Plantes hypoglicémiantes
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Ces plantes sont utiles si vous êtes limite et si vous voulez éviter d'en arriver au traitement lourd. Avec un régime adapté et une activité physique. Ne remplacez pas votre traitement par les plantes sans avis médical.
Autres plantes
La Bardane
Elle contient des acides maliques et tartriques qui stimulent l’action du pancréas. La libération d’insuline dans le sang sera alors plus efficace et la glycémie mieux régulée.
On la trouve en gélules.
Les extraits de canne à sucre régulent la sécrétion d’insuline
Le policosanol présent dans l'extrait de canne à sucre (mais pas dans le sucre de canne) régule la sécrétion naturelle d’insuline par le pancréas, l’hormone qui contribue à abaisser la glycémie.
A consommez sous forme de gélules.
Le jus de citron
Il permet de réduire l’index glycémique des aliments. Il dispose également d’une bonne action digestive en tant que draineur hépatique.
Les feuilles d'olivier
Elles ont une action hypoglycémiante et agissent positivement sur l’équilibre lipidique, le cholestérol et l’hypertension et sont donc particulièrement indiquées chez les personnes dont le diabète est associé à l'hypertension.
Source medisite
Source mesbienfaits
L’homéopathie pour réguler le désir de sucre
Plusieurs traitements homéo agissent sur le désir de sucre et régulent la glycémie.
Eugenia jambolana 4 CH (à ne pas confondre avec Eugenia jambosa) en gouttes ou en granules, matin et soir.
Pour maîtriser le désir de sucre : Argentum nitricum ou le Sulfur 7CH à raison d’une dose par semaine dans le cadre d’une consultation personnalisée".
Oligothérapie pour améliorer les fonctions du pancréas
Le Chrome
Cet oligo-élément optimise le fonctionnement du pancréas et agit en amont sur le désir de sucre. Une ampoule de chrome par jour
Les ampoules de Granions de chrome 200 µg participent au contrôle de la glycémie et à l'amélioration du profil lipidique (graisses). Elles sont particulièrement recommandées pour limiter la prise de poids, atténuer la sensation de faim, et limiter les envies de sucre.
Source medisite
Source image Science et Avenir
le-microbiote-allie-de-notre-cerveau
En plus de favoriser le transite et l'assimilation des nutriments, de soutenir notre immunité, une flore intestinale équilibrée nous préserve du diabète type II.
Des études avaient dernièrement démontré que la qualité (liée à la diversité des bactéries présentes dans le microbiote) était supérieure chez les sujets humains vivant à la campagne, comparée à ceux des villes. Et elle encore davantage supérieure en diversité, dans les peuplades dites plus "primitives", les personnes vivant plus "naturellement" et non industrialisés.
Voir bonnes-et-mauvaises-bacteries-pour-la-flore-intestinal
Cette fois, des chercheurs on découvert qu'une molécule protectrice (4-Cresol), produite par notre microbiote intestinal, est peu présente chez les patients diabétiques de type 2.
Ils ont également constaté que si elle est administrée à faible dose chez le rat et la souris, elle nettement amélioré le diabète chez ces cobayes.
Il est bien évident que la prévention est à privilégier impérativement.
Voir
le-microbiote-determine-la-prise-et-la-perte-de-poids
impacte-du-microbiote-sur-le-mental
La molécule 4-Cresol est produite par certaines bactéries et dans certains aliments
Les résultats de l'étude on permis d'identifier six substances liées au développement du diabète, mais l'une d'entre elles sortait du lot : "le 4-Cresol qui présentait un réel intérêt en tant que marqueur de résistance au diabète. On retrouve des quantités plus faibles de 4-Cresol dans le sérum des patients diabétiques que chez des individus non diabétiques", explique François Brial, chercheur Inserm et premier auteur de l'étude.
En plus d'être produit par nos bactéries, le 4-Cresol se trouve également dans certains aliments tels que les aliments fumés, les tomates, les asperges, les produits laitiers, le bois et les eaux de surface et souterraines. Il peut être absorbé par ingestion, inhalation ou contact cutané, mais en trop grande quantité, il peut causer des irritations respiratoires ou affecter le foie. Mais à très faible dose, on constate une amelioration du diabète chez les rongeurs, une réduction de l'obésité et de l'accumulation de graisse dans le foie, ainsi qu'une augmentation de la masse pancréatique, une stimulation de la sécrétion d'insuline et une prolifération des cellules bêta pancréatiques. "Alors que nous manquons aujourd'hui de thérapies pour stimuler la prolifération des cellules bêta du pancréas et améliorer leur fonction, ces résultats sont particulièrement encourageants", souligne Dominique Gauguier, qui a mené ces travaux.
La transplantation de flores intestinales a déjà le vent en poupe dans différentes pathologie, elle est envisagée désormais pour les patients diabétiques lorsque les études auront permis de trouver un moyen de moduler la flore intestinale de façon à optimiser la production de 4-Cresol chez les patients diabétiques.
Ils souhaitent d'abord identifier les bactéries qui en produisent naturellement, et parmi elles celles qui pourraient s'avérer être des traitements potentiels, sûrs et efficaces. "Notre but est de parvenir à des pistes thérapeutiques qui permettent une modulation fine de la flore intestinale, en favorisant la prolifération de "bonnes" bactéries dont on comprend mieux le fonctionnement, et la production de 4-Cresol à des doses thérapeutiques", conclut Dominique Gauguier.
Source Science et avenir
90% des 3 millions de français diabétiques sont des diabétiques de type 2. On dit aussi diabète gras.
Ce qui laisse facilement imaginer que le type d'alimentation n'est pas étranger à ce fléau.
Mais soulignons aussi, que le taux de sucre dans le sang pour décrété un diabète et entreprendre un traitement à été baissé... On peut légitimement se demander si la raison est préventive ou lucrative pour les laboratoires. Bien entendu, si la recherche n'avait pas découvert la fonction de l’insuline, en 1921 grâce à la collaboration aujourd’hui légendaire de Banting, Best et MacLeod, les diabétiques ne pourraient pas survivre. Dans le monde entier, cette découverte a sauvé des milliers de patients d’une mort certaine. Dans les premiers temps, les diabétiques ne pouvaient se permettre le moindre écart, aujourd'hui, ils peuvent manger normalement, grace à l'accès aux premiers agents hypoglycémiants oraux vers 1957, entre 1947 et 1973, le Dr Pirart médecin belge établit pour la première fois le lien entre bon contrôle des glycémies et prévention des complications.
Mais le contrôle des glycémies était à l’époque imprécis. Les années 70 et 80 des innovations telles que les lecteurs de glycémie et les bandelettes mesurant le taux de sucre dans le sang sont des outils mis à disposition devenus indispensables et de plus en plus performants. Désormais, les appareils de mesure sont de plus en plus innovants, et remboursés, et si c'est un réel progrès, il n'en demeure pas moins que ce secteur est une véritable mane financière, d'ou les investissement conséquents dans ce domaine, qui pesait déjà près de 40 milliards de dollars, pour lesquels il était prévu qu'ils «double en 2020». De 285 millions de diabétiques, on est passé à 425 en 2017 et leur nombre ne cesse de croître. Il est bien évidant qu'en baissant le taux maximal, on impacte énormément ces chiffres. Tout est calcul en terme de croissance du marché.
Obtenez un échantillon du rapport https://www.orbisreports.com/global-diabetes-mellitus-treatment-market/?tab=reqform
Le rapport d’étude de marché mondial traitement du diabète sucré révèle que l’industrie va croître avec un TCAC important au cours de la période de prévision entre 2020 et 2025.
Donc, désormais, le taux a jeun doit se situer entre 0,70 et 1 g/L. Une heure et demi après le repas, la glycémie ne doit pas dépasser 1,4 g/L.
Avant de vous alarmer si votre taux est limite, songez que vous pouvez enrayer le processus en changeant d'alimentation.
Voir
le-microbiote-determine-la-prise-et-la-perte-de-poids
Une grande étude nommée ACCORD (Action to Control Cardiovascular risk in Diabetes) devait mesurer les liens entre les traitements conventionnels du diabète (notamment les hypoglycémiants comme la metformine) et les maladies cardiovasculaires…
Mais l’étude a dû être interrompue brutalement, en février 2008.
Les chercheurs se sont aperçus que les patients diabétiques qui prenaient le plus de médicaments pour diminuer leur glycémie avaient le plus haut risque d’infarctus, d’AVC et de mort par maladie cardiaque parmi tous les groupes étudiés.
La surmortalité observée dans le groupe « traitement intensif » du diabète dépassait largement les prévisions. Une claque monumentale pour la médecine moderne, et une très mauvaise nouvelle pour les malades…
Mais cela n’a changé ni les discours de l’OMS, ni la mentalité des spécialistes « conventionnels » du diabète…
Tandis que dans l’ombre, une petite fraction de la recherche indépendante cherchait une solution au problème.
Pendant ce temps, des alternatives naturelles sont totalement ignorées !
Normand Mousseau, qui a guéri du diabète en suivant un protocole dit « Protocole de Newcastle »[10].
Si son parcours vous intéresse, Normand Mousseau le détaille dans son livre Comment j’ai guéri du diabète sans médicament.
Mais son histoire est loin d’être un cas isolé…
- Le jeûne intermittent « 16/8 » amélioré, pour s’adapter aux patients diabétiques
- Un régime low carb comprenant entre 15 et 130 gr de glucides par jour maximum
En optimisant l’alternance de jeûne et de régime low carb (pas de restriction calorique, juste de la restriction glucidique), le Dr Fung est parvenu à des résultats spectaculaires, et surtout… systématiques[11].
C’est-à-dire que dans le cadre de son protocole, les patients qui inversaient le diabète n’étaient visiblement plus l’exception, mais la norme.
Aujourd’hui, le Dr Fung se dit capable d’inverser le diabète chez la majorité de ses patients en 3 mois environ… « même ceux qui avaient des injections de doses élevées d’insuline », précise-t-il.
À ma connaissance, la clinique canadienne du Dr Fung est la seule à proposer cette stratégie qui vise l’inversion du diabète.
A savoir la cannelle de Ceylan, améliore la glycémie à jeun. Un peu de cannelle avant chaque repas est une bonne stratégie, mais attention, il ne faut pas abuser de la cannelle. Idem pour la curcumine, elle améliore la glycémie à jeun, c’est aussi l’une des rares substances qui diminuerait la résistance à l’insuline. D'autres plantes sont précieux contre le diabète, de nombreux articles sur le sujet :
voir diabete-27-plantes-plus-efficaces-medicaments
conseils-de-l-herboriste/reguler-sa-glycemie
traitements-naturels-contre-le-diabete
diabete-de-type-2-les-plantes-alliees
5-plantes-pour-lutter-contre-le-diabete
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