Prévention cancer colorectal et hépatobiliaire
Le cancer colorectal qui regroupe le cancer du côlon et le cancer du rectum, est en nette progression et se déclare chez des personnes de plus en plus jeunes, avant 50 ans.
45 000 nouveaux cas dans l'Hexagone en 2017
Certains cancers laissent très peu de chance de survie, tels que le cancer du foie ou du pancréas, mais tout dépend aussi du stade d'évolution du cancer, le moment ou il est découvert.
Globalement pour ce cancer, la survie relative à 5 ans est de 57 %. Le pronostic est étroitement lié au stade auquel le cancer est diagnostiqué. Lorsque la tumeur est superficielle (stade 1), la survie à cinq ans est de l'ordre de 90 %, tandis qu'elle est de 5 % en cas de métastase.
Il faut être à l'écoute de son corps pour détecter des changements. Parmi les symptômes les plus manifestes la perte de poids inexpliquée associé à une grande fatigue doivent toujours alerter - Des changements dans les habitudes fécales qui durent depuis quelques semaines (constipation ou diarrhée, par exemple ou bien la sensation que les intestins ne se vident jamais complètement ou d’avoir constamment envie de déféquer). Le sang dans les selles, mais attention que la présence de sang dans les selles peut être causée par des hémorroïdes ou une fissure anale. De plus, certains aliments ou colorant artificiels peuvent colorer les selles, les betteraves, par exemple.
Ce qui est encourageants est que de bonnes habitudes de vie préviennent ce type de cancer et augmentent de façon importante la probabilité d'y survivre.
les études montrent que les personnes qui consomment beaucoup de viandes rouges et de charcuteries ont un risque de cancer colorectal augmenté d’environ 30 % par rapport à celles qui n’en mangent que très peu. Le risque augmente encore si cette alimentation est combinée au surpoids et à la sédentarité, l’effet cumulé de ces habitudes provoque des conditions pro-inflammatoires très favorable au développement de ce cancer ou à la récidive.
Au menu: alimentation saine, contrôle du poids corporel, activité physique.
La viande rouge multiplie par trois le risque de mortalité du cancer colorectal. L'activité physique divise les risques de mortalité par deux. Le surpoids augmente les risques.
Une étude chinoise (publiée dans a revue Asia-Pacific Journal of Clinical Oncology), indique que la consommation d’ail, de poireau et d’oignon pourrait réduire les risques de développer un cancer du côlon. L'étude précise que le risque de développer un cancer du côlon était 79% inférieure chez les adultes qui ont consommé beaucoup d'ail et d'oignon par rapport à ceux qui n'ont pas ajouté d'ail ou d'oignon dans leur nourriture.
Des chercheurs australiens et canadiens ont démontré qu'une séance intensive de cardio suffisait à réduire le nombre de cellules responsables du cancer colorectal, suggérant ainsi que le sport permettrait d'améliorer son pronostic. L'activité physique aide à prévenir certaines pathologies comme les maladies cardiovasculaires et les cancers. Mais elle permettrait également chez les personnes malades de stopper l'évolution des tumeurs, de prévenir les risques de rechute et ainsi d'améliorer leur pronostic. C'est ce suggèrent les résultats d' une étude canadienne et australienne publiée le 27 février 2019 dans la revue The Physiological Society.
Ajoutons à cette alimentation préventive, les épices anti-inflammatoire !
Pour les tomates c'est une erreur, elles sont acidifiantes ! Il est vivement déconseillé d'en consommer en cas de tendinite etc.
Il faudra éviter les aliments trop acides qui entretiennent l'inflammation, tels que produits laitiers, sucre, la viande rouge et farines raffinées. Et consommer des aliments alcalins qui contribuent à réduire l’inflammation.
Utilisez le curcuma dans vos plats
associer au poivre ou au gingembre pour une meilleure assimilation
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Les graines de Chia (« Chia » signifie « force » en maya et provient du mot aztèque qui signifie « huileux », elle est riche en en Oméga 3 (15 à 17%) qui ont des propriétés anti-inflammatoires, elle renforce système immunitaire car cette graine est riche en fibres solubles, ce qui est idéal pour contrôler sa glycémie et le cholestérol sanguin et aussi pour ressentir la sensation de satiété. Elle a des propriétés anti-inflammatoire et aide à réguler la pression artérielle. Au même titre que la Spiruline (algue) cette graine renferme plus d’antioxydants que n’importe quelle autre graine et aide donc à lutter contre le vieillissement.
Les minéraux, le fer et le calcium ainsi que de la vitamine B9 et 1/4 de protéines qu'elle contient sont un d'excellents énergisants pour l’organisme.
On peut le consommer au même titre qu'un féculent ou une céréale, vous en trouverez en magasin bio ou diététique.
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Durant des siècles, le gingembre a été largement utilisé dans les pays asiatiques pour soulager la douleur et notamment celle générée par l’arthrite et le rhumatisme. Cet aliment contient en fait des substances chimiques qui réduisent l’inflammation. Comme ces substances sont naturelles, pas d’effets secondaires sur la santé ont été liées à la consommation du gingembre. Mais ne l'utiliser que par cure de 21 j, et on ne l'utilise pas en été, en médecine chinoise.
Gingembre en gélule en vente sur ce lien
Apport en sélénium diminue le risque de cancer hépatobiliaires
Une équipe de chercheurs européens (EPIC :European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition) s’est intéressés au lien entre les taux sériques de sélénium faibles et le développement de cancers hépatobiliaires. Cette étude de grande envergure (477.000 participants développé un cancer hépato-cellulaire au cours des 10 ans), démontre que le manque de sélénium multiplie de 5 à 10 fois le risque de développer certains cancers dont les cancers hépatobiliaires.
En raison de la teneur naturelle trop faible des sols en sélénium dans les régions européennes, la grande majorité des populations européennes l'apport est trop faible. Ce manque est susceptible accroître le risque de cancers, parmi lesquels ceux du foie et de voies biliaires.
Ainsi, il apparaît que le tiers de la population présentant les taux de sélénium les plus faibles présente un risque de 5 à 10 fois plus élevé de développer un cancer hépato-cellulaire. Aucune association n’est relevée pour les cancers de la vésicule et des voies biliaires. L’étude ne permet toutefois pas de démontrer si se suppléer en sélénium avec des compléments alimentaires a un effet protecteur contre ce type de cancer du foie. L'apport en sélénium doit cependant être très contrôlé en raison de sa toxicité potentielle : En excès, le sélénium peut entraîner la sélénose.
Le sélénium est un oligoélément essentiel à l'organisme, il intervient dans de nombreuses réactions métaboliques. Il participe à la régénération de vitamines elles-mêmes antioxydantes (vitamines C et E). De ce fait, un bon apport en sélénium permet de lutter contre le stress oxydatif et contre le vieillissement cellulaire prématuré. C'est un antioxydant puissant capable de détoxifier l'organisme des métaux lourds et de préserver le coeur. Une carence en sélénium peut être à l'origine de graves cardiomyopathies pouvant entraîner la mort puisqu'il intervient dans la régulation du rythme cardiaque et participe à la prévention des maladies du coeur. C'est pourquoi la carence en sélénium peut entraîner de graves troubles cardiaques, voire la mort
Cet oligoélément soutient le système cardiovasculaire, mais aussi le système immunitaire. Le sélénium joue également un rôle bénéfique sur la qualité des cheveux, des ongles et de la peau. Les levures et compléments à base de sélénium sont d'ailleurs réputés pour favoriser l'éclat de la peau et la robustesse des cheveux.
Le moins risqué est donc de consommer des aliments riches en sélénium, on le trouve en majorité dans les produits de la mer, les abats, la viande et les oléagineux.
La levure de bière, sous forme de poudre ou de gélules, est un concentré de vitamines B, de sélénium et de zinc. Les germes de blé, idem, en poudre, paillettes ou gélules, sont riches en Oméga-3 ; Vitamines : E, K, B1, B9 ; Phosphore, Magnésium, Fer, Zinc, Manganèse, Vitamine B2, Potassium, Cuivre, Sélénium.
Il est sage de préciser que pour préserver son foie, tout ce qui fatigue le foie est à éviter, Sucre, médicaments, alcool (Cliquez)
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Point des des 100 Maladies !
Appelé le « point des cents maladies » ou "point de la longévité", le Zu San Li contrôle le bon fonctionnement des organes de la partie inférieure du corps, du tractus gastro-intestinal, du tractus digestif, des organes sexuels, des reins, des glandes surrénales... En le massant vous stimulez l’activité des glandes surrénales, qui ont une action majeur protectrice de notre santé. Elles produisent l’adrénaline, de l’hydrocortisone et d’autres hormones importantes pour l'organisme qui doivent être bien régulées. Les fonctions des glandes surrénales dans le corps :
– la normalisation de la pression artérielle
– la normalisation de la glycémie, les niveaux d’insuline
– la suppression des processus inflammatoires dans le corps
– la régulation du système immunitaire
Le massage du Zu San Li améliore également :
- la digestion
– le traitement de maladies du tractus gastro-intestinal
– traiter les conséquences d’un accident vasculaire cérébral (AVC)
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- Distensions abdominales
- Sensations de froid dans l’estomac
- Grondements de l’estomac et diarrhée
- Jambes gonflées
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- Infestations de parasites variés…
Ce point à la réputation dans les pays asiatique de guérir de l’impuissance, soulager le hoquet, la constipation, la gastrite, l’incontinence urinaire, relancer le système immunitaire.
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