Vaincre la peur et l'anxiété
En stimulant le cerveau droit, non seulement vous serez apte à soulager la peur et l'anxiété, mais vous favoriserez du même coup, paix, harmonie, génie, créativité, intuition, qui prennent leur source dans l’hémisphère droit.
Notre société pousse à développer davantage l'hémisphère gauche au détriment de l'hémisphère droit, en privilégiant l'analyse, le raisonnement, la logique et le langage.
Dans la video suivante, on découvre que certaines victimes d'accidents ayant engendrés des dommages cérébraux dans l'hémisphère gauche développent des talents extraordinaires.
Les pratiquants des états de conscience modifiée déconnectent le cerveau gauche...
Notre cerveau est divisé en 2 hémisphères spécialisés, chaque côté à une manière différente de traiter l'information et de percevoir le monde.
L'hémisphère droit perçoit le monde comme un tout ou les éléments ne sont pas séparés les uns des autres tout est connecté. Il perçoit sous forme d'image et de symbole. Il traite ce qui concerne le moment présent, l'ici et maintenant.
L'hémisphère gauche lui, décompose le moment présent en détails à travers le langage qui lui permet de mettre des mots sur ce qu'il perçoit. C'est sur le son des mots qu'il attribue un sens. Parmi ces mots il y a "Je suis"qui implique le sentiment d'être un "moi", me distinguer comme un individu. Et alors on se vit séparé !
C'est bien l'individualisme qui nous coupe de la perception d'envisager le monde comme un tout, une globalité.
Et par ailleurs, le cerveau gauche est la source de notre stress, nos appréhensions, notre anxiété, provient aussi du cerveau gauche !
Notre société privilégie la logique le langage, le matérialisme et l'individualisme, et comme le soulignait Einstein, au détriment de la créativité, mais pas seulement.
Excellent documentaire étayant les faits cités en préambule. En perdant l'usage de son hémisphère gauche, le Dr Taylor, neuroanatomiste, nous explique comment elle a découvert les potentialité de son hémisphère droit.
La capacité d'aller à l'essentiel en balayant tout ce qui est générateur d'anxiété et de stress, pour retrouver l'aptitude à savourer avec conscience la beauté de la vie et du moment présent. Elle s'est sentie dans un espace d'amour et d'ouverture, de compassion, de gratitude et de célébration de la vie. Pour elle, cette part de nous-mêmes est programmé pour l'amour et l'ouverture à l'autre et notre culture actuelle nous incite à le court-circuiter !
Ce qui m'amène à me demander, si, lorsque l'on évoque ce dilemme entre le coeur et la raison, il n'est pas finalement question des deux façons opposées de voir le monde, entre la partie logique rationnelle et la partie plus sensible du cerveau droit.
Surtout regardez ce documentaire !
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En savoir plus sur le cerveau droit
Pourquoi votre cerveau gauche peut-il vous empêcher d’être heureux(se) ?
Stimuler le cerveau droit avec des exercices respiratoires
Nous sommes préparés, dès la scolarité, pour le monde du travail. On développe notre logique, notre
cerveau cartésien, rationnel et c'est bien celui qui mène à la sacro-sainte filière "S", voie royale des
études supérieures...
Les prédominants "cerveau gauche", sont en apparence mieux adaptés à notre société, fort de leur bagage académique et technique. Le cerveau droit lui, se forge à l’école de la vie, par essai / erreur et ses représentants sont nettement avantagés en matière d’aptitudes inter-relationnelles, ils s’adaptent mieux au coup par coup et sont en mesure de gérer un environnement chaotique. Ne faut-il pas être créatif pour s'adapter ? Etre créatif, c'est trouver des solutions... Se reconnecter avec "tout", c 'est ré-apprendre à sentir, c'est se reconnecter non seulement avec la nature mais aussi avec les autres, et éprouver la compassion.
L'entretien de la peur, le stress intense, un drame, une catastrophe, ont ceci en commun qu'ils activent certaines zones cérébrales au détriment d'autres zones.
La peur a plusieurs effets possibles sur un individu, être pétrifié, fuir le danger (se cacher ou faire l'autruche, ou encore le déni, sont des formes de fuite) ou l'affronter, le combattre, quand c'est possible.
Sauf en cas de déni, la réaction en "mode survie" induit toujours une réorganisation cérébrale qui stimule les sens et suractive l’attention et l’éveil : la vigilance, et cette zone est apparentée à l'hémisphère gauche tandis que la détente, au droit.
La peur induit un état de stress physiologique naturelle. Son rôle est de permettre à l’organisme de réagir rapidement face à une situation dangereuse. La tension artérielle et la fréquence cardiaque augmentent et la respiration s’amplifie pour mieux alimenter le cerveau et les muscles en oxygène et en nutriments.
Le cerveau lui aussi voit son état modifié, en passant en « mode survie ».
Le réseau neuronal alors activé est déclenché par l’hypothalamus, au centre du cerveau.
Il envoie un signal à la médullosurrénale, la partie centrale de la glande surrénale (au-dessus des reins).
Cette glande libère l'hormone du stress : l’adrénaline. C'est elle qui enclenche une série de processus en chaîne.
Accélération du rythme cardiaque, de la respiration et une activation des plaquettes sanguines pour minimiser la perte de sang en cas de blessure.
Puis l’hypothalamus et l’hypophyse (une glande cérébrale située en dessous de ce dernier) libèrent successivement d’autres hormones, ce qui aboutit à la sécrétion de cortisol par la corticosurrénale (la région périphérique de la surrénale).
Cette hormone stimule à nouveau l’action de l’adrénaline et celle de la noradrénaline (un analogue de l'adrénaline dans le cerveau et un neuromodulateur), mais prépare aussi l’organisme à un retour à la normale en reconstituant par exemple les stocks d’énergie. ( voir modes sympathique et parasympathique)
Ce déversement d’hormones dans l’organisme n’est pas sans conséquence pour le cerveau. En effet, certaines fonctions cognitives sont modifiées en cas de stress. Si le stress modéré favorise la mémorisation, trop de stress, au contraire, diminue la capacité de mémoriser.
Les capacités de raisonnement sont altérées, on le constate dans les réactions de panique ou les individus on parfois l'air totalement décérébrés ! On constate effectivement que les molécules produites en cas de stress modéré, renforcent les connexions neuronales, et en cas ou de peur intense affaiblissent les connexions entre les neurones ! D'où la nécessité absolu de retrouver son calme quand les substances secrétées, changent les propriétés de certains réseaux neuronaux, en les passant en « mode survie ».
Emo Hermans, de l’Université de Nimègue aux Pays-Bas, et ses collègues ont mené une étude pour observer comment le cerveau réagit à un stress aigu sur des échelles de temps très courtes.
80 sujets volontaires ont ainsi visionné des extraits de films, soit très violents, soit non violents.
Simultanément l'imagerie à résonance magnétique fonctionnelle permettait d'observer l'activité cérébrale. Avec ce procédé, le signal enregistré est d’autant plus intense, que le niveau d’oxygénation des neurones est important et que le champ magnétique appliqué est élevé. Il reflète l’activité des neurones.
Les scientifiques ont en outre quantifié les hormones de stress dans la salive des participants et mesuré leur rythme cardiaque.
Ainsi, quand les participants sont exposés à des scènes violentes, l’activité de certaines régions cérébrales, impliquées dans l’attention, l’éveil et le système neuro-endocrinien, et des connexions entre ces régions augmentent, et ce, d’autant plus que le stress est intense. Ces régions forment un vaste réseau qui comprend des aires corticales (par exemple temporales et pariétales) et sous-corticales (l’amygdale, le thalamus, l’hypothalamus et le mésencéphale).
Les chercheurs ont ensuite administré aux participants soit un inhibiteur des récepteurs de la noradrénaline, soit un bloquant de la synthèse de cortisol, soit un placebo.
Seuls les deux derniers groupes présentaient alors une réponse cérébrale au stress et une réorganisation des réseaux neuronaux. La noradrénaline active certaines aires de ce réseau tout en en inhibant d’autres, preuve qu’elle provoque cette réorganisation. Elle serait en grande partie responsable du « mode cérébral de survie ». Source pourlascience.fr
L'état de choc, dans une situation inattendue engendre l'hébétude en prenant notre cerveau de court.
Notre mental à besoin de repères stables, quand tout est chamboulé brutalement, que nous perdons tous nos repères, il a du mal à s'adapter.
On se sent alors déconnecté de l’environnement qui nous entoure et une sensation étrange nous envahi, on se sent "sonné", comme si nous étions dans un mauvais rêve, une sorte d'irréalité ambiante, on n'arrive pas à y croire, comme si la réalité rejoignait la fiction d'une filme d'angoisse. Notre esprit refuse cette réalité et opère par une forme de distanciation de celle-ci.
Cela peut se produire lorsque l'on est confronté à un événement violent. Voir quelqu'un mourir ou assister à un accident ou événement grave. C'est le cas aujourd'hui. Comme ce fut le cas lorsque nous assistions au spectacle incroyable des tours qui s’effondraient à New York, souvenez-vous !
Dans cet état de déboussolement, le sens critique et la pensée sont plus ou moins altérés. Et d'une façon particulière chez les uns ou les autres selon votre aptitude à faire face ou dénier, et selon votre façon d'expliquer rationnellement ce qu'il advient, de dépasser l'angoisse. Si c'est la peur qui prend le dessus, elle peut provoquer de multiples réactions, mais schématiquement, on peut être boosté par la peur : agir de façon adaptée ou bien se cacher du danger (dénier est une façon de la fuir) ou encore être paralysé par la peur, sombrer dans l'apathie.
La peur est dangereuse car elle rend irrationnel. Pas seulement la peur de la maladie ou de la mort, la peur de notre avenir devient palpable.
Cette épreuve "MONDIALE" pourrait être une occasion de tout changer dans le bon sens. Après la spirale infernal de cette accélération d'activités humaines, nous voici, à l'échelle mondiale, contraints au repos, à l'inactivité pour une majorité d'entre nous.
Malgré les craintes des répercutions économiques, nous en mesurons les effets positifs sur la pollution en particulier. Une prise de conscience plus générale aussi sans doute.
Notre société privilégie le Yang ; rapidité, performance, compétition, apparence extérieure, notoriété etc… Et si le Yin est négligé l'équilibre est rompu. S’il y a une carence en Yin c’est souvent que le Yang prédomine, donc ; ça chauffe un peu trop. Tous les travers d’un climat aride vont se faire sentir. C'est le vide de Yin.
Est-ce la nature qui nous contraint au YIN ?
Nous avions conscience de rouler à vive allure droit dans le mûr et voici que la nature nous STOPPE dans notre élan ! N'est-ce pas pour nous l'occasion de bifurquer ? De changer de route !
Envisager le côté positif de cette situation inédite, peut nous aider à retrouver espoir en l'avenir. Et nous re-situer sur une échelle plus large que celle de notre petite personne, de notre famille, ou de notre pays, nous permet de garder le cap de l’intérêt de l'humanité toute entière avec un sentiment d'appartenance plus large. Nous nous inscrivons dans l'histoire globale de l'humanité en nous situant à travers elle.
La peur induit à penser pour soi et son clan en premier lieu. Penser à l’Intérêt général, ce n'est pas seulement l’intérêt personnel, celui de sa famille ou celui de sa nation, et c'est encore plus difficile dans la situation actuelle.
Mais il nous faut rester vigilants, car la peur et le mode survie peut stimuler des pulsions peu humanistes, comme on le constate souvent, se battre pour la nourriture en est un exemple. D'autant plus si ce n'est pas nécessaire et donc totalement irrationnel.
L'auteur Noémie Klein traite de l'état de choc en terme de support idéal aux changements radicaux. Boris Cyrulnik précise qu’après chaque catastrophe advient un changement de culture.
Alors vers quoi allons nous ? Pire qu'hier ou mieux qu'hier ?
Nous devons changer, mais pas dans n'importe quel sens.
Dans un ouvrage, Noémie Klein met en garde sur la propension des gouvernements à saisir l'opportunité des CHOCS (une catastrophes naturelle provoque un choc) pour diviser les populations, et faire sauter une démocratie, en suppriment certains droits constitutionnels. La suppression de certains droits peu sembler justifier, mais il nous appartient néanmoins de rester vigilent.
Un traumatisme collectif, une guerre, un coup d’état, une catastrophe naturelle, une attaque terroriste plongent chaque individu dans un état de choc. Après le choc, nous redevenons des enfants, désormais plus enclins à suivre les leaders qui prétendent nous protéger. L'état se positionnant alors comme le "père protecteur" qui va prendre tout le monde en charge pourvu que l'individu soit obéissant et l'individu apeuré, est enclin à obéir bien sûr. Ce genre de situation est parfaite pour les personnes ayant soif de plus de pouvoir. les perspectives d'avenir sont sombres, ne nous leurrons pas, l'après crise sera douloureuse et plus on possède, plus on a à perdre.
Interview française de Naomie Klein (cliquez sur le lien) cette interview est intéressante pour nous conduire à maintenir notre vigilance. A noter que les résultats des verts dans les urnes du premier tour sont plutôt un bon signal.
"Une personne exposé à un choc important est beaucoup plus ouvert à la suggestion et propice à un changement radical".
Noémie Klein souligne que s’il est une personne à avoir compris très tôt ce phénomène, c’est Milton Friedman, Prix Nobel d’économie en 1976 qui préconisait même de provoquer délibérément des chocs (conseiller d'hommes d'état comme Regan ou Tatcher). Friedman soutenant l’ultralibéralisme, conseilla aux hommes politiques d’imposer immédiatement après une crise les réformes économiques douloureuses avant que les gens n’aient eu le temps de se ressaisir. Ce n'est pas en terme de complotisme que l'auteur analyse ce phénomène, mais simplement en terme de saisir une opportunité UNIQUE pour imposer un pouvoir ou tirer un bénéfice matériel pour les groupes avides de pouvoir. Ce n'est pas une conspiration, mais une stratégie qui consiste à tirer profit d'une situation, tirer son épingle du jeu.
Il est important de sortir du mode de survie, prendre du recule pour avoir les idées claires et ne pas se laisser gouverner par la peur.
Je vous invite à cet effet à stimuler l'hémisphère droit, non seulement il ne connait pas la peur, mais il est source de créativité, nous en avons besoin pour affronter le monde d'après !
Si vous souhaitez stimuler votre cerveau droit voici quelques pistes
1- Sortez de votre zone de confort et prenez-y plaisir.
Vous hésitez à tenter une nouvelle expérience car vous pensez ne pas être doué pour cela ?
Raison de plus pour essayer !
Nul besoin d’être le meilleur, juste essayer d’être le meilleur de soi suffit.
La compétition ici, c’est contre vous-même et vos pensées limitatives. Ayez du plaisir.
Mordez dans la vie et partagez des moments inoubliables.
2- Essayez autant de sports que possible, et ou des activités artistiques et sociales.
et sentez-vous VIVANTS !
Vous n’avez pas pratiqué de sports, activités sociales et artistiques depuis longtemps?
Vous n’avez jamais pris part à une campagne de levée de fonds? N’attendez plus.
Réservez les activités intellectuelles pour les jour de travail et le temps gris.
Sortez, mélangez-vous, et par dessus tout, exprimez-vous.
3- Trouvez la discipline que vous aimez parmi celle qui sollicitent le cerveau droit et
investissez-y temps et énergie.
Parmi toutes les activités à pratiquer en loisir, choisissez un passe-temps.
Deux c’est encore mieux. Cela pourrait être de l’art visuel, l’art de la scène, un sport,
le jardinage ou encore du bénévolat.
Consacrez-y 10 heures ou plus par semaine. Si vous êtes peu en forme ou en surpoids,
choisissez la gym , la marche ou la natation.
Si vous êtes aisé mais seul, aidez les autres. Si votre travail consiste à de longues heures seul
à regarder, fixer la même chose, découvrez le théâtre, le psychodrame, la danse ou le mîme. Si vous travaillez dans un environnement cacophonique, tentez les arts plastiques ou visuels.
Pourvu que vous vous adonniez à un passe-temps contrastant, voir s’opposant
à votre occupation principale, il vous sera hautement bénéfique.
4- Fréquentez des personnes qui fonctionnent davantage avec le cerveau droit, les créatifs
ou les sportifs en recherche d'adrénaline par exemple.
Commencez en prenant part à une activité d’adrénaline.
Allez-y en groupe avec d’autres personnes qui n’y sont jamais allés non plus, tel que le rafting,
le parachute, escalade etc. Vous aurez la chance de tisser des liens d’amitié avec ces gens et vous
constaterez la présence d’individus particulièrement enjoués et vivants.
Connectez vous avec eux. Renouvelez l'expérience du fun avec vos nouvelles connaissances,
cultivez les moments exaltants.
Les neurodroitiers sont habituellement peu snobinards et vous prendront sous leur aile à la minute
où vous vous joignez à eux.
5- Dépaysez-vous
Vous n'êtes pas sociable ? Tout au moins, partez pour l’inconnu, en voyage,
loin de chez vous ou pas, mais dans un univers qui ne vous est pas familier.
Vous pouvez même partir pour un périple à pied ou à vélo !
6- Connectez ou reconnectez-vous avec la nature.
Il est ressourçant et revivifiant de passer du temps dehors, encore plus dans les espaces
sauvages encore vierges. Juste entendre le vent et observer les nuages peut suffire. Idéalement,
les citadins devraient passer leurs fins de semaine à la campagne. Car cerveau droit et nature ne font qu’un.
7- Cuisinez et faites pousser votre propre nourriture.
Il est tentant de commander de la nourriture au resto en revenant du boulot, mais on devrait se pousser à cuisiner
malgré tout, même quand le frigo est à moitié vide. Ceci nous oblige à inventer des recettes et nous force
à user de créativité. C’est une excellente façon de stimuler la créativité. Faire pousser sa nourriture
est encore mieux. Le jardinage vous permettra de renouer avec les énergies terrestres.
Le jardinage journalier est un gage de succès pour un équilibre entre cerveaux gauche et droit,
puisqu’on est en contact avec la nature en tout temps.
8- Visualisez votre cœur et tentez de ressentir ce qu’il a à vous dire.
Notre cœur nous parle constamment. En mode cerveau gauche, nous avons tendance à ne pas l’écouter,
surtout si notre personnalité est déséquilibrée. Certaines occupations demandent un effort constant du
cerveau gauche, gardant ainsi notre cœur à l’écart, comme le travail, la conduite ou la surveillance d’enfants.
Prenez un moment au travail pour rire avec les collègues, contribuer à un atmosphère de détente où vous
vous sentez chez vous, décorer votre bureau afin qu’il reflète votre personnalité.
En conduisant, mettez de la bonne musique, dites-vous des choses positives. En surveillant des enfants,
essayez d’intégrer des activités ludiques et créatives comme le dessin, ou le chant, ainsi vous pourrez
laisser s'exprimer votre cerveau droit autant qu’eux.
Méditez et visualisez votre cœur et ce à quoi il ressemble.
Voyez le grand, scintillant et rayonnant d’amour pour vous et les autres.
9- Aidez les autres avec vos habiletés et ou vos moyens, de façon désintéressée.
Quand vous aidez quelqu’un, vous créez une connexion au niveau du cœur.
C’est là une bonne occasion d’exercer vos talents en réseau. N’aidez pas uniquement
les plus démunis, aidez également ceux qui ont des idées mais ne savent pas les matérialiser.
Ils deviendront des membres indispensables dans votre réseau de connaissances.
10- Souriez systématiquement quand vous croisez quelqu’un du regard.
En se levant le matin, nous devrions prendre l’habitude d'éprouver de la gratitude au lieu de souffler...
Remercier l’univers, le sort ou ce que vous voulez, pour être là, vivant, en santé et ne pas manquer.
Prenez le temps d'observer le ciel, entendre les petits oiseaux. Tout de suite après avoir remercié,
et ressenti physiquement la gratitude, mettez votre cœur en mode sourire.
Vous n’avez pas besoin d’accrocher votre sourire en
permanence, mais simplement développer le réflexe de l’afficher une fraction de seconde
en croisant le regard de quelqu’un. Vous constaterez que peu de gens sont en mode
sourire, mais un sourire est souvant contagieux, et même si ce n'est pas le cas,
répandez cette belle vibration sans attendre en retour.
Source conseils-pour-cerveau-gauche-afin-de-developper-le-cerveau-droit
Autre façon de stimuler son cerveau droit
Betty Edwards s'est rendu célèbre avec sa méthode pour prendre, en quelques sortes, un raccourcis de 10 ans, en terme de progrès en dessin. En effet, il se trouve que l'artiste chevronné utilise, par expérience acquise le cerveau droit, et voit l'essentiel lorsqu'il dessine. Tandis que le débutant se perd dans les détails, c'est le cerveau gauche qui prend les commandes... Son procédé vise à forcer le cerveau droit à prendre la main !
Quelques exercices résumés ici
1/ Le visage et le vase
– D’abord, dessinez un visage de profil. C’est-à-dire les contours ou le tracé extérieur du visage. Commencez par le profil gauche si vous êtes droitier, et droit si vous êtes gaucher.
– Une fois ce premier dessin effectué, tracez deux lignes horizontales aux extrémités de votre tracé (une en haut du front et l’autre en bas au niveau du cou).
– Puis, en suivant le tracé de haut en bas avec votre crayon, nommez les différentes parties du visage (front, nez, lèvre supérieure… etc ).
-Dessinez ensuite le profil symétrique à celui que vous venez de dessiner. Visuellement, ces deux profils forment un vase à eux deux.
Pourquoi cet exercice?
Pour résumer, il s’agit de comprendre la différence entre ce qui sollicite l’hémisphère gauche de notre cerveau et ce qui sollicite l’hémisphère droit.
Pour dessiner le premier profil, vous avez sûrement sollicité l’hémisphère gauche.
Pourquoi ? Parce que vous dessinez un profil, une silhouette, quelque chose que vous connaissez et que vous pouvez nommer, car vous avez déjà vu des milliers de visages de profils dans votre vie. Pour dessiner, la partie gauche de votre cerveau analyse et tente de reproduire ce qu’elle connaît, et pas ce que vous avez réellement devant vous.
Pour le second profil, vous avez sans doute fait appel à l’hémisphère droit, car vous vous êtes basé sur le premier profil comme repère, pour être le plus juste et symétrique possible. À ce moment-là, vous avez tracé une ligne en vous concentrant sur la première, et votre cerveau a cessé de visualiser un visage de profil.
Vous commencez à comprendre ?
2/ Dessiner à l’envers
– Isolez-vous une heure au calme. Ne soyez pas dérangé car il vous faut éviter de parler, le mode verbal sollicitant directement l’hémisphère gauche.
– L’exercice est simple : choisissez un modèle et dessinez-le à l’envers. Mais attention !
Il est très important de ne retourner ni le modèle, ni votre dessin, avant d’avoir complètement terminé.
– Vous pouvez commencer votre dessin par n’importe quelle partie, mais petit conseil : évitez de commencer par tracer le contour.
Pourquoi cet exercice?
Le fait de dessiner à l’envers permet à votre cerveau de voir les parties du modèle qu’il peut nommer et reconnaître habituellement comme de simple formes (mains, visages, chaise … etc), Sur le même principe que l’exercice précédent, cela vous fait travailler ce fameux « mode D » ou hémisphère droit de votre cerveau.
Pour vous aider à voir les choses de manière abstraite, vous pouvez cacher l’ensemble de votre dessin (avec votre main ou une feuille) à l’exception de la ligne que vous êtes en train de tracer. Vous progresserez ainsi de formes adjacentes en formes adjacentes.
3/ Dessiner une chaise ou dessiner les espaces
– Tracez d’abord un rectangle ou un carré sur votre feuille pour délimiter le format de votre dessin. De même taille ou à la même échelle que l’image qui vous sert de modèle ( si vous dessinez d’après une image)
– Tracez ensuite une ligne verticale et une autre horizontale qui se croisent au centre de votre format. Si vous dessinez d’après nature (une chaise dans votre salon), vous pouvez, comme les élèves de Betty Edwards, utiliser un cadre réticulé transparent avec les mêmes repères horizontaux et verticaux pour cerner et délimiter le modèle.
-Puis, concentrez-vous et observez bien les espaces vides ou négatifs de votre modèle (espaces entre les barreaux, espaces autour de l’objet)
– Servez-vous de votre croix ou cible pour dessiner le premier espace négatif appelé « unité de base », car c’est sur lui que nous nous baserons pour dessiner les autres. Cette étape est la plus importante, vérifiez qu’elle soit correcte.
– Dessinez ensuite progressivement chaque espace vide qui vont s’assembler comme les pièces d’un puzzle.
-Vous pourrez, à la fin seulement, ajouter des ombres portées et travailler l’intérieur de l’objet.
Pourquoi cet exercice ?
Prendre conscience des espaces vides vous aide à mieux observer ce qui vous entoure et également à mieux comprendre l’importance de la composition en dessin. Bref, avoir une vision globale vous permet de ne pas vous focaliser uniquement sur l’objet à dessiner, mais sur l’harmonie et l’ensemble de votre dessin.
J’espère que le petit aperçu de ce grand livre vous aura donné envie d’aller plus loin et de découvrir la méthode révolutionnaire de Betty Edwards. Car c’est avec ce type d’exercice que vous développerez votre observation et votre sens artistique. À lire et à mettre en pratique d’urgence!!
4/ Dessiner des croquis ultra rapides
– Demandez à quelqu'un de prendre des pauses très courtes de quelques mn, en changeant de position toutes les 3 mn par exemple. (Moins de 5 mn)
Vous l'aurez compris le cerveau gauche se focalise et se perd dans les détails, en réduisant les temps de pose, vous le forcer à voir l'essentiel, les grandes lignes, le mouvement.
Stimulez le cerveau droit par la pratique des états modifiés de conscience
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Pour plus de précisions sur ce domaine,
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