! On réagit en adoptant une alimentation équilibrée, riche en protéines (pour préserver les muscles) et en « bons » gras (œufs, poissons gras, oléagineux, huile de colza), indispensables à la fabrication des hormones sexuelles.
Grâce au patch. Pour les hommes en cas de carence avérée et pour les femmes qui ont eu une ablation chirurgicale (ovaires, utérus).
Lorsque l'on est valorisés, flattés, nous prenons des shoots de testostérone. Le pouvoir, la victoire, augmentent le taux de testostérone.
Ce n’est pas seulement valable pour les hommes, pour les femmes aussi.
Quels sont les symptômes d'une déficience en Testostérone ?
Pour la femme, une libido en berne peut être provoquée par un manque de testostérone en cause.
Cette hormone sexuelle mâle est associée à la virilité. Pourtant, les femmes en produisent aussi à petites doses. La testostérone gouverne en effet la libido chez les deux sexes. Chez la femme, elle est sécrétée au moment de l’ovulation, venant ainsi titiller le désir au moment le plus propice pour une fécondation. Avec l’âge (andropause chez l’homme, ménopause chez la femme), sa sécrétion baisse. Et certains troubles de la libido peuvent alors survenir.
Nous avons, hommes et femmes, les mêmes hormones, sauf que les proportions varient. Une femme qui « prend le pouvoir » voit son taux de testostérone s’élever. Pas au point de se voir pousser la barbe néanmoins. Mais cela joue sur l’appétit sexuel par exemple. Ainsi, lorsque les gens font état du nombre d’amants de Rachida Dati, ils oublient que tous les hommes de pouvoir démultiplient les « conquêtes », et le taux de testostérone n’y est pas étranger…
La diminution du taux de Testostérone impacte tous ses organes cibles :
Le Cerveau par :
une diminution de l'agressivité et de la concentration
Tendance à la déprime et à l'insomnie, perte de confiance en soi , remise en doute...
Baisse voire une disparition du désir sexuel et de l'envie, diminution de la fréquence des érections.
Les Muscles:
Diminution de leur volume
Fatigabilité physique croissante lors de l'exercice (risque de sur-entrainement).
Les Os :
Par une réduction de l'hématopoïèse (renouvellement) dans la moelle osseuse et une déminéralisation :
La Peau :
Plus fine, plus fragile, plus sèche, plus ridée
Le Visage :
par un teint pâle, un regard terne, les muscles des joues relâchés, des ridules au coin des lèvres et des yeux, des cernes.
Les Organes sexuels :
Par une diminution ou une disparition de la fertilité, une réduction de la taille, des troubles de l'éjaculation et de l'érection, un manque de sensibilité clitoridienne, une perte du désir sexuel
Le Système immunitaire :
Une diminution des lymphocytes T et des défenses immunitaires.
Il en résulte une sensation de " mal-être ", accentuée par les modifications de l'image corporelle (obésité, rides, calvitie, taches brunes, raideur et douleurs articulaires...) et de certains comportements (fatigue permanente, tendance à la dépression, manque de confiance en soi, sommeil agité, pertes de mémoire, manque de créativité, bouffées de chaleur).
AUGMENTER SON TAUX DE TESTOSTÉRONE
L'activité sexuelle ou la masturbation entretient ou amplifie la production de testostérone ! Par ailleurs l'alpha-mâle maintient instinctivement des niveaux élevés de dopamine pour assurer la libido et la reproduction, et sa paranoïa lui permet d'assurer sa survie face aux dangers de l’adversité, d'ennemis éventuels supposés.
La testostérone exogène de synthèse a été utilisée pour traiter rapidement les malades ayant souffert de famine, de brûlures, de blessures ou ayant subis des opérations chirurgicales graves. Après la guerre, les médecins ont commencé à prescrire les stéroïdes androgènes anabolisants aux survivants des camps de concentration allemands pour qu’ils retrouvent un poids normal.
MAIS Ne vous précipitez pas pour autant sur la testostérone de synthèse ! Ses effets secondaires ne sont pas attractifs et vous dépendriez d'une substance externe alors que vous pouvez la produire vous-même.
En premier lieu REDRESSEZ-VOUS physiquement ! Changer de posture c'est modifier son dosage hormonal et changer d'état d'esprit.
retrouver-une-bonne-dynamique-posturo-respiratoire
Apprenez à vous faire respecter.
Fréquentez des personnes qui vous valorisent.
Accomplissez des actes, des activités, des gestes, adhérez à des actions qui vous rendent FIER de vous-mêmes.
Faites du sport !
Ou bien optez pour une solution qui va induire progressivement une inversion de dosage, voir cet article : Impact de la posture sur le taux de testostérone
Porter la couleur rouge, utiliser une lumière rouge (ce n'est sans doute pas un hasard si cette couleur est excitante et stimule l'énergie et l'agressivité).
Manger des aliments carnés, en particulier de la viande rouge, sans excès bien entendu, le trop est aussi nuisible que le "pas assez".
On note que les félins nourris à la viande rouge n'ont pas le même taux que ceux nourris avec de la volaille.
Niveau plante, le Tribulus Terrestris augmente le taux de testostérone d'environ 30 % et de ce fait, il améliore les performances sexuelles et sportives.
Les aliments qui boostent la testostérone sur ce lien
Le trop est l'énemie du bien.
A savoir, la testostérone très élevée conduit aussi à la « persistance comportementale », qui est une conduite incapable d'adaptation, typiquement masculine si elle est fortement prédominante en testostérone donc non contrebalancée par d’autres hormones. La testostérone est aussi la molécule de la paranoïa, de l'agitation, de l'action, de la domination réclamant la soumission par l'agressivité. Cela peut conduire à une sorte d'addiction au pouvoir.
*le taux de testostérone a un impacte sur l'acné ! Plus le taux est fort plus il y a de chance d'avoir des boutons = peaux + grasse = de boutons !
Etre flatté, valorisé, se sentir victorieux, puissant, augmente le taux de testostérone. La personne se redresse, brandit les bras au ciel lorsqu’elle « gagne » n’est-ce pas ?
On comprend mieux au passage les enjeux des comportement de domination et d'humiliation dans le monde du travail...
Cette hormone est responsable d'un grand nombre de fonctions : c'est l'hormone mâle de référence pour notamment l'hypertrophie et la prise de force. Elle est synonyme de virilité et de puissance sexuelle, c'est l’hormone de la gloire du pouvoir et des héros.
L'alpha-mâle, est aussi dopaminergique ! Dans l'évolution humaine, l'alpha-mâle représente le chef du clan. Il est caractérisé par l'élévation importante du taux de testostérone/dopamine. L'homme dominant possède souvent une testostérone élevée, cause probable d'une dopamine élevée. Le taux de testostérone constituer un contrepoids à l'action « tranquillisante » de la sérotonine, qui, elle, favorise la passivité et l'inaction tandis que la dopamine stimule l'action !
Les hommes valorisés, flattés, prennent des shoots de testostérone. Le pouvoir, la victoire, augmentent le taux de testostérone. A contrario, l'homme humilié par la femme castratrice voit son taux chuter.
Ce n’est pas seulement valable pour les hommes, pour les femmes aussi.
Et bien figurez-vous que l’impact sur le dosage est le même lorsqu’on le mime !
L'influence du cerveau sur le corps n'est plus à démontrer, il en est de même de l'influence du corps sur le cerveau. Qu’elle soit nerveuse, hormonale, psychologique...
Mais nous sous-estimions cette influence. Comme le démontre une expérience de Amy Cuddy publiée en 2010 (résumée dans une conférence TED en 2012)
Lien vers une vidéo (cliquez) :
L'auteur de l'étude démontre que le simple fait de d’adopter une posture dominante pendant deux minutes provoque des changements mesurables dans la concentration de certaines hormones et son impact sur le comportement tel que la prise de risque !
Les éthologues ont pu observer, que ce soit chez les chats, les loups ou les grands singes, la façon dont l'animal affirme sa dominance sur un congénère.
Il adopte une posture qui le fait paraître plus gros, plus grand, ou plus fort. Et les grands primates humains que nous sommes en font tout autant semble t-il.
Ainsi, mettre nos mains sur nos hanches ou lever les bras en signe de victoire sont des postures universelles de dominance. À l’opposé, une position du corps recroquevillée, abattue, est un signe évident de soumission.
VOIR aussi : système sympathique et parasympathique
Testostérone et activité physique
Les principales hormones et neurotransmetteurs qui interviennent dans l’exercice physique:
la testostérone
la dopamine
l'adrénaline et la noradrénaline
l'hormone de croissance
les œstrogènes (impacte sur la souplesse du corps)
la thyroxine
l'épinephrine
l'insuline
l'ACH
le GABA
les endorphines
le glucagon
la sérotonine
Voir aussi : Effets de l'activité physique
Pourquoi de la graisse sur la zone abdominale ? Et comment la perdre ?
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